Théo-rème de l’inceste Chapitre 33 : silence, on tourne

 

- Mais tu es fou Théo !

- Ne commence pas, et file dans ta chambre !

- Mais !

- File je te dis ! Et tu gardes le god dans ta chatte et dans ton cul… Quand on arrivera, on veut te trouver sur le dos, pattes en l’air, le double god dans tes trous de pute !

Cette fois, ce fut bien plus difficilement, que la vieille blonde se leva et sortit de la pièce. Sa démarche grotesque, avec le jouet dans sa chatte et son cul, nous faisait rire.

- Et garde bien le god, dans tes trous…

- Pffeeeuuuu… Mais c’est pas facile de marcher…

- Fais-le pour nous exciter, tu seras récompensée tout à l’heure… Vas-y ma pute… C’est bien !

- Allez viens, on va voir comment elle s’y prend pour se mettre dans le lit avec le god dans le fion, ma vieille pute de mère !

Nous nous resservîmes une bonne rasade de whisky. Aucun de nous deux n’avait envie d’aller se coucher avec la vioque, pour le moment. On était excité, certes, mais on avait aussi les couilles à plat et commencions à discuter.

En fait, il semblait que mon pote et moi étions tous deux un petit peu angoissé à l'idée de dormir dans le même lit. Évidement, j'étais un fils de pute, j'avais fait baiser ma vioque par un petit beur, je me faisais sucer moi-même par elle, je la baisai, je l'enculai même. Mais là, si l'idée de dormir à trois m'excitait, elle me foutait un peu la trouille également. Il y avait là, je ne sais pas exactement, mais une notion d'homosexualité, qui ne me plaisait pas. Alors même que j'avais déjà vu la bite Kader dans le ventre de ma vieille, que ce soit par-devant ou par-derrière. C'est là qu'une idée me vint. J'en parlais aussitôt à mon pote :

- Tu te rends compte ? On baise une vieille ! Si on en faisait un film ?

- J'adore l’idée.

- Ouais, ma mère et moi, sur le sujet de l'inceste ? Je suis sûr qu'on pourrait en tirer un pognon de dingue !

- C'est pas faux, va savoir, écoute si tu veux tourner un film de boule avec ta mère, moi de mon côté, je tâcherai de voir avec mes cousins et mon oncle, comment faire pour vendre ce genre de film.

- On peut essayer de se faire un film de boule, dès ce soir, si tu veux bien.

- Ouais, d'accord.

C'est là que je me souvins que j'avais laissé une cassette dans le caméscope de mon beau-père.

Nous finîmes ce merveilleux whisky et je proposai à Kader de me suivre. J'arrivai dans la chambre d'amis, qui était devenu le bureau à mon beau-père, pour récupérer le caméscope, son chargeur et le pied. Et nous retournâmes dans la chambre de ma vioque.

La vieille avait les yeux révulsés, ses doigts pataugeaient dans sa vulve en faisant un bruit de clapotis. Elle s’amusait encore avec le démarreur, alors même, qu’un bout du god était ressortie de sa chatte et qu'elle avait encore dans le cul l'autre extrémité. Elle avait visiblement bien mouillé les draps ! Elle avait dû pisser sous elle.

Quand nous sommes entrés dans la pièce, qui puait le cul et un peu la pisse, nous avons entendu :

- C'est maintenant que vous arrivez, bande de salauds !

Je pense que Kader voulu tout de suite faire taire la vieille, mais je fis les gros yeux et mis mon doigt en travers de la bouche pour lui intimer l’ordre de n’en rien faire.

Il alla donc directement à la tête du lit, du côté de la mère et filait une grande tape dans la gueule de la nana, en lui disant :

- Ta gueule morue, tu vas passer à la télé, nous fais pas chier.

De mon côté, j'installai le caméscope avec son pied, au bord de la place de mon beau-père et branchai l’alimentation. Je notai mentalement, de ne pas oublier la cassette, cette fois-ci. Je réglai la prise de vue de façon à ce qu'on puisse bien voir ma mère, mais que si je me mettais à genoux, on ne puisse pas voir ma tête. Une fois content de mon cadrage, j’annonçai fièrement à mon pote :

- Ça devrait aller... J'ai une petite idée de scénario, bouge pas !

Je lançai le début de l'enregistrement sur l'appareil, puis m’adressai à ma mère :

- Maman chérie, ton fils va venir t'en mettre un bon coup dans le cul. Tu es heureuse ?

Ma mère balbutia quelques mots incompréhensibles, aussi, je reposai ma question :

- Réponds franchement si tu aimes ça ? Sucer la bite à ton fils et te faire enculer par lui.

- J'aime ça !

La voix était étrange, la langue qui collait au palais, on aurait dit qu’elle avait une patate chaude dans la bouche. Ça dénotait parfaitement bien que la vieille était totalement bourrée. Mais tout de même, assez consciente pour ce dont j'avais besoin.

Je vins me placer à côté de la table de chevet, de ma mère, lui attrapai les cheveux et lui collai ma bite dans sa bouche, en lui disant :

- Suce maman chérie, suce la pine de ton bébé... Suce la bite du petit être qui est sorti de ton ventre.

Ma vieille commença à me faire une pipe accoudée sur son bras droit. Quelques minutes plus tard, elle prit sa main gauche pour me branler en même temps qu'elle me suçait.

- Tu aimes ça, pomper ton fils, hein maman chérie ?

Cette fois, la réponse fut plus claire, bien que sa bouche fut envahie par ma pine :

- Oui, j'adore ça ! Tu le sais petit salaud.

- Maman, j'adore quand tu me suces ! Incroyable, Béatrice, la secrétaire sérieuse d’EDF, toujours tirée à quatre épingles, si tes collègues savaient que tu ne portes jamais de culotte et rarement un soutien-gorge ! Et que le soir, tu es LA salope de mon pote dealer et la maîtresse de ton fils chéri... Ça t'excite tout ça, n'est-ce pas, maman ?

- Oui... Bien sûr.

Je continuai mon petit discours à l'attention des spectateurs futurs et de la famille de Kader, qui ne manqueront pas de visionner cette petite cassette sympa et bien vicieuse. J’en profitai alors pour lui retirer le god qu’elle avait encore dans son petit cul de putain.

- Je vois que tu t'es branlée le cul ! Tu as tellement envie d'une bonne queue, dans ton ventre ?

- J'aime trop ça…

Je repoussai doucement ma mère et l'aidai à se mettre à quatre pattes en travers du lit, le cul bien visible pour la caméra. Je montai alors sur le lit, debout, puis à genoux entre ses jambes. Je tournai encore un peu plus le cul de ma mère, que la caméra puisse voir, le mieux possible.

- Tu as une grosse envie de ma queue dans ton cul, maman chérie ?

- Oh que oui, Théo, si tu savais comme j’aime ta jolie bite, mon bébé.

J’écartai alors les fesses avec mes doigts et plantai ma bite directement au fond des boyaux maternels. Je demandai donc :

- Ça y est, maman, tu as la bite de ton fils chéri dans ton cul de putain ?

- Oh oui, Théo ! C'est bon…

- Alors maman, crie-le, que tu aimes ma pine !

Et elle se mit à crier qu’elle était folle de ma bite, un vrai plaisir des oreilles. La vieille, complètement dans les vapes, m'excitait de plus en plus et elle donnait des coups de reins pour se faire enculer le plus loin possible.

J’étais totalement ivre de stupre et de vice. Je lui défonçai alors l’arrière-train à grands coups de bite dure. Je sentais le plaisir arriver à grands pas, et je sus que je ne tiendrais pas très longtemps, à ce rythme. De plus, même si le shit et l’alcool ralentissaient, tout de même, la montée de la sève, ils ne la coupaient pas pour autant. Après une grande claque sur sa fesse droite, qui laissa une très belle empreinte, encore le lendemain, j’annonçai :

- Ça va venir, grosse enculée. Tu veux du foutre de ton bébé ?

- Ho oui ! Ton jus ! Ça m'excite trop... J'aime trop me faire enculer... J'aime trop mon bébé... Mon fils adoré… Si tu savais comme je t'aime !

J'étais heureux, je voyais enfin mes efforts récompensés et j'espérai franchement que Kader pourrait faire quelque chose, pour que ce film passe sur une chaîne YouTube ou sur un site de porno amateur.

Ma mère ne mit pas longtemps pour gueuler de plaisir et je fis un signe à mon pote, lui enjoignant de prendre le caméscope et de venir filmer au plus près, ma bite dans l’anus maternel.

Après quelques instants d'hésitation, Kader prit l'appareil, le détacha du pied et vint tout doucement au plus près de ma queue, qui allait et venait dans cet antre de chair bouillante.

J'en profitai pour enfoncer encore un peu le clou :

- Maman, tu es une débauchée qui aime te faire baiser par ton fils ! Avoue-le.

- Oui mon Théo ! Tu es un vrai démon, mais qu'est-ce que tu me fais du bien... Tu me fais jouir... Petit salaud !

- Tu es une vraie folle du trou de balle ! Tu aimes trop ça, te faire enculer, tu ferais n'importe quoi, pour te faire enculer. N'est-ce pas, ma chère maman chérie ?

- Oui ! Là, ce fut un cri qui venait du fond du cœur. Oui, j'aime trop ça ! Tu as raison, j'aime trop ça !

- C'est bien maman chérie ! On va se coucher tous les trois… On va te baiser une partie de la nuit ! Ça t'excite ?

- Ah oui ! Ça m'excite, ça m'excite... Fais-moi jouir... Fais-moi jouir…

- Alors, branle-toi le clito... Branle-toi fort... Je veux t'entendre gueuler, que tu aimes avoir ma bite dans ton cul.

Béatrice ne se fit pas prier plus que ça. Elle commença à s'astiquer le bouton avec sa main droite. Très vite, ce fut une branlette des plus énergiques. Et très vite encore, elle cria son plaisir, d'abord de façon inintelligible, puis de façon de plus en plus claire. Pour finir par :

- Je t'aime mon bébé chéri ! Je t'aime mon fils ! Tu es vraiment le fils de l'amour.

Moi, je sentais son trou de balle se serrer et se desserrer au rythme de sa branlette. Je me dis que je n'allai plus tenir longtemps. J'avais déjà joui, dans la journée, plusieurs fois. Mais là, sachant que ça passerait, en plus, à la télé et qu’il y aurait des tas de gens qui verraient ça, je me laissais aller et demandant encore :

- Je vais te jouir dans la gueule... Viens boire mon jus de couilles... Viens boire ma semence.

Et je lui attrapai les cheveux et l’obligeai à se tourner et à venir avaler ma bite. En deux ou trois mouvements, j’éjaculai une bonne dose. Puis, en ayant fait un signe à Kader, je tins la bouche maternelle ouverte, pour qu'on puisse bien voir qu'elle était pleine de foutre. Ensuite, je lui ordonnai :

- Avale le bon jeu de couilles de ton fils, maman chérie.

Ce que fit tout de suite Béatrice avec les yeux révulsés. Elle tremblait de tout son corps, sous la violence d'un orgasme, qui ne disait pas son nom.

Je fis un geste à Kader, du pouce en travers de la gorge et il arrêta le caméscope.

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