La soumission à l’état mûr : Le jeune voisin
À la voiture, le couple installe Annie derrière. Puis, Solange fait le tour de l’auto et s’installe derrière le chauffeur, à côté de la soumise. Maurice prend place derrière le volant et lance le moteur.
Finalement, durant le trajet, Annie se réveille au bout de dix minutes et annonce à la cantonade :
- Ah ! Bah ça, pour une partie de sexe débridée, c'était une partie de sexe débridée !
- Donc finalement, ça t'a plu, cette petite partie de trou madame.
- J'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ça ! Mais oui, j'ai bien aimé ! J'ai eu beaucoup de plaisir, merci Maître.
- Tu pouvais voir la tête des messieurs qui venaient se faire sucer ? Demande alors Solange.
- En fait, non, pas vraiment. Mis à part un moment, où j'ai eu une bite dans la bouche qui sentait extrêmement mauvais, le reste du temps, c’était plutôt agréable. De plus, ça me permettait de me concentrer sur autre chose, que sur ma chatte. Très bien, donc, c'est une opération à renouveler.
- Oui, mais de cette manière, je ne sais pas.
- Là, quand même, je suis calmée pour un moment !
- Et côté cravache ?
- Rien à dire, j'avoue que ça m'a énormément excité, de me faire titiller les tétons et le clitoris, avec la cravache. Ça, ce fut une découverte.
- Et même quand j'ai appuyé mes coups un peu plus ?
- Oui, sur le coup, ça brûle un peu, mais ça s'estompe assez vite, en fait, ça va.
- Parfait, tu en retires quoi au juste ?
- Je suis très fière de moi ! Je suis une bonne soumise, n’est-ce pas, Maître ?
Le ton de la soumise fait comprendre au dominateur que, la belle reprend du poil de la bête. Comme ce dernier tient à garder le contrôle et qu'il sait, qu'elle a vite fait de retourner la situation, à son avantage. D'un coup, d'une voix puissante, il interroge :
- Et une soumise très fière ! C'est une nouvelle race de soumise ?
Au lieu de répondre, elle se met à glousser benoîtement, ce qui n'est pas du tout du goût de l'homme.
Là-dessus, toujours très complice, son épouse appuie encore, là où ça fait mal, et s'adressant à son mari, lui lâche :
- Les soumises peuvent te tenir tête de nos jours ?
- Tu as raison, ça mérite une petite punition !
Annie a toujours son petit rire nerveux, qui est en fait le reflet de son état d'esprit. Après toute cette tension de plus de deux heures dans l'établissement, après tous ces orgasmes, après toutes ces bites qui sont entrées en elle. Avec toutes ces questions, elle se relâche et ne peut réprimer ce rire, ni rien articuler de cohérent.
Connaissant parfaitement la route qui le mène chez eux, le véhicule arrive à un petit village, à la sortie duquel, Maurice sait qu'un kilomètre plus loin, il y a un parking en bord de route. Il escompte bien s’y arrêter. Pour s’assurer que son épouse comprend la chose, il passe sa main derrière son siège et vient attraper une cheville qu’il sert à trois reprises. À peine une minute plus tard, il met le clignotant et s'arrête sur un petit parking, en bordure d'un petit bois, sur le bord de la route. Là, il descend, fait rapidement le tour de la voiture, vient ouvrir la portière du côté d'Annie. Il aide à sortir la pauvre femme, qui a un regard attestant, qu’elle ne sait pas exactement ce qui se passe.
- Tu ne m'as pas dit que tu avais envie d'uriner ?
- Non, pas du tout, pourquoi ?
- Parce que c'est mieux d'uriner, avant de se prendre une fessée !
Et là, il attrape le bras de sa soumise, lui relève la jupe, lui mettant ainsi les fesses à l'air. Il plie sa jambe, le pied sur le pare-chocs et installe la femelle docile en travers de celle-ci.
Annie se laisse guider, ne comprenant pas vraiment pourquoi une fessée et pourquoi ici.
À ce moment-là, lui tenant les deux mains, avec une des siennes, il lui claque violemment le cul, de sa main libre, jusqu'à ce qu'elle ait de belles fesses bien rouges. Durant l'opération, deux voitures sont passées, dont une qui a klaxonné. Était-ce pour encourager le dominateur ou en signe de réprobation, personne ne le saura jamais.
Annie crie et pleure sous la dureté de la raclée.
Une fois son but atteint, il l'aide à se réinstaller dans la voiture, à l'arrière, en lui disant :
- Tu te rappelleras, maintenant, que tu dois toujours m'appeler maître ?
- Oui Maître ! Je n'oublierai plus, promis Maître.
Le reste de la route se passe tranquillement, le bruit du moteur couvre les sanglots de la femme mûre. À peine dix minutes plus tard, la voiture rentre dans la propriété et va stopper à côté de la porte de garage. Pendant que Solange guide la soumise jusqu'au salon, Maurice, lui, sort le sac de voyage du coffre et l'installe dans la chambre d'amis.
Alors que la femelle docile goûte un repos bien mérité, dans le canapé, l’épouse s’occupe de la chaîne hi-fi et met une musique douce. Puis, elle se rend dans la cuisine, pour préparer le repas.
Sur ces faits, le maître des lieux remonte du sous-sol, où se situe la chambre d'amis, et va se changer. Il passe une tenue plus appropriée pour son rang de dominateur. Cette fois sa tenue est constituée une sorte de robe de cérémonie noire avec des motifs étranges tribaux, une chemise totalement noire à manches courtes, une cravate noire. Il a enfilé des Doc Martens noires également. Il se rend auprès de sa soumise, en passant, il s’empare de son appareil photo, qui, du moins le pense-t-il, donnera de bien meilleures prises de vue, que le simple téléphone. Entrant dans le salon, il se plante devant la vieille femme. Là, il règle l'appareil photo pour qu'il puisse faire de petites vidéos avec le son. Puis, il s'adresse à elle :
- Bien, Annie, pour commencer, nous allons faire une petite vidéo, pour que tu me fasses voir, ce que tu as dans ta chatte.
- Bien, Maître.
- Alors longe-toi sur le canapé, les jambes écartées et bien relevées, tu te tiens les reins avec tes mains.
Dans cette position, on peut voir la vulve ouverte et le bout de la capote, qui dépasse des petites lèvres. Tout en filmant, l’hôte s'approche, écarte encore un peu plus les petites lèvres et fait un zoom sur la capote, en expliquant pour la caméra :
- Soumise Annie a fait une bonne après-midi. Elle s'est fait baiser pendant deux heures, comme une putain, et voici le fruit de ses passes.
Il continue à tirer doucement sur le préservatif. Comme le contenu est très malléable, il réussit à ressortir le préservatif, progressivement, sans entrouvrir plus les lèvres, qu'il ne le fait jusqu'à présent. Puis, s’adressant encore à la caméra, il commente :
- Voilà, ma soumise, tout à l'heure, tu nous compteras exactement tes gains.
Là-dessus, il se penche encore un peu plus et ordonne à sa femelle :
- S'il te plaît, les jambes encore plus vers ta tête, je veux voir ton trou du cul.
La femme s'exécute et termine, pratiquement, avec le cul par-dessus tête, les genoux presque au niveau de son visage.
Maurice plonge alors quatre doigts, formant un cône, dans l'anus, déjà entrouvert. Il tâche d'aller le plus loin possible, jusqu'à être bloqué par son pouce. Puis, retire prestement sa main. Ensuite, il introduit, dans le conduit, la capote avec les pièces. L'avantage des pièces dans la capote, c'est que cela reste très malléable et qu'il peut, en poussant à plusieurs reprises, faire rentrer toute la capote, dans l'anus de la pauvre femme, qui ne se plaint pas.
Il coupe la vidéo un instant, puis ordonne :
- Maintenant, remets-toi debout, tu veux te mettre torse nu, qu'on voit bien ton joli collier de salope.
Il remet son appareil en route et filme tranquillement toute la scène.
Une fois de plus, la pauvre vieille obéit, défait son fin chemisier et se retrouve les seins à l’air. Son collier, fait de ficelle de cuisine et de l'ensemble des préservatifs pleins, qu'elle a pris dans le corps, apparaît en plein jour.
Coupant cette deuxième vidéo, le maître des lieux annonce alors :
- Nous allons sortir. La lumière, ici, n'est pas en très bonne. Viens avec moi.
Il se dirige vers la porte d'entrée, l’ouvre et sort devant la maison.
La femelle docile reste dans le petit couloir, juste avant le pas de la porte. Elle commence à se plaindre :
- Oh non ! Maître, on pourrait me voir, j'ai honte, Maître !
- Mais j'espère bien que tu montres que tu es une vieille salope, qui se soumet, pour avoir toujours plus de plaisir ! Tu peux avoir honte de toi. Ceci dit, il n’y a personne dans la rue. Et, quand bien même, nous sommes déjà à quinze mètres du trottoir.
Peu convaincu, Annie, néanmoins, obéit et sort de la maison.
Ils font le tour, pour venir se mettre derrière la maison, là, où seuls les voisins peuvent voir ce qui se passe. Quand on est dos à la Maison, sur la gauche, c'est un vieux monsieur solitaire, mais visiblement voyeur. En face, plus haut, c'est la maison d’un couple âgé. De l'autre côté, sur la droite, c'est un jeune homme de trente ans, fraîchement divorcé, et d'ailleurs, en train de bricoler dans son jardin.
Maurice, a bien vu que le jeune homme est présent, mais pas sa soumise. Il la fait mettre à quatre mètres de la maison environ tourner vers le voisin à cause du soleil, affirme-t-il, puis commence à tourner un film.
La pauvre Annie a le soleil dans les yeux, et donc du mal à voir son dominateur.
D'abord assez proche de la femme mûre, ensuite se reculant, pour que la vidéo n'écrase pas trop le sujet. Quand il n'est plus qu'à trois mètres, du grillage de clôture, il apostrophe son voisin :
- Salut Thierry, toujours célibataire ?
À ces mots, la femme, torse nu, se couvre la poitrine avec ses bras.
Le jeune homme lève les yeux et reconnaît son voisin, lui sourit, lui répond :
- Et oui, toujours, ça commence à être un peu long, j'avoue.
- Et bien, je suis avec Annie, une de mes amies. Veux-tu venir prendre l'apéritif avec nous ?
Là, le jeune homme s'aperçoit de la femelle qui cache ses mamelles, qui semble avoir une sorte de collier, qu’il ne distingue pas de là où il est, autour du cou. Il force sur sa vision, puis dit :
- D'accord.
Et, sur ce, tout près du grillage, qui est assez bas, avance, l'enjambe et se retrouve sur la propriété de Maurice.
Faisons un signe de la main pour la désigner, le maître des lieux annonce alors :
- Je te présente Annie, une vieille salope en chaleur, qui sort d'un sex-shop, où elle s’est fait ramoner les trous, pendant plus de deux heures.
- Ah oui ! Tout de même ! C'est une gourmande alors ?
- Oui, je confirme, n’est-ce pas Annie, que tu es une grosse gourmande ?
La pauvre soumise fait un signe de tête pour acquiescer, mais n'ose pas répondre.
Durant cet échange, les deux hommes se sont rapprochés. Maintenant, Thierry peut voir de quoi est fait le collier de la vieille. Un collier de capotes usagées ! Tiens, se dit le jeune, voilà bien une des idées un peu folle de ce diable de voisin ! Il invente toujours de nouveaux trucs, on ne doit pas s’ennuyer avec lui.
C'est alors que le dominateur dit encore :
- Tu peux lui tâter les mamelles, si le cœur t’en dit. Elle est avec nous quelques jours, pour servir et être utilisée.
Le jeune homme, bien surpris, quoique connaissant les penchants assez pervers de ses voisins, ne se fait pas prier et vient tripoter les boîtes à lait offertes, sans autre forme de procès.
L’hôte ajoute encore :
- Profites-en pour te faire sucer. Moi, je vais préparer l'apéritif. Tu peux l’utiliser comme bon te semble, je te la prête.
- Merci Maurice !
- Viens nous rejoindre, avec elle, dans un bon quart d'heure.
Là-dessus, l'homme tourne les talons et retourne à la maison.
Annie tremble un peu. Cette fois, elle ne peut pas dire qu’elle ne voit pas les hommes qui vont l’utiliser. Le jeune n'est pas mal foutu, cependant, à moitié à poil dans un terrain, qu'elle ne connaît pas, elle risque d'être vue.
À ce moment-là, le fameux Thierry, d’une voix dont la douceur tranche avec la voix de son maître, lui ordonne :
- À genoux, tu vas me sucer.
Tout en disant cela, il ouvre sa braguette et sort sa pine, partiellement en érection.
Annie se dit qu’obéir et être soumise, a de bons côtés. Elle n'aurait pas imaginé, qu’à son âge, passer soixante ans l'année dernière, pouvoir sucer un beau jeune homme de trente ans, au bas mot, son cadet.
Ne voulant pas salir ses bas et ne sachant pas quoi répondre, elle s'accroupit devant le jeune homme et prend le bout du sexe en bouche. Et, de la main droite, elle le masturbe doucement. alors qu'elle pompe joyeusement le gland, elle passe la langue dessus, dessous. Le ressort de sa bouche, lui fait quelques petits bisous, passe sa langue sous la verge. Revient reprendre le gland en bouche, l’avale le plus loin possible. Ressort la queue toute dure de sa bouche. Bref, joue avec ce vit turgescent, qui ne cesse de durcir et de grossir.
- Eh ben dis donc, bébé, tu sais sucer, toi au moins ! S'exclame le voisin.
Prenant ça pour un compliment, elle décide d'aller plus loin, et de sa main gauche, se met à caresser les testicules, les tripoter, les triturer, jouer comme si c'étaient des boules anti-stress. Elle pompe de plus en plus fort et branle de plus en plus vite. Si bien qu'en moins de dix minutes, l'homme se met à râler et elle reçoit une grosse dose de sperme dans la bouche.
Il se lâche et décharge son foutre dans un orgasme non feint.
Annie, elle, récolte la précieuse semence et l’avale jusqu'à la dernière goutte. Puis, elle lève des yeux amoureux vers le jeune homme, d'un air de demander s'il est heureux.
Celui-ci la regarde à son tour et la gratifie de :
- Tu es une sacrée suceuse, mémé, bravo !
Ensuite, il aide la femme à se remettre debout et se couple nouvellement formé se dirige de l'autre côté de la maison.
Passé la porte d'entrée, le maître des lieux guide ce couple improbable vers le salon. Il propose au jeune homme de s'installer dans un profond fauteuil face au canapé. Prenant la femme mûre par la main, il la guide devant la table basse. Il lui fait poser les deux mains bien à plat sur le meuble bas, lui écarte les fesses et dit encore à son voisin :
- Annie a fait la pute dans un sex-shop pendant deux heures, comme je t'ai dit et comme tu peux le voir, elle a encore, dans le cul, une capote, mais, dans la capote, il y a ses gains de la journée.
- Tu as tout de même des idées, des plus perverses !
- Oui, on va prendre l'apéro et on va la laisser avec sa capote dans le cul. Après le repas, en guise de dessert, elle nous comptera ses revenus.
- Tu peux aller t'asseoir, Annie, je suis content de toi, tu es toujours une bonne soumise.
Bientôt, Solange les rejoint et les quatre convives prennent l’apéritif en discutant de sexe, de soumission, de perversion. Bref, des discours qui ne sont pas faits pour apaiser les sens.
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