Théo-rème de l’inceste Chapitre 26 : bar l’obligatoire

 

Pendant ce temps-là, moi, j’avais fait une bonne partie de mes clients, j’avais lâché une petite dizaine de barrettes. Et, riche d’un peu plus de trois cents euros, je me dirigeai vers l’immeuble de Kader. Arrivé en bas, je passai un coup de fil chez lui, depuis la cabine téléphonique, toute proche et toute taguée.

Salut man. Bien dormi ?

Ouais ! Ta morue de reume m’a vidé encore hier !

Tu m’as dit hier de venir pour aller au bar à putes de ton cousin.. Tu te souviens ?

Ouais, ouais… Et je suis prêt, je descends dans quelques secondes, mon pote, on y va...

Et, effectivement, moins d’une minute plus tard, mon pote sortit de son immeuble.

Bon, on va au garage pour prendre la voiture...

Un bon quart d’heure plus tard, nous étions arrivés au centre-ville, devant le bar du cousin. Le bar à putes dans toute sa splendeur, épais rideaux rouges empêchant de voir quoi que ce soit à l’intérieur, petite lanterne genre "bordel à l’ancienne", sonnette pour pouvoir entrer, sans oublier la fameuse mention : "club privé", tu parles !

Kader appuya sur la sonnette et nous attendîmes quelques instants, une petite lucarne, avec une grille devant, s’ouvrit. Sans un mot, elle se referma et la lourde porte s’ouvrit enfin pour nous laisser entrer.

Salut cousin !

Salam alikoum

Alikoum salam, je te présente Théo, le pote et le fils de la pute dont je t’ai parlé…

Salam alikoum, Théo, bienvenue chez moi.

Alikoum salam, Rachid. Je suis flatté d’être ton hôte.

Après ces quelques petites politesses toujours très appréciées, comme me l’avait bien expliqué mon pote Kader, nous sommes entrés et nous nous sommes assis devant le bar sur de hauts tabourets.

À cette heure-là, un petit thé à la menthe ? Ou un apéro ?

Thé pour moi.

Moi aussi, s’il te plaît.

Une fois nos thés servis, Rachid reprit la parole :

Alors comme ça, tu as une pute que tu voudrais que je teste, c’est bien ça ?

Ouais, c’est une vieille salope, dans les quarante-cinq ans, pas trop mal foutue, bonne suceuse et bonne enculée, mais qui fait des chichis pour tout ce qui touche au cul, pourtant, comme je te le disais au téléphone, on l’a sautée à deux, moi et Théo donc, qui est son propre fils ! Ensuite, je l’ai emmené chez Pierre et André, tu sais les deux blacks, les punisseurs que tu les appelles, non ?

Ha ! Mais elle est déjà débourrée, alors !

Oui, en quelque sorte...

Et donc, tu voudrais que je la fasse gratter ici, quand ? Combien de temps ?

Déjà faire un essai, disons une après-midi, que tu me donnes un premier avis… Si c’est possible pour toi...

Pour commencer, comme je te l’ai dit au téléphone, je veux la voir ce midi, et l’essayer…

Oui, oui, je lui ai dit de venir, mais elle a la chatte en feu. Hier soir, on lui a défoncé la moule comme des sauvages… Donc prends-la direct par le cul, enfin, s’il te plaît cousin…

OK, pour cette fois, ça va...

Le reste de la fin de matinée se passa à discuter de ses filles, une sortait du lot, plutôt intelligente, avec un caractère bien trempé et elle savait ce qu’elle voulait. Rachid ne doutait pas un instant qu’elle n’était chez lui que pour un petit moment, histoire de tâter le terrain, ou de se faire une clientèle, si elle restait sur la ville, ensuite.

L’endroit était une grande pièce tout en longueur, devant le bar à proprement parler, de cinq ou six mètres, avec huit sièges hauts devant. Quelque chose de classique. Mais ensuite, il y avait une sorte de petit portillon bas et une rambarde basse, comme pour couper la pièce en deux, marquer une frontière. Derrière cette barrière, de profonds et confortables canapés ronds, rouge-sombre, avec de petites tables devant, ainsi qu’un saut à glace sur pied.

Au bout de la pièce, il y avait les toilettes, ainsi qu’une porte "privée" qui donnait sur l’escalier menant aux chambres des filles. Et sur le côté gauche, une ouverture dans le mur, fermée par un rideau à lanières scintillantes. On aurait pu croire à de l’or.

Le rideau masquait un couloir menant au sous-sol dans lequel une discothèque avait été aménagée. L’escalier donnait sur une première petite pièce sombre, devant la piste richement éclairée. La cabine du "DJ" dans le coin gauche. Sur la droite de la piste, il y avait un escalier en colimaçon qui remontait dans le hall d’entrée et, parallèlement à la première pièce, deux pièces en enfilades qui étaient moins larges, mais bien plus sombres, surtout la dernière pièce, un vrai coupe-gorge ! La seule lumière de ses deux pièces émanait de la piste de danse. Encore qu’un éclairage blanc et puissant fut possible, commandé depuis le bar pour faire le ménage.

Pendant ce temps, Béatrice, la chatte toujours en feu, mais moins que le matin, tout de même, finissait son boulot, concentrée qu’elle était sur ses procédures à taper. Son téléphone sonna, pour lui rappeler que l’heure de la pause était dans les dix minutes qui suivaient. Alors, d’un coup, son cœur s’emballa, une peur sourde lui vrillait le ventre, qu’avait encore inventé ce diable de jeune salaud de Kader ?

Elle en avait connu des tordus et des pervers dans sa vie de salope, mais là, ce jeune déluré, était le summum de toutes les turpitudes qu’elle avait pu vivre et dont elle se souvenait. Bien sûr, elle était consciente que parfois, pour avoir trop bu, elle s’était mise en danger lors de soirées. Mais jusqu’à présent, elle avait toujours pu s’en sortir, si ce n’est honorablement, au moins sainement ! Là, elle craignait vraiment le pire !

Et puis, ce Kader lui faisait penser à son fils, Théo. Et dès qu’elle pensait à lui, il y avait comme une grande quiétude qui l’envahissait. Certes, faire l’amour avec son fils n’était pas dans les choses les plus courantes au monde, mais elle l’aimait tant ce fils chéri, et elle jouissait si fort quand il la prenait...

À midi, Rachid revint avec une de ces filles, habillée outrageusement, comme une pute de bas étage et il lui ordonna de tenir le bar. Puis, il se tourna vers les deux jeunes toujours assis au bar, et leur annonça :

Bon, je vais ouvrir à ta pute, ensuite, je l’amène directement au sous-sol par l’escalier de l’entrée.

Ha non, Rachid, s’il te plaît, je voudrais qu’elle vienne ici dans le bar et vérifier sa tenue, je lui ai annoncé que, si elle n’était pas correctement habillée, je la foutais nue devant tout le monde !

Bon, si tu veux… Et puis, finalement, lui casser le cul debout, contre le bar, c’est aussi une bonne chose. Surtout devant une de mes filles… T’as compris, Sofia, quand j’enculerai la nouvelle, tu viendras à côté de nous, tu lui attrapes les cheveux pour qu’elle te voit bien la regarder et tu lui peloteras les nichons ou tu lui roules une pelle, si tu veux !

Bien Rachid, tu sais bien que je fais toujours ce dont tu as envie…

T’es une bonne fille, Sofia. On fera quelque chose de toi… Si les gros cochons ne te mangent pas !

Et moi, je fais quoi dans tout ça ?

Toi, si tu as envie, tu peux te mettre dans la cuisine derrière le bar, tu verras bien, les glaces sont sans tain, on voit très bien depuis la cuisine tout ce qui se passe au bar.

OK, ça me va parfaitement.

Et moi, je resterai assis à te regarder, enfin, si tu es d’accord, Rachid ?

Oui, Kader, tu pourras rester à regarder comment on s’occupe d’une salope pour en faire une pute.

Je compte sur toi, cousin…

En attendant, encore du thé ou l’apéro ? Cette fois, il est midi !

Je reste sur le thé.

Moi aussi, je suis trop excité, j’ai hâte de voir ma vieille avec un vrai mac au cul !

Hé jeune homme ! Mac c’est péjoratif Alors, tu dis un dresseur !

Excuse ! Oui, oui, un dresseur qui s’occupe de ma vioque…

Un autre thé fut servi, quelques longues minutes passèrent, Théo scrutait la serveuse, elle ne semblait pas beaucoup plus vieille que lui, mais elle devait être au moins majeure.

Kader discutait de tout et de rien avec son cousin.

La jeune femme, quant à elle, s’occupait à mettre le bar en ordre pour les clients de l’après-midi. Visiblement, chacun de ses gestes étaient précis et rapides, elle devait avoir, aussi, une sacrée expérience de barmaid.

Vers midi et quart, peut-être un peu avant, la sonnette de l’entrée retentit. Le peu de volume sonore était largement compensé par l’allumage d’une lampe bleue au niveau du bar. Quand la discothèque fonctionnait et que le bar était plein, cette petite lumière devait être le seul moyen de savoir que quelqu’un voulait entrer.

Rachid se mit debout et alla ouvrir, dès que Théo fut retiré dans la cuisine.

Béatrice entra, doucement, avec la peur au ventre, regardant partout autour d’elle avant de demander :

Excusez-moi, j’avais rendez-vous avec un certain Kader…

Oui, tu es Béatrice, il t’attend au bar.

La pauvre femme, d’une démarche incertaine, entra toutefois dans la grande salle et vit enfin Kader. Certes, ce jeune salopard lui faisait vivre les pires tourments, mais là, en ce lieu de perdition, avec tout le décorum qui faisait penser à un lupanar, elle était presque heureuse de le voir, du moins de voir un visage connu.

C’est quoi ces conneries ? Commença agressivement tout de suite Béatrice, sans même avoir dit bonjour.

Une grande claque sur la joue vint ponctuer sa diatribe. Le coup était parti de derrière elle et avait été des plus secs et douloureux.

Alors, écoute un peu morue…

Cette fois, elle avait virevolté sur elle-même et se retrouvait devant l’homme qui l’avait fait entrer et l’avait claquée juste auparavant.

Tu es ici pour faire ton boulot de pute, gagner du fric pour ton homme et pas me faire chier, sinon… Tu as bien compris, connasse ? L’homme venait de lui crier au visage si fort que ses oreilles en bourdonnaient.

Oui Monsieur…

Pendant ce temps, Kader était descendu de son siège haut et s’avançait d’un air menaçant. Quand son cousin eut tourné les talons, pour aller derrière le bar, Kader vint se planter juste devant sa putain et, à son tour, lui administra une grande claque, plus sonore que douloureuse, mais tout de même !

Bon, tu vas bosser ici certains soirs, alors ne commence pas à jouer à la duchesse, ça va pas le faire du tout !

Mais…

Pas de mais qui tiennent… Et mon cousin va t’essayer, voir ce qu’il va pouvoir tirer de toi, alors tâche de ne pas me faire honte, salope...

Je ne peux pas, j’ai trop mal, ça me brûle ! Commença à pleurnicher la pauvre femme.

Fais-moi voir ça ?

Et, joignant le geste à la parole, le jeune homme attrapa la blonde par l’épaule, la poussa et la colla contre le mur, juste avant de lui remonter la jupe, découvrant une chatte lisse bien rougie, pas de culotte, et des bas jarretières. Une main la planquant au mur, l’autre pour lui relever la jambe gauche, et l’homme se pencha pour examiner la vulve effectivement très rouge.

Bon, d’accord, on va soigner ça, Rachid a de la pommade pour ce genre de retouche à faire sur le matériel. Mais, de toute façon, tu es une enculée, donc tu vas nous montrer tes dons d’enculée !

Comprenant le manège de son jeune cousin, Rachid en profita pour héler sa pute et lui ordonner :

Sofia, va chercher la pommade apaisante. Tu viendras lui enduire la chatte, elle a dû trop servir ces derniers temps !

Et les deux hommes se mirent à rire de bon cœur.

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