Théo-rème de l’inceste Chapitre 42 : vole d’une montre
Comme nous avions passé la soirée et la nuit ensemble, à faire la fête, avec mon bon pote Kader. Bien entendu, quand il ramena ma vieille, j’étais éveillé. J'entendis la voiture s'arrêter, je lui ouvris la porte en grand, mais je vis ce grand escogriffe pousser devant lui, ma daronne, en la tenant fermement par le bras. Dès qu'il fut entré dans la maison, il la dirigea au bout du couloir et la poussa, de façon à ce qu'elle s'étale, sur la table de la salle à manger. Sans aucune considération pour la femme, il me regarda, me fit un clin d'œil complice et me dit tout fort :
- Voilà, maintenant ta mère est une véritable prostituée ! Elle a fait ses clients cette nuit, onze. Pas mal quand même, pour une débutante.
- Tu as raison.
Puis, s’adressant à ma vieille, lui dit, alors qu'elle était vautrée sur la table, la tête tournée vers l'extérieur de la maison :
- Voilà où ça mène l'alcool, ma vieille ! J'espère que tu es contente d'avoir fait du client... En tout cas, tu m’as ramené pas mal de pognon. Et aussi pour ton fils chéri avec qui je partage, ça c'est bien... Allez file au lit.
J'attrapai à mon tour ma vioque par le bras, l’aidai à se remettre debout, sans douceur et lui donnai une impulsion, pour qu'elle aille dans le couloir, jusqu'à sa chambre. J’entendis la porte claquer, puis plus rien.
Le samedi, je n'étais pas là. J'avais pas mal de choses à faire, d'autres copains à voir également. En outre, je voulais voir ma copine. Je rentrai donc en fin de journée, vers dix-neuf heures et trouvai ma mère sur le canapé, un verre de pastis devant elle et visiblement, elle semblait déjà bien allumée. Là, je me fâchai pour de bon.
- Tu n’en as pas encore eu assez ? Tu vas encore te bourrer la tronche ? Tu veux quoi ? la prostitution ne te suffit plus ? J'ai appris par Kader que, tu retournes au bordel vendredi prochain, peut-être même samedi…
Comme à l’accoutumée, ma mère se cacha le visage et se mit à pleurer, mais cette fois, sans grand cri, doucement.
- Finalement, tu vas pouvoir arrêter ton boulot de secrétaire, tu gagnes plus avec le tapin, non.
Cette fois, éclata en sanglot en me suppliant :
- Thomas, ne sois pas si méchant avec moi ! Je te jure, je vais tout faire pour arrêter de boire... Je vais faire attention.
Faire attention ! Mais bon, ça ne commençait déjà pas très très bien, bref. Je montai dans ma chambre et m'installai devant la console de jeux. J'y passai toute la nuit.
Le dimanche, sur le coup de onze heures, je me levai.
Ma mère était devant un bol de café, dans la cuisine, elle était encore à moitié bourrée.
Je la regardai de haut et lui dis :
Je me demande vraiment, ce qu'il faut qu'on fasse, pour que tu aies vraiment honte et que tu arrêtes tes conneries ! Il semble que la prostitution ne te suffise pas ! C'est tout de même incroyable ça !
Je ne lui laissai pas le temps de répondre et sortis de la maison pour téléphoner à Kader. Très rapidement, je lui expliquai que ma vieille était encore en train de se poivrer la gueule.
- Il faut vraiment qu'on trouve quelque chose pour l'humilier ! Même le tapin, ça ne l'a pas complètement soigné ! c'est incroyable ça, non !
- Tu as raison, man ! Je ne sais pas ce qu'il lui faut à cette vieille morue. Écoute, je vais réfléchir, mais j'ai une petite idée, je l'emmènerai faire les courses mardi soir.
Jusqu'au mardi soir j'évitai consciencieusement de rencontrer ma reume à la maison.
Elle vint plusieurs fois tambouriner à la porte de ma chambre, me promettant de se soigner, d’arrêter ses conneries, allant même jusqu’à me proposer d’aller me coucher avec elle, qu’elle ferait tout ce dont j’avais envie.
Vers dix-sept heures trente, un coup de fil m'annonça l'arrivée de Kader et comme ma mère était rentrée et qu'elle était déjà dans le canapé, devant la télé, je lui annonçai :
- Tiens, il y a ton mac qui arrive.
Comme c'était devenu habituel maintenant, le jeune homme ne sonna point et entra directement dans le salon ou il imaginait bien, que Béatrice fut installée et, en la toisant du regard, lui commanda :
- Va t'habiller, ni culotte, ni de soutif, des bas, chemisier transparent, un petit tailleur. Je t'emmène, j'ai besoin de faire une course avec toi.
Non sans râler, la vieille se leva finalement, éteint la télé et alla se vêtir de la façon dont il lui avait été demandé.
Bientôt, je vis le couple sortir de la maison, je n'aurai le détail des opérations que plus tard par Kader.
Le jeune homme se rendit au centre commercial, à la sortie de la ville, il se gara au plus près de la porte ouest. Là, il sortit de la voiture, vint chercher la femme mûre, ouvrit la porte, la prit par la main et l’aida à sortir, referma la portière et condamna le véhicule.
Puis s’arrêta pour prendre un caddie et le fit pousser par Béatrice, en lui disant :
- Tu me suis.
Une fois entrés dans le centre commercial, il désigna le gros vigile qui se trouvait là :
- Tu as vu la bête ! Imagine un peu sa bite…
Le type, certes assez gros, n’était pas pour autant gras, mais très trapu, grand, il faisait bien son mètre quatre-vingt-dix, des bras musclés, et des jambes qui semblaient l’être aussi, bien que masquées par le pantalon. Une grosse bosse se voyait nettement du côté de sa braguette.
Ils suivirent les rues intérieures jusqu'à l'entrée de la grande surface.
Il y avait deux grands blacks, très costauds comme vigiles.
Le jeune homme commence par se rendre au rayon sous-vêtement. Il choisit une petite culotte en dentelle et demanda :
- Ça va, elle te plaît celle-ci ?
- Mais tu veux que je mette une culotte maintenant ?
- Ouais, t'inquiète pas.
Ensuite, il se dirigea pas loin des cabines d'essayage où il y avait une sorte de distributeur de montre. Il prit son temps, pour choisir une belle montre volumineuse qui coûtait plus de deux-cent-cinquante euros. Puis, en face, il guida la blonde jusqu'au rayon confection. Il choisit trois robes, qu'il mit dans le caddie.
Une fois ces articles sélectionnés, il se dirigea vers les cabines d'essayage. Là, une femme lui remit une sorte de carte avec un numéro. Il poussa le caddie jusqu'à la plus grande des cabines, qui fermait avec un rideau. Discrètement, il prit la montre, l’enveloppa dans une robe. Il prit les deux autres et la culotte et entra dans la cabine avec la pauvre femme, qui ne comprenait rien à tout ce stratagème.
- Fous-toi à poil, tu ne gardes que tes bas.
Pendant que la femme retirait son chemisier et sa jupe, il s'affaira sur l'emballage de la montre, la mit par terre, donna un grand coup de talon, pour casser le plastique. Puis il retira délicatement l'objet de sa gangue dure. Quand ce fut fait, il dit à la blonde :
- Viens ici, tourne-toi, présente-moi ton cul.
Béatrice se tourna, se pencha en avant et écarta ses cuisses. Elle ne savait pas quoi penser de tout ça, mais comprenait qu’il valait mieux obéir que se rebeller.
Kader sortit une capote de sa poche, la déballa, enferma la montre dans le préservatif. Ensuite, de ses doigts agiles, il écarta les lèvres et glissa doucement la montre, au fond du vagin de la femme mûre.
Elle commença à vouloir se rebeller, finalement, et posa des questions :
- Mais qu'est-ce que tu fais ?
- T'occupe, reste comme ça.
- Je ne veux pas de ce genre de conneries !
- Ferme-la !
Et une grande claque sonore sur le petit cul vint ponctuer l’ordre.
Ensuite, il s’empara de la culotte, arracha à l'étiquette et il glissa le fin vêtements, également dans le vagin. Une fois fait, il précisa à la blonde :
- Remets-toi debout, tu vas essayer la robe bleue.
Sans comprendre, Béatrice enfila la robe bleue. C'était une petite robe, toute simple, qui s'enfilait, sans aucune fermeture.
Là, le jeune homme se mit debout, sortit dans le couloir, laissant le rideau ouvert et prit une photo.
- Remonte ta robe, que je vois ta chatte.
Et il reprit une photo puis, il ordonna encore :
- Allez, tu m'essayes la robe rose.
Béatrice essaya bien de refermer le rideau, mais le jeune homme l'en empêcha.
- Mais ! On peut me voir, je suis toute nue !
- Dis-moi, quand tu es à la plage, ton fils m'a dit que tu fous tes nichons à l’air ! Je ne vois pas où est différence entre la plage et ici ! Allez, enfile la robe rose.
Pendant qu'elle se changeait, le jeune homme prit encore quelques photos. La robe rose avait une petite fermeture dans le dos. Une fois que ce fut fait, il dit encore :
- Bon, ça te va... Maintenant, tu m'essayes la robe blanche.
Sur le coup, elle ne chercha plus à fermer le rideau, se mit nue et enfila la dernière robe, puis, une fois ajustée, se retourna vers son mac.
C’était une robe avec des boutons qui se ferment sur le devant, avec des bretelles.
Il s’approcha et lui dit :
- Parfait, à présent, sautille sur place, s'il te plaît.
Sans trop comprendre, Béatrice se mit à sauter, et à chaque fois qu’elle voulait s’arrêter, le jeune lui demandait de continuer encore.
- Ça va ? La montre est bien au fond de ta chatte ? Elle ne va pas tomber ?
- Non, ça va, elle est bien au fond, ça ne bouge pas.
- Parfait, quelle robe te plaît le plus ?
- La blanche me plaît davantage que les autres.
- OK, très bien, donc tu laisses les deux autres robes là et tu te rhabilles.
Kader se pencha pour récupérer tous les petits morceaux de la boîte plastique qui contenait, quelques minutes plus tôt, la jolie montre. Il s'assit sur une sorte de banc dans la cabine. Il invita la blonde à s’asseoir à ses côtés, là, il lui chuchota à l'oreille :
- Voilà comment ça va se jouer. Quand tu passeras à la caisse, tu donneras le ticket de la culotte en expliquant, tout doucement à la caissière, que tu as eu un petit souci de femme et que tu as été obligé de mettre une culotte propre.
- Mais c'est du vol !
- Appelle ça comme tu veux ! Tu es bien une pute, donc tu vas pas commencer à nous faire la leçon, maintenant.
Pour faire bonne mesure, il passa au rayon hygiène féminine, prit une boîte de tampons. Puis, au rayon parapharmacie, où il prit d'une boîte de capotes "king-size" et du gel. Ensuite, il se dirigea vers le rayon boisson où il récupérera deux bouteilles de whisky et tout au fond une bouteille d’eau minérale. Il en profita pour glisser discrètement les restes du coffret de la montre dans une capote, derrière la palette de bouteilles d’eau.
Béatrice poussait toujours docilement le caddie.
Kader choisit la caisse où était une femme moins jeune que les autres. Il déposa alors, sur le tapis, ses emplettes, sans exception, ainsi que le ticket de la culotte de sa compagne.
La femme mûre, très gênée, expliqua, d'une petite voix et tout doucement, à la caissière, qu'elle avait eu un problème de femme. Et, qu'elle avait acheté une culotte, lui tendit le ticket en expliquant, que la culotte ferait certainement sonner les panneaux anti-vol. Si la dame voulait bien arrêter tout de suite la sonnerie, de façon à pas faire trop débats. Elle n’avait pas envie d'expliquer tout ça aux vigiles qui seraient, sans doute, venus poser des questions.
La caissière, dans les quarante-cinq ans, fut totalement compréhensive. Dès que la sécurité commença à sonner, elle coupa l’alarme naissante, laissant la blonde passer.
La pauvre femme apeurée ramassa ses petites affaires et les mit dans le petit sac en papier, que lui en avait procuré la caissière.
Kader paya un peu moins de cent euros, puis le couple se dirigea vers la sortie.
Au premier banc, le jeune homme fit s’asseoir la blonde encore tremblante et lui dit :
- Tu m’attends là un quart d’heure et ensuite, tu vas directement à la voiture. J’ai quelqu'un à voir.
- Ça va être long ?
- C'est bon ! Tu ne vas pas commencer à m'emmerder ! Tu as bien compris, tu attends un quart d’heure et tu me rejoins. Tu passes par la porte par laquelle nous sommes arrivés et tu sais où nous sommes garés.
- Oui, oui, je vois bien.
Le jeune s'éloigna du banc et tourna au bout de l’allée et prit le chemin qui l'amenait à la porte ouest. Mais, au lieu d'aller aux toilettes, il alla directement voir le grand vigile, assez gros, et lui dit :
- J'ai vu une vieille salope blonde, pendant que j'essayais des fringues, elle a piqué une montre et se l’ait foutu dans la chatte avec une culotte. En plus, elle est reconnaissable, dans son caddie, elle a deux bouteilles de whisky, avec des capotes, tampon et une robe blanche, de mémoire. Elle fait un peu moins d'un mètre soixante-dix.
Il sortit, contourna un peu le bâtiment et revint par la porte sud. Là, assis sur un banc, observa la scène. Bientôt, il vit passer sa complice en direction de la porte ouest.
Avant de sortir, elle fut hélée par le gros vigile. Il lui demanda :
- Vous n'avez rien à déclarer ?
- Bah non, pourquoi ?
Le ton de Béatrice était suspect, et elle était bien mal assurée.
Il sortit son détecteur magnétique, le passa au niveau du bassin de la femme et l’appareil réagit instantanément en clignotant et en faisant un petit bruit de klaxon.
Les passants se retournèrent vers elle et la dévisagèrent. La blonde passa au rouge, instantanément, et ne sut que dire.
- Très bien, vous allez me suivre.
Il prit le caddie, le poussa, ouvrit une porte dérobée, fit entrer le caddie puis la blonde. Après, attrapant la pauvre femme par le bras, il l’emmena dans une grande salle blanche, très fortement éclairée. Il verrouilla la porte derrière eux.
- Voilà comment ça va se passer. Soit, tu me donnes, tout de suite, ce que tu t'es foutu dans la chatte. Soit c'est moi qui vais le chercher. Et je te préviens, en fonction de ce que je trouve, soit je te prends en photo, pour que tu rentres dans notre album "les voleuses". Soit, j'appelle carrément les flics.
Elle commença à trembler. Elle se défendit un peu, en disant, d’une voix plaintive :
- Je voulais pas le faire ! Je voulais pas le faire.
Et elle souleva sa jupe et retira délicatement la culotte en dentelle de sa chatte.
Le vigile ne lui laissa pas le temps de continuer. Il la prit sous les bras, et l’allongea sur la table au centre de la pièce. Il lui écarta les jambes sans ménagement, et enfouit ses doigts dans le vagin pour l’explorer. Il entra en contact avec quelque chose, réussit à ressortir le bord de la capote. Il annonça alors vicieusement :
- Je suis obligé d'entrer toute ma main !
Béatrice tremblait maintenant de tout son corps, non seulement elle avait honte de passer pour une voleuse, mais en plus, se faire fister par un inconnu, dans ces conditions, la mettait plus que mal à l’aise.
Il prit un temps infini pour entrer sa main puissante dans l’antre féminin encore sec. Et, à la fin, il réussit à récupérer la montre dans la capote et la retirer doucement du vagin.
- Bravo, tu as bon goût, une montre qui vaut plus de trois cents euros. On fait quoi pour ce prix-là ? À ton avis... Normalement, je suis censé appeler les flics, tu en penses quoi ?
- Non ! Par pitié ! Non...
La blonde pleura en répétant sans cesse :
- Je ne voulais pas... Je ne voulais pas... je ne suis pas une voleuse ! C'est Kader qui m’a forcé.
- Pas la peine de pleurnicher ! Tu as volé, tu t'es fait gauler, voilà c'est tout ! Alors, j'attends ta réponse…
- Non, soyez gentil, je ferai ce que vous voudrez, mais soyez gentil… N'appelez pas la police.
- D'accord.
Il alla encore une fois à la porte d'entrée, vérifia qu’elle était bien verrouillée, il se tourna donc vers la vieille, et ordonna d’une voix puissante :
- Pour commencer, tu vas me sucer la bite.
Béatrice s’agenouilla devant l'homme, lui défit le pantalon et sortit un énorme sexe du slip.
En ouvrant, le plus grand possible, sa bouche, elle prit le membre de sa main droite et la porta à ses lèvres. Malheureusement, quels que soient ses efforts, elle ne put faire rentrer, dans sa bouche, que le gland déjà énorme.
Le type se marrait et lui dit :
- Tu es une voleuse, mais tu n’as pas une grande gueule ! Bon, c'est pas grave, relève-toi…
Il l'aida à se relever et l’allongea sur la table. Là, il remonta les jambes, les écartant et amena son gros gland, contre la vulve déjà humide. Puis, il dit encore :
- C'est bon signe, tu mouilles.
Béatrice était très angoissée à l'idée de se prendre une telle queue dans la chatte. Bien sûr, dans sa vie de salope, elle avait déjà pris des grosses bites, notamment en Afrique. Mais là, déjà l’engin était balèze, et en plus, elle ne savait pas pourquoi, le mec l’impressionnait vraiment. En même temps, la taille de l’engin l’excitait terriblement.
L’homme n’y alla pas par quatre chemins. Une fois sa bite bien lubrifiée, la glissa dans le vagin déjà inondé de cyprine.
Elle poussa un grand cri, eut l’impression qu’on la déchirait, comme lors de son accouchement, mais très vite, elle fut heureuse de prendre en elle, une si belle pine.
Le vigile libidineux lima cette chatte avec plaisir. L’endroit était plus serré que le vagin de son épouse, aussi, il ne tint pas très longtemps. Il ressortit sa pine prête à exploser, attrapa la femme par le bras, la fit tournoyer sur elle-même et lui enfila son gland poisseux dans la bouche. Puis, il ordonna :
- Finis-moi maintenant, salope.
Béatrice branla l'homme, bientôt, de reçu une grosse dose de sperme. Le sirop de corps d’homme avait bon goût, et la blonde n’en perdit pas une goutte.
Il remonta sa braguette, remit la montre dans la capote. Il profita que la femme était sur la table, il lui repoussa les jambes en arrière, écartant ses petites fesses molles, passa la capote sur la chatte dégoulinante et introduisit la montre dans le cul de la pauvre femme. Puis, très vite, il la remit debout. Mais loin de la laisser s'en aller, il lui attacha les poignées avec une paire de menottes, qu'il avait accroché à son pantalon. Et là, il lui annonça :
- Finalement, tu es une voleuse... Et comme tu n’as pas pu prendre ma bite entièrement dans ta bouche, je me vois obligé d'appeler les flics.
Béatrice devint hystérique, elle pleura, Pigna, trépigna et demanda grasse au vigile.
Mais celui-ci ne voulut rien entendre. Mais il lui précisa encore :
- Tu peux crier autant que tu veux ici, la pièce est insonorisée, aucun souci donc.
Puis, pas acquis de conscience, le black lui mit quand même un bâillon sur la bouche et accrocha la paire de menottes au radiateur. De cette façon, elle pourra se débattre autant qu'elle voulait, mais elle n'arrivera pas à défaire le bâillon.
Un bon quart d'heure plus tard, elle entendit le klaxon caractéristique des véhicules de police. Elle tremblait de tout son corps. Quelques instants après, deux flics en tenue entrèrent dans la pièce, à la suite du vigile.
L’employé du centre commercial détacha la pauvre blonde, l’aida à se remettre debout, puis l’amena devant les flics, en précisant :
- Jean-Pierre, voilà la voleuse dont je t'ai parlé. Elle a piqué une montre qui vaut plus de trois cents balles et se l’ait foutu dans le vagin. Mais finalement, j'ai eu besoin de sa chatte, tu vois ce que je veux dire, donc je lui ai remis dans le cul.
Les trois hommes se marrèrent un bon coup.
Sur ces bonnes paroles, le vigile défit les menottes des poignets de la bonde et les remit à sa ceinture. Là, après avoir mis une gifle à la pauvre Béatrice, il la pencha en avant, lui écarta les jambes avec la sienne, et retira la capote contenant la montre du cul de la voleuse. Il tendit l’objet du délit au plus âgé des deux policiers.
Le plus jeune des deux flics, attrapant la blonde par le bras, l’exhorta :
- Bien, maintenant tu vas nous raconter ton larcin. Et tu n’oublies pas les détails.
Le flic s’assit, laissant la femme mûre debout, puis entama l’interrogatoire :
- Tu vas commencer à nous faire voir comment tu t’es enfourné tout ça dans ta chatte.
- Mais c'est pas moi… C'est Kader qui me les a mis dans la chatte !
- Mets-toi la montre dans le vagin.
Béatrice prit la capote contenant la montre qu’on lui tendait, s’accroupit, et se glissa l’objet dans la chatte. Ensuite, elle se remit debout.
- Bien, la culotte maintenant, et l’homme lui tendit le sous-vêtement en dentelle.
À nouveau, elle s’accroupit, les genoux bien écartés, et glissa le fin tissu dans sa matrice encore très humide. Une fois fait, se redressa.
- Parfait, donc tu viens de nous démontrer que tu n’avais besoin de personne pour te mettre tout ça dans le vagin !
- Ouais, c'est une sacrée salope, dirait-on !
Là, Béatrice se sentit piégée, aussi, elle voulut s’expliquer :
C'est Kader, il m’a conduit dans le magasin, a fait les courses, m’a obligé à aller dans les cabines d’essayage, et m’a mis la montre et la culotte.
- Où ça ?
- Dans ma chatte…
- Ha ! Et qui est ce Kader ? comment l’as-tu connu ?
- C'est un copain à mon fils.
- Ben voyons !
- Cette folle a une sacrée imagination, dit le fameux Jean-Pierre.
- Ha ! Tu vas faire tes courses avec les copains de ton fils, toi ! Et ces copains te mettent des objets dans ton sexe ! Intéressant…
- C'est pas ce que vous croyez…
- Et quel âge a ton fils ?
- Seize ans et demi.
- Et les potes de son âge ont une voiture, gagnent leur vie pour t’emmener en courses ?
La pauvre femme sentait bien qu’elle s’enfonçait toujours un peu plus. Mais comment expliquer ce qu’elle vivait depuis quelque temps, à des flics qui, eux, n’avaient pas forcément beaucoup d’imagination, ni d’ailleurs l’esprit très ouvert.
- Et dans le magasin, explique-nous comment ça s’est passé.
Durant tout le temps, le plus âgé et plus rond des deux policiers enregistrait toute la scène. Faisant des gros plans quand la femme s’introduisait des objets dans son sexe, la dévisageant, mais tout ça en jouant du zoom, sans s’approcher physiquement. Si bien, que la blonde ne s’aperçut de rien.
La femme, d’une voix monocorde, commença alors à raconter :
- Nous sommes passés au rayon sous-vêtements féminins, Kader a choisi une culotte en dentelle pour moi.
- Oui… Celle que tu avais dans ta chatte, jolie d’ailleurs.
- Ensuite, il a pris cette montre sur une sorte de distributeur devant le rayon confection femme, puis il a choisi trois robes et nous sommes allés dans la cabine.
- Et toi, tu suivais docilement, sans poser de question ?
- Oui… enfin, non !
- Et pourquoi tu ne t’es pas posé de question ?
Là, elle fut totalement incapable de répondre autrement que par un long silence qui en disait long au policier.
- Bon, ton histoire est cousue de fils bancs !
Reposant un instant sa caméra, Jean-Pierre, dit :
- Bah, avec ce que tu nous as avoué, tu ne pourras pas nous faire chier, ni nous faire des histoires. Il suffit qu'on montre ça, au procureur de la République et tu vas direct en prison, connasse !
L’autre policier enfonça alors le clou :
- Et c'est très con de ta part, que d'incriminer une autre personne, que personne n'a vu, qui plus est.
Elle voulut encore se défendre, en disant :
- Mais venez avec moi, je vous montre sa voiture, si ça se trouve, il est encore là.
- Nous n’avons pas de temps à perdre avec tes conneries.
- Le mec le plus rond la regarda et lui refila grande une gifle et lui annonça :
- Tu vas me lécher le cul, sale conne.
Et il baisa à son froc, se plia sur la table, écarta ses fesses avec ses mains et ordonna encore :
- Viens me lécher le cul, pétasse !
Comme ça n'allait pas assez vite, son collègue prit la nuque de la blonde et vint coller la bouche sur l'anus du gros homme.
- Lèche, que t’a dit mon collègue.
Étourdis de peur, elle obéit.
Elle appliqua sa langue sur cet anus peu ragoutant, ayant une mauvaise odeur, et lécha le muscle, patiemment, avec un art, non simulé, de ce genre de caresse.
- Voilà une bonne lèche-cul, dirait-on...
- Ouais, une voleuse qui lèche le cul d’un flic, pour ne pas aller en prison...
- Quand elle entendit le mot prison, elle trembla de plus belle, sa voix se fit plaintive.
- Pitié, ne m'emmenez pas... Pitié ne m'emmenez n'est pas en prison.
- Ta gueule, lèche, asséna Jean-Pierre.
Pendant qu'elle léchait l'anus du plus rond des flics, le plus jeune passa derrière elle, remonta sa jupe sur les reins, puis dit d’un ton moqueur au possible :
- C'est une vraie pute ! elle n’a même pas de culotte !
Il ouvrit sa braguette et sans autre forme de procès, enfonça sa bite dans l’anus qui était encore glissant.
Il ne mit pas très longtemps à jouir. Il inonda les boyaux de la blonde, attendit que sa pine ramollisse un peu, la ressortit et relâcha la pauvre femme.
- Enculer une telle pute alors qu’elle a le vagin plein, c'est une sacrée expérience, dit alors le jeune policier à son collègue.
- Ouais, redresse-moi ça, Fred, je veux aussi l’enculer.
Le type aida à femme mûre à se redresser, la libérant de fait de son léchage de cul.
Jean-Pierre se redressa à son tour et vint s’asseoir sur une chaise. Là, il fit signe à la blonde de venir le voir. Une fois auprès de lui, il lui attrapa l’avant-bras, la fit se retourner, et la tira pour qu’elle s’assît sur son sexe, raide comme la justice.
- Ouf ! Fit Béatrice quand elle reçut le membre dur dans son fondement.
L’homme lui donna très vite le rythme pour qu’elle monte et retombe sur son chibre.
Fred, vint alors présenter sa pine polluée à la bouche féminine.
Elle l’avala tout de suite. C’était un peu comme si, avoir un zob en bouche la rassurait. Un vieux maque de tétine à sucer ?
L’homme rebanda un peu, mais rien de difficile pour la très expérimentée Béatrice.
- Tu as raison, c'est bon d’enculer une telle salope quand elle a le vagin plein...
Adossé au mur, le vigile suivait les opérations des yeux, il connaissait parfaitement cette paire de flic et savait qu’il fallait être de leur côté, sinon, les emmerdes commençaient rapidement. Son téléphone vibra, visiblement son chef s’inquiétait qu’il ne fut pas à son poste. Il sortit dons de la pièce et disant :
- Je vous laisse les gars, j’ai à faire, à plus…
Le vieux policier commençait à ahaner, à enculer cette femme.
Le plus jeune interpella son ami :
- Tu te rends compte, cette grognasse suce même les bites qui sortent de son cul ! Dommage que tu ne lui aies pas pété dans la bouche !
Les deux mecs rigolèrent une fois de plus.
Bientôt, Jean-Pierre bloqua la femme contre lui, et déchargea une bonne dose de sperme dans ce cul déjà visqueux et plein.
Maintenant, la pauvre Béatrice ne sentait plus son anus. Elle se trouvait sale, humiliée, mais surtout, elle espérait que les deux policiers ne l’embarqueraient pas au commissariat. Quelle honte si c’était le cas !
Repoussant la blonde, l’homme se remit debout et remonta son pantalon, il la retourna une dernière fois, lui fila encore une paire de claques sonores et la menaça :
- Je te préviens, là, on va être gentil, on ne va pas aller voir Monsieur le Procureur la République, mais si on te Revoit, je t'assure que là, tu dégusteras, connasse.
Et les deux mecs ressortirent, laissant la pauvre femme seule.
Après quelques secondes pour reprendre ses esprits, elle ouvrit la porte et sortit dans le couloir. Elle récupérera son caddie et ressortit du petit couloir qui menait sur l'allée du centre commercial. Elle vit le vigile, passa devant lui, la tête baissée et lui dit :
- Au revoir, monsieur.
Le type lui fit un clin d’œil, puis reprit sa posture.
Elle sortit et se rendit directement à la voiture de Kader qui était au téléphone.
Il ouvrit sa portière, sortit et alla ouvrir le coffre. Là, il regarda sa pute et lui demanda :
- Mais qu'est-ce que tu foutais ! Je te demande d'attendre un quart d'heure, ça fait maintenant une heure et demie que j'attends ! Tu me prends pour un con ou quoi ?
- Non Kader, excuse-moi… Mais si tu savais ! J'ai pas de chance, j'ai été prise par le vigile, qui m'a fouillé et qui a trouvé la montre.
- Tu es vraiment une connasse ! Une bonne à rien !
Et, l’attrapant, l’emmena devant la portière passager, l’ouvrit et jeta dans la voiture la pauvre blonde.
- Donne-moi la montre, maintenant.
- Le vigile, ce salaud, me l'a mise dans le cul.
Avec un grand sourire, Kader fouilla donc l’anus, obligeant Béatrice à basculer son bassin, et à montrer sa chatte, alors qu’il y avait des gens qui passaient. Il récupéra le bout de la capote, tira précautionneusement dessus et sortit doucement la montre.
- On va y aller la faire voir à ton fils, ma pute.
Commentaires
Enregistrer un commentaire