Théo-rème de l’inceste Chapitre 38 : en boîte
Vendredi soir, son ex-époux était venu chercher Théo, pour passer le week-end avec lui. Le gamin, pas vraiment très heureux, mais devant tout de même faire contre mauvaise fortune, bon cœur, prépara ses affaires et suivit son père.
À peine parti, le téléphone sonna et Béatrice répondit. C’était sa copine Pauline qui l’appelait pour qu'elle aille boire l'apéro et casser la croûte avec elle.
Ma mère se prépara, prit un bain. Puis, mit une culotte et un soutien-gorge assortis, le tout en fine dentelle. Des bas, un joli porte-jarretelles et elle finit par un petit tailleur dont la jupe allait jusqu'au genou. Loin de faire grosse salope en chaleur, elle avait le look de la parfaite secrétaire, sérieuse et consciencieuse.
Arrivée chez Pauline, les deux femmes se mirent à discuter dans le salon et bien entendu se servirent apéritif sur apéritif. Il était près de vingt-trois heures, quand les deux furies, déjà bien poivrées, décidèrent de passer à table. Pauline était un vrai cordon bleu et elle avait fait un très bon dîner. Mais comme les deux copines étaient très alcoolisées, il n’est point du tout certain qu'elles s'apprécièrent, le festin, à sa juste valeur. Et, bien sûr, après le repas, un petit digestif, histoire de se donner du cœur à l’ouvrage. Et enfin, Pauline téléphona à son copain Jean, mais elle tomba sur le répondeur, alors elle lui laissa un message en lui demandant de les rejoindre au club 71, une boîte dans laquelle elles aimaient se rendre, dans la vieille ville.
Les deux femmes repartirent en prenant la voiture de Pauline pour se rendre à la boîte. Une fois dans l'endroit, Pauline fut très déçue, son bel amant n'était pas là. Elle essaya de le joindre par téléphone, à plusieurs reprises, mais rien, le téléphone sonnait, sonnait, sonnait ! Et finalement, elle tombait à chaque fois sur le répondeur.
Béatrice, quant à elle, s’en donnait à cœur joie. Elle passait beaucoup de temps sur la piste, à danser, disons plus à se trémousser, l’alcool faisant son office.
Parfois, Pauline venait la rejoindre et les deux femmes s'amusaient à danser lascivement et à exciter les hommes présents.
Dans un coin, un homme moustachu suivait le cinéma des deux salopes. C’était le genre d'homme qui plaisait tout à fait à Béatrice, petit, trapu, brun, avec un sourire charmeur. Après avoir passé pas mal de temps à examiner la blonde sous toutes les coutures, l'homme se leva et vint prendre cette femme envoûtante par la main.
Béatrice, qui était assise à sa table, fut surprise, mais suivit ce beau mec sur la piste pour une série de slows.
Il avait les mains baladeuses et il s'aperçut, tout de suite, que la femme mûre portait des bas, ce qu'il excita encore davantage.
Pendant ce temps, Pauline reçut enfin un message de son bel amant, qui lui écrivit :
"Tu t'es lavé le cul pour rien, je ne suis pas disponible ce soir. J'ai trouvé une jolie petite nana de trente ans, que je vais essayer. Ça me changera, un peu, des mémères."
Les larmes montèrent aux yeux de Pauline. Elle attendit encore le retour de son amie, pour lui annoncer qu'elle voulait rentrer, que ça n’allait pas du tout. Elle avait un gros chagrin et un immense désespoir.
Mais bien entendu, Béatrice, parti comme elle était partie, n’avait aucune envie de rentrer et son preux chevalier du moment, l’assura qu’il la ramènerait, en tout bien, tout honneur ! Ben voyons !
Finalement, Pauline s’en alla.
La blonde mûre dansa encore les autres slows avec l'homme. Puis, revint à la table et finit la bouteille de whisky avec le type, qui lui, se gardait bien de boire. La bonne excuse étant que, comme il allait conduire, il ne fallait pas qu'il ait trop d'alcool dans le sang.
Les lumières se rallumèrent, les gens avaient tous des visages blêmes, marqué par la fatigue et les excès.
L'homme se leva, prit Béatrice par la main et la conduisit jusqu'à sa voiture. Là, il l’installa et sous prétexte de chercher ses clés, qu'il aurait laissé dans la boîte à gants, alluma le plafonnier et fouilla entre les cuisses gainées de nylon. Il finit même, par lui remonter un peu la jupe, en se régalant du spectacle des bas.
La voiture démarra et en un petit quart d'heure arriva à destination, le type se gara sur la petite place devant le papillon et arrêta le moteur.
- Voilà, princesse, tu es devant chez toi… Tu m’offres un dernier verre ?
La blonde grommela une sorte de oui peu intelligible, l’alcool commençant à faire ses effets dévastateurs.
Il aida alors sa passagère bien éméchée, certes mure, mais encore attirante, à s’extraire de son véhicule. Puis, d’un pas sûr, pas comme sa cavalière, la suivit jusqu’à l’entrée de la maison.
Béatrice eut un peu de mal à trouver sa clé et à l’insérer dans la serrure.
- Tu es sûre que c'est chez toi ? Demanda, goguenard, le visiteur.
Enfin, elle ouvrit la porte et entra. Comme à son habitude, quand elle était bourrée, elle alla dans la salle à manger, la pièce juste en face de l’entrée, y jeta son sac, puis sa veste de tailleur.
Là, le mec l'attrapa par un bras, la fit se retourner et lui roula une grosse pelle. Très vite, il eut de nouveau les mains baladeuses et fouilla sous la jupe. Ensuite, il défit le chemisier, avant de s'attaquer au soutien-gorge.
- Où est ta chambre ?
- Viens… Et elle prit l’homme par la main et l’emmena au fond du couloir où se trouvait sa chambre.
- On y est, ajouta alors Béatrice avec la voix d'une femme qui a réellement trop bu.
le couple entra dans la chambre. Le visiteur retira la jupe en tirant dessus, sans défaire la fermeture éclaire et aida la femme à s'allonger. Puis, en bon gentleman, retira ses escarpins.
Une fois fait, lui se déshabilla. Très vite, il fut nu, à l'exception de ses chaussettes, et se jeta sur sa proie.
L'homme sentait un peu la transpiration et sa bite sentait un peu l’urine, mais peu importait, Béatrice était tellement heureuse d'avoir un beau mec dans son lit, qu'elle était prête accepter n'importe quoi. Malgré les vapeurs d’alcools qui embrumaient son cerveau, très vite, la femme retrouva ses automatismes de grosse salope.
Marc se mit sur ses genoux et vint apporter sa bite poilue à la bouche de la blonde.
- Tu vas bien me sucer un peu…
Sans répondre, la pochetronne attrapa la queue d’une main sûre et se la fourra dans la bouche.
Le beau brun, voyant que la femelle faisait des efforts pour tenir sa tête, vint à son secours et l’aida en lui tenant la nuque. Il appréciait une pipe d’une bonne salope après une soirée de chasse, elle était son trophée, ce soir.
La femme suçait machinalement, sans effusion particulière, juste le plaisir d’avoir un morceau d’homme en elle. Et cela dura un petit quart d’heure.
Marc, sentant le plaisir monter, ne voulut pas jouir tout de suite, aussi, il annonça :
- Attends, je vais m'allonger.
Et il s’allongea sur le lit et fit venir la tête de sa nouvelle amie, sur sa pine. Là, il lui dit encore :
- Vas-y, salope, suce bien ma pine.
Ces mots durent réveiller quelque chose chez Béatrice, car elle se mit à sucer avec plus de vigueur, voire une forme de tendresse.
L’homme en profita pour explorer les trous de cette salope, qui faisait tant la fière durant la soirée. Il comprit vite qu’elle mouillait abondamment. Puis, il prit le chemin de derrière. Là aussi, il comprit de suite, que la belle était une enculée de course.
Bien que passablement bourrée, elle sentit que le type risquait de venir, elle se redressa et, de sa voix déformée, lui demande :
- Tu veux jouir dans ma bouche ?
- Non, je veux te la mettre dans ton cul. Je veux emprunter le passage sous tes reins.
Une grosse bouffée de plaisir et de désir mêlée monta instantanément dans la tête blonde.
Repoussant doucement la belle, il se mit sur son coude et aida Béatrice à venir s’asseoir sur sa queue, bien raide cette fois. Il était équipé d’un bel engin, qui ne filait pas d’angine, c’était déjà ça !
La femme remua ses fesses malingres pour faire parvenir le gland contre son sphincter. Elle avait une folle envie de se faire mettre par le cul.
Marc donna un bon coup de rein, et son chibre entra directement et prit possession de toute l’ampoule rectale.
La blonde était heureuse ! Ça lui rappelle certains amants qui la culbutaient ainsi, en l’enculant directement, sans passer par la case "baise".
Maintenant bien en place, il commença à passer la lime. D’abord lentement et en écoutant le corps de sa proie, mais assez vite, emporter par ses propres démons, il accéléra de plus en plus.
De se faire ainsi ramoner la turbine à chocolat, donna très vite de petits orgasmes à répétition.
Sentant le sphincter comprimer sa bite, le type se lâcha et donna alors de sacrés coups de rein, il voulait arracher des cris à sa partenaire. C’était une sorte de marotte chez lui.
Béatrice eut, à ce moment-là, de furieux orgasmes qui lui arrachaient des cris rauques, mais puissants.
L’homme pensa qu’il aurait dû amener cette salope chez lui, une telle cantatrice aurait fait une très bonne publicité pour lui, auprès de ses voisines, jeunes comme plus âgées.
- T’aimes ça te faire enculer, hein ma salope…
À nouveau, ces quelques mots lui firent des frissons, en plus de ses orgasmes, elle cria plus fort encore.
- Allez, avoue que tu es une enculée.
- Je suis une enculée, dit Béatrice de sa voix pâteuse.
C'est alors qu’il attrape les cheveux de la blonde, l’allongea sur son corps, et lui susurra à l’oreille :
- Maintenant, tu peux avoir mon foutre, chiennasse.
Béatrice se retrouva sur le lit, l’homme venait de se remettre sur ses genoux, et il apporta sa queue, légèrement polluée, à sa bouche.
Instantanément, sans se faire prier et peu importait, que cette jolie pine sorte de son trou du cul, elle la suça à nouveau. Cette fois, presque avec passion.
Du coup, l'homme juta rapidement, avec un grognement d’ours mal léché, cramponna la tête, se vida totalement les couilles pendant de longues secondes, puis annonça :
- Putain ! que ta gueule est bonne !
La blonde avait un drôle de goût dans la bouche, mais bon, elle était tellement contente de s’être fait copieusement sodomiser, que le goût de merde dans sa bouche ne fut qu'un détail, qu’elle oublia très vite.
Fier de sa prestation, Marc, prenant la blonde dans ses bras, tomba, lui, dans les bras de Morphée.
Le lendemain matin, pas totalement dessaoulée, Béatrice se leva et alla préparer un café.
Quand Marc entra dans la cuisine, il arborait déjà une fière érection. Il enlaça la femme par-derrière en lui disant :
- Bonjour toi, moi, c'est Marc, on n’a pas eu le temps de faire les présentations, tellement c’était pressé hier.
Encore passablement alcoolisée, elle répondit :
- J’avoue que je ne me souviens plus trop du retour.
- Le retour n’était pas passionnant, mais après, j’ai adoré.
- Oui… Dit-elle sans conviction, car là encore, elle n’a pas trop de souvenirs de la fin de soirée au lit.
L’homme lui fait un bisou dans le cou, puis souffle sur la zone qu’il vient d’humidifier. Et lui glisse à l’oreille :
- J’ai une grosse envie de toi.
Comme Béatrice ne répondit pas, l’homme la retourna, l’embrassa et la fit reculer jusqu’à ce que ses fesses soient en contact avec la table en marbre. Une table bistrot, avec des pieds en fer forgé. Le marbre était froid, mais ce brave homme n’en avait cure. Il retourna encore sa complice, l’allongea sur la table, lui écarta les fesses d’une main experte, plaça son gland contre la rondelle brune. Là, il l’encula brutalement.
Béatrice cria son plaisir. Elle se laissa aller à un orgasme, puis un deuxième, puis un troisième. À chaque fois, elle cria qu’elle jouissait, et la dernière fois, elle dit jouir comme une folle.
Le mec se régalait, faire crier une femme, était le plus important dans sa relation sexuelle. Quand il fut prêt à jouir, il annonça :
- C'est trop bon ! Je veux me finir dans ta bouche.
Comme la blonde ne répondait pas, il prit ça pour son accord.
Il releva la femme, puis lui appuyant sur les épaules, la fit s’accroupir devant lui, enfourna sa queue gluante, en forçant légèrement les lèvres, et déversa sa sauce d’homme, dans l’antre chaud.
Bien entendu, la femme mûre avala tout, sans faire aucun commentaire. Elle avait fière allure, nue sous son peignoir grand ouvert, ses nichons mous tombant sur son petit ventre rond, les yeux dans le vague, quelques gouttes de foutre aux coins des lèvres. Les cheveux en bataille.
Une fois repu, il s’assit à table, sur la première chaise venue.
- Ça fait du bien… Et toi aussi, tu as joui, tu l’as dit suffisamment fort !
- Oui…
- Tu me sers un petit café ?
Béatrice fit le service et s’installa en face de lui.
Une fois son café bu, il lui demanda son numéro de téléphone.
La blonde, la tête toujours dans les nuages, avec encore pas mal d'alcool dans le sang. Lui donna sans réfléchir plus que ça.
Marc, qui devait bosser vers la fin de la matinée, fut obligé de s'en aller, mais avant, il voulût encore profiter de cette bouche accueillante et spécialiste de la fellation avalée. Il se leva, contourna la table, et vint offrir son sexe qui commençait à gonfler près du visage de la femme, il lui dit alors :
- Allez, la pipe de la bonne journée…
- Encore ?
- Oui, c'est pour me souhaiter une bonne journée.
Comme Béatrice venait de boire quelques gorgées de café bien chaud, elle happa la pine et la branla en même temps de sa main gauche, la main du cœur.
Cette fois, c'était encore plus sympathique, la bouche était bien plus chaude, et le brun banda presque immédiatement.
- Tripote-moi les couilles en même temps…
De sa main droite, Béatrice s’empara des boules et commença à les triturer doucement. Elle pompa, aspira, tout en branlant énergiquement le membre bien dur. L’avantage d’avoir bu du café auparavant, était que ça masquait le goût bizarre et peu agréable de cette queue. Si les sécrétions anales avaient séché, avec l’humidité de la cavité buccale, elles se dissolvaient à nouveau, libérant leurs facteurs olfactifs. Tout cela ne dura pas dix minutes, quand elle entendit :
- Trop bon ! Bois mon jus de couilles, ma salope !
Et, à nouveau, l’homme lui lâcha quelques beaux jets de foutre chaud au fond de la gorge.
- Merci ma toute belle, je me sauve, pas que je m’ennuie, mais le devoir m’appelle.
Il retourna dans la chambre, s’habilla en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, repassa par la cuisine faire un bisou sur les lèvres de la femme mûre.
- À bientôt ma belle, je t’appelle dès lundi matin.
Et il se précipita dehors.
Béatrice entendit le moteur, puis la voiture s’en aller.
C'est à ce moment que Théo descendit les dernières marches de l'escalier de sa chambre. Il regarda sa mère quelques instants alors qu’elle ne l’avait pas vu. Puis la fit sursauter en disant :
- Je ne peux pas te laisser quelques heures sans que tu t'avoines la gueule et que tu ailles te faire enculer en boîte !
- Ho ! Théo !
- Mais tu as quoi dans le cul ?
- Excuse-moi... Je ne sais plus ce que j'ai fait ! Ça doit être la semaine qui a été tellement difficile, tellement douloureuse... J'ai encore fait n'importe quoi !
- Tu es une vieille connasse ! Comme tu dis, tu as encore fait n'importe quoi et après, tu t'étonnes d'être punie !
Et à ce moment-là, je lui collai une grande claque avec élan.
Tout de suite, ma vioque se mit à pleurer.
Me souvenant qu'il restait des glaçons à la vodka, je tirai sa mère, la mis debout et l’allongeai à nouveau sur la table froide de la cuisine. Me tournai vers le frigo, pris deux glaçons et refermai le meuble. Je revins au cul de ma génitrice, lui écartai les fesses molles d’une main, et introduisis les deux glaçons dans l’anus.
- Voilà, je vais te nettoyer les boyaux du foutre d'un inconnu ! Si ça se trouve, le mec a le sida... On fait quoi, si tu es malade ? Connasse.
Béatrice pleura à chaudes larmes. Malgré son état alcoolisé, elle comprenait qu'elle avait encore pris beaucoup de risques. Et pire que ça, comme elle avait des rapports sexuels avec son propre fils, qu'elle adorait, elle lui faisait prendre aussi d’énormes risques. Là, elle explosa en sanglot.
- Alors ? Sida, syphilis, blennorragie ? Tu préfères quoi ?
- Je suis une folle... Je suis une folle et en plus, je risque d'empoisonner mon fils !
- Folle, je ne sais pas, mais une grosse salope en chaleur, ça, c'est sûr !
J’étais alors dans une colère sans nom, c’était comme si ma nana m’avait trompé, aussi, je décidai qu’elle avait droit à une bonne correction. Je quittai la cuisine et allais chercher la même cravache de mon beau-père dont je m’étais déjà servi.
- Tu vas être punie à la cravache !
- Ho non ! Théo !
- À croire que tu les cherches les coups de cravache… Tu le sais, il faut compter.
- Pitié Théo, ça fait si mal.
L’alcool des glaçons devait commencer à faire son œuvre. La voix devenait pâteuse, et ma mère, bien que sachant qu’elle allait se faire fouetter, restait en place sur la table.
- Pitié, Théo, pitié. Je vais essayer de me faire soigner.
- Bon, je vais commencer, par te soigner, à ma façon !
Je donnai alors des coups de cravache, seul le décompte de ma vieille et le sifflement de la badine meublaient le silence. Je touchai le bas du dos, les fesses, les cuisses et même derrière les genoux. Ma reume criait à chaque morsure de la baguette, presque magique. Elle pleurait sans cesse, mais comptait toujours. Je m’arrêtais quand j’entendis "vingt-sept".
Elle remuait dans tous les sens, essayant d'éviter les coups, mais restait tout de même allongée sur la table froide.
Maintenant que la tension nerveuse retombait un peu, je regardai ma mère et lui dit :
- Tu n’es vraiment qu'un sac à foutre ! Je vais voir ma copine, ça va me changer d’une connasse comme toi.
Et alors que ses pleurs redoublaient, qu’elle me suppliait de lui faire confiance, sans tenir compte d’elle, je sortis.
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