La soumission à l’état mûr : L’arrivée
C'est par une belle soirée de printemps ; qu’Annie arrive à la gare de Tours.
Dès qu'elle descend du train, Maurice la dévisage, puis son regard parcourt tout le corps. Détaillant la tenue vestimentaire de sa soumise, mais aussi sa façon de se tenir droite. Visiblement, content de ce qu'il voit, il s'approche d'elle, lui fait un bisou sur la bouche.
Après, c'est au tour de Solange, de venir faire un bisou à la femme blonde.
Dominant, néanmoins galant, Maurice, délivre la femme mûre de sa valise et la porte. Le trio se dirige vers le parking aérien, où est garée la voiture. Là, une fois la valise enfouie dans le coffre de la petite citadine, l'homme regarde sa soumise et l’interpelle :
- J'espère que tu n'as pas mis de culotte, comme ça doit être toujours le cas. Alors remonte ta robe et fais-moi voir, que tu as la chatte à l'air.
Fière d'elle, la femme mûre s'exécute, prend les pans de sa robe en main et, après avoir jeté un rapide coup d'œil alentours, remonte la robe pour exhiber audacieusement son sexe.
- Voilà Maître, je fais comme vous me l'avez ordonné, je ne mets jamais de culotte.
- Oui, mais je vois des poils gris sur ta chatte. Je t'ai demandé, aussi, d'être toujours parfaitement épilée.
- C'est que, je vais me faire épiler, en institut de beauté. Mais là, j'avoue qu'avec mon emploi du temps, je n'ai pas eu le temps de le faire. Je vous demande de m'excuser.
- Bien, je le note, nous en reparlerons ultérieurement.
Là-dessus, les trois compagnons s'engouffrent dans le véhicule, qui démarre et prend la route, pour rejoindre un sex-shop, dans une commune toute proche. Le couple y a ses habitudes et aime y amener soumis et soumises, pour mise à disposition. Durant le trajet, le trio discute librement de choses sans importance, du temps, de la vie qui passe.
Une petite demi-heure plus tard, le véhicule stop sur le parking, derrière le sex-shop et le maître annonce :
- Bien, on va commencer par changer de tenue. Toi, ma soumise, tu vas retirer cette robe et mettre la jupe bleue, avec le chemisier blanc très fin, que je t'ai demandé d'apporter. Tu n'as pas oublié ces affaires-là, j'espère ?
- Non, Maître, j'ai fait comme vous me l’avez ordonné, j'ai tout apporté.
- Bien, alors change-toi ici.
- Ici ? Sur le parking ? les voitures qui passent risque de me voir !
- Oui, tout à fait, les gens dans les voitures risquent de t'apercevoir. Mais tu es ma soumise, donc tu exécutes les ordres que je te donne.
- Bien Maître, mais j'avoue que j'ai peur et j'ai même honte !
- Tu n'as, ni à avoir peur, ni à avoir honte, puisque c'est ton maître qui te l’impose.
Là-dessus, Annie défait les boutons de sa robe, après avoir déposé, dans le coffre, sa petite veste légère, qu'elle avait sur les épaules. Elle laisse glisser la robe, le long de ses cuisses gainées de bas saumon, retenues par un joli porte-jarretelles de la même teinte. Là, elle s'empare du fin chemisier, après avoir ouvert son sac de voyage, et l'enfile.
- Attends soumise.
L'homme se rapproche de la femme. Passe ses mains sous le chemisier, attrape la fermeture du soutien-gorge, l’ouvre et rend les seins libres.
Se doutant de la chose, la malicieuse femelle avait opté pour un soutien-gorge sans bretelle. De toute façon, elle n'a pas une poitrine si opulente, qu'elle ait besoin d'un grand soutien.
- Vas-y, maintenant, tu peux boutonner ton chemisier, mais pas plus haut que tes tétons. Je veux qu'on puisse bien voir, que tu as les seins libres, sous ton chemisier.
- D'accord Maître.
Ensuite, la femme docile attrape sa jupe bleue, passe un pied à travers l'ouverture, puis un deuxième et remonte le vêtement, sur sa taille, pour venir l'attacher.
L'homme vérifie encore. Content de la tenue, il s'exclame :
- Tu vois, personne n'est passé. Donc, personne ne t'a vu. De toute manière, tu aimes bien être vu.
- Oui, mais tout de même, on ne sait jamais !
Pourquoi ? Tu connais beaucoup de gens dans la région ?
Là-dessus, le dominateur se penche sur sa femelle et lui administre une formidable claque, sur les cuisses gainées de nylon.
- Comment tu dois t'adresser à moi ?
- Oui ! Maître, pardon.
- Bien, tâche de ne pas oublier mon titre, sinon tu risques de passer un bien mauvais moment.
Annie se pose des questions. Elle connaît cet homme, elle sait qu'il est capable de perversité. Mais elle sait, qu'il est capable, aussi, de lui procurer de grands plaisirs. Toutefois, la façon de parler, les termes employés, tout ça ne lui semble pas être de très bonne augure. Elle se demande bien, ce qu'y l’attend.
Le trio entre dans le magasin. Là, Maurice paye l'entrée pour les salles de cinéma permanent et guide les deux femmes à l'intérieur.
Une fois la lourde porte d’entrée passée, il faut quelques instants pour s’accoutumer à l’obscurité. Ça permet, entre autres, aux présents de pouvoir voir qui entre, sans être aperçus eux-mêmes.
Après ce laps de temps, les yeux s’habituant à l’éclairage très faible, on s’aperçoit être dans un large couloir, qui dessert trois pièces aux vocations différentes. On ne voit pas le bout du couloir, car de lourdes tentures occupent une partie de la largeur, et sont placées en quinconce.
La première salle est la moins spacieuse. Un grand écran sur lequel passe un film hétéro, un fauteuil, deux canapés. Sur le côté, au fond de la pièce, un petit couloir qui donne sur une toute petite salle, qui peut être fermée et même verrouillée. Plus près de l’entrée, un petit cabinet fermé par un rideau qui donne derrière une glace sans tain. Quand il y a un couple dans la petite pièce, ça se bouscule dans ce cabinet, ça s’entasse, pourrait-on dire.
La deuxième salle est estampillée SM. Dès qu’on entre, à droite, se trouve une grande cage dans laquelle trône une table pour y asseoir les personnes soumises. On peut toucher, même la porte de la cage fermée. Et, contre le mur du fond, une croix de Saint-André. Devant l’écran, à côté de la cage, un grand canapé en arc de cercle. De l’autre côté de l’écran, une croix latine dont les romains se servaient pour les crucifixions. Et pour terminer l’équipement, un carcan, pouvant être verrouillé. De l’autre côté de ces équipements, un tout petit couloir qui donne sur une pièce minuscule, fermant à clef, équipée d’une banquette et d’une table de chevet, avec gel, capotes et rouleau de papier absorbant.
La troisième et dernière salle est à vocation gay. Elle est la plus spacieuse, face à l’écran, un grand canapé d’angle et derrière lui, une banquette trois places. Faisant face à l’entrée, la même petite pièce que dans la salle précédente. Sur le côté gauche, une ouverture qui donne sur une boîte à trous flanquée de deux petits cabinets très sombre. Et, tout à gauche, en franchissant ce passage, une cabine un peu plus grande. Matelas au sol, et trous dans le mur arrière, permettant de voir et de toucher, depuis le couloir principal.
C’est souvent dans ces dernières salles qu’il fait le plus chaud et qu’il se passe des tas d’aventures, autant gays, qu’hétéros, d’ailleurs.
C'est donc dès leur présence dans le couloir principal que les deux femmes se font très vite tripoter. Solange, bien que très dominante, aime beaucoup aussi être le centre d’intérêt et laisser les hommes la tripoter. En général, c'est parce qu’elle a en tête l’idée de les provoquer, et d’en faire ce qu’elle désire par la suite.
Aussi, ses lourdes mamelles sont pelotées, triturées, quelques mains essayant même de passer sous son chemisier.
Annie, quant à elle, est assez surprise des lieux, et surtout des attitudes vicieuses des mecs présents. Elle se fait tripoter les seins, mais aussi la chatte, car bien vite, les types s’aperçoivent que sa chatte est à l’air libre. Les sensations sont déconcertantes, bien que très agréables. Cela dit, elle a très vite l’impression de n’être plus une femme, mais un morceau de viande à baiser, et ça, ça la choque et l’excite copieusement, en même temps.
Maurice guide les deux femmes, en les tenant par la main, dans la salle classée SM. Il invite son épouse, domina, à entrer dans la cage et amène sa soumise qu’il assoit tout de suite sur la table. Là, il défait les boutons du chemisier et demande, comme s’il allait tenir compte des réponses de la blonde :
- Le décor te convient ? Tu te sens prête à être attachée à la croix ?
- Oui, Maître...
- Alors allons-y !
Et le dominant reprend la main de la docile femme pour la faire descendre de la table, cette fois torse nu, et l’amène devant la croix. La fait se retourner, que tout le monde puisse bien voir son visage, et lui attache les poignets l’un après l’autre. Puis, il s’agenouille, et attache alors les chevilles.
Durant l’opération, Solange se tient debout contre la paroi de la cage et se laisse tripoter à outrance. Les mains d’inconnus, lui permettent d’imaginer l’homme idéal pour elle et lui procurent des plaisirs étranges. Ils sont amplifiés par une imagination galopante qui la fait rêver, à ce qu’elle va bien pouvoir faire endurer à ces mecs. Se croyant irrésistibles et surtout, croyant qu’ils peuvent tout se permettre, avec cette femme, dans ces lieux.
Le dominateur s'empare alors de la cravache, qui est relié à la croix de Saint-André, par une petite chaîne fine, mais relativement solide. Il commence à passer le bout en cuir, de la cravache, sur le corps de la femme apprivoisée, qui a les yeux ouverts.
- Tu aimes cette sensation du cuir sur ta peau ?
- Oui Maître.
Aussi l'homme continue à promener l’extrémité de la cravache sur les zones érogènes, les flancs, les seins, l'intérieur des cuisses, le pubis. Puis, il devient plus précis en revenant sur les tétons. C'est alors que, prenant un peu de recul, il commence à faire vibrer le bout de son ustensile, sur la pointe des tétons. En donnant un tout petit élan, au manche dans sa main, il fait vibrer l’autre extrémité de l‘outil, de manière plus ou moins puissante et plus ou moins rapide.
Pour Annie, la sensation sur ses tétons est très étonnante ! Ce n'est pas douloureux, ce serait presque chatouilleux. Toutefois, son corps est parcouru de frissons depuis le bout de ses seins jusqu'à son clitoris, en passant par son sphincter.
Les deux mecs sont sur le côté de la cage et jouent avec le sein droit de la blonde, pendant que le dominateur s'occupe du téton du sein gauche.
Estimant qu'il est temps de changer de téton, Maurice s'adresse aux deux hommes et leur explique :
- Je vais travailler son téton droit, merci de pousser vos mains, sinon vous risquez d'en prendre un coup sur les doigts.
Les deux types se reculent, en plus de ressortir les mains de la cage.
Maintenant le dominateur s'occupe du téton droit de la même manière, en faisant vibrer l'extrémité de la cravache en cuir sur le mamelon.
La même manœuvre procure la même sensation. Toutefois, le maître appuyant plus fort ses caresses perverses, ça finit par être un peu moins chatouilleux. Finalement, elle, qui ne savait pas trop à quelle sauce elle allait être mangée, est ravi de la tournure des événements.
- Tu aimes Annie ?
- Ah oui, Maître, c'est agréable.
- Alors, nous avons passé à la phase deux.
Là, l'homme joue de la cravache, de manière un peu plus traditionnelle. En donnant quelques petits coups sur les seins et en alternant avec des caresses du cuir sur les tétons, sur les flancs, sur l'intérieur des cuisses, sur le pubis, voire sur la vulve, sans jamais s’attarder. Tenant à faire arriver les choses crescendo, il interroge une fois de plus la femme
- Ça te plaît aussi, ça?
- Oui Maître, peut-être un peu moins que tout à l'heure, mais ça va.
- Parfait, continuons donc.
Cette fois, il procède d’une façon différente. Il donne de petits coups secs sur les côtés des seins et sur les flancs. Puis, se mettant sur le côté, refait la même chose sur le mont de Vénus. Ensuite, il revient devant la belle pour donner des petits coups secs à l'intérieur des cuisses. Il l’interroge à nouveau :
- Et là, toujours agréable ?
- Pas vraiment agréable, Maître, mais pas non plus douloureux. C'est particulier, je ne peux pas vous décrire ce que je ressens.
- Très bien, nous allons donc aller vers les choses plus précises, alors.
Là, il commence à donner des coups de cravache, toujours avec l'extrémité en cuir, sur les seins, puis sur les flancs et après sur les cuisses. En allant, à chaque fois, de plus en plus fort. Il 'active jusqu'à ce que la pauvre femme commence à se plaindre et finisse par crier :
- Ça fait mal.
- Passons maintenant à autre chose, alors.
Annie s'imagine être sortie d'affaire, en ayant simplement fait remarquer qu'elle ressentait durement, les petits coups.
Ainsi, l'homme se met à caresser la vulve. Il commence par écarter les grandes lèvres, toujours avec l’extrémité en cuir de la cravache. Il descend, passe la tranche, de l'extrémité, entre les petites lèvres. Il va jusqu'au clitoris, fait vibrer le cuir à ce niveau-là. Il prend son temps et cette opération dure plus de cinq minutes.
Les deux compères, qui se tenaient à côté de la cage, ont repris leurs caresses et tripotent à outrance, les petites mamelles de la soumise.
Annie, comment trouves-tu ces caresses ?
Très agréable, Maître, j'aime beaucoup, si vous pouviez continuer ça m'arrangerait bien.
Ben voyons ! Encore une soumise qui s'imagine que le dominateur n'est là, que pour son bon plaisir !
Ce moment-là, l'homme s'accroupit un peu, et, cette fois, s’attelle à faire vibrer le bout de la cravate sur le bouton intime.
Cette nouvelle caresse, extrêmement étrange, qui lui rappelle ce qu'elle ressentait sur ses tétons, commence à bien exciter la blonde, qui se met à mouiller copieusement.
Quand il voit, que l'effet produit par cette manœuvre sur la femme, qui a maintenant les yeux fermés, la bouche entrouverte et émet un petit râle de contentement, le dominant change encore de position. Il se remet bien droit, debout devant elle et, cette fois, vient donner des petites claques avec le plat du cuir, sur la vulve. Cela produit un petit clapotis, qui prouve bien que la salope mouille énormément. Là encore, il va crescendo et ses coups deviennent de plus en plus secs, de plus en plus rapides. Il s'adresse alors encore à sa proie :
- Là, est-ce toujours aussi agréable ?
- Pas vraiment, Maître. Là, c'est différent, je ne veux pas dire que ce soit douloureux, mais c'est plus aussi agréable que tantôt.
- Bien, nous allons donc passer à quelque chose de plus mordant.
Le dominateur se place, cette fois, de l'autre côté de là et, avec la tige de la cravache, vient frapper les nichons, puis les flans et le ventre. Tout d'abord assez doucement. Mais bien vite, il augmente la pression de l'objet sur la peau douce et commence à faire de jolies marques.
- Je ne sais pas si je te marque les nichons, tout de suite, ou si j'attends que tu aies envie de mes marques.
La pauvre femme serre les dents. Elle n'a pas envie de montrer qu'elle souffre, elle est bien trop fière pour ça. Ni d’ailleurs, que les coups la blessent de plus en plus.
Estimant que la viande est suffisamment tendre comme ça, le maître décide de passer à ce qu'il a prévu mentalement.
Pendant ce temps, Solange se fait toujours tripoter les boîtes à lait par deux autres gros cochons, qui se maintiennent derrière la cage, comme s'il se cachait derrière. Elle ne peut pas, non plus, leur en vouloir d'avoir peur d'être reconnus. Sauf que, s'ils comprenaient qu'ils n’étaient jamais reconnus que par leurs pairs, mais ça...
Maurice détache la soumise doucement, commençant par les chevilles, puis les poignées. Il la laisse se remettre bien droite, les jambes serrées.
Elle passe ses mains sous ses seins et sur son ventre, et constate les boursouflures légères, aux endroits où c’est zébré.
Il commence à y avoir pas mal dans le monde dans la petite salle, qui vient voir deux femmes à moitié à poil. Ils sont habituellement une flopée de mecs qui suivent la femme présente, jamais seule d’ailleurs, et les allées venues de la pécheresse. Mais là, deux nanas, c'est presque inespéré.
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