Théo-rème de l’inceste Chapitre 40 : visite du docteur

 

Dans la matinée, sur le coup de dix heures, Sofia entra dans la chambre avec une tasse de café fumant. Elle posa la tasse sur la table de nuit et vint défaire les liens de la pauvre femme. Puis, après lui avoir fait un bisou sur la bouche, lui dit :

- Bois pendant que c'est chaud, ça va te réconforter.

- Merci

Je dois tout de même te remercier, à mon tour ! Car grâce à toi, j'ai pu passer la nuit avec l'homme, que j'aime le plus au monde, dans son lit ! Ça change des petits coups vite fait dans la cuisine, dans la cave, dans la salle ou dans ma piaule. Ce fut vraiment génial, merci encore ma belle.

Béatrice ne comprenait rien du tout à ce baratin. Mais elle prit la tasse et bu, à toutes petites gorgées, le café très chaud. Une fois la tasse vide, elle la tendit à la jeune femme attendait et qui la prit, puis elle ressortit de la pièce, en disant :

- Je referme la porte derrière moi, mais ça va pas être long, tu vas voir, notre docteur va venir t’ausculter.

Là-dessus, elle referma la porte de la chambre et la verrouilla.

Une petite demi-heure plus tard, la clef dans la porte annonça à Béatrice qu’elle avait de la visite. Trois personnes entrèrent. Rachid et Sofia, bien entendu, accompagné d'un homme assez grand qui se présenta comme étant le docteur Mubase.

Désignant de la main, la pauvre femme, Rachid indiqua :

- Voilà la bête. Elle se fait baiser et enculer par n'importe qui. J'aimerais savoir si elle ne risque pas de plomber les clients.

- D'accord, je vais voir ça. Puis, le toubib se tournant vers la pauvre femme ordonna :

- Allonge-toi, jambes bien écartées, vieille pute.

Ne sachant trop que penser de la situation, la pauvre blonde obéit.

Le vicieux praticien commença par écarter les lèvres et regarder la vulve. Après, passant son bras droit sous les cuisses de la blonde, les tirant en arrière de manière à pouvoir voir l'anus. Après ce premier examen visuel, il enfonça un doigt dans le sphincter, qui s’ouvrit, pour laisser passer ce corps étranger, sans souci. Alors, il mit deuxième doigt, et encore un troisième, et enfin un quatrième doigt, et fit en sorte de les écarter.

- Ouais, mémère a le troufignon bien souple, ça c'est bon signe. Côté visuel, rien à dire. Elle doit servir souvent, certes, mais il n’y a pas de lésion.

Il retira assez vite, ses doigts, en ensuite son bras, pour que les jambes retombent. Il recommença écarter les lèvres, pour regarder de très près toute la vulve, puis il annonça :

- Côté chatte, rien à dire non plus. Il semble n’y avoir aucun signe de maladie vénérienne. Toutefois, je te mets en garde, Rachid, pour le sida par exemple, il faut compter trois mois avant qu’une détection du virus ne soit possible. Donc, en attendant ces trois mois, je te conseille de capoter. Surtout, si c'est une vieille salope qui se fait tirer par n’importe qui, partout.

Le bon docteur s'amusa un peu avec le clitoris et voyant que la femme avait de petits spasmes, visiblement de plaisir, il dit encore :

- Bon, côté clitoris, elle marche bien.

Puis, il prit le sein gauche en main, le palpa énergiquement, ensuite le droit, de la même façon, le tripota jusqu'à ce que la femme fasse une grimace, ce qui paraissait beaucoup l'amuser, et il dit encore :

- Bon, côté mamelles, ça va, il n'y a rien de particulier. Elle est bonne pour le service, même si elle est un peu usée. C'est une alcoolique ?

- On peut exprimer ça comme ça. Je sais pas comment tu appelles ça, mais c'est un alcoolisme particulier. Puisqu'elle ne boit pas tous les jours, mais pour sortir, pour être bien avec ses amis, pour faire la fête et pour se faire baiser.

- Ah oui, je vois le genre. C'est l'alcoolisme aigu.

Il remonta encore, pinça le nez de la vieille avec les doigts de la main gauche, lui fit ouvrir la bouche et vérifia l'état des dents.

- Elle peut sucer son problème. Il n’y a aucun risque de ce côté-là, même sans capote. Cela dit, comme pour tes autres filles, je te conseille de les traiter au PrEP, pour éviter qu’elle ne propage le sida.

Rachid sourit et proposa au bon docteur :

- Bien entendu, tu peux l'essayer à ta guise.

- Merci, avec plaisir.

L'homme s'allonge à moitié, reposant sur ses coudes, vers le pied du lit. Une fois installé selon son désir, il ordonna à la blonde.

- Viens me sucer vieille pute.

Ne sachant trop que faire, la vieille resta un moment comme interdite. Puis, voyant que Rachid fronçait les sourcils, elle se releva et vint s’installer juste à côté du praticien, qui avait ouvert sa braguette et sorti sa bite.

- Vas-y, suce, fais pas ta timide, mère.

La vieille blonde prit le vit en main et se pencha pour mettre le gland dans sa bouche. Là, elle fit tourner sa langue autour et commença à masser la pine doucement.

- Non ! Je ne t'ai pas demandé de jouer à ma femme ! Je veux que tu me fasses jouir rapidement.

La pauvre femme se mit donc à faire une pipe énergique et très vite, elle sentit gicler de foutre chaud au fond de sa bouche.

- Ça fait du bien ! Vieille, moche et bonne suceuse. Elle doit plaire aux clients. Non ?

- Je ne sais pas encore trop... En tout cas, elle vient de faire le foyer Adoma et ç’avait l'air de bien plaire. Mais, si elle ne plaît pas à mes clients, je la ramènerai au foyer.

- Attention ! Foyer c'est n'importe qui, c'est un gros risque de maladies.

- Ouais, je sais, mais bon, c'est de la boîte à bites, c'est fait pour être utilisé et jeté quand ce n'est plus bon.

Béatrice était effarée d’entendre de tels propos, elle se dit que vraiment, elle était tombée bien bas ! Et tout ça, à cause de beuveries répétées, de son attitude quand elle voulait s’amuser, elle se plaignit elle-même, se disant que, incontestablement, elle n’avait pas de chance !

Après cette pipe, le médecin se remit debout, referma sa braguette, puis, louchant sur Sofia, demanda d'un ton sibyllin :

- Et voir ta petite chérie avec la mémé, en train de se gouiner. C'est possible ?

- Bien entendu, aucun souci, je vais demander à ma bonne amie de s'occuper de mémère.

Rachid se tourna vers sa petite copine Sofia, lui fit un clin d'œil et lui dit

- Allez ma belle, à toi de jouer.

La jeune femme commença à défaire les boutons de son chemisier, tout en s'approchant de la tête du lit. Elle se tourna, s’assit et demanda d’une voix douce.

- Tu peux me retirer mon soutien-gorge, s'il te plaît, Béatrice ?

La blonde vint se mettre à quatre pattes sur le lit et défit les crochets du sous-vêtement.

À ce moment, la jeune se remit debout, ouvrit sa braguette, libéra le bouton et fit glisser son pantalon et sa culotte en dentelle, le long de ses jambes. Se rasseyant, d'un geste auguste, elle retira ses chaussures en s’aidant de ses pieds. Puis, retira intégralement son pantalon. Maintenant qu'elle était totalement nue, Sofia se retourna et prit la blonde par les épaules. Tout naturellement, elle la fit basculer pour qu’elle se trouve le dos sur ses genoux. Elle commença à lui rouler une longue pelle. En même temps qu'elle embrassait la vieille femme, elle lui tripota les seins doucement. Elle joua avec le galbe, puis avec les tétons, les pinçant et les relâchant alternativement.

- Tu as entendu le docteur, on va lui faire un petit spectacle de filles. Ça t'évitera de le payer en monnaie sonnante et trébuchante.

La femme mûre ne savait plus trop où elle était, ni ce qu'elle faisait là. La dernière fois qu'elle avait eu une relation sexuelle avec les deux autres prostituées de l'établissement, elle se souvint qu’elle avait beaucoup joui.

Et depuis, elle se posait de plus en plus de questions concernant sa propre sexualité et ses propres attirances. Certes, Sofia était très jolie, mais il restait à Béatrice, une certaine réticence, quant aux les relations homosexuelles.

C'est à ce moment que la jeune prostituée laissa sa main droite descendre doucement le long du corps. D’abord caressant les flancs, puis le ventre rond. Et ensuite, le mont de Vénus, pour arriver enfin à la vulve chaude et déjà ouverte. Une fois qu'elle se fut bien enduit les doigts de cyprine, elle commença à triturer le clitoris.

Cette fois, de fut la blonde qui attrapa la nuque de sa nouvelle amie et qui l'embrassa comme du bon pain. Elle joua de sa langue dans la jeune bouche, encore fraîche, avec frénésie. Elle se sentait excitée. Elle ressentait son vagin inondé, entrouvert, qui suintait sa cyprine et elle sentait son jus de femelle couler progressivement contre ses petites fesses.

C'est à ce moment que le docteur se tourna vers le maquereau et lui dit d’une vois feutrée :

- Il n’y a pas, elle sait y faire, cette petite morue. Mais que c'est excitant de voir deux femmes se gouiner.

- Surtout, quand on sait que l’une pourrait être la mère de l‘autre.

- Finalement, Rachid, tu serais encore plus vicieux que moi !

Et les deux hommes rigolèrent.

La jolie prostituée, se dégageant de cette bouche qui l’empêchait de parler, regarda la femme mûre avec un regard bienveillant et lui dit :

- J'ai envie de ta chatte ma belle.

Très vite, comme il fallait faire, la jolie jeune femme basculant la blonde sur le lit, la mit sur le dos, se faufila entre ses jambes, comme une anguille, et vint lécher la vulve gluante. Elle passait sa langue dans toute la zone, ne délaissant pas un millimètre carré de chair qui n'aurait pas eu de caresses de sa langue. Cette chatte sentait la pute en fin de service, elle sentait le foutre rance, et cette odeur mettait le feu au cul de la jeune pute.

Rapidement, la blonde se mit à ronronner, à balbutier des mots intelligibles, mais le ton était bienveillant et il semblait qu’elle appréciait grandement les caresses saphiques.

Le vicieux toubib vint s’agenouiller juste à côté de la tête de la jeune, regardant de près, ce qu'elle faisait.

Comprenant ce que le vicieux de médecin voulait voir, elle recula un peu sa tête et dit tout doucement à l’attention de l'homme :

- Je vais lui rouler une pelle dans le vagin, regarde.

Elle plaqua sa bouche sur la vulve, sortit sa langue et commença à faire tourner sa langue dans le vagin plein de cyprine chaude et douce. Ce faisant, elle but de cette liqueur qu’elle aimait tant, et un petit filet s’en échappa de son menton.

Le médecin, appréciant le spectacle à sa juste valeur, se tripota la bite à travers l’étoffe de son pantalon. Et encouragea :

- Oui ! Bouffe-lui bien la moule, à cette vieille salope, c'est très excitant.

Après dix minutes de ce petit jeu, avec sa langue dans le vagin, de sa nouvelle collègue et ses doigts qui jouaient avec son anus. La jeune prostituée releva la tête, pour respirer un peu. Elle passa son bras sous les fines cuisses et les tira en arrière. Puis, redescendit sa tête pour lécher la vulve, et cette fois, allant jusqu’au sphincter.

Là, le médecin lui ordonna !

- Ouais, encule-la avec ta langue, vas-y.

Sachant qu'il fallait mieux faire plaisir aux amis de son amant et Maquereau, elle sortit sa langue, la durcit le plus possible et encula la blonde. La menteuse entrait et sortait de cet anneau marron.

Déjà totalement excitée, cette fois, Béatrice ne put empêcher de bouger la tête de droite à gauche, comme une damnée. Quelques instants plus tard, elle attrapa la tête, de la jeune, entre ses mains et se mit à crier à chaque fois que la langue écartait son sphincter.

- Jolie feuille de rose ! En plus, cette enculée semble vraiment bien apprécier ta langue.

Bientôt, la blonde fut frappée de stupeur tant l’orgasme qu’elle ressentit fut fort. Elle se crispa, poussa un grand cri qui finit par une longue plainte.

- Dis donc mémère, tu aimes ça ! Par tous les trous ! Tu marches à voile et à vapeur.

À cause de la violence de l'orgasme et la sensibilité à fleur de peau, la pauvre femme ne pouvait pas répondre. Elle se calma doucement, quand elle sentit la jeune femme venir s'allonger à côté d'elle, la prendre dans ses bras et la serrer contre elle, seins contre seins, une jambe musclée contre sa vulve, une main chaude tenant ses reins.

S’ensuivit dix minutes de câlin et de caresses douces.

Pendant que les deux mecs discutaient des femmes, de leurs vices et du plaisir qu’ils en tiraient.

Puis, la jeune susurra à l'oreille de ça collègue :

- J'ai envie que tu manges ma chatte, ma belle.

Sofia l’aida à se redresser et à se mettre sur ses genoux, lui donna l’impulsion pour que la femme mûre, encore toute ensuquée, descende vers son sexe, alors qu'elle-même, écartait les cuisses.

Béatrice commença à lécher la vulve, en s'attardant sur le clitoris, qu’elle prit entre ses lèvres et qu'elle aspira doucement. De prodiguer une telle caresse l'excita énormément. Contrairement à la sienne, cette chatte sentait bon le frais, avec une petite arrière odeur de monoï. C’était fabuleux !

Le vicieux médecin était excité également, il regarda le maquereau, sans rien dire, mais lui fit comprendre qu'il avait envie de prendre la vieille.

Rachid lui fit un signe d'acquiescement de la tête.

Le pervers toubib vint se mettre à genoux, entre les jambes de la femme mûre, sortit son sexe déjà bien développé. Il pointa l’œil de bronze et d'un bon coup de rein, encula Mémé.

Voilà bien ce que sont les gens qui donnent de bons conseils, dans le genre médecin qui pue le tabac à cent mètres et qui vient vous dire qu’il ne faut pas fumer, c'est mauvais pour la santé !

À nouveau, Béatrice poussa un cri rauque, bavant de ce fait dans le jeune vagin. Elle haletait au rythme des coups de reins qui lui vrillaient le bas ventre, elle eut encore un orgasme. Cette fois, son cri se perdit dans la chatte de sa jeune amie.

Excité d'être si proche de ces deux gouines et de les voir se faire l'amour, en direct. L'homme ne tint pas longtemps. Très vite, il juta une gosse dose de foutre dans le cul chaud et encore assez serré de la mémé. Il garda sa queue plantée dans cet anus, jusqu'à ce qu’elle devienne molle et qu'elle ressorte d’elle-même. Là, il se remit debout, rangea son sexe dans son pantalon, referma sa braguette, se tourna vers le maquereau et le remercia.

- Merci, Rachid, ce fut délicieux, mais il me semble que j’ai beaucoup rempli ta vieille pute…

- Pas grave, elles sont faites pour.

- C'est le pied de jouir là-dedans, dommage que tu ne l'aies pas en beaucoup plus jeune !

- Celle-là, c'est une vraie boîte à bites, elle est faite pour le cul et en plus, c'est une enculée qui aime vraiment ça.

Alors que le praticien sortait de la pièce, Rachid annonça :

- Allez Sofia, fini de rire, il y a de la maille en bas.

La jeune femme repoussa doucement sa partenaire, à contrecœur, lui fit un bisou, puis se mit debout, s’habilla prestement en ramassant ses affaires et sortit.

L'homme s'emparera de l'imperméable qui traînait sur le dossier d’une chaise et le jeta en travers du dos de la femme mûre, qui était restée, stupéfaite, dans la même position que précédemment. Puis, il lui dit :

- Allez, enfile-moi ça. Ton homme va venir te chercher, alors hop, en bas, au bar.

Un peu avant midi, Kader sonna à la porte de l'établissement. Le voyant sur son écran de contrôle, Rachid prit la mamie par la main et la guida jusqu'à la porte. Il ouvrit la porte et il dit à son neveu :

- Tiens, voilà je te la rends. j'espère que la leçon d’hier lui servira à avoir un peu de plomb dans la cervelle.

- Ça, je l’espère aussi !

- Et toute façon, maintenant, elle sait que si elle déconne, c'est le bordel en Roumanie.

- J’espère que tu l’as bien dressée.

- De toute façon, tu te rappelles que vendredi soir, elle fera ses premières armes, dans un vrai bordel digne de ce nom.

Le jeune homme prit la femme dans la main et l'emmena à sa voiture pour la ramener chez elle.

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