Théo-rème de l’inceste Chapitre 32 : les turpitudes françaises
Maintenant Béatrice ne savait plus trop où elle en était, entre l’excitation de revivre les souvenirs de ses frasques africaines et ce gros jouet avec lequel elle se pilonnait la chatte, à poils devant deux jeunes beaux mecs, et surtout, un arabe et son propre fils, elle n’en put plus et commença à fermer les yeux avant de jouir. L’orgasme libérateur était tout proche.
- J’y peux rien, cette vieille pute me fait bander ! Faut que je me vide dans sa grande gueule !
- Vas-y, man ! Fais comme chez toi ! Ha, ha, ha...
Je me levais, un peu comme dans un rêve, le shit commençait sûrement à faire effet, m’approchai de la bouche bienfaitrice, déboutonnai mon jeans et le fis glisser le long de mes cuisses, accompagné de mon caleçon.
Ma queue, arborant déjà une belle érection, ne demandait rien de plus, que d’être mise au chaud dans cette bouche, qu’elle commençait maintenant, à bien connaître.
Ma vieille ne se fit pas prier, et avala, aussi loin que possible, mon membre, qui prit encore du volume.
Je lui pris, sans violence, la tête en main, et lui imprimai alors, le rythme de la sucette, que je désirai à ce moment-là. Le shit mélangé avec de l’opium me laissait dans un état étrange, mi-rêve, mi-scène de film X. J’avais l’impression de sentir chaque millimètre carré de ma peau. Je sentais aussi la langue maternelle, qui s’affairait au passage de ma bite.
En même temps que la bite de son fils avançait et reculait dans sa bouche tiède, avec ce léger goût musqué qu’elle aimait tant. Béatrice sentait la pointe de ses seins frotter très légèrement, sur le haut du dossier, de son fauteuil crapaud, et ça amplifiait encore son excitation. Sa grotte féminine était maintenant détrempée, et elle aurait accepté tout et n’importe quoi, de ce fils chéri, et même de ce bel et jeune étalon arabe, pourtant si pervers.
J’imaginai la maison en Afrique, des tas de blacks avec de gros sexes, prenant sans pitié ma daronne, se la passant comme on se passe un ballon à l’entraînement, sans plus de considération sur la jeune salope qu’elle était alors. Comme j’aurais aimé être là et baiser cette grognasse, la culbuter autant pour mon plaisir, que pour lui faire comprendre, qu’elle n’était qu’une boite à bites. Mais l’aurait-elle seulement compris ? D’ailleurs, même aujourd’hui, comprend-elle toute la haine, que ses frasques m’inspirent ? Comment je la considère ? Et combien je lui en veux d’avoir lourdement trompé mon père ? Parce que, j’en étais sûr, le divorce de mes parents était en grande partie la faute de cette vieille pute qui me servait de mère !
Kader, un air goguenard, regardait la scène, cette vieille pute en chaleur en train de sucer son fils, même dans les pires films de boules, il n’aurait pas pensé pouvoir voir ça, et là, c’était du direct, sous ses yeux. Il recommença à bander, se leva et alla se placer au cul de la salope pour lui bricoler la chatte, à grands coups de godemichet. Celui-là même qui était encore planté dans la chatte ruisselante.
Je regardai mon pote s’occuper de la chatte de ma vieille, et bientôt, à chaque fois qu’il poussait le god tout au fond de cette vieille moule, de la bouche qui emprisonnait ma queue, montait un cri rauque et étouffé.
Béatrice ne savait plus du tout ce qui se passait, seuls les frissons de plaisirs et les orgasmes à répétitions, comptaient encore pour elle. Pour le reste, elle s’en remettait entièrement aux jeunes hommes qui s’occupaient d’elle, Mais ne l’avait-elle pas toujours fait ? De s’en remettre aux mâles dominants ?
Jouer avec le long god, excitait énormément Kader, mais le jeune homme ne voulait pas jouir tout de suite, aussi se garda-t-il bien de prendre la vieille salope par le cul. Mais voulant aller plus loin encore, il stoppa ses aller-retours endiablés, puis, très vite, présenta l’autre côté du double-god contre l’anus, et le fit entrer d’un coup le plus loin possible !
La vielle se cabra, essaya de gueuler, mais sa bouche envahit par le sexe de son fils l’en empêcha. Après, très vite, elle sentit à nouveau les éclairs de plaisirs qui suivaient chaque coup contre son col. Et son anus dilaté par la présence du jouet lui procurait aussi beaucoup de plaisir, qui s’ajoutait à l’ensemble.
J’avais compris ce que mon copain venait de faire subir à ma mère, et la voir jouir de plus belle, finit par me faire jouir à mon tour. Aussi, je crispai mes mains pour bloquer la tête maternelle, et lui envoyai une armée de spermatozoïdes furieux en pleine bouche.
Elle eut, d’ailleurs, du mal à avaler.
Après quelques instants à reprendre mon souffle et un peu mes esprits, je lâchai la tête, de laquelle ma queue devenue molle ressortit doucement, puis, tirant la tête vers le haut par les cheveux, je demandai à ma daronne :
- Alors, c’est bon du foutre chaud de son amour de fils ? N’est-ce pas que tu aimes mon foutre, bébé ?
Les yeux dans le vague, bien éclatés, elle grogna une sorte de réponse, qui ne voulait dire ni oui ni non.
Car, si elle ne l’avouait à personne, elle aimait recevoir le sperme d’un bel homme en bouche, le goût du foutre la faisait mouiller de plus bel. Là, le shit coupé à l’opium, aiguisait d’autant plus ses sens, et elle eut un nouvel orgasme juste par ce qu’elle venait de faire jouir son fils. Et, d’avoir fait jouir le beau jeune homme qu’il était, de boire humblement sa semence, lui fit perdre complètement la notion de temps et d’espace. Seul comptait alors cette espèce de sensation, en l’ayant fait jouir, de reprendre un peu le dessus sur lui.
Et à ce moment-là, sachant pertinemment qu’elle n’était pas du tout à la hauteur pour éduquer son adolescent, elle eut le sentiment de prendre un peu sa place en le faisant jouir. Et cette idée commençait à s’imposer à elle.
Une fois que nous fument revenu nous asseoir, Kader et moi, et que ce brouillard de stupre et d’excitation, c’était un peu dissipé dans nos esprits enfumés. Je voulus savoir comment ma vioque se comportait dans les boîtes de nuit, quand elle était jeune. Aussi, je questionnai :
- Et comment ça se passait dans les boites en France ?
Elle restait à genoux, nue ou presque, sa chatte et son anus encore envahis par le double-godemichet de mon beau-père. Les yeux dans le vague, un peu de bave et de foutre mêlés, séchés, qui avaient coulé aux coins de ses lèvres pourpres.
- Alors ?
- Dans la région, j’étais encore assez sage, avec Pauline, on sortait souvent, parfois avec des fournisseurs, mais ça, c’était avec le boulot. C’était généralement bien chaud. Sinon, on picolait avec elle et une autre amie, la sœur de ma belle-sœur. Ta tante, crût-elle nécessaire de préciser à mon égard... C’est en boîte à La Baule que j’ai eu une fois une histoire bizarre. J’étais en vacances chez ma tante et avec une copine, on était allé en boîte, mais là, on s’est engueulé à cause d’un mec, une histoire louche dont je ne me souviens plus trop bien ! Le mec est finalement ressorti avec moi, on a été sur la plage, mais là, je n’avais plus envie de lui, il est reparti me laissant seule sur la plage… Il faisait chaud, j’étais peu vêtue, un autre homme, que j’avais remarqué en boîte aussi, est venu me voir. D’abord, je l’ai envoyé balader, puis, comme il m’offrait une cigarette et que je n’en avais plus sur moi, j’acceptai de discuter avec lui… Il faisait chaud, mais bien noir tout de même, et là où nous étions, la seule lumière était celle des réverbères, mais à plusieurs centaines de mètres de nous… J’étais assise sur le sable, les mains vers l’arrière pour me tenir. Quand l’homme eut fini sa cigarette, il se mit debout et, en un éclair, me fourra sa queue dans la bouche.
J’étais captivé par ce récit, en pensant bien que là, elle se ferait violer.
J’ai refusé, râlé, mais les mains puissantes de l’homme m’ont tenu la tête, et il m’a forcé la bouche. Très vite, il a joui dans ma bouche, en me traitant de tous les noms.
- Et toi, tu as aimé ça, avoir une bonne bite en bouche et plein de foutre ! Non ?
- Non.
Une fois de plus, les deux potes se regardèrent et partirent d’un rire gras. La réponse, qui avait quelque peu tardé, sonnait, là encore, totalement faux.
Ce fut votre serviteur qui rompit le silence, et, dans un élan lyrique, je dis clairement à ma mère :
- Mais si tu aimes ça le foutre ! Dans ta gueule de grognasse, dans ta chatte de vieille salope en chaleur ou dans ton cul décharné de morue acharnée, tu aimes le foutre, pas la peine de nous faire ton cinoche !
Béatrice me regardait avec ses yeux grands ouverts, mais le regard était dans le vague, à ce moment-là, il devenait impossible de comprendre ce qui se passait sous son crane.
Comme très souvent quand elle se retrouvait acculée, elle s’énerva :
- Hé bien, si tu es si malin, monsieur-je-sais-tout, pourquoi tu me poses la question ?
- Sur un autre ton, vieille folle ! Tu réponds aux questions où je t’emmène tout de suite pour une tournante dans ma cité, on verra alors si tu aimes ou non le foutre… Et tu réponds à Théo, gentiment !
- Alors, ma chère maman, tu aimes, ou pas, le foutre ?
- Je n’aime pas trop le goût, mais j’aime le sentir dans ma chatte oui.
- Oui, mais visiblement, tu aimes bien quand je jouis dans ta bouche, non ?
- Si, enfin, non… Enfin oui… C’est compliqué, le tien a un bon petit goût de noisette, et puis, tu es tout de même mon enfant !
- Mais quand tu suces Kader, tu prends aussi son foutre dans la bouche, sans faire d’histoire !
- C’est plus pour faire plaisir aux hommes, que par un réel goût du sperme… Je crois.
- Ha ! Donc tu avoues que tu aimes nous faire plaisir !
- Tu es un petit démon, Théo !
C'est là que mon pote sauta sur le détail et ajouta :
- En fait, de cette soirée à La Baule, ce qui t’est arrivé, c’était un viol ! Tu aimes ça te faire forcer, non ?
- Ha non, s’indigna-t-elle aussitôt, avec cette voix que lui conférait le mélange d’alcool et de drogue.
- Mais si ! j’ai bien vu avec mes cousins…
- Non !
- Laisse, elle est bornée, sans limite, quand elle est comme ça.
Je me retournai alors vers la vieille et poursuivis :
- Et ici, tu ne vas pas me dire que tu étais la jeune fille modèle, tout de même !
- Ici, en sortie de boîte, je me faisais parfois sauter sur les capots des voitures, sur les parkings, une fois même devant chez mes parents, tout ça m’excitait terriblement !
Je revenais au sujet précédent, ayant une petite idée derrière la tête, et continuai :
- Bon, comme tu aimes tant nous faire plaisir, tu vas alors nous faire plaisir, on va "coucher" avec toi, on va vraiment dormir tous les trois… Mais après t’avoir bien pris en sandwich !
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