La soumission à l’état mûr : Premier client
L'apéritif se passe tranquillement et finalement, Maurice invite son voisin à déjeuner avec eux.
Et bientôt, Solange donne le signal pour passer à table. Là encore, le repas se passe tranquillement. Aussi, entre la poire et le fromage, le maître se penche légèrement vers Annie et lance à la cantonade :
- C'est dommage que tu n'aies pas de lait, sinon on aurait pris une petite poire au sirop, arrosé d'un lait de salope.
Tout le monde rigole, c'est à la bonne franquette.
À la fin du repas et alors que Solange débarrasse, Annie se propose de l'aider. Le maître s’y oppose et lui dit :
- Non, toi, tu vas venir devant moi et je vais récupérer la capote, que tu as dans le cul.
La soumise se déplace et vient se mettre à côté de la chaise du maître. Puis, elle se penche en avant, les jambes écartées, et attrape ses chevilles avec ses mains.
Le maître des lieux écarte les fesses de la main gauche et de la main droite, retire doucement la capote, plein de pièces.
- On va voir si les clients du sex-shop ont été généreux. Si tel est le cas, ça voudra dire qu’ils ont apprécié ton cul et ta chatte.
- J’ai honte de ce que vous me faites faire, Maître !
- Il est important que tout le monde puise se rendre compte que tu es une bonne soumise, jusqu’à devenir une prostituée ! Et que notre bon voisin voit également ça.
Ce dernier, regardant le maître des lieux, avec un sourire malicieux, lui dit alors :
- Elle suce divinement bien, plutôt que de récupérer quelques centimes dans une capote, elle passerait une annonce et elle ferait un peu la pute, ça lui ferait du bien et ça rapporterait davantage.
- Oh non ! S’écrit la pauvre femelle, qui n'a jamais eu envie de se prostituer, ni le besoin d'ailleurs.
- Je vais réfléchir à ton idée, il est vrai que, côté pipe, elle est championne. Et pour la baise, ce n'est pas trop compliqué de rester sur le dos !
- Oui, de plus les hommes adorent les femmes mûres.
- Tu veux dire que les mecs adorent les mémés ?
- Oui, c'est ça, c'est très à la mode, les matures.
- Ça demandera également réflexion, qu'en penses-tu Annie
- Oh non maître ! Vous n’allez pas me prostituer, tout de même ?
- Nous en reparlerons.
Sur ce le voisin enfonce encore le clou en disant :
- Les jeunes aiment les matures et alors, en plus, si ces vieilles se font enculer, ils adorent ! Franchement, j'en discute de temps en temps avec des collègues, quand on parle de prostituées, la palme revient aux vieilles enculées.
La docile femelle devient rouge jusqu'au bout des cheveux. Et, si on observe attentivement, on pourra voir chez elle un léger tremblement.
- Bien, maintenant, passons au comptage de tes gains.
Et, alors que la soumise retourne s'asseoir à sa place, l'homme passe la capote pleine de pièces, par-dessus la table, en montrant bien à son jeune voisin, le lourd objet.
- C’est une vraie bonne enculée, elle fait un bon lavement et ne mange pas jusqu'à ce qu'on se serve de son trou de balles. Regarde, la preuve, la capote est nickel.
Le jeune sourit alors que la blonde récupère le préservatif. Elle se sert de son couteau pour couper le réservoir, juste en dessous du nœud avec la ficelle. Toutes les pièces s’égaillent sur la table, devant elle.
Pendant qu'elle met les pièces de cinq centimes ensemble, les pièces de dix et de vingt, dans deux autres tas. Ensuite, elle rassemble les pièces d'un euro et deux euros, chacune dans des cas différents. Les deux hommes discutent encore :
- Et tu n'as toujours pas de copine ?
- Si, j'en trouve le samedi soir, quand je vais en boîte. Mais rien qui ne vaille que m'y attarde.
- D'accord.
- Et une femme plus sérieusement ?
- Non. J'ai bien une collègue qui me plairait beaucoup, qui semble bien cochonne, mais elle est avec un autre camarade, et je ne sais pas si ça tient entre eux ou pas.
- En tout cas, dès que tu en auras une bien cochonne, j'espère que tu nous la présenteras, des fois qu'on puisse un peu la prendre en main, pour te l'attendrir. Un petit peu comme un bon morceau de viande.
- Je n'y manquerai pas. Sois-en sûr Maurice.
Sur ces entrefaites, la maîtresse de maison revient avec les desserts, sur un plateau. Elle regarde la soumise en train de compter ses sous, pose le plateau, vient derrière la femme mature, lui attrape les tétons en les pinçant.
- Ça va t'aider à compter ! Si tu as les nichons qui te brûlent un peu.
Bien qu'elle fasse la grimace, elle apprécie d'avoir les mains chaudes de la maîtresse, sur sa poitrine. Elle aimerait bien devenir sa soumise aussi.
À peine cinq minutes plus tard, la vieille femme annonce fièrement :
- J'ai eu quarante-deux euros et cinquante-cinq centimes de gratification. C'est pas mal.
Le voisin, toujours très malicieux, la fixe dans les yeux et lui dit :
- Tu sais combien ça vaut, une pipe, par une pute, aujourd'hui ?
- Oh non monsieur, je n'ai aucune idée des tarifs des prostituées.
- Et bien, pour juste une pipe, qui ne dure pas très longtemps, c'est cinquante euros. La passe, c'est à cent et la sodomie cent cinquante à deux cents. Et encore, toutes les putes ne proposent pas la sodomie.
- Effectivement, ça laisse rêveuse. S'exclame la femme mûre.
- Oui, nous reparlerons de tout ça, à tête reposée. Pour le moment, je suis fier de toi. Tu as pris quand même beaucoup de mecs dans la chatte et dans le cul. Je ne pensais pas que tu tiendrais le choc.
- J'avoue, maître, que moi non plus, je ne pensais absolument pas pouvoir recevoir autant d'hommes, dans mon corps, en une seule journée !
- C'est parfait, la prochaine fois, nous chronométrerons et nous compterons exactement, le nombre de clients. Parce que là, certains ont mis une capote pour te baiser et, quand ils sont revenus pour t'enculer, ils ont mis un autre préservatif. Donc, les chiffres seraient faussés, si je me tenais qu'aux capotes que tu as sur ton collier.
Le collier est étrange, fait d'une vulgaire ficelle de cuisine blanche et tout autour des capotes, nouer autour de cette ficelle. Des capotes plus ou moins pleines. On voit que tout le monde n'éjacule pas la même dose. Et, si certaines sont bien lourdes, d'autres sont presque vides.
- Recule ta chaise, mets-toi en arrière, qu’on voit bien tes mamelles de vieille et qu'on voit également, les excellents desserts, que nous a concocté Solange. Annonce alors le maître des lieux.
La maîtresse de maison vient et apporte une poire Belle-Hélène avec de la chantilly et son époux prend en photo le dessert avec en fond, sa soumise, les seins à l'air.
Le jeune voisin s'adresse donc au propriétaire de la maison et il lui demande :
- Je peux utiliser, encore un peu, ta soumise, s'il te plaît ?
- Oui, j'ai envie qu’elle te suce ou même que tu la pines devant nous. En conséquence, aucun problème. Viens ici Annie.
La femme soumise se lève, son collier toujours autour du cou et vient se présenter devant le jeune homme.
Celui-ci s'empare de la bombe de Chantilly et de la crème chantilly sur les deux tétons en ajoutant :
- Te voilà décoré de l'ordre de la crème chantilly !
- Tout le monde rigole et il attrape les hanches de la femme, l’attire à lui. Là, il vient manger la chantilly sur les nichons. Il en profite pour mordre les tétons à plusieurs reprises.
La pauvre femme fait la grimace, mais ayant accepté les conditions de son maître, elle accepte également ce que lui fait endurer ce jeune salaud, qui lui plaît tant, pourtant.
Les quatre convives se régalent avec la poire Belle-Hélène maison et bientôt, on arrive à l'heure du café.
Solange se lève et demande à l'assistance :
- Tout le monde veut du café ?
- Non pas moi, répond Annie. Je vais rester sur le goût de ta délicieuse poire Belle-Hélène. Quelques minutes plus tard, la maîtresse des lieux revient avec son plateau chargé de trois cafés et du sucre.
À la fin du repas, le jeune demande :
- Au fait, ça vous plaît la façon dont je vous ai taillé les arbres ?
- Ah oui ! On a oublié de te remercier. C'est très bien.
À ce moment-là, Maurice sort son portefeuille et fouille, pour ressortir deux billets de cinquante. Il les tend à son jeune voisin.
Plutôt que de s'en saisir, il regarde la mémé soumise, puis porte de nouveau son regard, dans celui du maître des lieux et annonce :
- C'est dommage qu'elle ne fasse pas encore le tapin ! j'aurais bien claqué mes cent balles dans son cul !
- Ça, ça peut s'arranger. Ensuite, se tournant vers Annie, l'homme l’informe :
Eh bien ma grande, tu vas faire ton premier client aujourd'hui. À soixante ans, il est d'ailleurs grand temps, que tu te mettes à faire payer les mecs, qui fourrent leur bite dans ton corps.
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