La soumission à l’état mûr : Mise à disposition

 

Annie se laisser prendre par la main et conduire jusque devant la croix latine.

Là, son maître lui demande :

- Un jour, ça te dirait d'être crucifiée ?

- Franchement Maître, je ne sais pas. C'est une question que je ne suis jamais posé. Et j'avoue que dans mes lectures sur le SM, je n'ai jamais vu d’esclave crucifié.

- C'est parce que tu as mal regardé, je te montrerai certaines photos.

Puis il fait encore quelques pas et arrête sa soumise devant le carcan. Il fait pivoter l'appareil de manière que les deux parties de l'engin soit accessible. Après, il commande :

- Penche-toi en avant, je vais te mettre dans le carcan.

- Mais Maître, je vais avoir mal !

- Fais ce que je te dis et tu en seras largement récompensée.

Bien qu’un peu anxieuse, pas très confiante dans les idées de ce drôle de bonhomme, elle obtempère et se penche en avant.

Le dominateur la guide et l’aide jusqu'à ce qu'elle ait la tête dans la grande encoche du carcan. Il lui met alors les deux poignées de chaque côté, dans les encoches prévues à cet effet. Il referme la deuxième pièce de bois et la verrouille avec le gros crochet métallique, sur la tranche de l’appareil. Il lance à la cantonade :

- Ma salope est mise à votre disposition. Toutefois, pas question d’en user sans capote. Autorisation de se faire sucer en même temps qu'elle se fait baiser. Préférence donner à la sodomie.

Très vite, un premier client du sex-shop vient au niveau de la bouche de la créature offerte, défait sa braguette et fait glisser son pantalon et son slip le long de ses jambes. Il demande alors à être sucé. En même temps, un autre type est venu se placer au cul de la belle, a sorti son sexe et commence à le passer entre les fesses.

Le dominateur n'accepte pas du tout cette façon de faire. Il l’attrape par l‘épaule, le fait tourner sur lui-même, en lui disant :

- Pas sans capote, j'ai dit !

Le gars essaye de s’expliquer et finit par bafouiller :

- Non, non, mais c’était juste pour lui frotter les fesses.

- Non ! Pas sans capote ! Même juste pour frotter, comme tu dis.

Le mec fait quelque part en arrière et un autre vint prendre sa place. Celui-ci montre une capote au dominant, déchire l’enveloppe et la place sur sa queue déjà en érection.

Il passe la langue sur les doigts de sa main droite. Il vient humidifier la vulve, qui n'en avez d'ailleurs pas besoin, trempée comme elle est. Là, il regarde le maître et demande :

- On peut vraiment la baiser ?

- Oui, bien sûr, sans problème, elle est là pour ça.

Alors le mec guide sa queue jusqu'à l'entrée du vagin, puis pousse d'un coup, pour faire rentrer sa pine au fond de l’antre bouillant et gluant.

Bien que la bouche soit déjà occupée par une bite, Annie trouve le moyen de pousser un "ouf", dont on ne sait s'il est de contentement ou de surprise.

Pendant qu'un des clients se fait sucer et que l'autre baise la soumise, un troisième larron se penche sur la petite table basse, à proximité, pour récupérer une capote à son tour. Il déchire également l'enveloppe, sort le préservatif, le déplie totalement et le garde en main.

Il ne faut pas beaucoup de temps au type, qui est en train de baiser la salope, pour jouir dans un concert de jurons, en donnant trois bonnes claques, sur le cul de la pauvre femme offerte. Il se redresse, retire son vit de ce con bouillant et commence à ôter son préservatif.

Le maître s'approche de lui et dit :

- Surtout, tu me donnes la capote pleine. Je vais lui en faire un collier.

Le type se marre un petit peu et effectivement refile la capote.

Ouvrant un nouvel emballage et dépliant une capote neuve, le dominateur demande encore au client :

- Si tu es content de son cul, met quelques pièces de monnaie dans cette capote. Des pièces de cinq, dix, vingt et cinquante centimes, aucun problème. Et si tu es très satisfait de son cul, une ou deux pièces d’un ou deux euros. L'important, c'est que ça fasse du poids et que cette vieille pute ressorte avec une capote pleine de pièces, dans la chatte, à la fin de la séance.

Le client affiche alors un grand sourire, qui se voit malgré l’obscurité. Puis, fouillant dans la poche de son pantalon, annonce :

- Je dois avoir un petit peu de monnaie.

Il ressort la main de sa poche avec une petite dizaine de pièces qu'il met dans la capote.

- Merci. Tiens, regarde ce que je fais avec ta capote.

À ce moment, le dominant fouille également dans la poche et en ressort quatre-vingts centimètres de ficelle blanche, genre ficelle de cuisine, fine et solide. Il commence à faire un nœud en son milieu pour attacher le préservatif usagé.

- Si tu peux me laisser un émail, je t'enverrai des photos de ma soumise, avec son joli collier.

Durant ces palabres, le troisième type est prêt pour baiser la femme mûre.

Et le dominateur surveille du coin d'œil, que le mec porte bien une capote. Comme c'est le cas, il laisse les choses se faire d’elles-mêmes.

Le nouvel arrivant demande alors :

- C'est vrai qu'on peut l'enculer ?

- Oui bien sûr, c'est une vieille enculée aussi. Mais comme là, c'est le début de la séance, passe d'abord ta capote sur sa chatte avant de lui coller dans le cul, ce sera plus sympa.

- D’accord, c'est-ce que je vais faire, mais j’adore enculer, surtout les vieilles.

Le mec qui se faisait sucer, a suivi les débats et d'un coup, se met à grogner.

De longs jets de sperme chaud giclent dans la bouche d'Annie et lui engluent les amygdales.

La pauvre femme se met à tousser, alors qu'elle n'a pas tout avalé. Elle recrache donc un peu de sperme, sur le ventre du mec.

Il la traite donc de salope et de dégueulasse, puis se barre.

Bientôt un autre type vient se faire sucer, la queue toujours nue.

De l'autre côté du carcan, l'homme a bien lubrifié la rondelle avec la cyprine de la pétasse. Il pointe alors l'œil de bronze et d'un coup de rein sûr, enfonce son vit tout au fond de l'ampoule rectale.

Cette fois, mamie Pousse un cri. Plus de surprise, que de douleur. Toutefois, l'ouverture de son anus, dans ce sens-là, n'est pas la chose la plus agréable qu’elle ait vécue. Même si ensuite, elle sait qu’elle va avoir pas mal d'orgasmes, car elle adore la sodomie.

Très vite, l'homme se met à ahaner sous les yeux du dominateur, qui en profite pour lui dire :

- Surtout, tu ne jettes pas ta capote et tu ne la vides pas non plus. Une fois que tu as joui, tu me la donnes, que j'en fasse un collier avec l'autre capote qu'elle a déjà dessus.

Le gars insulte la soumise mûre et lui claque le cul en même temps qu'il se démène comme un beau diable.

De l'autre côté du carcan à nouveau, l'autre personne se fait sucer, mais aussi, un peu bousculer par d'autres types qui veulent la place.

Le dominateur est donc obligé de mettre un peu le Ho-là, de sa voix forte et puissante, en disant :

- Calmez-vous, messieurs, il y en aura pour tout le monde, elle sera là, jusqu'à ce que tout le monde soit épongé. Donc pas de bagarre pour la place.

Bientôt, le sodomite, qui s'occupe du cul d'Annie, donne des signes d'un plaisir imminent.

Annie, quant à elle, bien qu'elle ait la bouche occupée, couine comme une gorette. Son corps est parcouru de soubresauts et heureusement qu'elle est maintenue dans le carcan. Elle ressent comme une série de décharges électriques à chaque claque sur le cul, qu'elle reçoit de son enculeur.

Se faire pomper par une salope qui est prisonnière d'un carcan, excite terriblement le client. Bientôt, dans un grognement d'ours, à qui on a volé son pot de miel, il jute dans la bouche mûre et pourtant chaude et accueillante.

Avant qu'il ne s'en aille, le maître lui tend la capote comme l’enfant de chœur tend la corbeille pour la quête. Il fixe intensément le gars et lui demande :

- Si ça t'a plu, mets quelques centimes dans la capote, à la fin de la journée, elle aura ça dans la chatte. Il faut lui faire comprendre que c'est une vieille pute, n'es-tu pas d'accord ?

Comprenant qu'il a une sorte d'accord tacite avec cet homme et que la femme n'a pas son mot à dire, il se lâche :

- Allez, je vais te donner ça, bouge pas, c'est une vieille pute, ça ne vaut pas plus de deux euros cinquante. Je vais te donner son petit salaire.

Et l'homme fouille dans ses poches, ressort son porte-monnaie, l’ouvre et prend une série de pièces jaunes, qu’il glisse dans la capote.

Pendant cette opération, un autre quidam est venu glisser sa pine, dans la bouche de la vieille chienne.

Annie recrache la bite en disant :

- Pouah ! C'est dégueulasse ! elle pue la merde.

Le mec se marre un bon coup, puis avoue :

- Bien sûr, vieille salope, je viens d'enculer un mec.

Comprenant que la situation risque de générer et de casser un peu l'ambiance. Et alors qu'il ne voudrait pas heurter sa soumise avec des situations qu’il n'a pas prévues, Maurice prend le type par l'épaule et lui dit, de sa voix puissante :

- Non ! Pas de ça ! Elle est là pour le plaisir des messieurs, pas pour attraper des maladies ! Donc, tu vas te laver la bite si tu veux te faire sucer.

L'homme repart en grommelant et un autre prend la place dans la bouche de la vieille.

Durant toutes ces actions, Solange, très débraillée, est venue s'asseoir sur le petit piédestal de la croix latine. Ses yeux sont habitués à la pénombre, elle voit à peu près bien, tout ce qui se passe et elle apprécie énormément. Deux mecs viennent pour la tripoter. Elle les repousse fermement en leur disant :

- Voulez-vous être dressés ? Je suis ici pour dresser les cochons comme vous, ça vous tente ?

Ne sachant pas si c'est du lard ou du cochon, justement, les deux mecs se reculent et plus personne ne vient embêter l'épouse du dominateur.

Le type qui est dans le cul de la pauvre soumise, émet un petit son, puis se crispe totalement. Les jambes tremblantes, les mains qui serrent les hanches, il jouit dans la capote. Il reste ainsi tétanisé pendant une bonne minute. Quand il ressort son braquemart, il retire la capote, qu'il tend au dominateur, en disant :

- Incroyable ! La capote est toute propre ! Elle a dû faire un bon lavement avant de se faire enculer, cette salope.

Pendant qu’un nouvel arrivant prend place pour baiser et enfile sa capote très vite. Il guide son sexe, de taille relativement imposante, dans le vagin détrempé.

À nouveau, la pétasse pousse un cri.

Le mec se met tout de suite à limer comme un démon, sans porter aucune attention, au plaisir que pourrait avoir sa partenaire.

Annie a vraiment l'impression de ne plus être qu'une boîte à bites, un objet de plaisir pour des hommes en rut. Et pourtant, pourtant, elle a de nombreux orgasmes qui arrivent les uns après les autres. Ils ne sont pas forcément très intenses, mais tout de même, ça fait du bien par là où ça passe. Elle ne sait pas, si elle doit être heureuse de la situation, ou avoir honte d’être devenue une boîte à bites.

Durant plus de deux heures, une bonne trentaine d'hommes passent de la bouche à la chatte ou au cul de la soumise. Certains cherchent à donner du plaisir à cette femelle, d'autres absolument pas.

Annie n’a jamais eu un tel hommage, ni reçu autant de pines en si peu de temps. Elle est absolument incapable de compter les orgasmes. Ils se succèdent, lui font trembler les jambes et perdre sérieusement la notion du temps.

Le maître, quant à lui, est très attentif à tout ce qui se passe, il vérifie à chaque fois le port de la capote, pour les baises ou les sodomies. Il récupère, à chaque fois aussi, les préservatifs usagés et les attaches au collier qu’il confectionne petit à petit. La capote avec la monnaie grossit également, la somme ne doit pas être bien grosse, toutefois, le volume des pièces, lui, devient impressionnant. Heureusement, ce n'est pas un seul bloc, l’ensemble est malléable donc l'homme ne se fait aucun souci pour le mettre dans la chatte ou dans le cul. Il n'a pas encore décidé.

Quand tous les mecs sont à peu près passés se faire éponger et se finir dans un des trois trous de la femelle offerte, Maurice se retourne vers son épouse et lui demande :

- Et si on levait le camp, qu'en penses-tu ?

- Oui, ça me paraît bien et je pense que notre invitée doit commencer, aussi, à fatiguer.

- Tu vas me donner un petit coup de main. Tu vas ouvrir le carcan pendant que je vais la maintenir et la faire s'asseoir dans le canapé.

Sur ce, Solange défait le loquet et ouvre l’engin de torture.

Annie, totalement ankylosée, commence par s’affaler, quand elle sent qu'elle est retenue par des mains puissantes. Elle se laisse guider et se retrouve assise sur le grand canapé de Skaï, juste devant l'écran. Il passe toujours un film avec des transsexuelles.

- Repose-toi et reprends ton souffle, la séance est terminée. Nous allons pouvoir rentrer, pour casser une petite croûte bien méritée. Je suis fier de toi Annie.

- Merci, Maître.

C'est à peu près la seule chose que la femme peut encore articuler. Puis, elle tombe dans un petit sommeil.

Le couple la laisse dormir pendant un quart d'heure, histoire de recharger les batteries, et repousse les deux messieurs, qui sont venus l'un après l'autre, en voulant profiter de la vieille salope.

- Il fallait venir plus tôt. Maintenant, c'est terminé, vous avez raté votre chance.

Réveillant la femme mûre et docile, Maurice lui dit :

- Bien, comme promis, pour repartir, je vais te remettre tes gains… Ou plutôt, je vais te mettre tes gains.

Là-dessus, le dominant s’agenouille entre les cuisses, qui commencent à se décharner, écarte les lèvres écarlates et introduit précautionneusement la capote, lourde des pièces de monnaie. Il prend tout son temps pour introduire le sachet de latex en entier, et bien au fond du vagin.

La pauvre soumise ne réagit même plus, elle est totalement crevée, et n’aspire qu’à une seule chose, dormir encore.

Il termine sa manœuvre, en introduisant deux doigts joints et en tassant, du mieux qu’il peut, l’ensemble dans le sexe défoncé.

C'est tout juste si Annie grimace un peu, mais toujours les yeux clos.

Il se relève, récupère le pseudo-collier qu’il a minutieusement confectionné, durant toute la séance, et vient le placer autour du cou, en le glissant par la tête, qu’il soulage un peu. Puis, se redressant, il annonce :

- Te voici ornée, et honorée, par un véritable collier de grosse salope.

Il prend un peu de recul et fait quelques photos avec son téléphone portable.

- Allez, je vais t'aider à te lever et on va aller à la voiture. Tu pourras continuer ta petite sieste, bien confortablement dans la voiture.

Ils ne sont pas trop de deux pour supporter Annie, qui a du mal à mettre un pied devant l'autre.

En sortant du couloir qui dessert les salles de projection, Maurice salut le patron, qui regarde avec un drôle d'air. Toutefois, ce dernier n'ose pas poser de questions. C'est que ce genre de choses attiré la clientèle. Et, une fois le trio sorti, il se débrouille pour aller dans les salles et essaye d'interviewer quelques clients, de manière à pouvoir en faire une sorte de résumé pour le site de son établissement.

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