Théo-rème de l’inceste Chapitre 39 : la camionnette à Rachid

 

Je passai chez mon pote Kader et lui racontai ma matinée, la correction de ma mère, qui s'était fait sauter par un quidam. Et que je lui avais bien mis les points sur les I concernant les maladies.

Il me dit alors :

- Attends, je vais en parler à Rachid. Je crois que lui a une méthode pour punir les grosses vicieuse qui n'écoutent pas.

Il prit son téléphone et composa le numéro de son cousin. Après avoir échangé quelques mots de salutations en arabe, il lui dit :

- Tiens, je te passe Théo, il a une demande à faire.

- Salut Rachid, ma vieille s’est encore bourrée la gueule et elle s'est fait sauter par un inconnu en sortie de boîte. Elle pensait que j'étais chez mon daron, mais il a eu un souci avec son boulot et a dû venir en toute urgence samedi matin, il m'a déposé à la baraque, sur le coup de sept heures. Donc, je me suis aperçu de ce qui se passait. Parait que tu aurais une méthode pour soigner les salopes comme ça.

- Les soigner, je sais pas, mais les punir, j'en suis sûr ! J'ai une camionnette, je les attache dedans et je les emmène au foyer Sonacotra, ça doit s’appeler Adoma maintenant, je crois.

- Ha oui ! Et la salope se fait passer dessus par tous les immigrés !

- Ouais, je suis accueilli comme le sauveur ! Les immigrés sachant pertinemment qu'ils vont pouvoir tirer leur coup à pas cher. En général, je demande vingt balles par passe.

- Cool ça !

- Le mec fait ce qu'il veut avec une salope qui est attachée dans la camionnette.

- D'accord, on peut faire ça quand ?

- Cet après-midi, si tu veux. C'est le bonjour, le samedi, les mecs ne bossent pas. Ils se font un peu chier, donc ça cartonne.

Nous retournâmes chez moi, avec la voiture de Kader. Ma mère, que j'avais mise au lit, était encore un peu bourrée avec les glaçons à la vodka qu'elle avait pris dans le cul. Je lui filai alors une grande claque dans la gueule. Mon pote m’aida à la lever, puis à l'emmener dans l'entrée. Nous l’habillâmes en lui enfilant son fameux imperméable.

Kader en profita pour lui tripoter la boîte à gosses et lui dire, d’un ton mauvais :

- Alors comme ça, tu fais ta pute dans ton coin, sans m’en parler ! Tu me trompes ! Tu vas encore être punie.

Puis, il m’aida à installer notre tas de linge sale sur la banquette arrière.

Elle s’allongea tout de suite, sûrement pour repiquer un roupillon.

Moins d'une demi-heure plus tard, nous étions arrêtés juste devant la porte de l'Obligatoire, car nous voulions être assez discrets. Nous la sortîmes de la voiture et la guidâmes devant la porte de l’établissement.

Ma daronne avait de grands yeux ronds, hagards. Elle se demandait bien où c'est qu'elle arrivait.

Dès que nous fûmes dans l’entrée, la porte refermée, Rachid vint nous rejoindre et donna une claque à ma vieille, puis lui dit :

- Tu nous as trompés, connasse. Tu vas être punie, ton Fils nous a expliqué.

Là-dessus, nous entrâmes complètement dans le bordel, qui n'osait pas dire son nom.

- Bon les jeunes, on va passer par la porte de derrière. J’ai ma camionnette qui est garée au cul du garage, je viens de rentrer des caisses de bières.

Après un petit dédale de couloir, dans lequel ma vieille avait bien du mal à se mouvoir, nous arrivâmes devant la porte de garage. La camionnette attendait, les deux portes arrière grandes ouvertes.

Le véhicule, d’aspect récent, était propre, une moquette au sol, un revêtement en matière synthétique ou plastique, contre les parois latérales. L’endroit sentait bon le frais. Au fond, vers l’avant en fait, juste avant les sièges, une armature métallique avec un coffre au pied contenant des tendeurs, sangles et autres. Il y avait aussi, attaché aux barres de l’armature, des sortes de menottes en cuir fermant avec une boucle, comme une ceinture. Les mêmes que Kader avait utilisés pour attacher ma vioque sur la table de la salle à manger. Ainsi, ma pute de mère ne serait pas trop dépaysée.

Nous grimpâmes les deux marches, en tenant toujours Béatrice qui titubait quelque peu, et l’emmenèrent contre la charpente métallique. Là, très vite, Rachid attacha la pauvre femme de façon à ce qu’elle soit assise au sol.

- Visiblement, elle a déjà eu une bonne raclée, c'est toi qui l’as punie, Kader ?

- Non, c'est son mignon fiston, adorable chérubin…

Tous, nous rîmes de bon cœur, enfin tous, sauf ma putain de salope qui me servait de mère, bien entendu. Je fanfaronnais alors :

- Ouais, cette vieille salope m’a gonflé, il fallait que je me défoule !

- Tu as bien fait, jeune homme, c'est comme ça qu’on devient un homme, me rassura Rachid de sa voix puissante.

- Avec quoi tu l’as fouettée, man ? Me demanda mon pote.

- La cravache de mon beau-père.

- Ha ! Ton vieux lui file des raclées aussi, alors ? Demanda, cette fois, Rachid.

- Oui, c'est lui qui la traite de viande à boîte de nuit…

- Maintenant, il pourra l’appeler viande à foyer d’immigrés ! Allez, les gars, on referme et on y va.

Il y avait trois vraies places à l’avant. Le patron du bordel avait fait monter des rideaux occultant, comme ceux que l’on trouve dans les camping-cars, ce qui permettait, quand tout était fermé, d’être bien dans le noir à l’intérieur.

Nous partîmes.

Quelque temps après, la camionnette stoppa dans un terrain vague, un ancien chantier visiblement, juste à côté du foyer Adoma pour immigrés.

Là, Rachid défit les liens aux poignets de ma daronne, la remit debout, la força à ouvrir la bouche et lui colla un bâillon boule. Puis, il attacha à nouveau les poignets, mais cette fois en haut de la structure métallique. Ensuite, il ressortit et repassa à l’avant. Il mit le contact pour ouvrir la fenêtre côté conducteur. Après deux ou trois coups de klaxon léger, il termina par occulter les vitres avec ses rideaux. Il ressortit et verrouilla la porte.

Bientôt, une équipe de mecs de toutes les couleurs, de toutes les origines, plus ou moins bien habillées, arriva. Rachid les salua d'un "salam aleykoum".

- Je vous ai apporté de quoi vous faire un peu oublier que vous êtes loin de vos femmes.

Le premier, après avoir donné vingt euros, monta dans la camionnette et on entendit très vite la femme geindre, puis pleurer. Quelques minutes plus tard, le mec ressortit en fermant sa braguette et en disant :

Elle est bonne du cul, la pute de française !

Après avoir payé son obole, le second se présenta à la porte, l’ouvrit et monta dans le véhicule, en laissant la portière ouverte.

J’en profitai pour jeter un coup d’œil.

Là, contre la femme, il baissa simplement son pantalon et son slip, attrapa les nichons de la vieille, et l’enfila, comme ça, tout debout.

De ma place, je ne pouvais pas voir si elle prenait la bite au cul ou à la chatte.

Il s’affaira sur ma vieille pendant une bonne dizaine de minutes, ne tenant aucun compte des pleurs et des suppliques de la pauvre femme.

La vieille pleurait de plus en plus et de plus en plus fort.

Ce qui semblait bien amuser les mecs qui attendaient leur tour.

Voyant que l’homme arrivait au bout de son plaisir, je m’éclipsai.

À la fin, il juta en disant des insanités en arabe, du moins je pris ses mots comme tel, à la façon de les dire. Il remonta son slip et son froc et sortit.

Avant le suivant, je passais ma tête dans la grande portière arrière et regarder le dos de ma mère. Je vis, avec un certain plaisir malsain, que du foutre s'échapper de son vagin, je refermai la porte.

Le troisième client, venant de lâcher ses sous, monta rapidement et referma tout de suite, la porte derrière lui.

Comme la fenêtre de la portière conducteur était restée ouverte, ce qu'on ne pouvait pas voir, à cause de l'occultant, j'allais à côté et j'entendis ma mère geindre, dire qu'elle avait mal partout.

Mais le mec n'en avait cure, visiblement, il devait être musulman. Il la prit très brutalement par la chatte et juta, lui aussi, assez vite.

S’ensuivit une bonne quinzaine de mecs. Avec toujours la même méthode, ils entraient, certains lui tripotaient les boîtes à lait, puis lui collaient directement leur zob, qui dans la chatte, qui dans le fion. À la fin, ma vieille fut pleine de foutre. Et, comme il n'y avait plus de client qui attendait, Rachid annonça :

- Voilà, bon, on rentre, faut pas rester là, risque de descente de flics.

- Ça serait marrant que ma pute se fasse embarquer, dit Kader avec un grand sourire.

- Ouais, mais moi, je ne veux pas de problème, fils.

Alors que Rachid prenait place à l’avant et défaisait les rideaux, mon pote monta devant et me fit signe de venir.

- Non, si c'est possible, je veux rester à l’arrière.

- D’accord, comme ça tu lui défais les menottes pour qu’elle soit assise pendant la route.

- OK, ça marche Rachid.

Je voulus voir un peu, comment elle avait été punie. Dès que je la détachai, elle me prit dans ses bras, toujours en pleurs, pour me dire :

- Mon Théo chéri, comme je regrette d’avoir picolé ! J’ai honte de ce que j’ai fait.

- J’espère que la punition te servira de leçon… Et j’espère que tu n’es pas plombée !

- Nous verrons cela avec le bon docteur Mubase… T’inquiète, fils.

J’en profitai alors pour enfoncer encore le clou :

- Tu es contente maintenant, tu es pleine de foutre, tu dois être heureuse !

- Pardon ! Ne me laisse pas me faire encore violer… Pitié, ne m'en veux pas.

- Ne pas t'en vouloir ! Alors que tu baises avec n'importe qui ? T’en as de bonnes !

- Ouais ma pute, lança Kader, tu t'es fait défoncer la chatte et le cul, par n'importe qui… Si ça se trouve, maintenant, tu es plombée comme un garenne le jour de l'ouverture.

Elle se tourna vers moi, les yeux rougis, les joues noyées de larmes.

- Mon Théo, pitié.

- Pas de pitié pour les enculées comme toi, asséna Rachid de sa voix grave et puissante.

- Ramène-moi à la maison, je t'en prie, je t'en supplie… Mon Théo !

À ce moment-là, une idée de me vint, et j’annonçai crânement à ma vieille salope de mère :

- Cette nuit, tu vas dormir à l'Obligatoire. Je ne veux pas te voir à la maison. Tu vas encore picoler et sortir pour te faire sauter par n'importe qui ! Ça suffit à présent.

Puis, je m'adressai à Rachid, qui suivait toute ma conversation, et lui demandai d’un ton persuasif :

- Tu as une chambre pour l'attacher et la laisser passer la nuit ?

- Ouais, on va trouver quelque chose, t'inquiète pas... Tu as raison ! Cette connasse, si on la laisse chez toi, elle va recommencer ses conneries ! Se saouler la gueule et sortir. Comme tu dis, ça suffit maintenant, il faut prendre les choses en main sérieusement.

Ma mère pleurait de plus belle. Elle me suppliait, mais je n’écoutai pas.

- Pitié, aide-moi, je veux voir un docteur.

- Bien sûr, comme d’hab ! Même promesses…

Puis Rachid répondit à ma vieille :

- Ah ben, ça c'est vrai, tu vas le voir le docteur, dès demain... Tu vas voir un bon docteur.

Ma vieille continua à pleurer et à me supplier durant tout le voyage.

Arrivé derrière son bar à putes, Rachid se gara au cul de son garage, au même endroit d’où nous étions partis. Il descendit, bascula la porte en fer de son garage, ouvrit les deux portières arrière. Ensuite, il détacha la pauvre femme et l’emmena dans son établissement. Je ne sais pas par où il passa, mais il redescendit au bout de cinq minutes, en me disant :

- Ça y est, elle est couchée et attachée au lit. De toute façon, elle est encore bourrée, non ?

- Ouais, enfin disons qu’elle a pris une bonne cuite hier soir et que ce matin, pour faire un petit retour de flamme, je lui ai enfilé deux glaçons de vodka dans le cul.

- Tu lui as mis de l'alcool dans le cul ! Forcément ! C'est une bonne chose, là, elle nous fera pas chier jusqu'à demain.

Sur ce, il nous offrit un verre à boire. Kader m'annonça qu'il avait encore de la maille et quelques clients, à lui, à fournir, aussi, il me dit :

- Bon, je te ramène chez toi.

Et nous repartîmes du bordel, qui n’osait toujours pas dire son nom.

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