Théo-rème de l’inceste Chapitre 43 : Promenade du soir
Mercredi soir, en rentrant, je trouvai ma vieille encore imbibée. Je l’engueulai, la traitai de pochetronne, puis sortis appeler mon pote.
- Fait chier ! Elle a encore picolé, cette outre à pastis.
- Quelle connasse !
- Ouais, faut lui trouver une nouvelle punition.
- T’as raison man, et si on allait se promener dans le vieux Tours ?
- Ha ouais ! Je te vois venir…
Je rentrai dans la maison, allai dans la cuisine, et, je ne pourrai dire pourquoi, pris le minuteur en forme d’œuf, dans ma poche.
Kader arriva peu de temps après, entra directement, puisque ma maison était presque devenue la sienne aussi, et se rendit directement devant le canapé. Là, en toisant ma vioque, il se pencha et lui colla une grande claque.
- Encore bourrée salope ! On va te faire prendre l’air.
Là-dessus, sans ménagement, il prit le bras de ma vieille et l’emmena dans la chambre.
- À poil, vieille pute.
Et pendant que la blonde se déshabillait et retirait son espèce de jogging d’intérieur, lui fouillait dans l’armoire et se saisit d’une robe rouge à bretelles.
- Enfile ça.
Puis il m’appela pendant que la femme passait, non sans mal, la robe par le haut.
Nous prîmes ma mère par les bras et l’emmenèrent dans la voiture.
Arrivant dans le vieux Tours, Kader trouva une place rue des tanneurs. J’aidai mon pote à sortir notre poivrote de sa caisse. En remontant la rue de la paix, nous nous rendîmes place Plumereau, en terrasse. Pour boire un verre, quand bien même ma vieille n’en avait plus besoin, mais finalement, relancer la chaudière me paru une bonne idée.
Après cette courte pause, mon pote me fit signe d’y aller, il devait avoir une idée en tête.
Une fois debout, je pris ma mère par le bras droit, alors que Kader prenait le gauche. Puis, l’aidant à marcher, nous fîmes le tour de la place et, empruntant le petit passage, nous allâmes dans le jardin Saint-Pierre le Puellier. Là, nous nous sommes assis sur un banc.
Ma reume semblait déjà être dans un autre monde, elle avait ses yeux ronds, grand ouverts, la langue qui collait au palais quand elle bredouillait quelques mots mal articulés.
Personne, nous étions tranquilles, je sortis, de ma poche, le minuteur que j'avais pris à la maison et en informai Kader.
Il dut me comprendre au quart de tour, car il sortit, de son côté, une capote et déchira l'enveloppe. Il écarta un peu la capote et j'y glissai l'œuf.
Ma mère ne comprenait pas ce qui se passait, nous regardait faire, avec son air stupide.
Je l’aidais alors à s’allonger sur le dos, puis lui écartai les jambes en relevant les pans de sa robe rouge. Et alors que Kader se jette sur elle et lui roula une grosse pelle baveuse, je lui écartai les lèvres et lui collai le minuteur dans la chatte.
- On va marcher de nouveau un peu, tu me diras quelles sont les sensations que tu as en marchant.
Au milieu du jardin, se trouve un espace, assez profond, des fouilles archéologiques. On peut facilement y voir les traces des murs, mais aussi un four toujours en place. Nous avons fait le tour, toujours en tenant la blonde qui avait, visiblement, de plus en plus de mal à marcher. Le dernier verre semblait avoir bien terminé sa soûlographie.
- Alors, que ressens-tu ?
- Du plaisir à marcher ! Au début, ça fait comme une gêne, après, c'est très agréable.
La voix était étrange, comme si elle avait maintenant, du coton dans la bouche.
Nous continuâmes notre fameuse promenade, lente, vers la toute petite place de la lamproie. Là, il y avait trois lascars qui avaient installé un banc de fortune, à l'abri de l'arbre qui trône au milieu de la place, caché de la rue de la lamproie par un arbuste, plutôt bien touffu.
Kader reconnut un des gars et décida d'aller le saluer. Les présentations se firent rapidement, mon ami me présenta comme son grand pote et complice. Puis, il présenta ma mère comme sa pute.
Les mecs se marrèrent. Visiblement, ils avaient déjà beaucoup fumé et continuaient à passer la soirée à se défoncer.
Je fis asseoir ma vieille sur le banc, puis je l'allongeai et lui écartai les cuisses pour montrer aux trois gaillards, ce qu’elle avait dans la chatte, en ressortant la capote et le minuteur.
À ce moment, Kader eut une idée en voyant un des mecs rouler un pétard. Il attendit que le mec l’allume et le fasse bien prendre, puis lui dit :
- Attends, si tu veux bien, je te file un beau morceau de bon shit… Mais passe-moi ton pétard, on va faire un essai.
À ce moment-là, il s'assit entre les cuisses de ma vieille, lui écarta la vulve, planta le joint, côté filtre, dans sa chatte et ordonna à ma pauvre connasse de mère.
- Fais le vide dans ta chatte... Comprime ton vagin.
Toujours obéissante, ma vieille fit quelques efforts, jusqu'au moment, ayant fait le vide, sa chatte sembla tirer sur le pétard.
Il retira le joint d’entre les lèvres, et exigea encore :
- Lâche-toi.
Cette fois, la fumée ressortit d’entre les lèvres de la blonde.
Kader replanta le joint dans la vieille moule et intima l’ordre de recommencer.
Quand elle contracta les muscles de son vagin, le bout devint rougeoyant, signe que la fumée entrait dans le sexe de la femme. Et quand elle se relâcha, toujours sur ordre et après que son mac ait retiré le pétard, la fumée ressortit, à nouveau, par les lèvres.
Les trois mecs se fendirent de la gueule.
Alors, Kader replanta à nouveau le pétard dans la chatte. Il redemanda une fois de plus à daronne de faire le vide dans sa moule. Et, une fois fait, il ressortit le bout du joint et dit au lascar qu’il connaissait :
- Viens fumer...
Le mec se pencha sur le sexe féminin, plaqua sa bouche contre la vulve et quand ma mère relâcha les muscles de son vagin, le mec tira une taf, légère, mais une taf de la chatte d’une vieille impudique.
Le jeu amusa tout le monde, les deux autres types voulurent aussi goûter à ce nouveau shilom, enfin cette nouvelle méthode pour se défoncer.
Et c'est comme ça, que ma mère fuma tout un pétard, par la chatte ! Et à chaque fois, la fumée n'était pas perdue, puisqu’un des trois types venait plaquer sa bouche sur la vulve et aspirait, en même temps, qu'elle relâchait ses muscles.
Après cette petite fumette vicieuse et incongrue, et alors que les muqueuses de ma mère étaient anesthésiées, par le shit, le plus grand des trois lascars me demanda, s'il pouvait sauter la salope.
Ce que bien sûr, j'acceptai instantanément.
Il s'assit à califourchon sur le banc, après avoir ouvert sa braguette et fit venir à lui ma mère, en l’attrapant par les cuisses et en la tirant de ses bras musclés. Bien que passablement défoncé, il bandait copieusement et défonça ma mère qui ne mit pas longtemps à gémir, pour finir par crier.
Voyons ça, Kader dit alors :
- Une seule bite pour cette grosse salope, ça ne va jamais suffire !
Et ouvrit sa braguette et sortit son zob. Il passa derrière la blonde à son tour, à califourchon sur le banc. Une fois en place, il sodomisa ma mère en même temps qu'elle se faisait baiser, par un inconnu, sur un banc, dans notre bonne ville de Tours.
Ma vioque se mit à gueuler, criant son plaisir quelques instants, puis tomba en avant pour rouler une pelle à son baiseur du moment. Ce n’était pas une très bonne idée, vu que la bouche du mec était tapissée par la fumée de shit, ce qui aggrava, encore un peu plus, l’état délabré de ma reume.
Nous étions en extérieur, et j’eus peur que des voisins se plaignent et appellent les flics. Mais les riverains, tellement habitués aux frasques de l’endroit, ne se manifestèrent jamais.
Les deux autres lascars, sûrement plus timide, n'était pas tout à fait à l'aise. Fumer dans la rue, ne posait pas de problème, mais risquer de se faire gauler par les keufs, à violer une nana, là, ils n’étaient pas très chauds. Aussi, quand le grand type eut fini, les trois racailles décidèrent de lever le camp et d'aller voir plus loin s'ils y étaient.
Nous, de notre côté, nous décidâmes de retourner à la voiture. À nouveau, chacun d'un côté de la blonde, lui soutenant le bras, nous la traînâmes.
Alors qu'elle avait de plus en plus de mal à marcher, que sa voix était encore plus déformée qu’après le pot que nous avions pris. Ma mère se mit à balbutier qu’elle nous aimait, qu’elle était folle, mais folle d’amour pour nous.
Nous prîmes les petites ruelles. Ça nous demandait tout de même un effort conséquent, que de soutenir cette vieille pochtronne. Aussi, à un moment, nous trouvâmes une toute petite place, sur la droite et décidâmes d'aller nous asseoir, pour une petite pause.
C'était très bizarre, j’avais une drôle d'impression, comme si quelqu'un m’observait. Il y avait un bosquet, très touffu, très dense, à côté du banc.
Quelques secondes plus tard, trois ou quatre jeunes, plutôt adolescents, sortirent et vinrent nous demander ce qu'on faisait là. Une fois de plus, je ne perdis pas le nord.
- Ma meuf est une vieille salope, qui est trop souvent bourrée… J'en ai marre, quelqu'un a envie de la baiser ?
Celui qui paraissait le plus vieux des quatre, bien qu’encore adolescent, et donc mineur, répondit :
- Oui, moi, je me tirerais bien cette vieille peau. Mais pas sur le banc ! elle est à la vue tout le monde… Je peux l'emmener avec moi, sous les arbres ?
Avec mon pote, nous prîmes ma vieille sous les bras et l'emmenâmes sous les arbres. Là, je dis à Kader :
- Voilà, on va la mettre à quatre pattes.
Ma vieille avait ce petit rire nerveux qu’elle avait souvent quand elle était bourrée et excitée. Elle demanda, toujours avec cette voix étrange :
- On va encore faire des grosses cochonneries ?
Puis, nouveau rire nerveux et obscène.
Quand la blonde fut à quatre pattes sur le gazon raz, je lui remontai sa robe bien haut et lui écartai les fesses.
Mon pote proposa au jeune :
- Vas-y, profite, man… Tu as déjà enculé une meuf ? Regarde, mon pote lui ouvre les miches, tu n’as plus qu’à lui planer ton dard dans la rondelle.
Je rajoutai, d’un ton sarcastique :
- Ouais, c'est de la vieille morue, ça prend dans tous les trous.
Le jeune baissa son froc à mi-cuisses, son slip et prit sa bite, déjà en érection, en main. Il l'introduisit directement dans l'anus de ma mère, qui ne mit pas longtemps à ahaner de plaisir.
Mon pote roula un bedau, un gros, avec de grandes feuilles, et mit plus de son shit coupé à l’opium que de tabac. Il fit fumer les trois ados qui regardaient, les yeux exorbités, leur pote enculer une mémé. Très vite, les gosses devinrent fous de stupre, excités comme jamais, et se sentaient pousser des ailes. Ils tripotaient à outrance cette vieille peau, le genre qu’ils voyaient dans les films de cul sur le net.
Je fis un clin d’œil à mon ami et je ressortis du couvert en disant :
- Quand vous aurez fini de vous éclater avec ça, appelez-nous, qu’on la range.
J’entendais ma vioque gémir, râler, visiblement, c’était la fête pour ses orifices à bites.
Les ados giclèrent dans tous les trous, le côté pornographique de la situation, allié à la force du shit et aux effets terribles de l’opium, les rendirent comme fous. Ils tripotèrent, mirent leurs doigts vicieux partout, ne laissant aucun répit à la pauvre femme qui subissait alors les assauts comme rarement, elle avait subi.
En attendant, Kader roula un autre pétard, mais bien moins chargé, juste de quoi se détendre, et avec un shit bien moins agressif.
Une petite demi-heure plus tard, les gamins sortir du Bosquet. Le plus âgé vint nous dire :
- Ça y est ! On n’en peut plus ! Cette vieille peau accepte tout, c'est de la folie, mais là, on ne tient plus debout.
Nous retournâmes dans le bosquet, à nouveau, chacun prit un bras de la blonde, et, une fois qu’elle fut débout, ce qui n’alla pas tout seul, nous reprîmes le chemin de la voiture.
En arrivant près du parking, là où la lumière était plus forte et qu’on voyait enfin tous les détails. je m’aperçus que ma connasse de mère coulait des ouvertures. Elle avait des traînées sur ses jambes, et sa robe était tachée partout.
Mon pote ouvrit la portière arrière et nous jetâmes ma vieille pochetronne en travers de la banquette. Une fois dans la voiture, nous repartîmes, direction la maison. Puis, d’un coup, Kader me dit :
- Au fait, il y a un truc qu'on n’a encore pas fait avec elle... Il y a le parking des bords de Loire ou les gays se donnent rendez-vous. Ça ne te ferait pas marrer, de voir ta vieille se faire enculer par des pédés ?
- T’es sacrément barré ! Mais oui, allons-y !
Très vite, nous nous retrouvâmes sur le parking du bord de la Loire, juste sous la bibliothèque municipale.
Là, j’ordonnai à ma daronne de sortir de la voiture et je l’aidai, car visiblement, elle avait bien du mal à se mettre debout.
Puis, alors que Kader avait ouvert le coffre, je plaçai ma vieille, la tête dans le coffre, le cul devant, jambes bien écartées, les mains tenant le rebord. Je relevai la jupe jusqu’aux épaules, permettant ainsi de voir ses vieilles mamelles.
- Ce qui est con, c'est que demain, elle ne se rappellera rien !
- Tu as raison, il faut immortaliser ces moments…
Aussitôt, Kader sortit son téléphone portable, il venait de s’acheter le dernier-née, et avait une caméra qui semblait enfin digne de ce nom. Il commença à filmer la blonde mature dans sa position d’attente. Puis, il stoppa l’enregistrement en me disant :
- On va attendre qu’elle se fasse sauter.
Mon pote était plein de ressources, et à chaque mec qui passait, il argumentait :
- C'est notre jour de bonté, vous pouvez la baiser et l’enculer autant que vous voulez.
Ou encore.
- Salope en libre-service, profitez-en.
Dans ces lieux s'il y a effectivement des gays. Mais il y a aussi pas mal de mecs bis, voir carrément hétéros, qui ne sont là que pour se faire sucer ou pour foutre leur bite dans un trou. Car ils sont super excités. Quand ce n'est pas complètement en manque.
Aussi, ma vieille, en tant que boîte à bites et sac à foutre, avait parfaitement sa place.
Le premier mec qui osa venir la tripoter et nous demander s’il pouvait la sauter, prit ma salope de reume par la chatte. Et alors que mon ami prenait une vidéo des faits, on entendit distinctement la salope blonde réclamer d’être enculée. Ce que le mec fit, et de bon cœur encore.
Entre la voix déjantée et déformée par l’état de la blonde et la réverbération du son dans le coffre, dans le silence relatif de la nuit, ça donnait vraiment une ambiance très surprenante.
Ma connasse prit une à une, des bites dans les trous, que ce soit dans la chatte ou dans le cul, pendant que nous fumions quelques bons pétards en attendant que la fête se termine.
Kader prit aussi plusieurs petits films, histoire de donner du grain à moudre à la mémoire de ma vieille, quand elle redescendrait sur terre.
La folle partie se termina quand, alors qu’un mec venait de la faire crier, peut-être encore plus fort que les autres, elle glissa et tomba sur ses genoux derrière la berline. À ce moment, nous l’avons attrapé chacun par un bras, et reconduit sur le siège arrière de la voiture. Et nous retournâmes à la maison, sous les regards concupiscents des mecs présents.
Une fois rentré, j'allongeai ma vieille sur la table de la cuisine en marbre et je commençai à inspecter ses trous. Sa chatte était poisseuse au possible et son anus encore bien ouvert. Une espèce de pâtes marron clair, très liquide, suintait de son œil de bronze. J'interrogeais ma salope de vieille :
- Tu n'as pas pu t'empêcher de picoler ? Alors, même quand tu sors avec ton fils, il faut quand même, que tu te bourres la gueule !
Je regardais ce visage contre la table, le regard tourné vers moi, la joue collée contre le marbre froid avec les yeux ronds et mornes d'une femme bourrée qui ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
Là, Kader vint me taper sur l'épaule et me dit :
- Attends, avant de rentrer, j'ai envie de me vider les couilles là-dedans.
Il sortit son sexe, attrapa ma vieille par les cheveux, amena le visage au bord de la table et lui enfourna sa grosse queue dans la bouche. Là, il se branla jusqu'à ce qu'il déchargeât. Mais au lieu de décharger dans la bouche, il se retira et gicla sur le visage et dans les cheveux de ma connasse blonde de mère.
- Bon allez man, je rentre. Demain matin, j'ai quelques clients à voir. Je te laisse la coucher et faire ce que tu veux avec.
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