Théo-rème de l’inceste Chapitre 27 : appuyée sur le bar
Depuis mon poste d’observation de la cuisine, je ne perdais rien de la scène, je pouvais voir distinctement tout ce qui se passait depuis ma place, sur un autre grand tabouret, derrière la glace sans tain. Je voyais ma mère se prendre des claques et ne pas protester, je mis tout ça dans un coin de ma mémoire, je saurais bien, un jour ou l’autre, le ressortir à bon escient.
Bientôt, la jeune prostituée, Sofia, revint avec un tube de crème. Et se plaça directement juste à côté de la pauvre femme apeurée.
– T’inquiète pas ma jolie, on en met tous les soirs de grosses journées, ça apaise vraiment les brûlures !
Elle fit alors sortir un peu de la précieuse crème sur ses doigts et, sans autre forme de procès, souleva la petite jupe, de sa main, tenant le tube. Et, de l’autre, enduisit la vulve du corps gras.
Béatrice ne bougeait pas, elle était tétanisée, déjà ce jeune salaud de Kader lui faisait peur. Mais là, elle passait à la vitesse supérieure avec ce type, Rachid, qui, visiblement, n’était pas prêt du tout à faire une quelconque concession. Il fallait vite qu’elle se sauve de cette situation.
Mais là, elle devait bien se l’avouer, la douceur de la caresse et le produit lui avait fait un bien fou ! En quelques secondes, les affreuses brûlures de sa vulve s’étaient estompées, avaient presque disparues ! Elle aurait aimé remercier cette jeune femme, mais elle n’osait rien dire.
De mon côté, bien à l’abri des regards, j’avais machinalement mis ma main sur mon sexe et le caressai à travers l’étoffe de mon pantalon. Voir ma mère se faire doigter par une petite jeune, m’avait fait monter la pression instantanément. Une fois encore, je notai, mentalement, la scène pour pouvoir en parler plus tard.
Les deux souteneurs continuaient à discuter de leurs petites histoires sans avoir l’air de se soucier de Béatrice. L’ambiance était étrange. La jeune femme, derrière le bar, regardait et souriait avec insistance à la femme mûre. Les deux mecs se racontaient leurs petites histoires de business. Et la pauvre femme, elle, restait debout, figée, comme paralysée.
D’un coup, Rachid se mit debout et annonça à la cantonade :
– Bon, ce n’est pas le tout de discuter, mais faut reprendre le boulot, les affaires n’avancent pas encore toutes seules !
Il s’approcha directement de Béatrice, la prit sans ménagement, par le bras et l’amena devant le bar.
La pauvre femme se tenait à un mètre cinquante du bar, ne sachant que faire, ni ce qui allait lui arriver. Elle ferma les yeux de peur et sentit que des mains puissantes remontaient sa jupe.
– Écarte tes cuisses et tiens tes fesses, morue, que je vois bien comment tu es faite…
Comme dans un rêve, la pauvre secrétaire, censée être chez son médecin, exécuta l’ordre sans sourciller. Elle se pencha naturellement un peu en avant, prit ses fesses à pleine main, et les écarta comme demandé.
– Ouais, on voit bien que c’est une enculée, ça me plaît, j’ai de la clientèle pour le petit et toutes les filles n’acceptent pas de se faire défoncer le cul.
– Elle, tu peux y aller, en plus, elle adore ça, se faire prendre comme une chienne !
– Penche-toi en avant, toi…
Et, à nouveau, le patron du bar agrippa Béatrice et la fit se pencher très en avant.
La rapidité et la puissance du geste obligea la pauvre blonde à se retenir au bord du bar. Puis, elle sentit qu’on tirait sur sa jupe, qui se dégrafa et tomba au sol.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, voilà que l’homme ouvre sa braguette et sort son sexe déjà partiellement en érection. Si la queue n’est pas exceptionnellement longue, elle fait tout de même dans les vingt centimètres, le gland, lui, est impressionnant ! Gros, relativement pointu, avec le bord comme ciselé par de tout petits boutons. Comme l’homme est circoncis, il n’a pas besoin de décalotter et il applique tout de suite son gros gland contre la pastille. Ensuite, il laisse tout le poids de son corps appuyé sur la queue, qui entra d’un coup.
– Aie ! Ça fait mal !
– Arrête morue ! Ma bite n’est jamais entrée aussi facilement dans un cul que dans le tien... C’est vrai que tu peux prendre gros par le fion… Sofia, viens me dire si cette vieille chouette mouille ou pas ?
Puis, l’homme commença à limer le petit cul fripé.
Béatrice, qui ne pouvait rien faire d’autre que de se tenir à deux mains au bar, eut peur que l’homme en lui éclate les intestins. Des images de femmes éventrées lui revinrent en mémoire, et elle se mit à trembler.
L’homme, puissant et lourd, ramonait maintenant copieusement le cul qu’on lui avait proposé. Mais, en bon professionnel, il ne laissa pas ses sensations prendre le dessus, et il commença à parler à son jeune cousin :
– Tu n’as pas tort, Kader, je vais mettre cette pute en "spécial sodo". Elle est vieille et moche, mais les amateurs du cul ne sont pas si regardants…
Pendant ce temps, la jeune prostituée s’était rapprochée du couple par la gauche, et, de sa main droite, avait pris possession de toute la vulve endolorie, Puis elle insinua deux doigts dans la grotte féminine.
– Alors, Sofia, elle mouille la mémé ?
– Oui Rachid, elle est même détrempée cette vieille salope... J’ai l’impression qu’elle prend son pied, la garce !
– Tu n’es pas là pour jouir, morue, mais pour faire du bien aux clients, parce qu’ils payent, eux.
Mais la pauvre Béatrice n’en pouvait plus. Après le stress de la matinée, de l’arrivée et du lieu, cette bite qui lui donnait des frissons dans tout le corps, lui arrachait des cris de plaisir, qu’elle ne pouvait pas contrôler. De plus, les doigts qui jouaient avec son vagin et le pouce qui lui massait doucement le clitoris, finissaient de lui procurer un orgasme terrible. Peut-être pas le plus violent qu’elle eut vécu, mais parmi les meilleurs, à n’en point douter.
Cette petite salope de Sofia avait pris le sein gauche de la bonde dans sa main droite et malaxait, doucement, mais sûrement, le nichon un peu mou avec une science des femmes, peu commune.
Depuis ma tour d’observation, je ne pouvais pas voir en détail ce qui se passait derrière la bar, mais je voyais nettement Rachid usiner le cul de ma vieille. Et cette jeune serveuse, plutôt jolie d’ailleurs, avoir ses bras qui bougeaient, pour s’occuper de ma vioque. Comment exactement, je ne pouvais le voir, mais j’avais une petite idée sur la question. Mon pote Kader me raconterait, certainement, sur le chemin du retour.
Le patron ne bougeait presque pas, mais il faisait venir à lui ce corps frêle à l’aide de ses bras puissants. N’ayant pas toute la journée pour ce genre de sport, et surtout ayant aussi les autres filles à s’occuper, il imprima un rythme très rapide qui, il se connaissait bien, l’amènerait à jouir assez vite. Et le premier éjaculat de la journée serait aussi le plus copieux.
– Mais ! Ma vieille pute est aussi un peu goudou, visiblement ! S’exclama Kader avec un grand sourire.
Il venait de se rapprocher du couple pour avoir sa tête au-dessus du corps de la pauvre. Il en profita alors pour ouvrir rapidement sa braguette et sortir son chibre déjà prêt à l’action, puis ordonna :
– Suce-moi ma pute, fais-moi jouir en même temps que mon cousin, ma salope...
Et il s’empara des cheveux de la blonde et l’obligea à gober son sexe dur.
Elle ne savait plus où elle en était, la fière secrétaire avait laissé la place à la pute dévergondée qui prenait grand plaisir à se faire enculer sauvagement et à sucer une belle bite de jeune. Sans parler des sensations que lui procuraient les douces mains de la jeune fille à ses côtés.
Comme prévu, Rachid arriva vite à son plaisir qu’il savait parfaitement contrôler, vu que c’était aussi un peu son outil de travail. Là, il se lâcha et cracha tout le foutre possible dans le cul de la, déjà vieille, pute qu’il devait former.
Il serra ses mains sur les hanches, colla le cul malingre contre son bas ventre et resta quelques secondes ainsi pressé, de manière que son foutre remplisse bien l’ampoule rectale. Puis, d’un coup sec, il ressortit son membre encore raide.
La pauvre mère de Théo ressentit comme un énorme vide quand cette grosse queue ressortit de son petit cul. Mais elle n’eut pas le temps de philosopher sur la question, elle sentit le goût doucereux du foutre de Kader dans sa bouche. Puis de violentes giclées virent lui inonder la gorge, elle manqua même de s’étouffer.
Kader tenait fermement, par les cheveux, la tête de la femelle, contre son pubis, pendant qu’il déchargeait tout son foutre. La sensation était étrange, il avait commencé par jouir, mais c’était comme si sa bite fuyait. Ensuite, il eut comme des décharges électriques dans le bas de son dos quand les grosses giclées sortir sous pression de son membre.
Rachid, remettant son sexe dans son pantalon, fit un geste à sa barmaid en lui intimant l’ordre d’aller chercher dans la cuisine son appareil photos.
La toute jeune femme lâcha alors la blonde et partit chercher ce qu’on venait de lui demander, puis revint très vite avec l’objet.
Le patron de l’établissement laissa son jeune cousin finir son plaisir, ensuite, il attrapa une fois de plus la pauvre femme par l’épaule et la fit se tourner vers lui.
– Ha, t’es belle comme ça... Morue ! Tu as du foutre plein la gueule ! Ça coule aux coins des lèvres… Tu vas me faire un beau sourire, que je te prenne en photo.
– Ha non ! Ça ne va pas recommencer !
Et paf ! Une grande claque de la main puissante et large de l’homme vint s’abattre sur sa joue, lui faisant violemment tourner la tête, et laisser de la salive et du foutre sortir, de sa bouche ouverte, sous le coup.
Le temps qu’elle reprenne ses esprits et ramène sa tête vers l’homme, il avait mis en route son appareil et prenait des photos.
– Non... Pitié ! Ce salaud de Kader m’a déjà piégé avec des photos…
Paf ! Une autre grande claque, mais cette fois, c’était de la part de Kader.
– Tourne-toi… Bien, penche-toi en avant, maintenant… Écarte tes fesses, morue !
Bien qu’elle obéisse tout de suite aux ordres que lui donnait ce méchant homme, elle n’avait pas évité de se faire encore traiter de morue. Et Dieu sait si ce terme ne lui plaisait pas du tout. Toutefois, elle n’en fit pas la remarque, se disant qu’elle risquerait encore une bonne gifle.
– C’est bien, tu feras attention où tu t’assois si tu ne veux pas à avoir toute la salle à nettoyer, tu fuis du cul, morue !
S‘adressant à sa barmaid, l’homme ordonna encore :
– Va me chercher Virginie et Nadège, elles vont lui expliquer les us et coutumes de la maison.
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