Théo-rème de l’inceste Chapitre 34 : au lit tout le monde

 

- Bon ! Après cette séance de tournage, si on allait faire une petite sieste ?

- Ouais ! j’suis claqué… Metteur en scène, c'est crevant comme job !

Nous rîmes à nouveau, une sorte de fou-rire, sûrement dû à la chute de la tenson nerveuse, enfin, pour moi. Mon pote, lui, avait encore une bonne bosse dans le froc !

- Je vais essayer de mettre cette vidéo dans un fichier, tu n’as qu’à profiter de la pute en attendant…

- Ouais, je vais me vider les couilles là-dedans. Mais tu as rempli le trou le moins lisse !

Nouveaux rires.

Voyant que Kader peinait à tirer le corps de ma vieille, qui, occis, était devenue lourde comme un âne mort, je l’aidai à l’amener au bord du lit, sur le dos, jambes en dehors du paddock.

- Vas-y, mon ami, vide-toi dedans, moi, je file sur l‘ordi.

Pendant que Kader pénétrait ce corps inerte en lui tenant les cuisses, je descendais du lit de l’autre côté et, après m’être emparé du caméscope, allai dans le bureau.

Quand la grosse pine entra dans son corps, Béatrice commença par râler de façon totalement inintelligible, mais elle affichait aussi un large sourire, niais, mais sourire tout de même !

- T’aimes ça, ma teube dans ta boîte à gosses, hein morue ?

Nouveau grognement, mais sourire plus appuyé.

Là, ne pensant qu’à son unique plaisir, le jeune homme se mit à limer comme un beau djinn.

Très vite, la femme donna des signes évident de plaisir et couina comme une truie. Puis, malgré la violence des coups de queue, elle se mit à chanter, et enfin, à gueuler que c’était trop bon.

De ma place, j’entendais la vioque hurler, elle prenait visiblement son pied une fois de plus ! Finalement, loin d’être les pires pervers, nous lui rendions bien service, à cette folle du vice !

Kader, excité par la séance de tournage, et par les différents produits pris dans la soirée, ne tint pas très longtemps. Bientôt, dans un grognement, il déchargea sa dernière cargaison de jus d’homme, bien chaud, dans le ventre de la femme.

Elle bougeait dans tous les sens, comme un pantin désarticulé dans un tremblement de terre, sous la violence de ce nouvel orgasme. Elle sentait confusément, à travers le brouillard du stupre et de la drogue, qu’elle devenait de plus en plus esclave de ses sens, de ses vices. Elle découvrait qu’elle évoluait en une vulgaire boîte à bites, pour que les mecs se soulagent dedans. Mais, au fait, n’était-ce pas le cas depuis toujours ?

Maintenant que Kader était apaisé, les couilles vides, il décida d’allonger sa pute dans le sens normal du lit. Il la souleva un peu et l’aida à se mettre au milieu.

Elle était tournée vers sa table de nuit.

Lui, après s'être déshabillé, se coucha devant la femme mûre. Lui roula encore une ou deux pelles, lui tripota les nichons pendant quelques instants, puis s'endormît du sommeil du juste.

Moi, je suivais la digitalisation du film, mais je me rendis compte que ça allait prendre pas mal de temps. Comme je commençais aussi à être bien fatigué, sachant que l’ordinateur n'avait pas besoin que je sois devant, pour faire son boulot, je retournai dans la chambre.

Je vis mon pote, dormant à poings fermés, une main sur la chatte de ma mère, et ma mère qui devait dormir aussi, mais qui était tournée et je ne voyais que son dos. Je ne déshabillai rapidement puis me m’allongeai contre le dos de ma mère.

J’étais toujours dans cet état d'esprit, je la haïssais, cette satanée salope qui avait fait cocu mon père. C'était une vulgaire boîte à bites, qui se faisait baiser par n'importe qui et par tout le monde, d'un côté. Et, de l'autre, cette femme, encore assez jolie, était ma mère, mère que j'aimais tout de même profondément. Je ne savais toujours pas trop où j'en étais en fait, et je ne suis pas sûr que la drogue et l'alcool m’aient beaucoup aidés dans cette réflexion.

Une fois correctement allongé dans le lit, je passai mon bras droit sous son épaule et mon bras gauche par-dessus son corps et je croisai mes bras sur sa poitrine, ses seins en main, en la collant contre moi.

Elle ne devait pas dormir complètement, puisque ma mère me mit ses mains sur les miennes, se pelotonna tendrement comme une chatte et dit tout doucement :

- Mon Théo… Mon Théo… Mon chéri... Mon fils adoré... Si tu savais comme je t'aime... Comme je t'aime.

- Oui maman, tu m'aimes, mais tu es, quand même, une grosse enculée…

Je chuchotai ces mots à son oreille, comme si c’était un lourd secret, que personne ne devait connaître.

- Ne sois pas méchant Théo… Puis, après quelques instants de réflexion : Oui, je suis peut-être un petit peu fofolle, mais je suis surtout folle de toi, mon amour.

C'est sur ces bonnes paroles mêlées à un gros câlin que le sommeil vint nous cueillir tous les deux et nous nous endormîmes.

Il était cinq heures trente-quatre au réveil de ma mère, quand je fus réveillé par sa voix, qui n’était pas encore redevenue normale :

- Ho ! Kader ! arrête, je suis fatiguée et j’ai mal à la tête…

- Et moi, je bande, ma pute, alors amène ton cul.

- Non !

Une grande claque dans la tronche de ma vieille finit par me réveiller totalement. D’une voix encore endormie, j’interpellai mon pote :

- Ouais, on se la prend en sandwich si tu veux.

- Oui ! Bonne idée, man.

- Bande de salauds ! Vous n’aurez donc jamais de pitié pour moi !

Là-dessus, Kader tira ma vieille à lui, sans ménagement, la souleva et l’installa sur lui. Très vite, il lui fit entrer son gros sexe dans la chatte.

Étonnement, Béatrice était déjà détrempée, et elle prit ce sexe sans heurt et avec bonheur. Elle poussa un petit cri, ferma les yeux et se laissa finalement faire.

- Viens lui prendre le cul, man…

Je me redressai alors et vins sur les genoux, une fois au-dessus des cuisses de mon pote, je poussai la vioque en avant, lui écartai les fesses, de deux doigts agiles et précis. Puis, comme je bandai déjà comme un taureau, je plaçai mon vit contre son anus. J’ordonnai alors :

- Tiens tes miches à pleines mains, je vais te la mettre dans le cul.

Je vis les mains de ma vieille s’emparer d’une fesse chacune, et les écarter le plus possible. Alors, d’un coup de rein fort, je lui trouai le fion.

Dire qu’elle avait souvent rêvé de se faire prendre par deux beaux mecs en même temps, là, c’était le pied ! En plus, c’était son bébé chéri qui lui ramonait le fondement, et c’était vraiment totalement merveilleux. Elle essaya alors d’embrasser Kader.

- Ça va pas ! Tu pues de la gueule, vieille guenon !

Et il lui attrapa les mamelles et les pressa comme des fruits pas assez mûrs.

- Aie !

À ce moment-là, je commençai à l’enculer en allant de plus en plus vite et de plus en plus fort.

Cette fois, la blonde poussait des cris de plaisir avec les yeux clos.

- Tripote-lui le clito, mon ami, tu vas voir, comme elle va décoller.

Tout de suite, Kader plongea ses doigts dans cette vulve collée, à son ventre, et trouva le démarreur, qu’il branla aussitôt.

Cette fois, elle se mit à gueuler de plaisir, tant et tellement que très vite, elle tomba en avant sur le torse de son amant, son corps secoué frénétiquement de toutes parts.

Je sentis que quelque chose se passait, car la bite de mon pote, qui était presque en contact avec la mienne, fut, elle aussi, secouée de spasmes. Et, à mon tour, je jouissais dans la turbine à chocolat de ma vieille.

Après quelques secondes de calme, j’entendis mon pote :

- Putain, ça fait du bien !

- Moi, ça m’a crevé !

À ce moment, je descendis des cuisses de mon ami et complice, puis, aidant ma vieille à se recoucher, alors qu’elle avait une drôle de tête, je m’allongeai, collai ma mère à moi, la pris dans mes bras, et dit :

- Bonne nuit, ma Chérie.

Le lendemain matin, sur le coup de huit heures, le premier à se réveiller fut Kader. Il se leva et s'habilla sans bruit. Puis, il sortit de la maison sans autre explication.

Quand j'entendis la porte se refermer, je me réveillai et je repoussai le drap. J'avais envie de voir le corps de ma mère en me levant, c'est là que je m’aperçus qu'elle fuyait de partout ! Il y avait du sperme, qui suintait de sa chatte et une bonne partie avait séché sur le drap du dessous, laissant ainsi une belle grande tâche. De son anus, avait coulé un jus marron clair, qui avait également fait une belle tache.

Je pensais à mon cocu de beau-père, que pourtant j’aimais bien, qui allait coucher dans les drapssa folle gonzesse, s’était fait baiser par son propre fils et par le pote de celui-ci !

Ce qui me fit penser à l’ordinateur et à la vidéo qui devait être numérisée maintenant. Je laissai ma mère dormir encore un peu et récupérai les fichiers, ainsi que la cassette enregistrée. Ensuite, je rangeai consciencieusement le caméscope et tout le matériel.

Après, je réveillai ma mère en lui rappelant qu'elle avait du boulot et que si elle ne voulait pas être trop en retard à son travail, il était grand temps qu'elle se lève. Là-dessus, je filai prendre une bonne douche, puis dans la cuisine prendre un petit déjeuner rapide. Je montai en courant dans ma chambre prendre mes petites affaires, comme si j'allai à l'école, mais c'était surtout quelques barrettes de shit, pour mon petit commerce et je sortais en laissant ma mère sous la douche.

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