Théo-rème de l’inceste Chapitre 44 : Dîner en ville
Quand ma mère rentra du boulot, ce jeudi soir, je l'interpellai et lui dis :
- Va t'habiller, ce soir, nous dînons en ville.
Elle me regarda avec les yeux pleins d'amour et me répondit :
- Tous les deux ? En amoureux ?
- Non, tous les trois ! Mais en amoureux tout de même.
Une fois de plus, ma vieille fit la moue.
Mais ça, j'avais l'habitude. J’allai donc dans la chambre avec elle, choisis une robe à bretelles verte avec des boutons, du nombril jusqu’au décolleté, des bas blancs, pour changer. Mais sans soutien-gorge. Puis, je l’envoyai prendre un bain et se maquiller. Je la voulais très maquillée, presque comme une voiture volée, qu’elle fasse bien pute en fait.
- Tu m’appelles quand tu te maquilles.
Je retournai dans mon antre pour passer mon temps sur ma console de jeux, quand je l’entendis m’appeler. En entrant, je la vis déjà fardée.
- Je veux plus de rouge à lèvres et bien plus de bleu sur les paupières.
- Mais ! Je suis bien comme ça !
- Tu veux me faire plaisir ?
- Oui mais…
- Stop, là, tu me contraries, fais ce que je te dis, c'est tout.
J’étais installé dans le canapé quand elle arriva. Cette fois, son maquillage correspondait bien plus à mon attente, il serait toujours temps, une fois en ville, de l’alourdir encore.
- Allez, en attendant Kader, tu as droit à un pastis.
Et, bien entendu, elle en prit quatre.
Un peu avant vingt heures, mon pote arriva avec sa grosse berline allemande. Comme habituellement, il rentra directement, puisque de toute façon, il avait les clés et que ma mère lui appartenait, au moins en partie, aussi.
Nous repartîmes tous les trois. Nous nous garâmes tout près des Halles et primes un ensemble de petites rues pour nous amener jusqu’à la place Plumereau.
Mon pote et moi avions choisi un restaurant qui semblait sympa, quoiqu'il soit un peu bondé. On s’installa à l’intérieur, en terrasse, il n’y avait déjà plus de place. Nous étions à côté de l’escalier qui donnait au sous-sol, là où se trouvaient les toilettes.
Bien évidemment, nous prîmes l’apéritif, des cocktails. Le premier pour nous, le cinquième pour ma vieille. Et elle commençait déjà à avoir le verbe haut. Et, bien sûr, j’en commandais un autre pour elle.
Après de succulentes entrées, la réputation de l’établissement n’étant plus à faire, je demandai à ma salope de mère :
- Approche-toi de moi, que je te donne un peu d’air.
Avec ses grands yeux ronds de celle qui n’a rien compris, elle se pencha vers moi.
Là, d’un geste sûr, j’ouvris les boutons de sa robe jusqu’à sous les tétons. Les seins étaient encore masqués en partie, mais bien visible pour celui qui y portait attention.
Je fis un clin d’œil à mon complice, qui se pencha à son tour, tira un peu sur le tissu pour voir les mamelles tombantes.
- Quel beau spectacle, très bien, ma pute, j’aime quand tu ne portes pas de soutien-gorge !
La blonde eut un rire nerveux, mais elle était très excitée à l’idée qu’on puisse la voir.
Le serveur arriva pour débarrasser les assiettes de l’entrée, et ne perdit pas de vue les vieux nichons, que ma salope laissait voir, à qui le voulait.
- C'est bien, ma pute, tu montres la marchandise, c'est bon pour le business.
- Ouais, bébé, tes nichons et ton cul sont plus connus que ta gueule, je crois bien.
La blonde mûre, insensible à l’injure, recommença à avoir son petit rire de pochetronne.
- Oui, c'est vrai ! Tiens, regarde hier soir par exemple.
Sur ce, Kader sortit son nouveau téléphone, et mis une des vidéos faites la veille sur le parking de la bibliothèque. Il montra l’écran à la vioque, qui ne s’émut pas plus que ça. Ce salaud avait laissé le son, et on entendait encore assez facilement, autour de nous, les cris de la femme qui jouissait et les noms d’oiseaux que son baiseur du moment lui attribuait.
Quelques clients se retournèrent et nous regardèrent avec un air dédaigneux.
Le serveur revint pour nous apporter les plats de résistances, servis à l’assiette, chauds, avec toujours ses yeux sur les nibards de ma vieille.
Kader, qui avait aussi remarqué, me dit, d’un air vicelard :
- J’ai envie d’aller tirer notre salope dans les chiottes…
Le serveur entendait tout, et il eut une réaction étrange, il fut aussi très déconcerté d’entendre de tels propos. Et il rougit quand mon pote lui fit un clin d’œil en se levant de table et en prenant la vioque par la main.
- Allez, trou normand… Dans ton cul...
Nouveau rire de la pétasse.
Je restais assis, à tendre l’oreille, pour essayer d’entendre ma salope de mère prendre son pied. Je vis le serveur passer et se diriger vers les toilettes, en empruntant l’escalier. Il semblait bien pressé. Il me parut entendre des cris étouffés, mais rien de vraiment probant, et bientôt, je vis mon pote remonter, la blonde passablement décoiffée, son rouge à lèvres lui barbouillait le tour de la bouche.
- Voilà, ma pute m’a épongé gentiment, pendant que ce coquin de serveur lui faisait le cul.
- T’es une bonne fille, bébé.
Le serveur revint pour débarrasser les assiettes du plat de résistance, il affichait maintenant un grand sourire, et se permit même de peloter les vieilles mamelles, discrètement bien entendu.
Nous recommencions à discuter entre nous, laissant ma mère un peu en dehors. Quand, un grand type, plutôt bien habillé, souriant, dans la bonne cinquantaine, se pointa et salua la vieille.
- Bonjour, Béatrice, tu es de sortie avec les enfants ce soir ?
La pauvre vieille, déjà bien attaquée par l’alcool, regarda bêtement l’homme et ne sembla pas le reconnaître.
Voyant son manque de réaction, et comprenant tout de suite que c’était un collègue, je me permis d’intervenir :
- Désolé, Monsieur, elle est encore dans les vapes, suite à la partouze de cet après-midi, elle a dû forcer un peu sur la coke.
L’homme ouvrit des yeux grands comme des quilles, puis balbutia :
- Et vous êtes qui ?
- Moi, je suis son fils, et mon pote est son jeune amant, enfin… Un de ses amants.
- Heuuuu… L’homme ne savait plus que dire, ni quelle attitude adoptée.
- Passez la voir demain soir, à l’Obligatoire, il y fait des extras les vendredis soir.
- Heuuu… D’accord… Bonne soirée en attendant.
Et l’homme disparu aussi vite qu’il était venu.
Béatrice ne réagissait toujours pas. D’ailleurs, elle ne toucha pas à son dessert, que nous partageâmes avec Kader. puis, pour la remercier de nous avoir invités, je commandai encore un digestif, je choisis un vieux rhum.
Quand le serveur apporta le verre à liqueur, je lui demandais discrètement :
- Elle est bonne notre salope ?
- Ho que oui !
- Et tu en as parlé à ton patron ?
- Ho non !
- Si tu veux, je te la prête, tu la présentes à ton boss, tu lui dis qu’il peut la sauter, et nous faire le repas gratos, par exemple.
- Je n’oserai jamais !
- OK, alors appelle-le et dis-lui que nous avons un souci pour payer.
- D’accord, mais ne dites pas…
- Non ! t’inquiète.
Très peu de temps après, arriva un bon gros bonhomme, plutôt jovial, qui vient se pencher sur la table et nous demanda :
- Vous avez un souci ?
- Ouais, ma salope a encore oublié le fric à la maison, elle est un peu bourrée, mais c'est une vraie bombe au cul, peut-elle payer en nature ?
Le patron regarda attentivement la blonde, ses mamelles presque dehors, sa gueule de truie en chaleur.
Moi, j’en profitai pour retrousser la robe, qu’il puisse voir qu’elle portait des bas.
Cela finit par le convaincre, et il dit :
- Qu’elle me rejoigne au sous-sol.
Il descendit directement en empruntant l’escalier.
J’aidai ma génitrice à se relever et la fis descendre, en la tenant par la main, au sous-sol. Là, je confiais sa main au bonhomme en ajoutant :
- Allez-y directement, cette salope ne refuse rien, au contraire, plus c'est salace, plus elle aime.
Je me sentais pousser des ailes, cette fois, ce n’était pas Kader ou une de ses connaissances qui prostituait ma salope de mère, c’était directement moi qui la prostituai, pour un bon repas, sûrement plus de cent euros. J’étais vraiment fier de moi. Je m’en ouvris à mon ami.
Pendant que nous discutions, le serveur vint nous apporter deux verres de vieux rhum.
- Offert par la maison.
- Merci !
Nous continuâmes à discuter, tout en sirotant nos verres. L’attente ne fut pas très longue, un gros quart d’heure, quand nous vîmes la salope blonde réapparaître dans l’escalier, suivie de près du boss de l’établissement.
- C'est bon, madame a réglé la note. Merci de votre visite et revenez quand vous voulez, tant que madame réglera de cette façon-là, vous serez toujours les bienvenus.
- Merci, bonne soirée.
Kader se leva et me dit que sa pute l’avait encore excité, et qu’il était impatient d’être dehors. Il prit ma vieille par la main, et l’emmena vers la sortie.
Je les regardai marcher pendant un instant. Un filet, couleur marron très clair, coulait le long de ses bas, derrière ses jambes, à n’en pas douter, elle venait encore d’en prendre, un bon coup, dans le fion. Puis, je me levai et allai les rejoindre dans la rue.
Mon pote marcha assez vite, tout en soutenant sa pute, visiblement, le repas l’avait mis en rut, à moins que ce ne fut le vieux rhum. Après la rue du grand marché, il prit la rue du serpent volant qui donnait sur une petite place nommée jardin du vert galant, longée par la rue de la cuiller. Là, il ouvrit sa braguette, baissa un peu son jean et s’assit sur le bord d’un grand bac à fleurs, en béton ou en pierres reconstituées. Il obligea la blonde à s’accroupir devant lui.
- Suce, ma pute, suce-moi, que je bande bien pour te ramoner la turbine à chocolat.
Je restai debout à mater ma vieille en train de piper mon pote, j’avais déjà souvent vu la scène, mais j’aimai bien. De plus, si l’acte était connu, le lieu l’était moins. Voir ma vieille, ici, me fit bander.
Après quelques minutes, Kader releva sa pute, finit de lui dégrafer les boutons de la robe, et, les seins à l’air, les bretelles du vêtement sur les bras, il l’allongea à plat ventre dans la terre du bac. Il prit sa pine, qui avait une belle dimension, à la main, remonta la robe, plaça son gland contre l’œil de bronze et annonça fièrement :
- Ta récompense ma chérie, merci pour ce resto !
Il lima (mais en France, pas au Pérou) assez peu de temps, puis déchargea dans les intestins chauds.
- Putain ! Elle est large ce soir, elle a dû prendre gros tout à l'heure !
- Fais passer… Faut aussi que je la remercie !
Et, comme si c’était un vulgaire joint, mon pote me laissa la place. J’enculai directement la vioque, tant cette soirée m’avait donné envie de son vieux pot. Il était vrai qu’elle avait l’élastique détendu, son anus était tout poisseux, son rectum englué, et ça glissait sans aucune résistance. Juste avant de jouir, j’attrapai les cheveux blonds, tirai ma mère en arrière, la retournai et lui collai ma bite gluante dans la bouche.
La vieille avait les yeux révulsés, mais, sûrement mû par un réflexe de salope, me suça la pine jusqu’à ce que je décharge.
Après quelques secondes pour reprendre mon souffle, je relevai notre morue, et constatai qu’elle avait les nichons tout poussiéreux.
- C'est vraiment une vieille radasse, elle est pleine de poussière !
- Ha ouais ! C'est comme les vieux objets… Une vieille boîte à bites.
Petite crise de rire nerveux, puis nous retournâmes sur nos pas, prîmes la rue des balais pour retomber à deux pas du parking par la rue de la grosse tour. Le court trajet se fit en soutenant la pochetronne qui avait les seins totalement hors de sa robe.
- Mais ! j’ai les seins nus !
- Ouais, pareille qu’à la plage !
- Ouais et elle aime montrer ses mamelles à la plage…
- Super, alors dis-toi que ce sont les vacances.
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