Théo-rème de l’inceste Chapitre 45 : Le pot aux roses
Le vendredi soir, n’ayant rien d’autre d’intéressant à faire, j’accompagnai mon pote à l’Obligatoire. Sur la banquette arrière, la vielle, pas bourrée pour une fois, tremblait. Elle avait bien essayé de m’amignonner, de m’aguicher même, puis de me supplier pour éviter d’aller au bordel, mais rien n’y fit.
Je l’avais même préparé, alors qu’elle ne cessait de pleurnicher, d’une jupe assez courte bleue, du chemisier le plus transparent que je trouvai dans ses fringues, de bas bleus aussi. Rien d’autre. Elle aurait assez de son imper pour aller dehors.
Dès que nous fûmes entrés dans l’établissement, Rachid prit notre blonde en main et l’emmena s’asseoir au fond de la grande salle du rez-de-chaussée.
Alors que s’installait notre pétasse blonde, la jolie Sofia vint vers nous et nous proposa de nous installer à une table, dans un coin encore assez près du bar, pour pouvoir tout observer. Mais suffisamment reculé pour être discrets.
J'observais les clients, quand mon regard s'arrêta sur un type, plus tout jeune, un peu rond. Avec une barbe qui semblait étrange, des mouches assorties, mais les cheveux ne me paraissaient pas être en accord, avec le reste du système pileux. De plus, son visage me disait vaguement quelque chose, mais je n'arrivais pas à savoir quoi au juste.
Nous étions devant nos bières, à discuter de business. Mon pote me disait qu'il allait bientôt pouvoir me livrer bien plus de barrettes qu’à cette époque et que je pourrai alors faire de la caillasse à outrance. Bien que la discussion fut très intéressante et très prometteuse, je gardai un œil sur ma mère. Un peu plus tard, je la vis danser avec un client, qui la pelotait.
Rachid vint nous voir pour prendre un petit peu les nouvelles. Kader lui raconta notre promenade, dans la vieille ville. Les délires de la fumette dans la chatte de la pute. Ainsi que la sortie au restaurant avec la gratuité du repas, grâce au cul de la blonde.
Rachid se marrait et en me regardant, il me dit :
- Ta mère, c'est vraiment la reine des putes ! Elle est vraiment faite pour le cul... Si j'avais eu une mère aussi salope et aussi incestueuse, je ne sais pas si je serais devenu maquereau, finalement !
Très fier de son nouveau portable, Kader fit voir les vidéos de la pute se faisant baiser, la gueule dans le coffre de sa bagnole.
Là encore, ce bon Rachid se marra un bon coup.
J'étais intrigué par le barbu et je n'arrivai toujours pas à me souvenir où j’avais pu voir son visage.
Il s'était installé au fond de la salle, avec un cocktail et suivait toute l'activité de ma vieille sans s'occuper aucunement des deux autres putains.
Ma vieille fit un peu d'exhibition, elle se fit peloter outrageusement sur la piste. Elle monta une bonne quinzaine de fois avec des clients. Et le type, lui, ne bougeait pas. Tout au plus, de temps en temps, il se levait, venait au bar commander un nouveau cocktail et retournait à son poste d'observation.
Après avoir reçu un coup de fil, mon pote m’annonça qu'il était obligé de se rendre chez son fournisseur, pour un souci que je ne compris pas vraiment. Il me dit :
- Au pire, tu prends un taxi pour rentrer. Tu auras suffisamment de pognon pour le payer, c'est pas un problème. Je vais dire à Rachid qu'il te file notre fric, à la fin de la nuit.
Ma vioque s’envoyait les verres de champagne-orange, la boisson des entraîneuses, qui saoulait bien moins que des cocktails classiques. Et encore, je pense qu’elle était freinée par son boss, pour éviter qu’elle ne partit en live. Elle dansait régulièrement sir la piste, souvent seule, parfois accompagnée d’un client, se faisait peloter sur les fauteuils, montait aussi régulièrement dans les chambres.
Le barbu semblait tout suivre et tout noter, au moins mentalement, mais précisément.
Vers trois heures du matin, environs, le bordel étant presque vide, Rachid sonna la cloche, pour dire que l'établissement allait fermer.
Je vis le barbu se rapprocher du bar et visiblement, il attendait impatiemment ma vieille.
je restai, pour ma part, assis à la table, le plus discret possible, à observer son stratagème.
Quand ma mère apparut dans la salle, près de la piste de danse, elle roula une dernière pelle à son client, puis vint au bar, espérant sûrement avoir encore un verre.
Là, le type s'adressa à elle.
- Béatrice, viens, je vais te ramener... C'est moi, c'est Jacques... Tu me connais, je suis ton chef.
Ma vieille avait du mal à percuter.
Moi, je me levai et allai rejoindre Rachid, qui me remit un peu moins de deux mille euros, fruit de la moitié des passes de ma pute de mère. Je prenais l’oseille, puis, comprenant que ma vieille allait se faire ramener par le barbu, je demandai au patron des lieux de me commander un taxi.
Très gentiment, alors qu’il avait compris ce que le barbu s’apprêtait à faire avec ma vieille, qui elle ne me voyait plus, il me dit :
- Attends, je vais te ramener.
Quelques minutes plus tard, je me retrouvai devant la maison, je rentrai et allai directement dans le salon. J’allumai la télé et attendais le retour de ma vieille.
Moins d'une demi-heure plus tard, j'entendis une voiture s'arrêter devant la maison et bientôt la porte s'ouvrit.
J'attendis que ma vieille pute de mère arrive dans le salon. Et là, alors qu’elle tenait le barbu par la main, je lui demandai :
- Tu ramènes du boulot à la maison, maintenant ?
La blonde commença à balbutier une remarque désagréable, mais je n'en tins pas compte et m’adressai à l’homme :
- Il n'y a aucun souci, ma mère est une pute. Je suis un fils de pute et les clients sont les bienvenus.
Je me levai du sofa, pris Béatrice dans mes bras, lui ouvris la fermeture Éclair de sa jupe qui glissa au sol. Puis, d’une main sûre, je dégrafai son chemisier.
Le type commençait à se demander dans quel monde il était tombé.
Une fois ma mère à poil, à part ses bas et ses escarpins, je poursuivais :
- Au bordel, c'est deux cents balles la passe, mais ici, pour cent balles, tu peux finir la nuit avec elle, si tu veux.
Visiblement, le mec était très excité. Il fouilla dans ses poches, sortit son porte-monnaie et me tendit rapidement deux billets de cinquante.
Je lui indiquai alors où était la chambre et je vis, ce couple improbable, se rendre dans la chambre et fermer la porte.
Je n'arrivai absolument pas à dormir. Je fumai deux ou trois pétards dans le sofa en regardant machinalement la télévision. Je m’étais demandé si cette insomnie n’était pas due au shit, aurait-il été coupé à la coke ou un autre excitant ? Ce fut sur le coup de huit heures du matin que j’entendis la porte de la chambre s'ouvrir et le client sortir.
Il passa par les toilettes puis se rendit dans la cuisine. Là, il semblait chercher quelque chose.
Je me rendis dans la cuisine et lui demandai :
- Alors, c'est une affaire, non ? Ça vaut les cent balles, non ?
Le mec balbutia une sorte de oui et s’assit rapidement. Il me demanda s’il pouvait avoir un café.
Je lui répondis que oui et lui fis rapidement un expresso.
Ma vieille arriva après, toujours avec ses bas, ses escarpins aux pieds, mais emmitouflée dans son peignoir. Et, alors qu'elle voulait faire un tendre baiser à son client. Je l'attrapai par la nuque et la pencha en avant vers moi.
J’ouvris ma braguette et lui ordonnai :
- Suce-moi la bite, vieille pute.
J'ai cru que le mec allait s'étouffer quand il entendit mes paroles.
Et ma mère, toujours aussi docile, me fit une pipe jusqu'à ce que je me vidasse dans sa bouche. Pour bien appuyer encore, je poursuivis :
- Je vais te faire un café noir, tu as déjà le lait dans la gueule.
Le lundi matin, me doutant bien que son chef de service lui demanderait des comptes, j’entrai dans la chambre maternelle quand ma vieille s’habillait, et là lui imposai sa tenue. Son tailleur de parfaite petite secrétaire, des bas noirs, un chemisier dont je voulais qu’elle laisse les trois derniers boutons ouverts, ni culotte ni soutien-gorge.
Bien sûr, elle râla, fit ma gueule, protesta, me supplia, mais toujours aussi docile, finit par partir bosser comme je l’avais décidé.
Ma vieille arriva au bureau comme à son habitude, tirait à quatre épingles, du moins en apparence, et se mit à son travail.
Vers neuf heures, son téléphone sonna, c'était son chef.
- Viens me voir, s'il te plaît.
Très angoissée, mais en bonne secrétaire, elle se rendit à la convocation. Quand elle entra dans le bureau, Jacques lui dit d’une voix forte qui n’annonçait pas de bons moments à venir :
- Ferme la porte derrière toi et verrouille à clé, s'il te plaît.
Il l’inspecta visuellement de haut en bas et de bas en haut.
Elle avait la désagréable sensation que ce regard inquisiteur la déshabillait, et que son supérieur savait déjà qu’elle était nue sous son apparence de parfaite secrétaire, prête aux servitudes sexuelles.
Jacques lui dit alors :
- On ne va pas se cacher la vérité, j'ai vu et compris que tu te prostituais. Mais, si moi, j’ai pu le découvrir, je crains fort, que d'autres le puissent aussi. Or, je ne vois pas une prostituée, travailler comme secrétaire, dans notre bonne entreprise.
Béatrice enfouit son visage dans ses mains et se mit à pleurer.
Jacques se leva, fit le tour de son bureau, vint près de la femme blonde, passa la main sous sa jupe et se rendit compte qu'elle ne portait pas de culotte. Puis, à travers le chemisier, il découvrit qu’elle n’avait pas, non plus, de soutien-gorge. Il ordonna alors :
- Bon, en attendant, tu vas me faire une bonne pipe et après, je te la mettrais dans le cul. Tant que tu bosseras ici, tu seras ma pute. C'est ce dont tu as besoin, non ?
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