Théo-rème de l’inceste Chapitre 36 : la tournante

 

Voyant la berline de mon pote devant la maison, je rentrai à mon tour.

Kader était en train de se dépatouiller avec une pochetronne qui ne tenait pas debout, pour lui ajuster correctement son imperméable, de façon et être plus discret dehors. Quand il me vit, il me demanda :

- On prend sa caisse, c'est moins voyant que mon bolide…

- Et bien moins connu aussi !

- Ouais, comme tu dis, man !

Prenant ma mère par un bras chacun et en nous dirigeant vers la porte du sous-sol au fond de la cuisine, je demandais encore :

- Comment tu vois le truc, toi ?

- J’ai contacté un pote, il m’a promis de venir ce soir avec quatre de ses cousins.

Il nous fut difficile de descendre l’escalier du sous-sol, tant la vioque n’était plus qu’une loque ! Mais une fois en bas, nous l'installâmes à l'arrière de sa voiture et j'ouvris le garage.

Kader démarra la voiture, la sortit de quelques mètres et stoppa.

Je refermai la porte coulissante du garage et montai à côté de mon pote. La vieille, l’imper grand ouvert, ronflait à en couvrir le bruit du moteur.

Peu de temps après, nous arrivâmes dans la cité à Kader. Là, il se rendit directement à l'accès du parking souterrain. Il sortit une carte de sa poche et badgea de manière à pouvoir entrer. Il s’arrêta devant une porte de garage bariolée de tags divers et variés, juste à côté d'une porte qui donnait sur l'immeuble, semble-t-il.

- On va l’emmener dans la cave, maintenant. Tu me donnes un coup de main, s'il te plaît.

À nouveau, nous portâmes ma vieille mère, en la tenant par un bras chacun. Après quelques longs couloirs glauques et étroits, où nous avions bien du mal à la traîner, nous arrivâmes devant une porte de cave, cave que Kader avait aménagé, visiblement pour ce genre de sport.

La pièce était en désordre, mais au milieu trônait un vieux canapé défoncé.

Ne voulant pas être vu par ma mère, je demandais à mon ami :

- Comme il ne faut pas qu'elle me voit, comment puis-je faire pour me cacher ?

- T'inquiète pas, j’ai pensé à tout. Tu vois, il y a une grande caisse à claire voie, tu peux y tenir debout, en regardant à travers la toile de jute, tu pourras la mater, mais elle ne pourra pas te voir.

- Impec ! Super.

- Pour la suite de nos affaires, pour pouvoir continuer à jouer à "bon flic, bad cop", il faut que ce soit toi et toi uniquement, qui la fasse prendre dans cette tournante.

- Ouais, pas de souci, man.

Ensuite, Kader, prit son téléphone et passa deux ou trois coups de fil. Et, un petit quart d'heure plus tard, cinq blacks virent frapper à la porte de la cave. Il les fit entrer.

Ils commencèrent par regarder la vieille, la détaillèrent, puis, le plus âgé de la bande annonça :

- C'est pas de la viande premier choix, Kader !

Un autre ajouta :

- Ouais, et en plus, elle a une sale gueule, on dirait un bulldog !

Et un troisième remarqua encore :

- Elle est totalement bourrée, mec ! Dis, Kader, tu nous prends pour qui ?

Sans se démonter, Kader répondit tout de suite :

- C'est ma pute, justement, parce qu'elle picole et qu'elle s'est bourrée la gueule, elle est punie ! Alors, je veux que vous me défonciez ses trous.

Les mecs se mettent à tripoter la viande, et à faire sortir la vieille de sa léthargie.

Elle ouvrit les yeux et commença par gueuler :

- Mais c'est quoi cette connerie ? Qu'est-ce que je fous ici ?

- Ferme ta grande gueule, laissa tomber son mac.

- Je vais crier, vous allez voir…

Et vlan ! Voilà que Kader venait de lui filer une grande claque dans la tronche.

Mais ça ne suffit pas à Béatrice, et elle commença à gueuler à tue-tête :

- Au secours, au viol.

Les mecs se marrèrent tous, et mon pote de préciser :

- Tu peux gueuler autant que tu veux, de toute façon, ici, tout le monde sait ce qui se passe dans les caves et personne ne bouge.

Mais, madame têtue, peut-être aussi dû à l’alcool, n’écouta pas et continua à beugler :

- Au viol… Au secours… À moi !

Là, plus pour se protéger les oreilles que par peur de voir quelqu'un intervenir, mon ami défit sa ceinture pour la deuxième fois de la soirée et demanda à ses copains :

- Vous pouvez me la tenir, à genoux sur la banquette, sa grande gueule au-dessus du dossier.

- Ouais, mec.

Et deux des blacks attrapèrent ma pauvre mère, qui s’époumonait toujours, par les bras et la mirent dans la position désirée.

Là, Kader lui fila une bonne dizaine de coups qui lui rayèrent le cuir, des reins jusqu’au milieu des cuisses.

À chaque fois que le cuir de la ceinture tombait sur la fine peau de la pochetronne, elle poussait un nouveau cri déchirant. Elle sautait sur place, mais ne pouvait se soustraire au traitement de son mac, toujours fermement maintenue par les deux hommes.

- Au secours… À moi !

Ses cris et ses pleurs ne faisaient qu’attiser la fureur de son mac, qui tapait de plus en plus fort. Visiblement ce salaud prenait goût à tabasser ma vioque.

Mais faut reconnaître, qu’elle le méritait. Sans sa grande gueule, elle se serait fait baiser à la chaîne, pour une grosse folle de bites, rien de vraiment grave.

Quand il eut fini, Kader, dont le visage réjouit luisait de quelques gouttes de sueur, attrapa les cheveux de ma vieille, tira dessus jusqu’à ce que le visage féminin soit sous le sien, et gueula à son tour :

- Maintenant, tu vas être gentille avec mes amis, sinon… Elle est à vous, messieurs, pas de pitié, pas de quartier dans la cité ! allez-y vider vous là-dedans.

Le premier mec, qui devait avoir dans les vingt-cinq, trente ans, avec une sale gueule de racaille, ouvrit sa braguette, choppa les cheveux de ma vieille et fourra sa bite dans la bouche, en lui ordonnant d’un ton malsain :

- Suce-moi, vieille connasse.

Son chibre puait le rance et la transpiration.

Il développa très vite, une belle grosse bite et appliqua un rythme soutenu à cette tête, qu’il tenait fermement.

- Ma bite sent bon la chatte de ma meuf que j’ai pinée il y a une heure, qu’est-ce que tu en penses ? Vieille folle...

Bien que bourrée, la pauvre femme eut un haut-le-cœur. Elle faillit vomir, mais ça passa, d’autant mieux que l’homme la lâchait enfin, mais pour l’allonger en travers du canapé, la poitrine sur l’accoudoir. Comme elle ne pouvait pas tenir sa langue, elle annonça :

- J'ai failli germer !

Ensuite, sans aucune considération pour la boîte à bites, le type la prit par le cul après être monté à genoux sur l’assise. Comme l’imperméable le gênait, il le retroussa sur les reins.

Ainsi, la vieille avait son imper sur la tête, et ses cris semblaient un peu moins forts. Heureusement ma mère avait l'habitude de se faire enculer, elle serra donc un peu les dents, ne comprenant pas trop ce qui se passait, et prit la bite en elle, comme ça.

Un deuxième lascar vint se faire sucer, en se plaçant devant la tête de la femme. Il souleva légèrement le vêtement, attrapa à son tour les cheveux, et enfourna sa queue dans la vieille bouche.

Ma mère, toujours aussi intelligente, commença par râler.

- Elle pue ta bite, salaud !

Le mec lui mit une grande claque.

Le premier lascar, qui limait comme un beau diable, annonça :

- C'est pas un top-modèle, mais alors, elle est drôlement large du fion ! Elle doit aller souvent dans la savane !

Rire dans l’assistance, tout le monde savait qu’il faisait allusion aux mythiques salopes qui se font prendre par les éléphants dans la savane. Dans le coin, c’était la blague pour les femmes très ouvertes.

Le deuxième mec, plus jeune, dans les vingt ans, dit, après avoir levé l’imper pour le glisser sur les épaules :

- T’es vraiment moche ! Ta gueule m'empêche de bander, je vais te le mettre dans la boîte à crottes.

Le premier mec donnait des signes de jouissance, il ahanait de plus en plus fort, puis, dans un dernier bon gros coup de rein, se planta au fond du rectum et cria :

- Tiens, connasse, prends du foutre dans ton vieux pot…

Dès qu'il ressortit son sexe, le deuxième arriva, lui donna la main pour qu’il quitte le canapé, et s’installa à son tour au cul de ma mère.

Il glissa, lui aussi, directement sa pine dans le fion de ma reume et bourrina comme un cinglé.

Sous les assauts de ces bites de belles tailles, ma mère remuait dans tous les sens, si bien que le troisième larron demanda ?

- Tu nous fais le coup du rodéo sida ?

Nouveau rire de l’assistance.

Deux autres mecs passèrent sur les côtés et virent lui tripoter les boîtes à lait. Ces deux types étaient plus jeunes, un devant avoir dans les seize ans, l'autre, je me demandai s'il avait déjà quatorze ans. Et ses deux petits salauds tripotaient les deux nibards, d’une femme qui aurait pu être leur grand-mère ! Ils s’amusèrent à tirer sur les tétons comme de beaux sauvages.

Le dernier bandit, qui avait sorti sa bite et se branlait doucement, dit au deuxième enculeur :

- Il a l’air tout poisseux, ce fion, elle se chie dessus ?

- Non, elle commence juste à être pleine, je pense.

Puis, alors qu’il venait de retirer son froc et son caleçon, la bite à l’air, une déjà belle érection, il dit à son copain :

- Vas-y Aziz, on va se la choper à deux, cette vieille connasse.

Le deuxième visiteur du cul de la vieille, se retira. Le cinquième, prenant par la taille, ma mère, s’assit à côté d’elle et la fit s'asseoir sur sa bite déjà dressée. Il la pina un grand coup.

- Ça me brûle... Ça brûle ! Arrête...

- On s'en fout que ça brûle ou pas, connasse.

Le glaçon à la vodka que la vieille avait pris dans la chatte, se rappela à son bon souvenir.

Le deuxième mec, toujours la queue raide, avec une seule envie, celle de se finir dans ce trou du cul chaud à souhait, vint se placer au-dessus des cuisses serrées de son pote. Il plaça son membre contre la rondelle, attendit quelques secondes que son pote arrêta de limer, puis pénétra franchement le boyau, resserré, quant à lui, par la présence d’un beau morceau de viande dans le vagin.

Les deux salauds défonçaient les trous à plaisir de ma mère. Les deux plus jeunes étaient venus à côté, et jouaient à nouveau avec les boîtes à lait, tirant sur les tétons comme des vrais malades.

Le premier des cinq bandits, devant le visage de ma vieille et lui demanda :

- Alors, c'est bon la bite des Arabes ?

- Oui...

- Vraiment connasse ?

- On sait que tu es raciste comme un pou, pauvre merde blanche.

- Oui, j’aime ça, j’aime vos bites, salauds !

- Salaud ?

Et l’homme lui cracha au visage, puis, la fixant d’un regard froid et dur, poursuivit :

- Ouais, quand tu prends ton pied avec nos bonnes queues, tu nous aimes… Mais quand il faudra voter, tu seras encore pour les pourris de bons français qui veulent nous nettoyer au karcher…

- Mais non… Ho... Oui…

Les deux mecs qui s’occupaient de ses trous arrivèrent, à ce moment-là, à avoir exactement le même rythme. Ils entraient et sortaient de son corps en même temps.

Elle perdit totalement pied et sombra dans un monde onirique de plaisirs fous.

- Encore ! Encore !

Sa voix était toujours étonnante, déformée par l’alcool, mais dans le ton il y avait la vérité, elle jouissait et en voulait toujours plus !

- Quand on te dit qu’on va te baiser jusqu’à ce que tu nous aimes…

- Ho oui ! Je vous aime… Encore !

Depuis mon poste d’observation, je me faisais la réflexion que finalement, ma mère avait un cœur d’artichaut, elle aimait celui qui lui donnait du plaisir sur le moment, après, c’était la grande question.

- C'est trop bien à deux là-dedans !

C’était le type qui l’enculait qui parlait. Il n’avait vraiment aucune considération pour la femme qui lui donnait du plaisir à et instant, pour lui, c’était une boîte à bites comme les autres.

- Ouais mon pote, cette chatte aussi est bonne, je vais me laisser aller à la remplir, tiens !

Tout de suite après, le chibre qui lui remplissait le vagin, dégueula son jus de couilles, tout au fond.

Béatrice Sentait les jets puissants qui venaient s’écraser contre le col, elle eut encore un orgasme.

Le type qui l’enculait, se retira brutalement et demanda à son complice :

- Retourne-la moi, s'il te plaît, je vais lui engluer les amygdales.

Le gars assis souleva la pauvre femme en la prenant sous les aisselles, et la fit pivoter, puis la déposa sur ses genoux.

Le troisième larron enfouit sa pine dans la bouche, dès qu’elle fut à sa hauteur, attrapa la tête, s’en servit pour se finir et, à son tour, juta dans la bouche de ma reume.

Cette pute prenait vraiment tout le monde et par tous les trous !

- Nettoie-moi bien le sguègue, je ne veux pas que ma meuf me dise que ma teube pue la merde de blanche neige !

Elle avait des spasmes et de petits orgasmes, mais à répétition, et faire une pipe, ça ne la gênait pas, pour le reste, elle ne comprenait pas réellement ce que le mec lui disait !

Le deuxième black se recula, le troisième repoussa brutalement la femelle mûre qui s’étala par terre, et en se levant, dit aux deux jeunes :

- Allez-y, les gamins, faites-vous plaiz là-dedans.

Alors que les deux jeunes relevèrent Béatrice et la jetèrent sur le canapé. Celui qui semblait le plus vieux des deux s’avança, une jambe de chaque côté des cuisses de ma vieille. D’une main alerte, déboutonna son jean, et sortit sa pine qu’il donna tout de suite à sucer.

- Vas-y, mémé, bouffe-moi, elle est aussi bonne que celle de mes grands cousins.

Le jeune, qui avait dans les seize ans, attrapa les oreilles de la vieille, les tint fermement, les tirant et les repoussant très vite, de manière que sa bite entre et sorte très vite de la bouche chaude. Littéralement, il se branlait dans la bouche de mamie.

Son jeune ami s'amusait encore et toujours avec les nichons et se marrait en voyant son pote limer, comme un démon, cette bouche accueillante.

Bien entendu, à se branler dans la bouche comme ça, le jeune adolescent arriva vite au point de mon retour. Il tint alors la tête de la femme mûre contre son pubis et juta tout son jeune sperme.

- Tu as aimé, mémé ?

- Tu lui as juté dans la bouche ?

- Ouais, elle m’a fait tout balancer ! quelle salope, cette vieille !

- Hum, hum, fit Béatrice, comme pour accepter ce qui venait d'arriver.

- Ça fait vraiment du bien de se vider ! Vas-y, viens te faire sucer, tu vas voir…

Et le plus jeune prit la place de son ami et enfuit à son tour, son sexe encore mou, dans la bouche, de celle qui aurait pu être sa grand-mère. Il avait compris comment faire et attrapa donc les cheveux, du côté du visage de la femme, et à son tour, se branla dans cette bouche à sperme. Assez vite, il se mit à bander et son pote lui dit :

- T'emmerde pas, laisse-toi aller, c'est pas ta meuf, c'est juste une pute.

Aussi le petit jeune salaud se laissa aller, et très vite, juta aussi dans la bouche de mamie.

- Tu as raison Momo, c'est trop bon de jouir dans la gueule d’une pute comme ça !

- Attends, j’en veux encore un coup, moi aussi.

Et l'adolescent, se replaçant au même endroit, rattrapant à nouveau les oreilles, la queue encore flasque, offrit sa pine à pomper.

Bien entendu, la femme mûre, dès qu’elle eut le zob en bouche, se mit à le sucer. Elle suça jusqu'à ce qu'il bande.

Au bout d'un petit quart d'heure, il avait de nouveau une belle gaule. Il commença à s'énerver et à tirer de plus en plus fort sur les oreilles.

- Putain ! J'ai envie de juter... Mais ça vient pas.

Le plus jeune lui répondit :

- Attends, je vais te donner un coup de main.

Il attrapa un téton, le pinça très fortement et le tourna.

La vieille couinait, malgré qu'elle ait la bouche envahie. Elle essaya de demander grâce et qu'on lui lâcha son téton. Mais les mots furent incompréhensibles, cependant, elle parvint à exciter le jeune qu’elle suçait depuis plus d’un quart d’heure.

L'adolescent, excité par ce qu'il comprenait, jouit à nouveau. Mais cette fois, il éjacula une dose moins importante.

Le plus jeune, excité comme une puce, décida, à son tour, de revenir dans la bouche de la mamie. Et c'est la bite repliée et flasque, qu’il prit la place de son pote et ordonna :

- Vas-y, vieille pute, pompe-moi... Fais-moi bander.

Béatrice, malgré son état alcoolisé avancé et nonobstant ce qu’elle venait de subir, se posait des questions quant à ce qui se passait, ce qu’y la poussait à accepter tant de choses aussi honteuses ? Elle se disait qu'elle était tombée vraiment très bas, pour sucer des enfants !

Le plus jeune n'arrivait toujours pas à bander au bout de dix minutes. Par contre, il eut envie de pisser. Aussi, il prit la tête de la vieille contre son pubis. Là, au chaud, il se laissa aller et pissa dans la bouche féminine.

Si elle avalait l’urine chaude, une partie coula aux commissures de lèvres de la femme, se répandant sur son corps.

- Tu veux pas me faire juter ! Ben, tu vas prendre ma pisse, vieille truie.

Une fois qu’il eut terminé de se vider la vessie, se reculant et regardant la vieille dans les yeux, lui dit encore :

- Une pute qui boit de la pisse ! C'est facile à nourrir ça ! Et pour manger, c'est de la merde que tu bouffes ?

Ma reume se mit à pleurer ! Effectivement, si maintenant, on pouvait lui pisser dans la bouche et qu'elle avalait une partie de cette urine, ce n'est plus de tomber bien bas qu'elle était. Elle était, désormais, au sous-sol de l’enfer, en dehors du monde réel.

À nouveau, elle pensa qu’elle devenait vraiment une bête, une machine sexuelle. Elle se faisait à présent baiser par des gamins, même pas encore ado, et elle aimait ça !

Voir ma génitrice se faire démonter la gueule par la bite d’un mec aussi jeune, me donna des hauts-le-cœur. Et encore, je n’avais pas bien compris que le gosse lui avait pissé dans le gosier ! Cette chienne était incontestablement prête à tout, pour prendre des coups de bite dans la viande. Je commençai à me souvenir que Maxime avait un jour traité ma mère de viande à boîte de nuit. Je me dis, qu’il avait sûrement vu juste !

Le premier des blacks s’adressa alors à mon pote :

- Bon, tu nous as habitué à de la plus jolie, mais c'est vrai que là, une suceuse de bites merdeuses, c'est pas banal !

- Ouais, et qui boit de la pisse, non plus !

- Contents que ça vous ait plu, les amis, si vous en avez envie une autre fois, passez-moi commande quelques jours à l’avance.

Tout en discutant, Kader alla dans un coin de la cave et fit chauffer une petite bouilloire, il y mit du thé, puis fit sortir ses complices.

Dix minutes plus tard, le thé était infusé, il prit un comprimé de la boîte d’Imovane, le fit fondre dans une tasse de thé qu’il sucra. Et, après avoir secoué ma mère qui était dans un état second, la lui fit boire.

Dans l’état dans lequel elle était, la pauvre femme tomba dans un profond sommeil en quelques instants.

C'est à ce moment-là que mon pote ouvrit la porte de la caisse à claire voie.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 2

Une heure avec Sonia (2019)

Mamie se prostitue : le mac (2024)

Au service de Monsieur (2015-2023)

Punition au sex-shop (2002)

Train de nuit 01 (2002)

La boite à blacks (2019)

Christine ou les malheurs de la maturité (2023)

La prof examinée 01 (2010)

La prof examinée 02 (2010 -2023)