Théo-rème de l’inceste Chapitre 46 : épilogue
J’aimais ma mère, autant que je la haïssais ! Je ne pouvais dire, ni pourquoi je l’aimais, ni pourquoi je la haïssais tant. Certes, on aime sa mère comme son père ou ses frères et sœurs, et moi, je n’avais que ma mère, si peu mon père. Mais j’avais bien plus que de l’amour filial envers elle.
J’avais une attirance physique, une envie de son corps, même s’il était bien moins beau que celui des filles de mon âge. Ses seins qui tombaient me passionnaient. Sa chatte me fascinait, et son anus était un plaisir sans nom.
Sa façon de baiser aussi, le fait qu’elle jouisse par la sodomie. Le plaisir qu’elle avait à prendre mon sperme, dans la bouche, dans la chatte et dans le cul. Le fait qu’elle suce ma bite qui sortait de sa chatte, mais aussi de son cul !
Mais par ailleurs, était-ce de la jalousie, je ne pense pas, mais je n’aimais pas du tout qu’elle se fasse mettre par n’importe qui, n’importe comment, quand elle avait picolé. Je n’étais pas jaloux quand mon pote la prenait, ni quand Maxime la baisait, pas même quand elle était avec des clients. Mais quand elle partait dans ses turpitudes, quand elle se tapait n’importe quel connard en boîte, ça me foutait dans une colère noire.
Je haïssais ces soirées durant lesquelles elle se bourrait la gueule, surtout avec sa bonne copine Pauline, une sacrée déjantée aussi celle-là. Gravement névrosée, dépensière compulsive. C’était la bonne copine de foire, de boisson, de vacances et la collègue de boulot.
Je lui en voulais de m’avoir perverti au point d’avoir cet amour incestueux, et en même temps, j’étais heureux d’avoir ma mère comme amante. Heureux de la sentir amoureuse de moi, content quand elle avait envie de moi. Satisfait de la sentir jouir grâce à moi.
Je n’avais plus trop envie de sauter d’autres nanas que ma salope de mère, de ça aussi, je lui en voulais. Je me demandais si je n’étais pas damné, si la vie ne se vengeait pas de cet inceste pervers, de cet amour contre-nature, de ce vide si profond.
Bref, quand je dis que je ne savais plus où j’en étais…
J'avais un copain, oui, je dirais copain, car il était plus qu’un simple client, Richard, avec qui j'avais sympathisé. Il était aimable, ne posait pas de lapin, ne cherchait pas à comprendre, le pourquoi, les tenants et aboutissants de ma façon de vivre.
Par contre, il avait un esprit vif, un sacré sens de l’humour, et on sentait qu’il était loin d’être con ! Je connaissais fort peu de mecs comme ça, aussi ça nous rapprochait, intellectuellement pour le moins.
Ce matin-là, j'allais chez lui. Il était seul dans la maison.
En entrant, il me fit aller directement dans sa chambre.
Là, je lui présentai les deux barrettes qu’il m'avait commandées.
Il me sortit ses billets et me les donna. Puis, d'un coup, je ne sais pas trop pourquoi, il me dit :
- Je peux acheter du shit, du moment que ma mère va se faire baiser à droite, à gauche, elle me laisse du pognon. Je ne sais pas si tu trouves que c'est une vie normale.
Je voyais là, un type qui avait vécu, et qui vivait, des choses assez similaires aux miennes. Aussi, nous commençâmes à discuter sur nos mères. Je lui expliquai le fonctionnement de la mienne, que c'était une salope, qu'elle se faisait sauter par n’importe qui, n’importe où, n’importe comment. Et que sa grande excuse était l’alcool, qu’elle ne savait plus ce qu’elle faisait, quand elle était bourrée, du moins, le disait-elle.
Il me raconta que la sienne était pareille, elle picolait, se faisait baiser, ramenait des mecs à la maison. Elle rentrait même parfois avec des femmes. Qu’il entendait leurs cris, car sa chambre était attenante, à celle de sa vieille.
Le courant passait entre nous. Il y avait une sorte de sensation d’avoir enfin quelqu'un qui puisse nous comprendre, qui puisse ressentir nos affres et nos peines, nos sentiments mitigés, mélangés.
Je décidai alors de rouler un pétard, avec le shit coupé à l'opium, que m'avait laissé Kader. J'allumai le joint et nous le fumâmes tous les deux tranquillement.
Nous étions quand même bien explosé quand Richard me mit sa main sur le bras, en me disant :
- C'est dingue, je pensai que personne ne pourrait jamais comprendre ce que je vis. Et, en fait, je me sens si proche de toi, puisque tu vis des choses identiques.
Le contact de sa main sur mon bras me donna des frissons. Je ne sais encore pas dire, aujourd'hui, pourquoi, mais ça me donna des frissons. Loin d'être désagréable, ce contact charnel m’émut, bien plus que je n’aurais pu l’avouer, ni même, me l’avouer.
Alors que nous étions assis tous les deux, côte à côte, sur le bord de son lit, il se tourna vers moi, me regarda d'un air étrange et me dit :
- Ne le prends pas mal Théo, mais je te trouve vraiment très beau !
J'étais gêné et je ne sus qu’exprimer.
Il avait dû se rendre compte de mon embarras et finalement, il se tourna encore un peu plus, mis sa main sur ma cuisse et s'approcha de moi.
- Ne m'en veux pas, Théo, j'ai envie de t'embrasser et si tu ne me repousses pas, maintenant, je le fais.
Peut-être un peu anesthésié par le shit, mais aussi totalement bouleversé, de n’être pas le seul au monde à vivre dans les affres, les frasques de ma vieille, je ne bougeai pas.
Et d'un coup, sa bouche se plaqua à la mienne. Sa langue envahit ma bouche.
Je ne sais pas ce qui me poussait à répondre à son baiser, mais toujours est-il que je l'embrassai à mon tour. Mais n'osai pas encore toucher son corps.
Lui, par contre, sa main gauche sur mon flanc droit, me caressa tout doucement. Puis, il passa sa main droite chaude sous mon T-shirt et me caressa le torse, là encore, tout tendrement.
Nous nous embrassions toujours, relativement tendrement. Mélangeant nos salives, en nous excitant mutuellement.
Je n'avais jamais connu cela auparavant.
Mon client me prit par le cou, pour m'embrasser encore plus profondément. En même temps, il passait délicatement, le bout de ses doigts, sur mes tétons.
Cette caresse me donnait de longs frissons extrêmement agréables. Puis, quand il accéléra un peu le geste, je ressentis comme de petites décharges électriques dans mes testicules, dans ma queue et même dans mon anus. Je ne comprenais vraiment pas ce qui m’arrivait.
En arrêtant de m'embrasser, il se pencha vers moi, et, à ce moment-là, entreprit de me retirer mon t-shirt.
Alors que je restai sans bouger, presque sans vie et surtout sans un mot, il se pencha pour venir m'embrasser les tétons, longuement, lentement, doucement et je découvris, encore une nouvelle fois, un plaisir inconnu jusqu’à lors. J’eus peur de devenir pédé, j'étais gêné au possible. Mais en même temps, totalement excité.
Je ne comprenais pas ce qui se passait en moi ! Moi qui plaisais tant aux filles, moi qui avais baisé et même enculé virilement, ma saloperie de bonne femme de mère. Là, à ce moment-là, un garçon, gentil et sympathique, m'avait embrassé et j'avais aimé ça.
Bientôt, je sentis sa main sur mon sexe à travers mon jean, il me caressa progressivement, mais de temps en temps, me pressait tendrement les couilles sans aucune violence. Tout était fait en douceur et chaque fois qu'il me caressait les valseuses, j'avais des spasmes, des ondes de plaisir qui traversèrent mon corps. Je ne comprenais plus rien, je ne savais plus où j'étais !
À un moment, il se leva et me chuchota à l’oreille :
- Mets-toi à l’aise, retire ton maillot.
Il prit le bas de mon t-shirt, le tira vers le haut et enfin, me l’enleva totalement.
Non seulement je me laissai faire, mais en plus, je l’aidai pour qu’il me fasse passer la tête dans le vêtement.
Il laissa choir mon t-shirt en me regardant avec des grands yeux amoureux. Il se pencha à nouveau sur ma poitrine et reprit un téton en bouche, pour passer sa langue dessus. Puis, il passa son appendice lingual sur toute ma poitrine, passons d’un téton à l'autre et sa menteuse descendît lentement sur mon ventre en direction de mon pubis. Pendant que ses mains dégrafèrent le bouton de mon jean et ouvrirent la braguette.
Je sentis qu’il faisait glisser mon pantalon et mon caleçon dans le même mouvement et l’arrêta à mi-cuisses. Là, je le vis passer sa langue sur ma peau tout autour de mon sexe jusqu'à aller me lécher les joyeuses. Bientôt, je le vis finir par happer mon sexe dans sa bouche chaude. Je bandai instantanément ! J’avais maintenant envie de ce jeune homme.
Il me suça un peu, puis me fit comprendre qu'il fallait que je l’aide pour qu’il puisse retirer totalement mon pantalon, ce que je fis.
Je me retrouvai nu, à l'exception de mes chaussettes, et il m'allongea sur le lit, sur le dos. Et je me laissai faire.
Il vint s'installer entre mes cuisses, il retira prestement son t-shirt et, à genoux, se pencha en avant pour me sucer à nouveau. Mais il ne s’arrêta pas là, il passa sa langue sur toute la zone et particulièrement sur mes couilles. Bientôt, il prit mes jambes sur ses épaules et me culbuta en arrière pour avoir accès à mon anus.
Là, ce fut une vraie révélation. Sa langue qui parcourut mes fesses et entre mes fesses, dans toute la vallée et qui s'arrêtait sur mon petit trou, me procura un plaisir indicible. Il continua à le lécher consciencieusement, jusqu'au moment où, ayant durci sa langue, il me sodomisa avec.
Quel plaisir ! Quel bonheur ! J’avais des décharges électriques qui parcouraient tout mon corps, et spécialement mes glaouis et ma pine. Je sentais mon sphincter se serrer et se desserrer au rythme de ses allées et venues dans mon cul. De fils de pute, je devenais un enculé !
Il continua de me travailler la rondelle, alors qu'en même temps, il avait des doigts qui pinçaient mon téton gauche. Doucement, puis un peu plus fort, ensuite à nouveau doucement, et un peu plus fort…
De temps à autre, je m'entendais gémir.
- J'ai envie de te faire l'amour.
Ces mots sonnèrent à mes oreilles d'une drôle de façon. Mais je restai, une fois encore, sans voix, ne sachant pas si je devais dire oui ou non.
- Mets-toi sur le côté.
Cette fois, c'était moi qui obéissais. Et j’attendais fébrilement la suite des évènements.
Alors qu'il relâchait mes jambes sur le côté, il se releva prestement et quitta son pantalon à son tour. Puis, il revint tout contre moi.
Quelle sensation que ce corps chaud contre le mien de quelqu'un dont je sentais confusément qu’il ne me voulait aucun mal, bien au contraire.
Il se coucha derrière moi, passa une main sous mon corps pour me caresser, tantôt le ventre, tantôt les flancs, tantôt la poitrine. S'arrêtant sur mes tétons, qu'il pinçait et tirait un peu, mais toujours dans une grande douceur. Et alors, il me glissa à l'oreille :
- Tu es vierge, non ?
J’acquiesçai d’un hochement de tête. Je sentais qu'il s'astiquait le manche, qu'il se masturbait un petit peu. Puis, je sentis qu'il écartait mes fesses et me rendis compte qu’il collait son gland contre mon anus. Toutes ces caresses me faisaient de drôles de sensations dans le sphincter. Et maintenant, je ne pourrai jamais dire pourquoi, j’eus envie de sentir, cet ami si proche qui avait vécu des choses si comparables, me faire l'amour !
Il me pénétra tout doucement, m'ouvrit l'anus patiemment. Il attendit que je me décontracte, que la tension nerveuse retomba un peu, puis glissa délicatement au fond de moi.
J'étais heureux qu’un homme me fasse l'amour, moi, qui la veille encore, aurais juré mes grands Dieux, que j'étais un pur hétérosexuel !
- Tu aimes ?
- Oui ! C'est trop bon.
Répondis-je dans un souffle, mû par une sorte d’automatisme, sans frein à ma sincérité.
Il commença alors à accélérer le rythme, lentement, puis de plus en plus fort. Il allait de plus en plus vite dans mes reins et mon corps n'était plus qu'une machine à Plaisir.
J'avais des ondes de bonheur qui traversaient tout mon être. Je ne sus pas combien de temps dura ce coït. Cette pénétration ne me parut pas trop longue, mais, à un moment, et alors que ces deux mains jouaient de ma poitrine, que ses doigts pinçaient mes tétons, dans un grand cri, il jouit en moi. J'avais le sperme d'un homme dans mon corps ! quelle idée ! quelle sensation !
Nous sommes restés comme ça, son sexe planté en moi, qui débandait tout doucement.
Je sentais le souffle de Richard dans mon cou.
Il me fit encore quelques bisous dans le cou, puis m’avoua, d’une petite voix :
- J'ai joui comme je n'avais jamais joui auparavant.
- moi aussi, j’ai joui…
- Je suis désolé, mais je crois que je suis tombé amoureux de toi !
Nous étions entre vie et mort, entre Vénus et Mars, partout, ici et là, dans un état semi-comateux, dans un voyage au pays des plaisirs, quand son sexe ressorti totalement de mon cul. Je rêvai presque éveillé, que nos mères se gouinaient joyeusement, alors que nous étions à côté, en train de nous enculer à qui mieux mieux.
Il me demanda d’une voix encore plus douce :
- Ça va ? Je ne t'ai pas fait mal ?
- Oh que non ! au contraire, j'ai eu un plaisir infini ! C'est même encore mieux que quand je fais l'amour avec ma mère.
- Toi aussi ! Mais moi aussi…
Théorème de l'inceste :
Pour tout fils de pute, dégoûté des frasques de sa mère et fatigué de la baiser, il existe un risque, non négligeable, de devenir un enculé.
Commentaires
Enregistrer un commentaire