Théo-rème de l’inceste Chapitre 37 : retour de cave
- Quelle déchéance cette bonne femme ! Et c'est ce qui me sert de mère !
- Ouais, man, mais tu sais, on choisit ses potes, mais pas ses ancêtres…
- Tu l’as dit, bout filtre (vieille blague de fumeur de pétard).
- En attendant, elle nous rapporte toujours un peu…
- Ouais, enfin, elle te rapporte à toi, mon ami !
- Je te filerai trente pour cent de ses gains, de ma part, quand elle bossera chez Rachid, à l’Obligatoire.
- Ça, ça serait cool… En attendant, ma mère, c'est tout de même une boîte à bites !
- Ouais man, mais vois le côté positif, elle est chez toi et tu peux te vider dedans quand tu veux !
- Ben, toi aussi !
- YES ! Mais je vais te dire, j’ai envie d’aller encore plus loin qu’une simple vieille pute, je vais réfléchir à ça et t’en parlerai… Mais, je la vois bien devenir voleuse !
- Ha ha ha… Ali mama et les quarante voleuses !
- Bon, allez man, file-moi un coup de main pour sortir notre boîte à bites d’ici.
Et les deux jeunes eurent bien du mal à remettre Béatrice sur ses cannes fluettes et lui passer son imperméable. Ensuite ce furent les longs couloirs glauques et étroits, vers le parking. Cette heure avancée de la nuit, ils ne rencontrèrent personne, et de toute façon, ici, personne n’oserait poser de question.
Théo tint sa mère appuyée contre le mur pendant que Kader allait chercher la petite voiture. Et, à son arrivée, les deux jeunes enfuirent la mamie dans l’auto, sur la banquette arrière, allongée.
Le retour fut sans encombre, jusqu’à la porte du garage au sous-sol du pavillon maternel. Enfin, du pavillon que lui louait son entreprise.
Là, ils descendirent la femme, toujours enroulée dans son imper, et l’allongèrent sur l’herbe à côté de l’allée.
Le pavillon était au niveau de la route, mais le sous-sol, en contrebas. La maison était bâtie sur une forte pente, si bien que l’arrière de la maison était au niveau du plancher du sous-sol alors que l’avant à celui du rez-de-chaussée. Il fallait donc être dans le jardin pour pouvoir voir là où était vautrée Béatrice. La douceur de cette nuit ne perturberait pas le sommeil de la femme, et les deux jeunes la laissèrent là.
Ils rentrèrent la voiture, Théo referma la porte du garage, et montèrent dans la cuisine.
- Bon, man, j’ai du taf tout à l’heure, alors je rentre me coucher, mais toi, dresse-moi bien ta vioque, quand elle se réveillera.
- Ouais, pas de malaise, je vais m’en occuper comme il faut, je te raconterai.
Sur ce, Kader sortit, Théo verrouilla la porte et montât se coucher à son tour.
Sur le coup de neuf heures et demie, Béatrice émergea, d’un coma éthylique ou d’un profond sommeil chimique, ça personne ne su le dire ! Quand elle comprit qu’elle avait dormi dehors, enveloppée dans son imperméable, elle essaya de se rappeler la soirée de la veille, mais n’y parvint pas. Ensuite, elle se mit debout, avec bien des difficultés, et tituba jusqu’à la porte d’entrée. Pas de clef sur elle, alors elle sonna, plusieurs fois, frappa du poing contre le montant.
Du bruit à la porte d’entrée me réveilla, je mis quelques instants à remettre de l’ordre dans mes idées. Puis, je me souvins que ma vieille avait dormi dehors. Je descendis alors pour lui ouvrir. j’étais vêtu uniquement d’un T-shirt assez court, et mon service trois pièces était apparent. J’ouvris la porte.
- Ben ! qu’est-ce que tu fous là ?
- Je ne sais pas… je ne comprends pas…
Avant de refermer la porte, j’ouvris son imperméable qu’elle essayait de tenir fermé contre elle.
- Putain ! T’es das un drôle d’état ! T’as encore passé la nuit à te faire piner, salope ?
- Non ! Enfin, je ne sais pas, je n’ai pas de souvenir…
- Ouais… Comme d’hab… Tu t’es arsouillée et tu ne sais plus ce que tu as fait ! La bonne excuse, quoi !
Béatrice se mit la tête dans les mains, et pleura.
- En fait, à part pleurer, picoler et te faire baiser, tu connais quoi dans la vie ?
- Ho Théo ! Ne sois pas méchant, j’ai vraiment honte de ce que je fais… de ce que je suis.
Elle baissa les yeux, et sembla subjuguée par ma queue et mes couilles.
je l’avais déjà vu avoir ce regard. J’attrapais ma vieille par le poignet et l’emmenai dans la cuisine, là, lui arrachant son unique vêtement, je la collai à plat ventre sur cette table en marbre, que je savais si froide. Là, je plongeais deux doigts joints dans son anus et les ressortis tout de suite, je m’exclamai :
- Ha oui ! Tu es pleine...
Je plongeai alors les deux mêmes doigts dans son vagin, et fit le même commentaire :
- Pleine aussi ! Tu as dû bien t’amuser hier soir !
Ses pleurs redoublèrent, puis elle finit par balbutier :
- J’ai si honte… Si honte…
- Ouais, le lendemain ! Mais, quand tu te fais piner comme la viande à boîte de nuit que tu es, là, tu ne pleures pas !
- J’ai honte…
- Tu ne sais donc dire que ça, vieille folle de bites ?
Les mots avaient dû la choquer, car après avoir reniflé bruyamment, elle commença à se rebiffer.
- Théo, je ne te permets pas…
- Ta gueule, tu n’es qu’un sac à foutre pour les mecs en rut ! Ça, c'est la vraie vérité !
- Non ! Je suis ta mère !
- Ouais, surtout la pute à mon pote…
- Théo ! Elle venait de crier mon prénom, comme si elle avait une quelque conque autorité sur moi !
Je la pris par les cheveux, lui releva le visage, et lui collai une grosse claque de cow-boy.
- T’es qu’une putain de traînée, une boîte à foutre, de la viande de boîte de nuit, et tu veux jouer les bonnes mères, maintenant ?
Je lâchai les cheveux et son visage retomba joue contre le marbre, mais doucement.
- Ne bouge pas… Surtout ne bouge pas, je reviens.
Je sortis prestement de la cuisine et allai dans le bureau de mon beau-père. Là, je pris la cravache que j’aimai bien, une cravache longue et très souple, qui faisait un sifflement strident quand on fouettait l’air. J’imaginai que ça devait bien stresser la personne qui savait qu’elle allait en prendre quelques bons coups.
Quand je fus de retour, je trouvais ma vieille en train d’essayer de se relever, mais les forces lui manquaient, là encore, difficile de dire si c’était l’alcool ou le somnifère qui agissait.
- Je t’ai dit de ne pas bouger ! Vas-tu finir par écouter ?
- Ho ! Ça va, hein…
Je reconnaissais là, la voix de ma mère alcoolisée. Elle tentait de se rebeller, c'est justement ce que j’appréciai, je pourrais alors la punir avec rage et fermeté.
- Ha c'est comme ça ! Très bien… vingt coups de cravache.
- Ho, ça va !
J’attrapai donc le fin poignet droit de ma mère, puis, la cravache entre les dents, l’autre poignet. Je les tins tous le deux d’une main, pendant que de l’autre, à nouveau armé de la cravache, je fouettais l’air autour de la tête maternelle.
- Tu entends ? Tu vas la prendre sur les fesses, vieille salope enragée.
Elle, de son côté, essayait vainement de se débattre et ses jambes fouettaient l’air aussi, mais les cuisses bougeaient très peu.
- Au lieu de faire ta fière, compte…
Et j’abattis pour la première fois le flexible engin sur le cul malingre de ma vioque.
- Aie ! Ça fait mal !
- Mauvaise réponse, il fallait dire : un ! On recommence.
À nouveau, je fouettai les petites fesses.
- Aie, aie, aie… Ça fait mal, Théo !
- Je m’en fous, une punition n’est pas une caresse…
Je claquai à nouveau les fesses.
- Aie ! J’ai mal !
- Tant que tu ne comptes pas, je reste à vingt coups à te donner, pour te punir.
- Je ne suis plus une petite fille, pour être punie !
- Mais si, vieille salope en chaleur ! Tu as le QI d’une gamine de cinq ans !
Et vlan, encore un bon coup.
- Brisée, elle se mit à pleurer, mais, cette fois, compta : un.
- C'est bien…
Le deuxième coup, disons officiel, s’abattit à nouveau, sur le bas des fesses.
- Ouille ! Deux…
Voilà, c’était parti comme je l’entendais.
Elle reçut ses vingt coups de cravache et finit avec de grandes rayures rouges qui lui zébraient les deux fesses et aussi les deux cuisses. Bien qu’elle criât sur les derniers coups, elle n’oublia plus de compter.
- Voilà, maintenant, tu sais qui est le maître ici !
Elle ne répondit rien, se contenta de pleurer et de renifler, de temps à autre, bruyamment.
- Cette fois, je vais ranger la cravache, mais tu ne bouges pas ! Sinon...
Je sortis de la pièce avec l’engin de corrections pour vieille radasse en chaleur et retournai dans la chambre. Là, une idée me vint ! Je posai la cravache et pris le caméscope, son alimentation et une cassette neuve. Je retournai alors dans la cuisine.
- Tu peux m’aider à me relever, Théo ?
- Non, tu restes dans cette position pour le moment.
- Pppffffuuuutttttt…
Ça y était, la vieille commençait à se dégonfler ! Je n’en tins pas compte et branchai l’alimentation de l’appareil sur la réglette de prises, sur le petit bahut. Ensuite, je branchai le caméscope, et le mis en route.
- Écarte tes cuisses.
Bien entendu, elle commença à souffler fort, mais obéit en même temps. Je commençais donc mon interrogatoire :
- Alors, tu t’appelles Béatrice Kernozet et tu habites quarante-deux, rue Monais, à Joué Lès Tours. C'est bien ça ?
- Mais c'est quoi ces conneries, Théo ?
Une grande claque sur ses fesses meurtries la ramena tout de suite à une meilleure condition.
- Alors ?
- Oui, c'est bien ça.
- Tu travailles à EDF dans le parc petitmont, à Tours.
- Oui…
- Tu es une grosse salope… Tu sors en boîte quand tu es bourrée !
- Oui ! Mais Théo, où veux-tu en venir ?
- Pas de commentaires, tu réponds aux questions, c'est tout.
À nouveau, je plongeai deux doigts joints dans sa chatte.
- Cette nuit, tu as encore été te faire piner comme une truie, mais tu ne sais plus où au juste, c'est bien ça ?
- Oui… Mais…
- Pas de mais ! Tu as encore la moule farcie de foutre !
- Ho ! Théo !
- Réponds aux questions, boîte à bites ! Alors ?
- Oui…
- Et quand c'est comme ça, tu suces n’importe qui, on est bien d’accord ?
- Oui… Mais j’ai honte après.
- Tu as honte, mais une semaine après, tu recommences, c'est bien ça ?
- Oui, j’avoue… Oui…
À ce moment, Béatrice était perdue dans ses pensées. D’ailleurs, elle ne savait plus que penser d’elle-même !
- Et bien sûr, une fois que tu as sucé, tu te fais baiser et enculer par n’importe qui ?
- Oui, mais c'est parce que je suis bourrée !
- Ouais, enfin, Béatrice Kernozet, tu le sais que tu seras bourrée !
- Oui… mais je ne peux pas m’en empêcher...
- Bien, il paraît aussi que tu te fais baiser et enculer par le pote à ton gamin, c'est vrai ?
- Mais ! Tu le sais bien !
- On ne te demande pas ce que je sais ou pas, on te demande d’avouer tes frasques, d’expliquer tes turpitudes ! Alors ? Baiser et enculer par le pote à ton fils ?
- Oui…
- Et tu aimes ça ?
- Ho que oui ! Même si j’ai honte !
- Suces-tu les bites qui viennent de t’enculer ?
- Heuuu…
- Prends-tu dans ta bouche des bites qui sortent de ton cul ?
- Oui… Je crois… Mais elles sont propres !
- Ben voyons ! Il paraît que tu suces même de jeunes garçons à peine adolescents ?
- Ça va pas non !
- Comment peux-tu être aussi affirmative, quand les matins, tu ne te rappelles plus ce que tu as fait ?
- Oui… C'est vrai !
- Tu fais de l’uro ?
- C'est quoi ça ?
- Tu bois la pisse ?
- Ben non !
- Tu es sûre, vieille salope ?
- Heuu, oui… je crois…
- Tu baises avec ton propre fils ! Non ?
- Mais Théo ! Tu le sais bien !
- Réponds, bébé !
Une fois de plus, quand on l’appelle "bébé", ça la ramène à son adolescence propre, quand sa tante, sûrement un peu incestueuse, l’appelait de la sorte, et la caressait, pour l’endormir par exemple.
- Oui… Je sais, c'est mal… Mais je t’aime tellement mon Théo !
- Tu aimes ma pine surtout !
- Ne sois pas méchant !
- Dis-moi que ce n’est pas vrai ? Quand j’ai la bite à l’air, tu ne peux pas regarder ailleurs ! Donc, avec tout ça, on peut dire que tu fais cocu ton compagnon, Maxime, non ?
- Ben oui ! Pourtant, il ne le mérite pas…
- Aimes-tu te prostituer ?
- Mais non voyons !
- Pourtant, Kader m’a dit que tu avais bien joui au bar de Rachid, l’Obligatoire, non ?
- J’étais forcée…
- Ha bon ! On te force à avoir des orgasmes ?
- Mais non ! Tu sais bien ce que je veux dire !
- Non, je ne comprends rien à ton discours !
- Fais un effort, Théo !
- Le même que tu fais pour ne pas te saouler, avant d’aller en boîte ?
- Ne sois pas méchant, mon Théo, s'il te plaît.
Sa voix était devenue plaintive. Et quelques sanglots sortirent de sa gorge. L’exercice devait être difficile, mais il semble que ça rendrait bien, que ce serait criant de véracité.
- Donc, après tous ces aveux, qu’est-ce que tu es ?
- Je ne sais pas ?
- Tu es la reine des salopes, non ?
- Si tu le dis !
- Alors avoue-le !
- Je suis la reine des salopes !
- Plus fort.
- Je suis la reine des SALOPES !
j’étais heureux du résultat, ma vieille qui avouait qui elle était au juste, il faudra que je trouve le moyen de faire parvenir cet enregistrement à mon pauvre père. Et aussi à Maxime, quand le moment sera venu.
- Et donc, pour cette nuit, tu veux m’en parler ?
- Je ne me souviens de rien…
- Parait-il qu’on t’aurait vu aux bras de quatre mecs dans le vieux Tours.
- C'est possible...
- Des gens t’ont vu te faire baiser juste à côté de la place plum… Dans le jardin Saint-Pierre le Puellier, tu ne t’en souviens vraiment pas ?
- Non !
- Toute la ville doit savoir que tu es une grosse salope !
- Ho non...
- Et tu n’as jamais eu de collègues qui t’ont reconnu, lors de tes frasques nocturnes de boîte à bites ?
- Si… Certains oui…
- Et ils savent que tu sors à poil sous ton imper ?
- Ha Théo ! Arrête de me torturer !
- Te torturer ! Et tu penses à moi ? À Maxime, dans ces moments-là ?
- Non, c'est l’alcool…
- Quelle merveilleuse excuse...
- Il faut vraiment que j’arrête de boire !
- Tu n’arrêteras jamais de te saouler, justement parce que ça te donne l’excuse d’être totalement vicieuse et de te laisser aller à tes plus bas instincts.
- Ho Théo ! Quelle image as-tu de ta pauvre mère !
- L’image qu’elle se donne elle-même !
J’en avais assez. Ces confidences me permettraient, par la suite, de réaliser mes plans, qui, à ce moment-là, n’était pas encore totalement définis. Pour finir la vidéo, et montrer à quel point ma pute de mother m’obéissait, je lui donnai l’ordre de se masturber.
- C'est bien, tu as bien répondu à mes questions, maintenant, ta récompense, branle-toi.
Elle ne se fit pas prier deux fois, et tout de suite, envoya sa main droite sous son ventre pour chercher son clitoris. Une fois en place, elle s’astiqua le bouton.
Je filmai la scène une bonne minute, puis arrêtai l’engin, récupérai la cassette, et débranchai l’alimentation.
- Continue à te branler, bébé… Je reviens…
Je sortis de la cuisine et allai ranger le caméscope. Dès mon retour, je restai dans l’embrasure de la porte. Je regardai ma mère se masturber comme une collégienne. Qu’est-ce qu’elle m’excitait cette vieille salope ! Je commençai à comprendre ce qui rendait les hommes fous, chez elle. Par contre, pour vivre avec elle, voire, comme mon père, se marier, fallait bien mal la connaître !
- C'est bon une bonne branlette après une punition, hein maman ?
- Oui…
Elle commençait à être partie au pays des plaisirs des salopes.
- Allez, au lit, tu as ma bite en récompense d’avoir bien répondu.
Je prenais ma vioque par le bras gauche et l’aidai à se remettre debout. Dans l’état, dans lequel elle était, elle continuait à se tripoter avec sa main droite. Je lui demandai, à voix basse, tout près de son oreille :
- Tu as envie ?
- Ho que oui !
Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvâmes dans la chambre, je l’aidai à s’allonger du côté de son compagnon, et me couchai à mon tour. Je m’approchai de son visage, comme pour l’embrasser, mais me retins.
- Tu as bu de la pisse ou quoi ? Ton haleine pue l’urine !
- Je ne sais pas…
Sa franchise me surprendra toujours ! D’aucune femme aurait nié, voire se serait offusquée, là non, elle répondait franchement et honnêtement qu’elle ne se souvenait plus ! Alors, est-ce de la franchise ou de la candeur, bonne question !
Je bandais déjà, aussi, j’ordonnai encore :
- Viens t’asseoir sur mon sguègue…
Elle vint se mettre à califourchon sur moi, mais tournée vers moi, je la repris tout de suite.
- Non, tu pues trop, dans l’autre sens.
Elle se retourna, avec bien du mal, malgré mon aide, puis s’empala sur ma queue raide, avec un cri de joie.
- C'est bon comme ça, hein bébé ?
- Oui…
Et elle se mit à monter descendre sur ma pine, en remuant son bassin dans tous les sens et en s’astiquant le bouton, sans que j’aie eu besoin de lui en intimer l’ordre.
Je restai plusieurs minutes à la laisser se donner du plaisir de la sorte. Mais j’avais envie du trou le moins lisse. Je lui choppai les tétines, et, en les pinçant, je fis allonger ma reume sur mon ventre. Ma bite sortit du vagin chaud. Là, j’ordonnai :
- Mets-toi la dans le cul, vieille enculée.
Toujours aussi surpris qu’elle obéisse aussi bien, je la sentis s’emparer de mon zob et de le glisser dans son cul de salope en chaleur. Dès que mon gland eut passé l’anneau, et sans me prendre, pour autant, pour un seigneur, je donnai un coup de rein très énergique, qui fit pénétrer mon membre, tout au fond de son rectum.
Elle poussa un grand cri, arrêtant un instant de se branler, puis reprit sa branlette de plus bel.
Là, excité comme je l’étais, je ne tins pas, non plus, longtemps. Alors, je la repoussai, la désarçonnai, et lui ordonnai :
- Viens boire mon foutre, bébé chérie…
Là encore, je n’arrivai pas à comprendre pourquoi elle obéissait si bien à mes demandes perverses et vicieuses, mais j’appréciai, quand elle me faisait jouir dans sa bouche, j’étais au paradis des fils de putes.

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