La soumission à l’état mûr : Au lit
Le maître s'occupe de couper la chaîne hi-fi, puis sort de la pièce pour se rendre dans la chambre. passant à côté de la cuisine, il interpelle les deux femmes et leur dit :
- Allez hop, les filles, au lit.
Dans la chambre, il commence à fermer les volets. Il se retourne et voit la vieille Annie aux pieds. Elle se tient droite, les bras le long du corps, devant l'entrée de la pièce. Il lui annonce alors d'une voix douce :
- Bien, je suis très content de toi. Tu t’es prostituée pour me faire plaisir.
- Oui, Maître, pour vous être agréablement obéissante.
- En plus, tu as fait ton premier client, chez moi, aujourd'hui, c'est très bien. Tu progresses parfaitement bien.
- Merci, Maître.
- Aussi, tu vas avoir droit à ta récompense.
- Ah oui, Maître, quelle est-cette récompense, s'il vous plaît ?
- Tu vas avoir le droit de me sucer, mais sous ma robe de cérémonie.
Alors, il remonte les pans de cette espèce de kilt géant. Il fait agenouiller la belle entre ses genoux, et laisse retomber les pans. Après, de sa voix douce, mais ferme, ordonne :
- Vas-y, suce-moi la pine.
Annie ne se fait pas prier et attrape le membre, encore flasque, d'une main sûre et la guide dans sa bouche. Elle commence à faire une pipe, en s'appliquant le plus possible, voulant faire plaisir à cet amant et maître si particulier. C'est un peu comme si elle voulait se laver de toutes les bites, qu'elle a pris dans la bouche, aujourd'hui. Elle a une drôle de sensation, en ayant ce sexe en bouche, c'est le sexe de son maître ! Pas qu'il soit plus gros, pas qu'il soit plus long, mais c'est-celui dont elle rêve la nuit. Celui dont elle a toujours envie, celui dont elle sait qu'elle aura le plus de plaisir. Ainsi va la vie, ainsi va le vit, le plus fort n'étant pas la réalité, mais tout le fantasme, toute la suggestion, qu'on peut mettre dans les actions.
Pour l’hôte, c'est un peu pareil. Faire sucer cette salope sous sa robe de cérémonie, qu'il porte relativement peu d'ailleurs, après lui avoir fait subir les pires turpitudes, l'enchante totalement. Et, entre fatigue et excitation, il se laisse aller et mets peu de temps à jouir et à décharger dans cette chaude bouche si experte.
- Oh Maître, comme j’ai attendu, toute la journée, votre divine semence, à nulle autre pareille.
Il reste une bonne minute ainsi, droit, les jambes tremblant légèrement, avec cette salope entre ses genoux, qui a toujours son sexe qui ramollit dans la bouche. Relevant les pans de son vêtement, il baisse les yeux sur la femme, qui elle a les yeux tournés vers lui et qui le regarde avec amour et tendresse.
Il n'y a pas à dire, tu es une bonne pétasse, tu suces comme une reine. Nous ferons de grandes choses ensemble.
À ces mots, il se passe comme une explosion dans le sexe de la vieille soumise, et à nouveau, elle sent sa cyprine tiède couler le long de ses cuisses.
Alors qu'elle était appuyée sur le chambranle, Solange, regarde son homme et s'exclame avec une voix joyeuse :
- Alors mes cochons, on ne m'attend même plus, pour faire des bêtises ?
L'homme sourit, tandis que la soumise se demande si c'est une blague, ou si la maîtresse est réellement jalouse. Elle n'en saura pas plus, car la femme reste fermée, seul son sourire énigmatique pourrait donner une information, à celui qui saurait la décrypter.
- Tu sais qu'elle suce divinement bien ! Soixante ans de pipe, ça laisse de belles traces.
- J'imagine, déclare la maîtresse de maison. Oui, tu as raison, il y a une grande expérience dans tout ça.
- Un jour, tu nous raconteras ce que te faisait vivre ton ex, n'est-ce pas ?
Oui, Maître, j’ai honte, car avec mon ex, c'était vraiment difficile et avilissant.
- Bien, nous verrons ça un autre jour, pour le moment aide la maîtresse à se mettre au lit, s'il te plaît.
Une fois que Solange déshabillée et allongée, elle regarde Annie, toujours torse nu et demande :
- Tu vas me retirer mes bas. Mais retire d’abord tes escarpins, pour monter sur notre lit.
Maurice lui fait un clin d'œil et lui déclare :
- Tu as eu le droit de sucer ton maître, il n'y a pas de raison que tu n'es pas le droit de lécher ta maîtresse. Allez, au boulot.
Pendant que la soumise s'installe entre les jolies jambes de sa dominatrice, l'homme a sorti deux couvertures du placard. Il installe par terre la première, servant de matelas, car plus grande et plus épaisse. Et la deuxième étant là pour recouvrir la personne, qui dort au pied du lit. Il regarde la mémé en train de lécher l'abricot odorant de sa compagne puis, lui dit :
- Comme le lit, de la chambre d'amis, est encore mouillé, tu dormiras au pied de notre lit.
La femelle soumise ne fait aucune remarque et continue à lécher ce sexe chaud et doux. Bien qu'elle ne soit pas réellement bisexuelle, le fait que ce soit la maîtresse, le fait que ce soit la femme de son maître, fait qu'elle dépasse largement m'interdit de l'homosexualité.
Se souvenant des caresses du voisin sur son clitoris, elle tente de refaire la même chose et de donner autant de plaisir, que le jeune lui en a donné.
La journée a été longue, et éprouvante également, pour Solange. Aussi, se laisse-t-elle totalement aller aux caresses saphiques et à cette langue douée, qui lui titille le démarreur à plaisir. Et bientôt, attrapant la vieille tête et la plaquant contre son pubis, elle s’abandonne au plaisir. Elle jouit bruyamment et inonde la bouche amie, de sa cyprine chaude et abondante.
- Tu te débrouilles très bien aussi avec les femmes ! Visiblement, tu as déjà eu des rapports avec elles !
- Les seuls rapports, consenties, que j'ai eu avec des femmes, c'est quand j'allais me faire épiler en institut de beauté. L'épilation totale, mais à part ça je n'ai jamais été réellement attirée par les femmes, seul mon mari me forçait.
- Intéressant, tu nous raconteras ça plus tard…
- En fait, Maîtresse, vous êtes ma première, si j'ose dire.
Le maître sourit et, dans un petit rire discret, annonce, à l’attention de la vieille docile :
- Eh bien ! il y en aura eu, des premières, aujourd'hui !
- Oh que oui, Maître.
Faisant le tour du lit, il vient prendre la main de la femme et la guide jusqu'aux pieds de la couche, de son côté à lui. Là, il lui dit :
Bon, voici ta paillasse. Ce n'est pas très confortable, mais finalement une bonne soumise doit savoir se contenter du minimum. Il l’embrasse une dernière fois sur la bouche, puis il va se coucher. Le couple s’embrasse en se serrant dans les bras, l'un de l'autre. Très vite, les deux s'endorment.
Avant de s’allonger, elle s’assoit pour retirer ses bas. Ensuite, elle s’allonge et cherche le sommeil réparateur. Par contre, Annie, à bien du mal à s’endormir. Certes, il y a eu les événements de la journée, ces choses qu'elle ne se serait jamais sentie capable de réaliser, mais pas seulement.
Elle n’as pratiquement jamais eu une bonne image d’elle-même. Un gros manque de confiance en soi, qui date de l'époque de son ex-mari. Elle se sent inférieure aux gens, et particulièrement à ce maître pervers et vicieux, mais qui possède aussi une grande culture. Il y a également cette maîtresse, tout aussi démoniaque, quoique dans un autre style. Elle se sait aussi faible et ne pas savoir refuser ce qu’on lui demande de faire. Après son divorce, elle a bien eu quelques aventures avec des hommes de passage, mais à chaque fois ceux-ci profitaient d'elle. Du moins elle en avait largement l'impression. Aussi, il lui semble naturel, d'être la soumise d'un mâle, qui de toute façon aurait eu l'ascendant sur elle.
Maintenant, sucer autant de bites dans un sex-shop, avoir pris autant de queues dans sa chatte, autant de pines dans son cul, ça, c’était très nouveau. Certes ça lui a beaucoup plu, certes le souvenir lui est agréable et donc, elle a envie de recommencer. Toutefois, pour avoir cédé aussi facilement, elle se pose des questions. Pourquoi accepte-t-elle autant avec cet homme ? Ne serait-il pas, finalement, qu'une excuse ? une sorte de prétexte pour qu’elle puisse aller au bout de ses vices ? Toutes ces questions la tourmentent.
Et que dire de s'être prostituée ? Bien entendu, elle n'a pas fait le trottoir, elle n'a pas eu à chercher les clients, avec un petit sac à main. Mais tout de même, puisque le jeune voisin a laissé les cent euros, qu'il avait gagné à tailler les arbres, pour pouvoir user et abuser d'elle, c'était bien de la prostitution, à n’en pas douter. Et le fait que le client soit le voisin ne change rien à l’affaire. Elle est fière, quelque part, d'avoir fait ce premier chaland. Elle est heureuse de s’être prostituée, pour faire plaisir à son maître, mais n’était-ce que ça ? Elle ne comprend pas pourquoi, mais il ressent ce plaisir très cérébral, de cette activité, bien au-delà du plaisir charnel qu’elle a ressentie avec le jeune. Elle commence à se rendre compte, qu'elle ne regarde que très superficiellement la vie. Bien souvent, il y a des choses cachées derrière les apparences. La prostitution par exemple, elle ne voyait ça que comme dans les films. Une femme qui montait dans une piaule cradingue, avec un client minable, qui se faisait sauter sans joie ni plaisir, qui se sentait sale. Là, rien de tout ça, elle a aimé, elle se considérait d'ailleurs, presque, comme la petite amie du beau voisin, malgré la trentaine d'années qui les sépare.
Toute la nuit, ses idées tournent et retournent dans son esprit. Elle n'arrive pas à dormir. Il est vrai que le monde de confort n'arrange pas les choses, mais toute cette journée a été, non seulement éprouvante, mais en plus, d'une richesse inouïe. Elle se découvre et cette idée, là encore, la dérange, la bouscule. Pourquoi a-t-elle été obligée d'attendre ses soixante ans passés, pour s'accepter, enfin, telle qu'elle est ? Et pour se laisser aller, enfin, à de tels orgasmes ? Elle se souvient qu'elle a cru mourir, quand elle avait été seule dans la chambre d'amis, à se masturber, à ne plus pouvoir s'arrêter de se masturber. Alors même, que sa vulve était bouillante et que son clitoris l’a brûlé du feu de Dieu. Pourtant, ce furent des orgasmes inimaginables, indicibles, incroyables !
Le temps passe lentement. Le léger ronflement de la maîtresse et celui, plus appuyé, de son maître, font un bruit de fond pénible. Finalement, sur le coup de quatre heures du matin, elle finit par s'endormir. Et somme toute, elle ronfle légèrement, elle aussi.
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