Théo-rème de l’inceste Chapitre 30 : petite soirée tranquille

 

Quand je rentre à dix-huit heures, après une bonne après midi de business, je trouve ma vioque en pleurs, vautrée dans le canapé, devant une connerie à la télé (pléonasme ?).

Ho mon Théo, j’ai si honte…

De quoi as-tu honte, MAMAN ?

Mais de tout à l’heure ! Il faut vraiment que j’arrête de boire…

Honte de quoi, de boire ? De te mettre dans des situations impossibles ? D’être une vieille putain ? Ou de devenir une vieille gouine ?

Tu as tout vu, alors ?

Ouais… Bon, tu sais, je ne me fais plus aucune illusion à ton sujet… Ce n’est pas le tout, Kader vient dîner avec moi ce soir, donc tu nous prépares quelque chose de bon… Et tu nous sers nue, mais avec des bas, que tu sois tout de même un peu excitante.

Ho non, Théo ! Sois mignon, je t’en prie...

T’es une pute, donc tu me sers comme une pute, ce n’est pas compliqué à comprendre ça ! Si ?

Alors ma vieille enfouit à nouveau son visage dans ses mains et se remit à pleurer de plus belle.

Mais je ne suis pas une gouinasse…

Ha bon ! Regarde-toi bien en face. Tu fais chier les mecs sympas, comme mon père par exemple. Tu ne trouves que des racailles pour te faire le cul, pas la chatte… Et tu trouves toutes les excuses à tes copines, même quand elles font les pires saloperies, du moment que ce sont des femmes, elles ont tous les droits. Et tu ne serais pas une gouine refoulée ? Tu es sûre ?

Mes arguments semblèrent porter, je la vis se remettre à pleurer de plus belle. peu après, je sortis du salon et allai dans ma chambre pour y ranger les bénéfices de la journée. Là, j’attendis mon pote en jouant sur ma console.

Peu avant dix-neuf heures, j’entendis la voiture de Kader arriver. Je descendis en courant l’escalier et allai directement voir la vioque. Celle-ci était encore de train de renifler devant la “boite à mensonges” et n’était pas dans la tenue que je lui avais imposée. Me souvenant de la méthode de Rachid, je m’approchai, elle leva la tête et je lui collai une grande gifle en lui ordonnant :

Debout, la morue, va te mettre à poil, tu ne gardes que tes bas… Et tu mettras tes escarpins de cet après-midi… TOUT DE SUITE ! Hurlai-je, alors, pour la faire agir.

Totalement abasourdie par la gifle, mais aussi par le ton que j’avais employé, ma vieille se leva et partit en direction de sa chambre.

J’allai ouvrir à mon pote qui me tira le bras pour que je reste dehors et me parler.

Mon petit frère m’a raconté qu’ils ont pécho une ancienne instit, et qu’ils la font tourner dans les caves… J’ai pensé à ta reume, t’en penses quoi ?

Pourquoi pas, à voir la semaine prochaine… Là, on va d’abord se taper un bon petit gueuleton et servi par une vieille pute…

Ha ouais. Top !

Puis, nous sommes entrés tous deux et avons été directement au salon, pour nous installer confortablement Une fois fait, me souvenant que le terme de morue mettait mal à l’aise la vieille, j’appelai :

Hé ! La morue... On attend l’apéro.

Ho Théo ! Sois mignon… Je n’aime pas du tout ce surnom.

Ha bon, mais en fait, tu es bien une vieille morue ! Et gouine avec ça… Moins de baratin, apporte nous l’apéro, si tu es sage, tu y auras droit aussi !

Quand elle arrive, nue, à l’exception de bas et de ses escarpins, mon pote me fit un clin d’œil et lui dit :

C’est parfait, ma pute, tu as beau être une vieille radasse avec une sale gueule, tu es encore bien bandante pour tous les “chibanis” de chez nous, tu vas nous faire un bon chiffre, j’en suis sûr !

Pour une fois, la vioque ne répondit pas, commencerait-elle à devenir sage et à apprendre à fermer sa grande gueule ? J’en fus étonné sur le coup. Elle posa la bouteille de whisky et celle de pastis sur la table basse, ainsi que les verres. Puis repartit pour aller chercher eau et glaçons qu’elle rapporta dans la foulée.

J’avais l’impression que tu étais très amoureuse des deux autres gouinasses… À ton avis, Maxime en penserait quoi ? Demandai-je d’un ton provocant et agressif.

Et comme elle ne répondait pas, les yeux rivés au sol, Kader lui refila un coup de pied dans le tibia et elle s’écroula en larmes.

En fait, j’aime qu’elle pleure, ensuite quand elle suce, sa bouche est encore plus chaude, je ne sais pas à quoi c’est dû, mais j’aime qu’elle me pompe la bite en pleurant, c’est certain.

Tu es un grand malade !

Et nous rîmes de bon cœur, pendant que la pauvre femme était à genoux devant nous, à pleurer sur son sort.

Je servis deux verres de whisky, celui que mon beau-père appréciait tout particulièrement, puis servis encore un pastis pour la vieille. Eau, glaçons, et je l’interpellai :

Allez, debout, mains sur la tête !

Béatrice se remit debout tout doucement, les yeux rougis, mais continuant à fixer le sol.

On trinque à quoi ? Demandai-je en levant mon verre.

Mais à la première expérience lesbienne de notre putain !

Tu crois qu’un jour, elle pourra aussi faire les femmes ?

Va savoir, ce qui est sûr, c’est qu’elle ne peut pas faire concurrence aux jolies petites putes toutes fraîches, cette vielle morue, donc faut lui trouver sa clientèle !

Béatrice recommença à pleurer.

Bon... Ça suffit tes simagrées ! Là, je venais de crier assez fort pour faire un électrochoc... Allez, la morue, viens prendre un petit pastis, tu sais bien que tu en raffoles… Comme le whisky-coca, visiblement… J’espère que demain, tu ne vas pas me boire tout le bénéfice ! Mon cousin Rachid me facturera ta picole, alors doucement, bois ici ce soir, mais pas demain pendant le taf.

À la santé des putes, jeunes et vieilles, et des maquereaux !

On se marrait bien avec Kader. Les affres de la vieille ne nous touchaient absolument pas, nous n’avions aucune compassion pour cette vieille salope, chieuse, enfant gâtée, qui ne respectait ni les autres, ni même elle-même. Il me semblait que pour elle, seule comptait le plaisir instantané, l’ivresse et le sexe refoulé, qu’elle libérait alors.

Nous ne prîmes qu’un seul verre d’apéritif, ce soir-là. Puis j’ordonnai à ma génitrice de faire la soubrette et de nous servir, je fus même assez bon pour l‘autoriser à dîner avec nous, assise dans le fauteuil crapaud. Je lui enjoignis encore de débarrasser et de faire la vaisselle.

Dès qu’elle fut sortie de la pièce, je me levai et lui emboîtai le pas. Je m’arrêtai dans l’encadrement de la porte de la cuisine et la regardai tranquillement.

Quand elle fut devant l’évier, depuis un moment, ses fesses maigrichonnes se balançant mollement au rythme de ses gestes, je sentis monter une soudaine envie, impérieuse, et mon sexe se développa de lui-même.

Ma mère, qui ne s’était pas aperçue de ma présence, continuait à laver fébrilement assiettes et couverts, quand je lui pris les seins à pleines mains.

Oui, bébé, applique-toi bien pour la vaisselle, je vais m’occuper de ton trou de balle…

Je savais que, tout comme le mot morue la choquait et la ramenait à une dure réalité, ainsi qu’aux conséquences de son inconséquence, le mot “bébé” lui chavirait le cœur.

J’en profitai, lâchant les mamelles maternelles pendant quelques secondes, pour ouvrir ma braguette, le bouton du jeans et baisser à mi-cuisses mon pantalon et mon caleçon.

Les jambes de ma mère tremblaient doucement. De longs frissons parcourraient son corps, comme si elle avait eu froid, or, la maison surchauffée ne laissait pas la place à cette sensation.

Je guidai mon sexe contre son sphincter d’une main sûre, puis, je pris ses gros nichons un peu mous en main, et les pressai en même temps que je poussai mon sexe pour lui envahir l’anus.

Elle ne cria pas, seules ses mains lâchant les objets qu’elle était en train laver, trahirent son émotion. Elle ferma les yeux, et dès le troisième mouvement, pour aller encore plus loin en elle, elle se cramponna au bord de l’évier et se mit à trembler légèrement, puis à respirer si fortement que Kader l’entendit.

Putain ! T’es chaud, man ! Et avec ta daronne encore ! Vas-y, casse-lui les pattes-arrière à cette vieille morue !

Très vite, je me mis à lui limer son petit cul, pas si serré que ça, comme un démon. Les images de ma mère, en train de bouffer la chatte de la rousse, me mettaient dans une forme olympique et me faisaient bander comme un cerf. Chacun de mes coups de boutoir plaquait la vieille contre l’évier froid et lui tirait un cri perçant.

Kader regardait, tranquillement appuyé contre le chambranle de la porte du couloir, les bras croisés, un petit rictus au coin des lèvres.

Je m’en moquais, je me faisais plaisir dans le cul de cette vieille salope que je haïssais tant, mais aussi que j’aimais quelque part. Ou alors que j’aimais haïr à ce point, peu importait, je me laissai aller à mes plus viles pulsions, à mes envies inavouables, et bientôt, je jouis en criant dans le cul de ma mère :

Prends ça, charogne, prends tout dans ton cul de vieille pute…

Béatrice cria de plaisir, gueula son orgasme, puis, les poumons vides, tomba à genoux devant l’évier, prostrée, et se mit à pleurer.

Repu de stupre, je laissai là ma génitrice, sans me soucier le moins du monde, au moins en apparence, de son sort, et sortie de la pièce en intimant à Kader, de me suivre.

On va se faire un bon petit pèt, OK ?

Ouais, il me reste de cette fameuse beue… Ça devrait bien faire un bon calumet de la paix !

Nous nous enfonçâmes dans le profond canapé. Respirant un peu, moi pour reprendre mon souffle, mon pote pour se calmer les nerfs parce que, lui aussi, aurait sûrement bien eu envie d’enculer sauvagement ma daronne.

Puis, mon pote décida de se mettre à façonner le pétard dont nous venions de parler. Il approcha la table du salon, près de lui, sortit les feuilles de papier à cigarette grand format, son shit spécial et une cigarette.

Dans ce silence relatif, mes sens sustentés, je finis par entendre ma mère geindre et pleurer dans sa cuisine. Je me levai et retournai alors devant l’évier. Je l’aidai à se relever, puis, une fois qu’elle fut debout, je lui pris le menton d’une main ferme, mais douce, lui fis tourner le visage vers le mien et je l’embrassai alors avec la frénésie de l’amoureux qui sait qu’il va avoir du plaisir.

Allez, laisse le reste de vaisselle et viens avec nous.

Je lui pris alors la main et la guidai en dehors de la cuisine. Et, juste avant d’entrer dans le salon, je lui glissai à l’oreille :

C’était bon ? Il me semble que tu as beaucoup joui !

Ho oui, Théo chéri ! Tu me rendras folle avec ta belle queue magique…

C’est bien, bébé !

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une heure avec Sonia (2019)

Mamie se prostitue : le mac (2024)

Au service de Monsieur (2015-2023)

Punition au sex-shop (2002)

La boite à blacks (2019)

Train de nuit 01 (2002)

Christine ou les malheurs de la maturité (2023)

La prof examinée 01 (2010)

Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 2

La prof examinée 02 (2010 -2023)