La soumission à l’état mûr : Au tapin


La femme mûre regarde le jeune homme comme on regarde une grosse friandise. Ses yeux langoureux en disent long, sur son envie.

Comme le maître s'en aperçoit, il annonce une fois de plus à sa pétasse :

- Par contre, c'est une punition, ce n'est pas une récompense, donc je t'interdis de prendre du plaisir.

La vieille se demande bien, comment ce diable d'homme va pouvoir lui interdire d'avoir un orgasme, avec un si bel étalon !

Alors que le maître est parti dans la cuisine et revient très vite, il appelle vieille femelle et lui dit :

- Viens ici.

Ne sachant pas à quoi s'attendre, la femme mûre obéit et se rend directement aux côtés de son ami et maître.

L'homme soulève la jupe, de la main droite, et passe son doigt sur le clitoris de la main gauche. Il caresse toute la zone du clitoris.

La femme ferme les yeux et se demande bien comment ne pas jouir, avec de telles caresses de son maître ? Elle se dit qu'elle ne comprendra décidément jamais tout ce que veut, cet homme, vicieux et pervers à la fois.

Après avoir bien massé le démarreur à plaisir de la vieille, il lui refile une grande claque sur le cul et lâche le vêtement. Il en profite pour retirer le collier de capotes, qu’elle porte toujours autour du cou. Et, il lui ordonne encore :

- Allez, emmène ton client dans la chambre d'amis et tu fais tout ce qu'il te demande. Il paye cent balles, alors il a accès à ta bouche, à ta chatte, à ton cul. C'est bien compris ?

- Oui Maître, avec plaisir Maître, dit-elle avec un air mutin.

Toutefois, elle sent comme une chaleur, qui devient de plus en plus intense, au niveau de son clitoris. Elle descend les marches et sent son vagin également inondé. Doucement, mais sûrement, en tenant par la main ce bel étalon, jeune et fringant, dont la queue lui plaît énormément.

Une fois dans la chambre, la porte refermée, le jeune homme se déshabille très vite alors que la femme reste les jambes serrées. En se demandant bien pourquoi ? Son clitoris commence à la brûler.

Thierry vient l'embrasser, puis la prend par la main, lui dégrafe la jupe et l’allonge sur le lit. Il commence par la gamahucher, lui bouffer la chatte, passer sa langue dans toute la vulve, sans aller jusqu'au clitoris. Ainsi que de passer sa langue sur l'anus fripé, qu'il compte bien détendre et dérider. Après dix minutes de ce traitement, il s'allonge sur le dos et demande à Annie :

- Viens me pomper le nœud, comme tu sais si bien faire, vieille salope.

La femme mûre s'empresse de répondre à la demande de son étalon et vient happer le membre, de belle taille, qu’elle pompe d'abord sans les mains. Puis, avec une main, elle le branle aussi. Le sexe grossit, grandit et bientôt lui encombre toute la bouche.

Le jeune homme est surexcité et n'a pas envie de juter dans la bouche, pour le moment. Aussi, il repousse doucement la mémé, et aussi lui impose :

- Allez, à quatre pattes, je veux te prendre en levrette.

Toujours aussi docile, la blonde se met en position et attend la pine dans son vagin, car elle en a une folle envie.

L'homme vient s'agenouiller entre les jambes de la mamie, tient sa queue de la main droite, la hanche gauche de sa main gauche. Une fois en place, il frotte sa bite sur la vulve qui suinte abondamment. Il badigeonne l’entrée du vagin, comme si sa pine était un pinceau. Pour terminer ces préliminaires rapides, d'un coup de rein net et précis, enfuit son vit dans la caverne féminine.

Alors qu'il lui lime consciencieusement le vagin, comme elle aime tant le faire, Annie envoie sa main vers son clitoris et commence à se caresser. Toute sa vulve s’échauffe de plus en plus. Elle a la cyprine abondante, qui coule de sa chatte et vient au contact de son clitoris. Le phénomène ne fait qu’amplifier encore la chaleur, qui finit par devenir brûlure. Elle a soudainement l’impression que son bouton turgescent prend feu, car le piment est toujours enflammé par l'eau.

Le jeune est tout content de piner une vieille salope. Tout ce qui s'est passé aujourd'hui, l'excite terriblement. Parti comme il l’est, il se lâche et en profite pour dire, en même temps qu'il baise consciencieusement :

- Tu es trop bonne, ma vieille pute !

Ces mots excitent terriblement la femme mûre, qui n'arrête pas de se bricoler le clitoris, alors même que celui-ci la brûle carrément. Ce n'est plus un échauffement, c'est une brûlure.

L'homme continue, avec sa bite ride, à taper fort dans cette chatte et annonce :

- Ta chatte me brûle la bite ! Tu es trop chaude, vieille pétasse.

- Moi aussi ! Ça me brûle, mais je ne peux pas m'empêcher de me bricoler !

La voix devient plaintive. Et alors, qu’un premier orgasme arrive, faisant trembler les cuisses de la vieille, son clitoris lui fait terriblement mal. Et, pousser par une sorte d'instinct sexuel, elle ne peut s'empêcher de le frictionner, encore plus fort, avec son doigt.

- Vas-y, prends ton pied, vieille morue, c'est ta récompense. Même si ton maître ne veut pas que tu jouisses, moi, j'ai envie de te voir jouir.

Cette fois, Annie, crie son bonheur, mais aussi sa douleur. Elle jouit et pleure en même temps, tellement la brûlure est vive, sur son bouton d'amour.

L'homme ne comprend pas vraiment ce qui se passe. Il se demande quel est-cet état, jouir et en même temps pleurer. Bientôt, il commence à râler et donne tous les signes d'une éjaculation imminente. Il se retire, attrape les cheveux de la vieille, lui fait faire un demi-tour et enfourne son dard dans la bouche chaude, il ordonne alors :

- Fais ton boulot, vieille pute, fais-moi jouir dans ta gueule de morue.

Les insanités et les grossièretés excitent encore plus la pauvre femme, qui redescend légèrement de son orgasme et pompe, avec la même main, qui lui a servi à se bricoler le clitoris. Bientôt, la queue devient chaude aussi et lui brûle le palais.

Très vite, le jeune homme, dans un dernier cri, éjacule une grosse dose de foutre.

C'est beau la jeunesse, pense la mamie. Je lui ai fait une pipe terrible avant de manger, après le repas, il peut encore me baiser et juter ! On va voir jusqu'où il peut tenir. Toutefois, elle se pose aussi des questions quant aux brûlures qu'elle ressent, au niveau du palais.

Le jeune s'affale sur le lit, en regardant, dans les yeux, la femme qui vient de le faire jouir. Quand il a repris quelque peu son souffle, il lui demande :

- Viens à côté de moi, il faut que je reprenne un peu des forces, mais je n'en ai pas fini avec toi.

Et qu'ils sont allongés tous les deux, le jeune homme en profite pour dire encore à sa partenaire :

- Tu vas te branler, en attendant que je recommence à bander. Ça va m'aider, je pense.

C'est une sorte de jeu, qu’Annie aime particulièrement, celui de se masturber devant un homme, pour le faire bander. Aussi, toujours de la main droite, commence-t-elle à se triturer le clitoris, en regardant son amant du moment, droit dans les yeux.

La brûlure est toujours là, mais l'envie de ce jeune mec et l'orgasme qu'elle a eu précédemment, font qu'elle se masturbe avec grand bonheur. Bonheur, même si son clitoris brûle. Mais malheureusement, bientôt, la douleur devient si forte, qu'elle oblige arrêter de se masturber et se met à pleurer.

Comprenant que quelque chose se passe et que le maître a dû lui mettre un produit quelconque sur le clitoris, qui provoque une grosse réaction chez la femme, il la contraint encore à se masturber :

- Non, non, tu n’arrêtes pas ! Tu continues à te masturber. De toute façon, j'ai envie de te la mettre dans le cul.

Puis, il attrape les cheveux de la vieille et lui colle le visage sur son pubis, enfouissant ainsi sa queue tout au fond de la bouche.

- Vas-y, suce-moi un peu, dès que je bande bien, je te la mets dans le cul.

Malgré ses pleurs, Annie et aussi terriblement excitée et ce beau jeune homme lui disant des gros mots et l'insultant, l'excite terriblement. N'est-ce pas le rôle d'une soumise, que d'être insultée, humiliée ? Mais cette humiliation la fait mouiller, c'est fantastique.

- Allez, à quatre pattes. Je vais te bourrer le cul, te dérider ta rondelle toute fripée.

La nouvelle pute se met à nouveau à quatre pattes, comme la première fois. Aujourd'hui, elle adore la sodomie alors que plus jeune, son premier mari l'enculait pour lui faire mal. Elle se souvient qu’elle pleurait beaucoup, et ne savait pas comment faire pour éviter ce genre de chose. Ensuite, il y eut quelques amants qui lui ont fait comprendre que, la sodomie, c'était une grande source de jouissance. Et, qu’y lui avaient démontré, qu'elle pouvait avoir des orgasmes terribles, rien qu'en prenant un sexe dans l'anus.

Toujours la bite en main, cette fois le jeune pointe l'œil de bronze et d'un coup fantastique fait pénétrer son gland et s'arrête là.

- Tu l'as bien dans ton cul ? Tu la sens bien ?

- Oui... Oui, j'aime ça.

l’homme pousse alors doucement sa queue, sans aller trop loin. Puis, la retire, la renfonce un petit peu plus loin. Il ne rentre dans l'anus que la moitié de son zob, pas plus. Cela dit, l'engin étant de belle taille, il ouvre bien le cul offert.

- Branle-toi en même temps.

À cet ordre, et comme si elle n'attendait que ça, Annie projette sa main sur son clitoris. Ses doigts s'occupent de son bouton, de bien le malaxer, de le tirer, de le pincer légèrement. Bref, elle sait y faire sur son organe. Mais très vite, à nouveau, le feu, qui couvait, repart de plus belle. Et, alors qu'elle est prête à avoir encore un orgasme, elle souffre de la brûlure, mais ne peut s'arrêter de se tripoter le bourgeon.

- Il est bon ton cul, vieille morue !

C'était peut-être le déclencheur qu’attendait la vieille, car elle a alors un orgasme violent, qui lui secoue tout le corps. Et, en même temps, la brûlure est tellement intense, qu'elle se met à pleurer. Ses jambes tremblent et ne la portent plus. Bientôt, elle s’affale sur le lit. Elle est prise de spasmes.

Le jeune homme suit le mouvement, et quand la vieille est allongée, sa queue pénètre totalement dans le rectum.

- Là, tu l'as toute entière dans ton cul, ma pute.

Annie ne pas répondre. Elle est dans deux autres mondes, le monde de la douleur et celui du bonheur. Elle ne sait pas lequel l'emportera.

- Continue ta branlette, sale chienne ! Ordonne encore le jeune voisin.

À nouveau, reprenant quelque peu ses esprits, elle passe sa main droite sous son corps et vient se triturer le clitoris, pour avoir encore un orgasme. Celui-ci ne met pas trop de temps, et bientôt, la femme recommence à trembler de partout, mais également, souffre de nouvelles brûlures.

- Vieille pute ! Tu vas me faire jouir à nouveau !

Le jeune homme ressort son sexe de l'anus béant, et qui le reste. À quatre pattes sur le lit, il vient enfourner sa queue dans la bouche de la salope, qui est toujours allongée, la tête sur le côté.

- Vas-y, suce... Suce ma bite, qui sort de ton cul, vieille pute !

De pouvoir ainsi se laisser aller à insulter, humilier, dire autant d’insanités qu’il a envie, excite de plus en plus le gentil voisin.

Annie obéit en même temps qu'elle a encore un nouvel orgasme. Le plaisir est très intense, mais la douleur de son bouton d’amour et, elle aussi, d’une intensité vertigineuse. Elle crie son bonheur en même temps qu’elle pleure.

Le jeune crache tout son jus de couilles, dans la bouche chaude. Puis, s'assoit sur le bord du lit, pour reprendre son souffle.

La vieille pétasse continue à se branler et a un orgasme toutes les cinq minutes, malgré la brûlure. De même, régulièrement, elle se met à pleurer, car la douleur est insupportable par moment. Après, avec l'orgasme ; c'est comme si la douleur s'estompait. Cette dualité la rend comme folle, ivre de stupre.

Le jeune homme se rhabille rapidement, et en sortant de la pièce, impose encore :

- Continue à te branler, je veux que tu sois chaude comme la braise, quand je vais revenir de pisser.

Ensuite il monte au rez-de-chaussée, retrouve le maître des lieux et avec un grand sourire, lui annonce :

- Malgré ton interdiction, je l'ai fait jouir !

Je n'en doutais pas un instant, cher ami. Surtout que, de toute façon, elle en avait très envie. Mais avec le piment que j'avais sur les doigts, que j'ai passé sur le clitoris. À mon avis, ça va être très intéressant, aussi, dans les minutes qui suivent.

- Ha ! C'était donc ça ! Je ne comprenais pas pourquoi, elle pleurait quand elle s’astiquait le bouton.

- Oui, et ça va la travailler pendant un petit moment encore ! Mais viens, j'ai une webcam dans la pièce en bas, et on va se mettre sur mon ordinateur pour la regarder, comment elle s'en sort toute seule.

Les deux hommes se faufilent dans le bureau et là, l’hôte allume son ordinateur. Il lance le programme qui gère la webcam et les deux hommes se régalent de voir la vieille se contorsionner sur le lit. Se masturber furieusement, tantôt pleurer à chaudes larmes, tantôt trembler de tous ses membres. On a l'impression qu'elle devient folle et que tout cela ne s'arrêtera jamais.

- Je veux enregistrer cette scène, pour faire un petit montage. J'appellerai ce petit film : « puni au piment » et le mettrai en ligne, dans les sites BDSM. Je te donnerai l'adresse, si tu veux.

Durant près de deux heures, Annie s’astique le bouton, pleure, chante, jouit, et ne peut s'empêcher, à un moment, de glisser ses doigts dans sa chatte. Mauvaise idée ! Le feu qui n'était qu'extérieur devient, en plus, intérieur. Elle ne sait pas ce qui se passe, ne comprend pas réellement ce qui peut la brûler comme ça, mais se doute bien que ça doit être encore un coup tordu, de son pervers maître. Elle sait que ce démon invente sans arrêt de nouvelles activités, de nouveaux jeux, de nouvelles tortures. Serait-ce le fait que son maître l'aime bien plus qu’il ne le montre ? Voilà bien une question de soumise.


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