Théo-rème de l’inceste Chapitre 29 : chevauchée lesbienne
Pendant ce temps-là, la perverse rousse, embrassa encore, durant un petit moment, la nouvelle, puis lui prit la main, l’aida à se relever et l’emmena sur la piste de danse, mais du côté de la salle qui donnait sur l’escalier du fond, loin de l’escalier en colimaçon principal.
Virginie avait trouvé un enregistrement que passait le DJ en fin de soirée, avec quelques bons slows, de quoi bien occuper leur nouvelle consœur.
Quand le morceau lent, doux et suave commença, Elle sortit de son antre et vint prendre Béatrice par les mains et l’obligea à se lever, là, elle commença un slow tout doux, en balançant son corps sans jamais le faire tourner. Dans cette position, sa copine vint devant le visage de la blonde et recommença à l’embrasser tendrement.
C’est à ce moment-là que Rachid descendit voir si la voie était libre, puis me fit signe en m’intimant l’ordre de me dépêcher et d’aller tout au fond de la deuxième salle. Celle qui restait dans un noir profond, mais qui permettait aussi, d’observer tout ce qui se passait dans la première salle, de ce boyau.
Je me faufilai prestement dans l’endroit désigné, non sans jeter un coup d’œil pour voir ma vieille en train de danser avec deux femmes et de se faire embrasser, peloter, tripoter, comme la dernière des traînées, qu’elle était, en fait !
– Allez, si on prenait encore un petit verre pour fêter tout ça, qu’en penses-tu, ma belle ? Demanda joyeusement Nadège quand elle eut fini d’embrasser la blonde en chaleur et, surtout, quand elle vit que son patron était remonté.
Et, alors que Béatrice était encore en main pour danser la fin du slow, elle vint très vite remplir les trois verres de whisky, puis de soda. Bien entendu, celui le plus rempli de whisky, était le verre de la pauvre secrétaire.
Rompue par l’ambiance et ce qu’elle avait vécu précédemment, la vielle blonde accepta le verre et le but presque d’un coup.
Les deux prostituées complices, l’emmenèrent alors à nouveau dans la salle sombre, juste devant celle où était Théo, caché, mais confortablement installé tout de même.
Là, et tandis que Béatrice était déjà fesses à l’air, dépoitraillée, les deux furies se mirent nues aussi. Ce qui fut rapide, vu le peu de vêtements dont elles étaient affublées. Puis, elles commencèrent une sorte de transe qui finit de déboussoler totalement la pauvre secrétaire.
Les mains virevoltaient, les langues se mêlaient, les sucs se mélangeaient, les sexes se mettaient à suinter, les anus s’ouvraient. Bref, les trois femmes s’enivraient, alors, de stupre, se roulaient dans la fange.
Pendant que cette jolie scène lesbienne se déroulait, telle une mélodie en sous-sol, la sonnette de la porte retentit encore une fois. L’établissement ouvrait sur le coup de midi en général, sauf si la veille il y avait eut une soirée un peu spéciale. Il fallait tout de même que les filles puissent reprendre du poil de la bête.
Deux habitués entrèrent, visiblement larrons en foire, saluèrent le patron, puis vinrent au bout du bar, pour embrasser sur les lèvres la jolie Sofia.
Ils éclusèrent assez rapidement une bière que le patron leur fit servir sans qu’ils eussent besoin de commander, et commencèrent à discuter avec la serveuse.
– Alors, les deux goudous se sont bien remises de leur soirée d’hier ?
– Il me semble, oui ! Répondit Sofia en ricanant.
– Sacrée soirée en tout cas ! Dit le deuxième homme.
– C’est toujours très excitant de voir deux femmes se donner du plaisir, n’est-ce pas messieurs ? Interrompit alors le patron.
– Ha oui ! Tu l’as dit Rachid.
– Alors, comme vous êtes de bons clients, et si vous me promettez d’être bien sages et de ne pas faire de bruit, je vous montre les deux furies en train de débourrer une petite nouvelle, ça vous tente ?
– Tu demanderais à un malade s’il veut la santé toi...
Les deux clients rirent, avec ce rire teinté d’excitation et d’attrait pour la chair fraîche.
– Une petite nouvelle, fais-nous vite voir cette jeunette.
– Nouvelle oui, mais c’est une mémé, une bonne vieille salope de derrière les fagots… Et il est bien connu que c’est dans les vieux pots qu’on fait la meilleure soupe, non ?
À nouveau, rire des deux clients.
À ce moment-là, en sous-sol, les deux prostituées lesbiennes s’occupaient sérieusement de la vieille blonde qui était vautrée dans le canapé, comme une vulgaire pute. L’une, la petite brune, était accroupie devant le canapé et lui mangeait consciencieusement l’abricot, faisant couler la vieille chatte de plaisir et d’envie mêlés. L’autre était à califourchon sur son visage, sa chatte, miaulant d’envie, plaquée sur la vieille bouche que fouillait l’antique langue, comme si elle avait fait ça toute sa vie.
De ma cachette, je pouvais voir aisément tout ce qui se passait, comment les filles en arrivaient à leur fin. Et comment ma vieille était facile à retourner, elle qui n’aimait pas trop les “gouinasses”, comme elle disait.
Voir ces deux salopes se gouiner, c’était déjà quelque chose de terriblement excitant, mais en plus de voir ma daronne devenir une goudou, là, j’avais une gaule à tout défoncer !
Puis, et alors que je me caressai doucement le sexe à travers l’étoffe de mon jeans, j’entendis la rousse dire, tout se remettant debout :
– Bon, allez, on va boire un coup pour fêter notre nouvelle amie !
– Tu as soif, chérie ? Demanda, de façon ingénue, Virginie en relevant le museau de la chatte qu’elle lapait la seconde précédente.
– Hi, hi, hi… Oui ça m’a donné soif !
Je reconnaissais bien là, la vieille, avec sa voix pâteuse, la langue qui collait au palais. Elle commençait, surtout, à être bien assaisonnée.
Nadège partit à nouveau vers la table où se trouvait de quoi boire, finit la bouteille de whisky, dont plus des trois quarts avaient déjà été donnés à Béatrice. Puis revint avec les trois verres, et commença par en tendre un à la vieille.
Elle allait être encore dans un sale état, la vioque ! Mais, je devais sûrement devenir pervers, ça m’excitait de la voir se saouler, et il me montait il de ces envies d’aller lui faire sucer ma queue sans qu’elle ne puisse comprendre que c’était moi...
Une fois que Béatrice eut fini son verre, la perverse rousse l’emmena, presque de force, en tout cas en la soutenant partiellement, sur la piste de danse, histoire de lui embrouiller encore un peu plus l’esprit.
Je profitai alors de ce moment pour sortir de ma cachette et d’aller demander à la jolie Virginie un petit service :
– Dis, la vieille semble à point, voudrais-tu lui boucher la vue avec tes mains pour qu’elle me suce ?
– D’accord, cache-toi, dès que Nadège revient, je lui explique le plan et on te la prépare, petit cochon !
Et la jolie brune me fit un petit bisou sur les lèvres.
Pendant ce temps-là, Rachid et ses deux habitués étaient descendus doucement par l’escalier en colimaçon et, sans vraiment se cacher, mais en restant dans l’ombre des lieux, tous trois observèrent la blonde, femme pourtant mûre, en train de danser, nichons et cul à l’air.
– Un petit spectacle de gouines, ça vous dit les amis ? Demanda Rachid d’une voix suffisamment forte pour couvrir le son de la musique.
– Non ! Elles vont se brouter le minou devant nous ?
– Attendons la suite…
Nadège, connaissant parfaitement les lieux et ayant aussi une bonne connaissance de son patron, aperçut les trois hommes. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que les mecs se rinçaient l’œil et que bientôt, ils en voudraient plus. Elle allait les chauffer à blanc, ces deux vicieux qui avaient toujours envie de plus.
Elle s’arrangea alors pour se rapprocher de l’escalier en colimaçon, et exhiber autant que faire se peut sa partenaire. Elle se mit à danser derrière la blonde et prendre ses seins en main pour les montrer encore mieux.
Béatrice, qui ne voyait pas les trois hommes dans l’ombre, se laissait aller au son de la musique et aux caresses enivrantes de sa nouvelle amie.
Danser et sentir ses seins maintenus par de chaudes et douces mains, était un plaisir tout nouveau, mais si fort. Et elle crut même défaillir quand elle sentit des doigts fouiller son intimité alors même qu’elle se balançait mollement au rythme ensorceleur.
Sur un geste de son employeur, Nadège compris qu’il était temps de passer à quelque chose de plus sexuel, aussi, elle emmena à nouveau sa partenaire à la place où se trouvait Virginie.
Là, tout s’enchaîna comme dans une chorégraphie bien huilée. Les fauteuils en mousse dense étaient placés en rond. Chacun avait une forme qui épousait l’autre pour former un grand cercle. L’assise, assez basse et profonde, était confortable et inclinée vers l’arrière du fauteuil. Le dossier, relativement rigide et haut, permettait, aisément, à une personne de s’appuyer sur ses coudes si elle était à genoux sur l’assise.
Nadège guida la secrétaire pour qu’elle se retrouve à genoux sur l’assise d’un fauteuil, le cul bien en arrière et les mamelles écrasées sur le haut du dossier. Puis, elle s’installa derrière le fauteuil, sa chatte à hauteur du visage de la blonde. Là, elle leva la jambe droite et mit alors un pied sur le dossier du fauteuil voisin. Ensuite, de ses deux mains, appliqua fermement la bouche de sa partenaire sur sa vulve bien ouverte et dégoulinante de cyprine.
Virginie comprit tout de suite ce qu’attendait sa complice. Elle vint alors se mettre à genoux devant le cul de la vieille, et appliqua à bouche dessus pour lui faire une “feuille de rose”, tout en lui fouillant la chatte de ses doigts libres et agiles.
– Hé bien ma salope, tu as l’oignon qui pue le foutre toi !
Mais Béatrice était trop partie pour pouvoir répondre quoi que se soit, toutefois, les hommes avaient, eux, tous entendu la remarque bien appuyée, et ce, malgré le fond sonore.
Ce manège durait depuis quelques minutes quand je décidai de me lancer et sortis de ma cachette, la bite, raide, à la main. Avant que je n’aie rejoint le trio infernal, Nadège, qui avait certainement tout de suite comprit le truc, se remit debout et, se mettant sur le côté de ma vieille, lui mit les mains sur les yeux en lui disant :
– Tu as été sage, une surprise pour toi…
Excité par le spectacle, j’arrivai rapidement à la hauteur de la bouche de ma daronne, et lui enfilait directement mon membre tendu dedans.
– Et ça, les gars, c’est la cerise sur le gâteau, cette vieille chienne suce son propre fils...
Les deux hommes n’en revenaient pas ! Une vraie scène de lesbiennes sous leurs yeux, et pour finir, un véritable inceste, pas les trucs des magazines ou des sites internet, non, du vrai, du réel.
– Venez, on va voir de plus près.
Rachid, toujours prévoyant, avait apporté son appareil photo. Et dès que le trio fut près du quatuor, il prit quelques photos.
La petite brune se remit debout et alla dans un des coins de la pièce où se trouvait l’interrupteur permettant de mettre de la lumière pour faire le ménage, en général. Et là, elle attendit un signe de son boss qu’elle avait vu arriver.
– Regarde ma chérie, le joli cadeau qu’on t’a fait. Et, joignant le geste à la parole, elle retira les mains des yeux de Béatrice.
Imbibée d’alcool comme elle l’était, et dans la pénombre des lieux, la femme ne reconnut pas son fils et continua à pomper cette queue.
Pour ma part, je ne pus pas retenir mon foutre plus longtemps et je jouis alors en lâchant de grosses giclées chaudes dans le fond de la gorge de ma vioque.
Je restai encore quelques instants avec ma pine dans la gueule à jus de ma génitrice, puis me reculai de deux pas.
Virginie alluma la lumière et d’un coup, il fit aussi jour qu’en plein soleil. Il fallut quelques secondes pour que les yeux se réaccoutument à la clarté.
– Alors maman, une bonne rasade de sperme de son fils chéri, après une orgie entre filles, ça t’a plu ?
– Mais… Mais que… Mais… Essaya d’articuler Béatrice.
– C’est vrai ! C’est vraiment ta mère ? Me demanda, incrédule, un des clients.
– Ouais, cette traînée est bien ma vieille… Et toi, tu ne rentres pas trop tard, je veux dîner avec Kader, à sept heures !
Puis, je tournai les talons et repartis à l’étage.
L’autre client commença à tripoter la blonde et annonça à Rachid :
– Je la veux tout de suite, pendant qu’elle est encore bien chaude, cette pute !
– Désolé, mais elle n’est pas encore assez testée… Tu pourras l’avoir en primeur, mais demain en début d’après-midi.
– Dommage ! J’avais une grosse envie de cette vielle mère indigne ! Ça m’a excité à mort de la voir sucer son vrai fils !
Comprenant maintenant que son fils adoré l’avait vu avoir une relation sexuelle avec des femmes, Béatrice rougit de honte et voulu se sauver. Mais il n’en était pas question, la perverse rousse la tenait et n’avait, visiblement, pas envie de la lâcher.
Comme si elle avait compris les affres qui tourmentaient maintenant la blonde, Nadège, en souriant malignement, lui dit :
– T’inquiète pas, ton fils sait maintenant que tu es une salope à gonzesses comme nous, il s’en remettra, va…
– J’ai honte, j’ai encore picolé et fait n’importe quoi ! Avoua la femme, plus pour s’en persuader elle-même que pour les deux autres filles présentes.
– Allez, viens… Viens faire un câlin… Ça va passer...
Et la vicieuse femme prit à nouveau la pauvre secrétaire dans ses bras et l’embrassa pendant de longues minutes.
Un peu plus tard, Rachid revint, la blonde était étalée sur les fauteuils, visiblement endormie. Il s’adressa à ses deux putes :
– Bon, les filles, bien joué la première manche, mais maintenant, vous me rangez le bordel. Ensuite, vous allez me la foutre dehors, qu’elle retourne au boulot ou qu’elle aile au diable, je m’en branle, mais faites-lui bien comprendre que demain à treize heures, elle doit être là. Habillée comme aujourd’hui, son côté “secrétaire”, son petit air de “ne pas y toucher”, devrait plaire aux clients !
– OK, Rachid, compte sur nous !
Et le tenancier remonta avec les deux clients qui le suivaient.
Moi, je décidai de retourner chez moi, j’avais encore un peu de business à faire avant la soirée que j’escomptai tout de même bien chaude. J’avais matière à pourrir ma vieille force dix, et je n’allai certainement pas laisser passer une telle occasion. De plus, j’avais envie qu’elle raconte encore ses turpitudes africaines ou ses anciens plans de chaudasse avinée.
Les filles trichèrent un peu en prenant leur temps pour tout ranger, puis en réveillant doucement la nouvelle, le temps qu’elle passait ici, c’était toujours ça de moins à attendre qu’un client ait envie d’elles.
Béatrice eut un peu de mal à refaire surface, mais elle semblait toutefois passablement dessaoulée. Elle commença par regarder les deux prostituées avec de gros yeux ronds, comme si elle cherchait ses souvenirs.
– Oui ma chérie, ça va ?
– Heuuu…
– Tu te rappelles tout le bonheur que nous avons eu ensemble, ma belle ?
– Heuu… Pas vraiment, en fait…
– Et que tu as sucé ton fils devant nous, ça tu te rappelles au moins ? Vint préciser Virginie d’une voix forte et claire.
– Hein !
– Allez, ne fais pas ta mijaurée ! Visiblement, tu aimes faire des pipes à ton fils, ça fait combien de temps que tu le suces, au fait ?
– Mais… Je…
– Tu nous en parleras une autre fois, là faut qu’on aille bosser nous, et toi, tu dois retourner à ton boulot, non ?
– Heuuu... Oui, oui…
La pauvre femme était toujours torse nu, la jupe tellement relevée qu’on aurait pu penser à une ceinture un peu large, les cheveux en bataille, les escarpins qui traînaient un peu plus loin sur le sol.
– Bon, rhabille-toi, nous, on va finir par se faire engueuler si tu ne fais pas fissa.
À ces mots, Nadège se leva et alla chercher le chemisier qui traînait, quant à lui, dans la première salle, sur une table basse.
Et, pendant que la blonde remettait de l’ordre dans sa tenue, Virginie était partie chercher la veste du tailleur qui était restée près du bar. Puis, elle revint et ordonna d’un ton sec :
– Bon, pas le temps de faire des manières. Là, il y a du taf pour nous, donc tu te barres vite fait ! Oui, ton patron doit t’attendre, il est déjà presque quatorze heures !
Totalement désorientée, Béatrice se retrouva dehors en un rien de temps, sortie par l’escalier en colimaçon qui donnait dans le grand vestibule et presque jetée à la rue.
Elle était si perturbée, qu’elle chercha un moment sa voiture, puis partit en direction de son entreprise.
Son chef de service fut très étonné de la voir arriver, et dans quel état en plus ! Et cette odeur étrange, il aurait juré que la femme venait de faire l’amour.
À l’explication qu’elle s’était trompé de jour et qu’elle n’avait rendez-vous chez son médecin que le lendemain, il ne crut pas le moins du monde. Cependant, le sérieux habituel de sa collaboratrice plaida pour elle, et il se dit qu’il aurait peut-être le fin mot de l’histoire une autre fois.
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