Théo-rème de l’inceste Chapitre 31 : les frasques africaines
J’entrai dans le salon, tenant, par la main, ma mère, nue à l’exception de ses bas et ses escarpins, et la guidai jusqu’au fauteuil crapaud, posté en face du grand sofa, où mon pote Kader venait de finir de rouler le pétard.
- Assieds-toi… Je veux que tu me racontes encore tes vacances en Afrique, avec ton petit copain.
- Ho, non, j’ai honte de te raconter ça !
- Je crois qu’il y a bien d’autres choses, qui devraient te faire honte ! Donc, tu peux nous raconter, après ce qu’on a vu de toi…
Et la pauvre femme enfouit une fois de plus son visage dans ses mains et recommença à pleurer.
Kader me tendit alors le joint et me proposa de l’allumer, ce que je fis dans la foulée, puis le passai à mon pote, qui se leva et l’offrit alors à notre pute.
Béatrice, entre tristesse et excitation d’être là, pour ces deux beaux jeunes hommes. Dont l’un était son propre fils, prit la cigarette mal roulée et tira dessus avec l’énergie du désespoir. Elle fuma à elle seule, en cinq ou six taffes, la moitié du bedeau. Puis, elle me le tendit.
Dès qu’elle se cala au fond du fauteuil, elle sentit monter en elle une vague bienfaisante. En même temps, elle sentait son anus parcouru de petites décharges électriques, la sensation était très agréable et elle ferma les yeux.
Je tirai une grosse taffe sur le pétard, puis le passai rapidement à Kader. Je connaissais maintenant les effets puissants de ce shit et ne voulais pas me laisser embarquer, ce soir, dans des vapeurs de rêves. Ce soir, je voulais entendre, encore, les turpitudes de ma salope de mère, quand elle était jeune. Je suis sûr que je lui aurais plu, mais je savais aussi, désormais, qu’à l’époque, c’était la pire pétasse, qui se croyait belle comme le jour et qui ne faisait attention à rien, ni à personne.
- Allez, raconte-nous tes aventures africaines, avec les frères de ton petit copain de l’époque.
- Oui ! La suite… La suite… La suite, scanda alors Kader, dont les sens commençaient à s’échauffer.
- Hé bien… Ha Oui ! Pendant que mon petit copain était parti s’inscrire à la fac de médecine, le lendemain de la folle soirée, un autre de ses demi-frères, vint me réveiller, sur le coup de midi... Il entra dans la chambre en slip de bain, une grosse bosse déformait le léger vêtement, et il me tendit un café fumant, alors que je me mettais sur mes coudes. Lui restait debout, la bosse de son maillot de bain à la hauteur de mes yeux, et, tout en buvant le café, chaud et délicieux, je ne pouvais pas poser mon regard ailleurs que sur cette grosse bosse... L’homme se marrait sûrement intérieurement, il arborait un large sourire, comme le font les africains, quand ils savent qu’ils vont avoir du sexe... Je lui rendis la tasse vide, mais ce faisant, je me retrouvai les seins à l’air. Et je crois que je rougis tout de suite, mais ne me recouvrai pas et continuai à avoir les yeux rivés sur la bosse du slip de bain... L’homme rit, posa à terre la tasse, puis me prit sous les bras et me leva du lit comme si je ne pesais rien ! Il mit un pied sur le bord du lit, et me fit asseoir à califourchon sur sa cuisse... J’étais nue, totalement nue, et ma chatte en contact avec la peau douce et sans poils de l’homme me donna des frissons incroyables.
À cette évocation, les effets du shit combinés à son excitation de revivre ce moment torride, Béatrice eut à nouveau des frissons venant de son anus qui semblait être sous haute tension. Les pointes de ses seins durcirent et se tendirent d’un coup, ce que les deux jeunes ne manquèrent pas de remarquer. Elle prit une profonde inspiration, et continua :
- Il m’embrassa tout de suite goulûment. Ses mains puissantes parcouraient tout mon corps, et pas un seul centimètre carré de ma peau ne fut pas visitée ou palpée. Pour ne pas rester comme une marionnette, j’en profitais pour aller explorer d’une main tremblante l’intérieur du slip de bain. Et, dès que j’eus la grosse queue encore souple en main, elle devint encore plus grosse et se mit à se raidir… Tu sais ce que tu veux toi, petite salope blanche, j’aime ça, me dis le type… Je ne répondis pas, mais l’embrassais à nouveau à pleine bouche, j’avais maintenant une folle envie de cette grosse bite dans mon corps, ma chatte coulait littéralement de désir... Le grand type me souleva encore une fois, j’avais cette folle impression d’être en apesanteur ! C’était tellement étrange que je m’en souvienne encore aujourd’hui, bien des années après, comme si c’était hier... Puis l’homme me descendit sur son grand sexe dressé, qui entra dans ma chatte tout seul, sans que personne le guida dans la pénétration. Et quand l’homme me lâcha, tout en me maintenant pour que je ne tombe pas sur le côté, le gland vint cogner contre mon col de l’utérus, et je criais alors, tant le coup me donna un plaisir fulgurant.
- Ha c’est ça que tu aimes ! Quand ça tape bien au fond, bien brutalement…
- Hi, hi, hi… Ricana bêtement Béatrice tant l’excitation montait.
- Bouge-pas, maman chérie… je reviens… Continue ton récit, j’entendrai bien.
- En fait, hi, hi, hi… Je ne m’en étais pas vraiment aperçu, tant tout alla très vite, mais ce gars avait une queue incroyablement grosse, déjà longue, mais surtout grosse, et ce n’est que quand il finit de jouir en moi et qu’il ressortit son sexe que je me rendis compte de la taille de l’engin ! Hi, hi, hi...
Pendant ce temps-là, j’allai dans le bureau de mon beau-père et fouillai consciencieusement dans ses affaires de cul pour trouver le plus gros god possible. Je finis par mettre la main sur un très long double godemichet, de bon diamètre.
Kader, voyant que la femme commençait à se déconcentrer, et bien qu’il n’aurait pas exprimé cela dans ces termes, décida de recentrer le récit sur les frasques sexuelles passées de cette vieille chienne en chaleur. Il se rendait compte que Béatrice s’excitait toute seule à les revivre.
- D’accord, et alors, comment ça s’est terminé avec ce mec-là ?
- Hé bien, heureusement que je prenais la pilule, car il m’a rempli la chatte de foutre ! Là aussi, c’était incroyable, même encore aujourd’hui, je me demande si je n’ai pas rêvé ! Hi, hi, hi.
- Et après ?
- Il est parti, ressorti de la pièce, me laissant seule et totalement crevée. J’ai dû me rendormir… Quand je me suis réveillée à nouveau, une bonne heure plus tard, le même type était allongé près de moi, dans mon dos, et dormait ou faisait semblant, je ne pourrais le dire… J’ai commencé à gueuler et lui dire qu’il n’avait pas le droit de dormir avec moi comme ça ! Mais le gars me prit dans ses bras musclés, et très vite, je sentis son membre durcir entre mes fesses.
À ce moment du récit, j’arrivai dans le salon. Avec en main le double godemichet, je me posai directement devant la vioque, la pris par la main, et la soulevai de son fauteuil crapaud.
Dans l’état où elle était maintenant, ma vieille ne fit aucun commentaire, se laissa tout juste conduire docilement.
J’en profitai alors pour tourner le fauteuil de manière que le dossier soit vers le canapé. Je plaçai ma daronne à genoux sur l’assise, ses lourds nichons pendant dans le vide. Puis, je pris le god, crachai dessus, et le fis pénétrer dans le vagin maternel, tout doucement.
Mon pote commentait l’instant :
- Oui ! Elle ferme les yeux la morue ! Je crois qu’elle aime bien ça se faire enfiler comme ça.
- Faut dire que je lui ouvre bien sa vieille moule baveuse, tu verrais comment elle prend bien le god ! Je la crois volontiers quand elle raconte qu’elle se faisait démonter la moule et le fion par du gros !
- Ha, ha, ha… Oui, elle aurait pu se faire défoncer par un éléphant !
- Bande de petits cochons, hi, hi, hi. Ricana alors ma mère tout en respirant très fort, les yeux toujours fermés, un grand sourire sur son visage.
Je commençai alors à limer le vagin, de plus en plus vite, allant toujours au fond, tapant contre le col de l’utérus maternel, pour tirer toujours plus de râles à ma putain de génitrice.
Mon pote qui avait très bien compris la manœuvre, se leva du canapé et commença à défaire sa braguette tout en s’approchant du visage féminin. Et il dit :
- T’aime ça, hein, t’aime ça quand ça tape au fond de ta chatte en feu…
. Hein vieille morue ! Avoue !
- Oui… Hoooo… Haaaa…
J’enfonçai une fois encore le god bien au fond, le maintins de la sorte, puis ordonna brutalement :
- Suce mon pote, ce sera ton dessert, une grosse rasade de foutre bien chaud, d’un beau beur…
Kader en profita tout de suite pour introduire sa bite déjà en érection dans la bouche entrouverte d’où sortaient les râles de plaisirs. Ensuite, il maintint la tête fermement et imprima le rythme. C’était comme s’il baisait ce trou.
Pour ne pas rester à ne rien faire pour ma pauvre mère, je repris mes mouvements de va-et-vient dans la chatte qui dégoulinait de plaisir non feint. Je prenais bien soin d’appuyer, à chaque fois, mon mouvement, pour que le jouet tape bien contre le col, arrachant pratiquement à chaque fois un cri, étouffé par le sexe qui lui emplissait la bouche.
Ce petit jeu dura quelques minutes, puis, n’ayant pas envie de se retenir, Kader jouit en se raidissant brutalement et en enfonçant le plus loin possible sa queue dure au fond de la gorge de la pauvre femme.
- Avale… Avale tout salope !
Béatrice manqua de s’étouffer, entre les ondes de plaisirs qui lui parcourraient le corps, et ce délicieux nectar qui lui était injecté au fond de la gorge. Sans parler de sa chatte envahit par le gros god de Maxime, qui lui faisait monter le plaisir de plus en plus.
Une fois de plus, j’enfonçai une dernière fois le gros godemichet et le maintins fermement, tout au fond de la matrice maternelle, appuyant en permanence contre le col.
Béatrice se cambra et, rejetant le sexe qui commençait à débander de sa bouche, elle poussa un long cri, tant la sensation la menait juste au bord de l’orgasme, ou plutôt, dans un début d’orgasme qu’elle essayait de réprimer.
Ses mains se crispèrent sur le dossier qu’elle cramponnait déjà.
- T’es une vraie salope, une vraie folle de grosses bites, hein ma pute ? Demanda alors Kader.
Ma vieille ne répondit rien, tant elle était en lutte entre un orgasme et une envie de ne pas jouir, pour punir ce sale gosse qui venait de se servir de sa bouche comme d’un vulgaire trou à bites.
- Et donc ? On en était quand le black venait de te baiser comme une pute et qu’il était venu dormir contre toi… Alors, que se passa-t-il ? Demanda Kader d’une voix d’où pointait une certaine impatience.
Après, un moment que ma reume mît à profit pour reprendre son souffle, elle poursuivit :
- Hé bien, il ne me laissa pas vraiment le temps de me réveiller, comme il faut, que déjà, il avait son gros membre, tout dur, entre mes petites fesses accueillantes !
- Et alors ? Répétais-je pour enfoncer le clou, tout en me déplaçant pour venir m’asseoir, à nouveau, dans le canapé.
- Hé bien, je ne sais plus trop comment ça s’est passé, j’ai, bien sûr, refusé, mais finalement, très vite, je me suis retrouvé avec sa queue, qui plongeait dans mon anus !
- Ha ! Tu t’es fait enculer par une grosse teube noire ! Tu as dû aimer !
- En fait, je crois bien que c’était la première fois que je me faisais enculer par une si grosse pine ! Au début, j’étais super tendue et le passage me brûlait affreusement. Je me débattais, je crois bien, mais l’homme continuait, sans se soucier de ma douleur… Et finalement, alors que le frère de mon amoureux me disait de me détendre, j’ai dû réussir à y arriver, et j’ai alors ressenti un plaisir très fort, instantanément, j’ai crié, crié ! Et j’ai eu orgasme sur orgasmes, j’ai même eu peur que ça ne s’arrête jamais !
- Ben alors ! Ça t’a plu finalement ! Tu aimes ça te faire enculer vigoureusement, hein ma morue ?
Elle avait une folle envie d’avouer tout le plaisir qu’elle avait à se faire prendre par le trou du dimanche, comme disait son amant, Maxime, mais ce mot, morue, ça elle n’aimait vraiment pas. Aussi, elle décida de ne pas répondre à la question.
Je voyais, depuis ma place assise, que le god ressortait du corps de ma mère, et que, si personne ne faisait rien, il allait sortir totalement et tomber. Aussi, et n’ayant aucune envie de me relever pour le moment, j’ordonnai à ma daronne d’une voix forte :
- Remet le god au fond de ta chatte, et tiens le bien, qu’il reste bien au fond.
- Pppfffeeeuuuuu…
Comme à son habitude, Béatrice commença par souffler, telle une baleine remontant des abysses. Mais en même temps, elle obéit et exécuta l’ordre en s’enfonçant dans le ventre le gros god, jusqu’à ce qu’il tape contre son col, lui arrachant ainsi encore un cri et une sorte d’orgasme fulgurant.
- Allez, continue ton histoire bébé chérie… Là, j’en rajoutai, mais vu l’ambiance, j’estimai que je pouvais me laisser aller à délirer.
- Je ne sais pas pendant combien de temps, il m’a pris l’anus ! Mais, orgasme sur orgasmes, je n’avais pas envie, non plus, que ça s’arrête ! Quand il se retira, après avoir juté plusieurs fois en moi, je restais allongée sur le lit, hébétée, et me rendormis une fois encore… Ce n’est que le soir qu’un autre frère vint me réveiller, doucement cette fois, pour que je vienne prendre l’apéritif, il avait remarqué que j’aimais aussi ça ! Je devais avoir une drôle de tête, car tout le monde me dévisagea quand j’entrais dans la grande pièce, puis les conversations et les agapes reprirent de plus belles… Le jeune frère qui était venu me réveiller était aux petits soins pour moi, il était gentil comme un cœur, serviable, et me passait tous mes petits caprices sur la nourriture. Par ailleurs, il me servait aussi force whisky-soda, et après le repas, je commençais déjà, à être bien partie.
- Tu ne peux pas t’empêcher de picoler en fait ! Tu es un peu alcoolique, non ? Demandais-je d’un ton plein de compassion.
- Heu…
- Allez, continue ton récit, c’est le plus croustillant qui doit arriver, je pense, ajouta alors Kader.
- En fait, Gridou, comme l’appelaient ses frères, était peut-être le plus salaud encore, malgré son visage d’ange et ses gestes attentionnés… Non seulement il me fit danser et me déshabilla devant tout le monde quand je fus bien allumée !
- Et ça te plaisait de te montrer, non ?
- Oui…
- Continu, morue…
- J’ai fini par danser nue devant tout le monde et les mains me tripotaient, me pelotaient, des doigts entraient dans mon corps… Je ne savais plus où j’étais... Gridou raconta que j’avais pris son grand frère dans le cul, ce qui fit rire tout le monde, même le chef de famille semblait s’amuser pleinement de mes turpitudes… Il semble que j’ai sucé tous les hommes présents ce soir-là, peut-être même que je me suis fait baiser et enculer par tous, je ne m’en souviens pas. Tout ce que je sais, c’est ce que Gridou a raconté le lendemain soir à l’apéritif, juste quand mon petit ami, bien cocu d’ailleurs, revint de la capitale… J’avais honte ! Je ne savais plus où me mettre ! Mon petit ami m’a juste dit que dès le lendemain, il me ramenait à l’aéroport… Là, j’ai attendu trois jours pour avoir une place sur un vol de retour.
Mon pote me donna une petite claque amicale sur la cuisse, avec un clin d’œil complice, puis il dit :
- Tu étais au top ! Et à l’aéroport, tu n’as pas eu d’aventure ?
- Non, j’ai pris une chambre d’hôtel et n’en suis pas sortie, tellement j’avais honte de ce que j’avais fait ! Mais en même temps, j’étais super excitée quand je me rappelais mes aventures ! Je ne sais pas pourquoi et je ne comprends toujours pas pourquoi d’ailleurs.
- Et ça t’excite là ?
- Oui !
Béatrice mouillait terriblement à raconter ses aventures sexuelles. Et Dieu sait, si elle aimait sentir son vagin s’humidifier ! Ce n’était certes pas aussi fort qu’un orgasme, mais il y avait dans ce phénomène, quelque chose qui n’appartenait qu’à elle, elle était seule à le ressentir, et aucun cri, aucun signe extérieur ne trahissait son plaisir. Aussi, n’ayant de compte à rendre à personne, elle jubilait quand ce phénomène commençait, et elle en goûtait chaque seconde.
Et c’était sans parler du gros god qui lui remplissait la matrice, toujours en place, qu’elle avait parfois fait aller et venir doucement, sans en avoir l’air.
Mais, têtue, elle ne voulait pas avouer être aussi excitée à ces deux sales gosses de malheur.
N’ayant pas de réponse à sa question, Kader enfonça le clou :
- Je suis certain que tu es excitée rien qu’aux souvenirs de tes frasques ! Allez, avoue, vieille morue !
- Non…
La réponse sonnait si faux que les deux jeunes se regardèrent un court instant, puis éclatèrent de rire.
- T’es vraiment une vieille chienne, maman... Tu fais les pires trucs de cul ! Et après tu nous la joues pucelle ! Oui, moi, je suis sûr, que tu es tout excitée à nous raconter ta vie de salope en chaleur ! Pour la peine, branle-toi un peu avec le gros god.
- Pppfffeeeuuuuu…
Et revoilà Béatrice la baleine ! Mais comme à son habitude, elle souffle, fait la moue, mais très vite, obéit.
- Tu vois la vieille salope que tu es ! Ton propre fils t’ordonne de te branler, et tu obéis tout de suite ! T’es incontestablement, une vieille truie en chaleur !
- Ho Théo ! Ne sois pas méchant, je t’aime tant…
Bonjour, j'ai moi aussi un blog avec des histoires et récits de femmes soumises humiliées nues dans diverses situation (prison, séquestration, otages, esclavage, bizutage, visite médicale, kidnapping de bourgeoise etc.).
RépondreSupprimerJ'ai ajouter votre blog à mes liens favoris.
Le miens c'est :
https://bdsm-female-prison.blogspot.com/
Nous en avons déjà discuté par ailleurs... Mais sur ton blog, je n'ai pas vu de lien pour le mien...
SupprimerMichel