La soumission à l’état mûr : Au bord de la Loire
Une fois que mémé est sortie de sa transe sexuelle, tout le monde se lève tranquillement.
Bien entendu, Annie est rouge de honte, d’avoir pissé au lit. Elle se confond en excuse, mais la maîtresse de maison, compréhensive, la rassure, et les deux femmes défont totalement le lit et mettent draps et couvertures à la fenêtre pour les aérer.
Ensuite, c'est douche pour tout le monde et, enfin, petit déjeuner.
Après le repas, le maître demande à Annie :
- Va mettre une jupe courte et un chemisier, rien d'autre. Tu mettras tes mules au pied, comme habituellement.
Cette brave femme docile obéit et descend dans la chambre d'amis, se vêtir tel qu'il lui a été commandé. Puis, elle remonte, pour montrer sa tenue au dominateur.
Ce dernier la félicite, et un peu plus tard, nos trois compères partent pour les bords de Loire. L’endroit est ce que l'on nomme le bec du Cher, là où le Cher se jette dans la Loire. C'est un lieu très fréquenté par les libertins, mais aussi par les gays, par les exhibitionnistes de tout poil. Il y a régulièrement des couples, qui cherchent l'aventure.
En arrivant, Maurice gare la voiture sur le petit parking en contrebas de la route. Puis, alors que Solange met le magnétoscope en route et s'apprête à descendre à son tour. Il libère sa soumise en ouvrant la porte arrière depuis l’extérieur et la prend par la main. Il l'emmène à l'abri des regards, un peu plus loin, sur le bord de la Loire, dans la végétation d’arbustes. Le bosquet est typique de la région, il n'est pas très dense et si on ne passe pas trop loin, on peut apercevoir, qu'il y a des gens qui prennent un bain de soleil, par exemple.
Une fois le lieu choisi, il ordonne à sa femelle docile :
- À genoux dans le sable, tu vas me sucer.
Il défait sa braguette, sort sa belle bite et l'offre à sa soumise en guise de récompense. Son épouse est là pour filmer la scène.
Bien entendu, tout ce petit manège n'a pas échappé aux yeux des promeneurs, des visiteurs et des habitués des lieux. Et bien vite, la belle se retrouve avec des mains sur le corps. Toutefois, elle ne veut pas penser à qui elles appartiennent. Elle préfère se concentrer sur la fellation qu'elle fait à son amant et maître.
L'homme, goguenard, interpelle le troupeau de mâles en rut et leur annonce :
- Allez-y les gars, vous pouvez lui prendre la chatte et le cul, mais attention, avec capote. Sinon, c'est aussi une excellente suceuse.
Bientôt, le plus audacieux vient s’agenouiller derrière la femme. Il baisse son froc, se masturbe un petit peu, tout en soulevant la jupe et doigtant l'anus de la vieille. Puis, ayant lubrifié le gland avec sa salive, il le pointe contre l'anus, qui paraît s'ouvrir par plaisir.
La soumise commence à avoir bien l'habitude de la sodomie, qu'elle apprécierait presque davantage, que le coït vaginal. Au début, le type la sodomise en lui tenant les hanches, ensuite, il défait les boutons du chemisier et aide la femme à le retirer totalement. Elle est ainsi torse nu, les seins à portée de main, que l'homme recouvre avec les siennes.
Le maître ne tarde pas en jouir, dans un grognement sourd, une bonne dose de foutre chaud, bien au fond de la gorge docile. Il attrape le menton de la vieille, lui fait relever la tête, lui fait un clin d'œil. Puis, il annonce une fois de plus à la cantonade :
- Messieurs, la troisième porte est ouverte. Amusez-vous bien.
Comme chez le bon docteur, cette fois encore, c'est la curée. Les mecs en rut, trop contents d’une femelle à disposition, qui ne refuse rien, se ruent sur la vicieuse mémé.
Solange se tient un petit peu en retrait et filme toute la scène. Elle aussi se marre, quand son homme vient se mettre à côté d'elle et qu'il dit, suffisamment fort, pour que ce soit sur l’enregistrement.
- Et voici que mamie salope vient faire des petits jeunes sur les bords de Loire. Nous allons compter, combien elle va s’en prendre.
Pendant plus de deux heures, la blonde se fait peloter, tripoter, ramoner, baiser, enculer, par toutes sortes de mecs. Des petits, des grands, des gros, des maigres, des blancs, des noirs... C'est un carrousel de bites qu'elle prend dans la bouche, dans la chatte et dans le cul. Elle se retrouve tantôt allongée sur le dos dans le sable, tantôt debout, tantôt à genoux, tantôt à quatre pattes. C'est un moment hors du temps, durant lequel, elle se fait engluer les amygdales, mais aussi mettre par toutes sortes de pines, des grosses, des petites, des longues, des courtes, des gros glands, des fines, etc.
Quand le flot des besoins commence à se tarir, Maurice laisse encore le dernier salaud baiser la vieille en levrette. Puis, comme visiblement, il prend son pied et que sa soumise aussi, a l'air de bien apprécier, il commande à son épouse de venir filmer au plus près. Là, le couple s’aperçoit qu’elle se fait encore sodomiser et qu’elle a l’œil de bronze bien ouvert. L’homme ne tarde pas à remplir son préservatif, puis à s’en aller. C'est étonnant comment des mecs excités peuvent être entreprenants, et quand ils ont les couilles vides, devenir des pleutres, qui se sauvent sans demander leur reste.
Le maître vient aider sa soumise à se relever et lui dit :
- Parfait, tu es en bonne condition physique !
- Peut-être, mais là, je suis claquée !
- C'est une bonne maladie.
Après l’avoir remise droite, et ramassé son chemisier, il la colle à lui et l’embrasse. Il en profite pour soulever la jupe, écarter les fesses d’une main sûre, pour que son épouse puisse filmer l’état de l’anus.
- Ha oui ! Elle a pris cher ! Tu verras à la maison, mais ta soumise est une sacrée enculée !
- Je suis fier de toi ! Tu éponges les mecs comme une pro !
- Ha bon ! Mais je n’aime pas l’idée de la prostitution.
- Dis-toi bien que tu n’es pas la première libertine à faire payer les mecs…
- Mais je ne ferai pas le trottoir, ça, c'est sûr ! Et puis, je n’oserai jamais demander de l’argent !
- Qui te parle de faire le trottoir ? Je te propose de filtrer tes clients, de passer des annonces et de baiser dans un coin tranquille, à l’abri des regards indiscrets.
- On peut louer une camionnette et filtrer, nous-mêmes, les clients. Propose alors Solange.
- Bonne idée, je connais un endroit idéal pour ce genre de chose. Et on demandera cent balles, par clients, pour toi.
- Je n’oserai jamais…
- Tu préfères que les mecs viennent te défoncer les trous gratos, payée uniquement en "MERCI" ? Et encore, regarde cet après-midi, combien t’ont remerciés, d’une façon ou d’une autre ?
- C'est vrai, balbutie la vieille femme, que côté remerciement, je ne peux pas dire que j'ai été gâtée !
- Non ! Alors bienvenue au club. Tu comprends maintenant, pourquoi, pas mal de libertines passent à la prostitution ! Parce qu'au bout d'un moment, elles en ont un peu marre, que des mecs viennent, se sentent comme chez eux, et ne savent pas, au moins, remercier pour le plaisir qu'ils ont eu !
La blonde se tourne alors vers sa maîtresse et l’apostrophe :
- Mais toi, Solange, tu en penses quoi ?
- À ton avis ? Comment crois-tu que je m’achète toutes ces tenues, attirails, jouets et autres fouets ? Juste avec le sourire des soumis que je reçois ?
- À bon ! Toi aussi...
- Oui, comme tu dis, moi aussi… bien sûr, pour le prix, les soumis ont droit à une petite récréation à la fin. De même, quand nous faisons chambre d’hôtes, pour le prix, il y a un peu de non-conformisme… Voire plus, avec supplément !
- Ha ! Je ne savais pas…
- Tu vas vite te rendre compte, que tu as des trésors entre les cuisses, que ce soit devant, comme derrière.
Tout en devisant, le trio, dont la femme mûre est toujours torse nu, se rapproche du parking.
- Remets ton chemisier, sinon ça va repartir pour un tour !
- Ha bon !
- Oui, les types qui sont là le matin, rentrent déjeuner en général, et vers midi et quart, midi et demi, ce sont d’autres mecs, qui profitent de leur pause déjeuner, qui arrivent.
- Ha ! Toujours de la queue fraîche, c'est le paradis pour nymphomanes ici !
Tout en plaisantant, Annie passe son chemisier et le boutonne. Elle passe sa main sur sa jupe pissée pour retirer la poussière. Bien qu’elle soit très fatiguée, elle est riche de ces nombreux orgasmes qu’elle vient de vivre. Et puis, cette idée de prostitution la travaille bien plus, qu’elle ne voudrait l’admettre. Il est exact que, presque aucun des messieurs venus la baiser, n’a eu vraiment de considération pour elle. Comme si c’était normal de baiser une femme ici ! Comme si, le fait qu’elle soit à leur disposition était dans la logique des choses ! Même la saluer en partant, bien peu l’avaient fait. Finalement, et si c’était son maître qui était dans le vrai, faire payer tous ces goujats ?
- Alors la belle, on rêve ?
- Ho pardon ! Oui j’étais dans mes pensées.
Maurice déverrouille les portières et ouvre la porte pour sa soumise. Mais avant qu’elle ne rentre ds la voiture, il ordonne :
- Retire ta jupe et ton chemisier, tu voyageras nue.
- Et si on est contrôlé ?
- Tu trouveras bien une explication…
Il faut une grosse demi-heure pour faire la route. Le conducteur est aussi dans ses pensées, son épouse est silencieuse, elle aussi.
Annie, seule sur la banquette arrière, a ses mains croisées sur son sexe. La ceinture lui écrase un peu le sein droit. Elle ne peut s’empêcher de penser à ce que lui a dit son amant et maître. Après tout, faire payer des mecs qui de toute façon ne seront jamais reconnaissants, pourquoi pas ?
Certes, c'est une image très négative que celle de la prostituée, mais pourquoi après tout ? Bien des gens travaillent en louant leurs muscles, en quelque sorte. Ou en vendant leur savoir-faire dans un domaine particulier. Et alors, putain, en sommes, c'est louer sa chatte ou son cul ! C'est vendre son savoir-faire jouir les hommes. Sur le fond, un travail comme les autres. Elle se souvient d’une discussion, sur le net, avec son mentor, qui lui avait expliqué que les prostituées étaient reconnues dans la Rome antique, comme en Grèce. Et, qu’en fait, c’étaient ces faux-culs de curés qui avaient donné une image dégradante de la prostitution. Tout ça parce que l’apôtre Paul était jaloux de la relation de Jésus et de Marie-Madeleine. Et que penser de ces papes à Avignon, qui vivaient grassement de la prostitution, qu’ils encourageaient. Mieux, ils avaient érigé la prostitution en arme de pouvoir !
Alors, aujourd’hui, mis à part cette culture judéo-chrétienne, quelle était la place de la prostituée dans la société moderne ? Quel était son rôle ? Il fallait répondre à ces interrogations, sans faux-fuyant, sans politiquement correct, sans forfaiture, ni préjugé.
Toutes ces cogitations occupèrent le trajet, et bientôt, la voiture stoppa devant le garage.
- Bien, allons casser une petite croûte, ces émotions m’ont mis en appétit ! Pas toi Annie.
- Je crois que notre invitée a été gavée de foutre, non ?
- Oui… Mais ça ne nourrit pas tant que ça !
- Alors, passons à table. Cet après-midi, nous retournons chez ce bon docteur.
- Ah bon ! Encore ! Qu'est-ce qui va m'arriver cette fois-ci ?
- Tu le verras, c'est une surprise…
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