Théo-rème de l’inceste Chapitre 35 : les glaçons

 

Après mon petit commerce, vers la fin de matinée, j’appelai Kader et on se retrouva dans sa cave. Après avoir discuté de la nuit d’avant, d’un coup, mon ami me demanda :

- Tu as fait les glaçons à la vodka comme je t'en avais parlé.

- Pourquoi, tu veux prendre une vodka ?

Après un court rire, il me dit :

- Non ! Par contre, tu m'expliques où c'est. J’ai envie de passer voir ta reume et après l'avoir copieusement enculée, je l'attacherai à la table avec les scratch que j'ai, lui collerai un bâillon. Après, je lui mettrai un glaçon à la vodka dans sa chatte !

- Ha bon ! Et alors ?

- Ça devrait la brûler et la faire gueuler au charron et je la laisse comme ça pendant une heure. Toi, tu viens après et tu joues bon flic. Tu la cajoles, tu la câlines et après l'avoir délivré, tu lui mets deux glaçons dans le cul.

- Dans le cul ?

- Oui, elle va se prendre une bonne grosse cuite. Là, tu me téléphones et je viendrai vous chercher.

- Ouais, c'est quoi le plan ?

- Une tournante ! Je l'emmènerai faire une tournante dans les caves de l'immeuble. Que penses-tu de mon petit programme ?

- Je n'en pense que du bien ! À mon avis, on devrait pouvoir se marrer un peu, mais tu as des potes qui sont sûrs ?

- Ouais, pas de souci, j'ai d'autres potes bien vicelards, bien barrés, ils vont bien lui défoncer le cul !

- Après, on la ramènera à poil et on la laissera devant la maison. Toi, tu rentreras un quart d'heure après, avec les clés. Et là, on pourra l’avilir tout à ta guise

- Ouais ! Super ! Ton plan me botte !

Le soir, je téléphonai à ma mère pour lui dire que je serai très en retard, une copine à aller voir. Elle commença à grogner un peu au téléphone, mais je ne lui laissai pas le temps de parler et je raccrochai.

Vers dix-sept heures, Kader arriva et gara sa voiture devant la maison. Il prit son petit sac de sport sur le siège passager.

Bien-sûr, ma mère ne voulut pas ouvrir, mais elle avait oublié qu'il avait les clés.

Il rentra donc en déverrouillant la serrure et gueula tout de suite contre sa pute, qui aurait voulu le laisser dehors. Il attrapa Béatrice, sans ménagement, et l’emmena dans la salle à manger, pour l’allonger sur la table.

Ne pouvant pas résister à la force du jeune, et on peut se demander si elle avait réellement envie de s’opposer à ce qui allait suivre. Car elle savait très bien, qu’elle allait se faire ardemment enculer, une fois de plus. Et elle s’avoua aimer, finalement, cette force brute, cette brutalité dans les rapports amoureux. Cette fougue sexuelle, ces baises à la hussarde.

Kader ne perdit pas ce temps en fioriture, il ouvrit sa braguette, défit sa ceinture totalement, qu’il posa sur la première chaise venue, à côté de son petit sac de sport.

Mémère ne portait que des bas, sous sa robe violette mi-longue. Elle eut tôt fait de se retrouver trousser, avec la grosse pine de son mac contre son sphincter, qui, comme très souvent, était déjà humide. Le bas de sa robe sur les reins, ses seins écrasés sur le bois, elle ne pouvait rien voir, si ce n’est des ombres qui se reflétaient dans les carreaux de la fenêtre.

Le jeune homme enfonça, d’un coup, son chibre dans l’anus chaud. Ça ne forçait pas vraiment, mais ce n’était pas aussi lubrifié qu’habituellement, peu importait, le tout était qu’il arrive à ses fins.

Malgré la brûlure, très vite, Béatrice se mit à gémir, puis à crier son plaisir. Ce salaud de gamin lui faisait tout de même un effet incroyable, quand il plantait sa jeune queue, dans son ventre.

Excité par le plan machiavélique qu’il avait concocté, Kader juta une grosse dose de foutre dans l’anus, puis se retira prestement, laissant la vieille trembler de tout son être, sur la table.

Une fois encore, l’orgasme fut terrible, violent, et emmenait la pauvre femme si loin, dans ces contrées du plaisir, qu’elle perdait totalement conscience, de qui elle était, pendant de longues minutes. Elle était vautrée sur la table comme un paquet de linge sale, qui serait secoué par le vent.

C'est à ce moment que Kader sortit des poches de son blouson, quatre lanières de cuir noir, larges de trois centimètres et longs d’une trentaine, équipés de scratch puissant. Tout de suite, il attacha les poignets, de ma mère, au pied de table, les plus proches de la fenêtre. Ensuite, après lui avoir écarté les jambes, attacha les chevilles aux deux derniers pieds de table.

Ma mère, encore groggy, attachée sur la table, l’anus encore bien ouvert, d’où du foutre s’écoulait, commença à s'énerver :

- Mais qu'est-ce que tu fais, espèce de fou !

- Ferme ta gueule, connasse... Tu m'appartiens et quand j'arrive, tu m'ouvres. Je ne veux plus jamais que tu me laisses à la porte !

Là-dessus, mon pote se dirigea directement vers le frigo, récupéra, dans le bac à glace, un des glaçons bricolés que je lui avais désignés et revint près de la mère.

La vioque ne comprenait pas du tout ce qui se passait, elle était prête à ouvrir encore une fois sa grande gueule, mais se retint, ne sachant pas à quelle sauce elle allait être mangée.

Kader, après avoir ouvert la vulve avec ses doigts, enfonça le glaçon dans le vagin, en lui disant :

- Tu as toujours le feu au cul… Alors maintenant, un petit glaçon dans la chatte… Ça va calmer tes ardeurs… Tu vas rester comme ça.

Sur ce, le jeune homme rangea le reste de ses petites affaires en un clin d’œil, repartit en claquant la porte derrière lui.

Ma mère, qui ne comprenait rien du tout, à ce qui venait de se passer, essaya de bouger dans tous les sens, pour se détacher. Mais rien n'y fit. Le glaçon dans sa chatte lui procurait une forme de fraîcheur. Mais bientôt, elle sentit plutôt de la chaleur.

Elle pensa, au début, que c'était normal, dû au fait de jouer avec le froid. Rapidement, cette chaleur devint très importante, puis insupportable et elle commence à crier. Elle criait sa douleur, l'alcool lui brûlant la matrice.

Un peu avant dix-neuf heures, à mon tour, je rentrai.

Ma mère s'était quelque peu calmée, moins de cris, mais elle sautait toujours comme un cabri, bien que toujours attachée sur la table. Visiblement, elle était crevée.

En entrant dans la salle à manger, je commençai par rire.

- Ça te fait rire, petit salaud !

- Ouais… Tu as encore picolé, tu es encore rentrée bourrée et tu es tombée sur un taré ?

- Mais non ! C'est ton copain qui m’a attachée !

Si c'est le cas, c'est que tu n'as pas été sage avec lui ! Bon, je lui dirai que je suis d’accord qu’il te prostitue, mais lui demanderai qu’il soit plus sympa avec toi, à moins que tu ne fasses encore des bêtises !

Se sentir petite fille ! Elle se sentait petite fille, quand on parlait de la punir pour ses fautes, ça la révoltait certes, mais au fond d’elle-même, elle savait qu’elle était restée cette petite fille, quelque part ! La preuve, ses frasques ressemblaient fort à cette attitude d’adolescent qui cherche les limites.

- Je t’en prie, mon chéri, détache-moi.

Bon prince, je détachai ma vieille, d'abord les chevilles, ensuite les poignées. Puis, je l'aidai à se relever et je lui demandai :

- Qu'est-ce qui t'est arrivé ?

- Il m'a attaché ! Ce salaud m'a attaché... Il m'a sodomisé et il m'a mis un glaçon dans la chatte.

- Non ! et il t'a fait ça, sans que tu ne lui fasses rien ?

- Oui ! C'est un taré ton copain !

- Bon, je lui poserai la question et lui demanderai qu’il m'explique.

Sur ce, je pris ma mère contre moi et l'emmenai dans le salon. Je m'installai dans le canapé et l’accueillis à côté de moi, tendrement, pour la câliner.

- Son glaçon m’a brûlé la chatte, c'est de la folie !

- Tu es sûre que tu n’avais pas picolé ?

- Ben non ! Pourquoi ?

- Un glaçon qui brûle…

- Je t’assure !

Ma mère portait toujours sa robe violette, et je commençai à la caresser, pire, je l’embrassai le plus tendrement possible, comme si elle avait été ma petite amie. Je commençai à défaire sa robe en lui susurrant à l’oreille :

- J’ai très envie de toi, ma maman chérie. J’appuyai bien fort sur "maman chérie".

- Tu es un petit diable… Mais moi aussi, j’ai très envie de toi, mon aimé !

Alors, assez vite, ma mère me rendit mon baiser. Je sentais son excitation qui transpirait par tous les pores de sa peau.

Je m’occupai de la déshabiller. Ce qui fut vite fait, car elle était nue sous sa robe. Je me permis de lui caresser le clitoris et quand elle commença à fermer les yeux pour ronronner comme une chatte, je lui demandai gentiment :

- Suce-moi, comme tu sais si bien le faire, bébé.

Ma mère ne se fit pas plus prier que ça. Elle se dégagea un peu de moi, ouvrit ma braguette, tira sur mon pantalon.

Je l'aidai en cela en m’arque-boutant sur le canapé.

Une fois mon sexe a l'air, elle plongea sa tête entre mes cuisses et commença à me sucer.

Je bandai comme un taureau, mais je ne voulais pas jouir dans sa bouche. Je voulais qu'elle prenne du plaisir, elle aussi. Je l’attrapai alors par le haut des bras et la tira à moi, pour qu’elle vienne prendre ma pine dans son ventre.

- Aie ! Ça me brûle…

- Ha merde ! Désolé maman, on va changer, alors, bébé.

Et, me guidant de ma main droite, je plaçai mon gland contre son sphincter, et attendis qu’elle fasse le reste du boulot et qu’elle s’encule toute seule.

Je lui roulai alors encore une pelle d’enfer et commençai à bouger mon bassin, pour visiter son boyau.

Très vite ensuite, elle se mit à remuer dans tous les sens. Et très vite aussi, elle ferma ses yeux et commença à râler de bonheur.

Je lui ordonnai alors :

- Bricole-toi le clito, bébé…

Ça, c’était magique, il suffisait qu’on lui impose de se tripoter le clitoris, pour qu’elle parte dans les tours et qu’elle ait un orgasme, quand ce n’était pas plusieurs d’affilées. Et, comme habituellement, elle se mit à crier son plaisir et tout son amour pour moi. Puis, elle se mit à trembler de partout.

Moi, sentir son corps trembler et savoir que je faisais jouir une femme, ma mère par-dessus le marché, me faisait aussi toujours beaucoup d’effet. Et bien entendu, là, je jouissais en inondant les boyaux maternels.

Nous restâmes soudés l’un dans l’autre pendant quelques minutes, histoire de reprendre notre souffle, et je caressai doucement, presque amoureusement, tout le corps de mon aïeule. J’espérai surtout qu’elle le ressente comme de l’amour, avec un grand A.

Ma pine ressortit naturellement du colon chaud et humide, je débandai, tout en conservant un bel engin. Puis, après avoir aidé ma reume à s’asseoir à mes côtés, je regardai mon sexe et dis :

- Maman ! Tu m’as sali la pine !

- Attends, mon chéri, je vais te la nettoyer.

Et elle se plia en deux et goba ma queue polluée par sa production interne.

- Non bébé ! Non, c'est pas grave, je vais la laver… Ne t’inquiète pas, bébé. Là encore, j’appuyai bien fort sur "bébé".

Je me levai et allai dans la cuisine. J’ouvris le frigo et m’emparai de deux glaçons à la vodka. Puis, je revenais dans le salon. Alors que ma mère se reposait, les yeux fermés, je lui écarte les fesses et lui glissai les deux garçons dans le cul.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? Tu es bientôt aussi pervers que ton copain !

- Non, je te fais simplement un petit lavement anal.

- C'est pas gentil de ta part !

- Ça va te faire du bien, repose-toi.

- Je ne sais pas quoi en penser ! J'ai bien peur que tu deviennes aussi pervers que ton ami.

- Ah ! C'est comme ça que tu me remercies ?

Je la repris dans mes bras et restai quelques instants comme ça, à la câliner. Ce calme dura bien un bon quart d’heure. Puis, je m’aperçus qu’elle recommençait à trembler. Je lui posai la question :

- Ce sont les glaçons, qui te donnent froid ?

- Oh, ça va… Ouais ? C'est bon là…

Ça y était, elle commençait à être bourrée avec sa langue qui collait au palais, sa façon de parler, foncièrement stupide et son regard hagard.

Je me relevai et retournai chercher encore deux glaçons. Puis, je pris ma veille par les bras, et la remuai, sans ménagement, pour la placer sur le ventre. Je lui glissai encore les deux nouveaux glaçons dans le cul.

Elle rechigna, puis commença à rigoler et finit par balbutier :

- Ça va tes conneries... C'est bon…

Mais elle ne fit aucun geste pour éviter de se prendre les glaçons dans le rectum ! Au contraire, elle commença à onduler du bassin, comme pour faire mieux fondre la glace en elle.

Je restai quelques minutes à genoux auprès du canapé, un peu perdu dans mes pensées, à voir, sans regarder, le cul de ma vieille qui bougeait.

Elle devenait de plus en plus alcoolisée, et ouvrit encore sa grande gueule :

- Alors, p’tit con, tu ne veux plus baiser maman ?

Je me relevai et lui administrai une bonne claque sur les fesses. Mais alors, une bonne, de celle qu’on donne et qu’on n’aimerait pas qu’on nous rende.

Elle se mit à pleurer, en essayant de se redresser un peu, mais l’alcool lui interdisait de coordonner ses mouvements.

Très perversement, j’enfonçai encore le clou :

- Ouais, tu t’es encore saoulée la gueule en mon absence !

- Mais non…

- Espèce de pochetronne, tu me dégoûtes.

- Non ! Mon Théo !

J'en profitai pour envoyer un petit message, à mon pote, en lui disant qu'il pouvait venir la chercher.

Puis, je lançai à ma mère, sans lui prêter la moindre attention, ni même un regard :

- T’es pas capable de faire autre chose que de t’avoiner et de te faire enculer, tu me dégoûtes, je vais voir des gens BIEN !

À peine un quart d'heure plus tard, mon pote gara sa voiture devant la maison et rentra directement. Il vit Béatrice affalé dans le canapé, l’empoigna pour la lever. Comme elle ne tenait pas debout, il l’allongea sur la table de la salle à manger attenante, défis sa ceinture et commença à lui filer cinq ou six coups de ceinture cinglants, sur le cul.

Elle cria fort, et très vite ses fesses affichèrent de belles marques rouges.

Il s’empara de l’imperméable de ma vioque et lui mit, puis il lui annonça :

- Allez, je t'emmène...

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