Théo-rème de l’inceste Chapitre 25 : la bonne collègue
Le lendemain matin, je me réveillai en grande forme dès sept heures. Ma vieille dormait encore. Elle avait toujours le gode planté dans sa chatte, son anus s’était un peu refermé, mais on voyait qu’il avait beaucoup servi ces derniers temps.
Je me levai et allai directement prendre une bonne douche chaude.
Le bruit dut réveiller Béatrice, qui arriva dans la pièce d’eau, alors que je venais tout juste de finir de m’essuyer. Elle me regarda d’un air étrange et finit par dire :
– Tu as dormi avec moi, Théo ?
– Oui, tu ne te souviens pas de tout ce que tu as joui, hier soir ?
– Non… Pas vraiment, disons...
Je lui pris le téton droit entre mes doigts et le pinçai plutôt fortement.
Elle grimaça, mais ne fit pas d’autre mouvement pour que je stoppe mon geste.
– Tu ne te souviens pas comme tu jouissais quand je te prenais en te pinçant les tétons ? Tu m’as même pissé sur le ventre tellement tu étais barrée !
– Ha, bon ! Arrête de me pincer, ça m’excite, Théo, sois mignon, déjà que je n’ai pas été au boulot hier, je ne peux réellement pas être absente encore aujourd’hui !
Elle avait les cheveux en bataille, ses bas descendaient à mi-cuisses et donnaient un air fripé à ses jambes minces. Ses grandes lèvres étaient rouge-pivoine, et bien entrouvertes, la vue en était grotesque, pour ne pas dire pathétique.
– Viens ici !
L’ordre sec que je venais de lui donner n’autorisait aucune discussion, et donc ma vieille vint se placer devant moi.
– Mains sur la tête !
Le ton était le même, aussi, elle exécuta tout de suite le mouvement.
Je plongeai ma main droite vers son pubis et mes doigts fouillèrent sa vulve sans entrer dans le vagin. Je vis, avec un certain plaisir, qu’elle faisait une grimace, pas celle, habituelle, de sa mauvaise tête, non, là, c’était une véritable grimace de douleur.
– Tu me fais mal, Théo !
– Ha ! Tu aurais le clitoris sensible, ce matin ?
– C’est rien de le dire mon chéri ! Je ne sais pas ce que j’ai fait hier, mais mon bouton est tout endolori !
– Parfait… Tu ne mettras pas de culotte sous ta jupe… Je veux que, ce matin, tu aies le look de la parfaite secrétaire, petit tailleur, bas noirs, escarpins vernis.
– Moi, je voulais essayer de me faire toute petite pour mon absente d’hier ! Pas d’arriver en super secrétaire !
– C’est comme ça… Bon, fini de rire, va ranger les godes et le caméscope de Maxime, moi, je file à l’école !
Sur ce, je me retournai et partis dans ma chambre prendre mes affaires, pas vraiment pour aller en cours, non, mais j’avais un peu de business à faire avant d’aller voir mon pote Kader.
Après avoir rangé les jouets de la veille, Béatrice rangea le caméscope comme elle put, en espérant que son compagnon ne se rendrait pas compte qu’il avait servi. Mais en oubliant totalement que le film enregistré était encore dans la cassette de l’appareil. Le feu qui lui dévorait la vulve et tout particulièrement le clitoris lui fit craindre une vilaine maladie. Toutefois, elle préférait souffrir que d’appeler le médecin tout de suite, et être contrainte de lui avouer ses frasques. Ou du moins, de construire une histoire plausible.
Elle s’habilla comme son fils le lui avait demandé, mettant son joli petit tailleur mauve, des bas noirs très opaques, un chemisier rose, un soutien-gorge rose aussi, histoire de ne pas faire de faute de goût. Pas de culotte, de toute façon, elle ne l’aurait pas supportée. Et, juste avant de partir, elle ressortit une paire d’escarpins noirs à talons aiguilles qu’elle avait remisée dans le placard de l’entrée.
Après avoir ouvert la porte du garage, quand elle s’assit dans sa voiture, la brûlure de sa vulve se fit encore plus insistante. Elle se demanda si elle pourrait tenir toute la journée ainsi ?
Arrivée dans le garage de son entreprise, elle gara sa voiture comme à l’accoutumée et alla directement voir son chef de service qui, elle le savait, commençait toujours très tôt. Elle s’excusa pour la veille et prétexta une violente migraine ophtalmique qui l’aurait cloué dans le noir de sa chambre et l’empêchait de composer le numéro du bureau tant elle aurait souffert.
N’étant pas une habituée des arrêts inconsidérés, bien au contraire, son chef l’avait crue sur parole et ne décompta pas sa journée d’absence. Après tout, dans ces grandes entreprises, bien des gens trichaient, aussi une personne sérieuse avec un motif valable ne devait pas être, elle, stigmatisée !
Cependant, il nota une attitude étrange et inconnue chez sa collaboratrice, elle semblait se dandiner. Il pensa qu’elle devait avoir une envie pressante.
Dès qu’elle fut sortie du bureau de son patron, et avant même que d’aller poser ses affaires dans le sien, elle fit une pause aux toilettes. Dès qu’elle urina, une violente brûlure se fit sentir, cette fois ce n’était plus le clitoris qui était enflammé, ni même simplement la vulve, mais elle avait l’impression que tout son vagin brûlait d’un feu ardent.
Quand elle sortit des toilettes, elle eut bien du mal à marcher normalement, elle tenait ses jambes écartées, ce qui lui donnait une démarche de cow-boys.
Un peu plus tard dans la matinée, sa bonne copine Pauline passe la voir.
– Alors, qu’est-ce qui t’est arrivé ?
– Rien de grave, une grosse migraine, ça m’a couché...
– Ha bon ! Pourtant, le matin, tu allais vraiment bien ! J’espère que ce ne sont pas les bêtises de Théo qui t’ont perturbées ?
– Non, non… Mais Béatrice mentait mal et son propre malaise par rapport aux questions état visible pour son amie qui la connaissait bien.
– Tu es sûre ?
– Oui, oui…
– Non, toi, tu me caches quelque chose et c’est avec ton gamin !
– Non, je t’assure, j’ai quelques soucis de santé, mais rien de très grave, c’est ennuyeux, c’est tout...
– Si tu le dis… Au fait, ce soir, avec Denis, on est invité chez son copain qui est jardinier au château d’Azay, je t’en ai déjà parlé, tu viens avec nous ?
– Non, pas en forme pour sortir… Mais merci de ton invitation.
– C’est dommage, on devrait bien rigoler, Pascal est un mec marrant comme tout.
– Oui, je sais, mais les soirées sont en général très, très arrosées !
– Ha oui, ça c’est possible.
– Autrement dit, je ne te vois pas demain au bureau ?
– Si, pourquoi tu dis ça ?
– Comme ça...
Pauline était, en fait, coutumière des absences injustifiées. Elle avait eu des reproches parfois, même un chef qui avait voulu la mettre à l’amende, mais elle savait aussi aller faire les yeux doux aux gars du syndicat pour qu’on la défende.
– Bon, tu m’excuses, mais il faut que je rattrape mon absence d’hier.
– Ho bon ! Et si on passe te chercher ce soir, avec Denis ?
– Non ! Surtout pas…
– Mais qu’est-ce qu’y t’arrive ?
– Rien… Rien, c’est juste que je suis encore bien fatiguée, la nuit a été trop courte, en plus j’ai attrapé une cystite semble-t-il !
– HA ! Tu veux plutôt me dire que tu as encore eu une folle après midi de sexe.
– Non, non je t’assure…
– Arrête, je te connais depuis toutes ces années, "bébé"...
– Mais non, Pauline, ce n’est vraiment pas ce que tu crois.
– Moi, je ne te fais pas la leçon, mais un jour, il faudra tout de même que tu t’assumes… Tu sais que Denis me dit toujours qu’il aimerait qu’on fasse un truc à trois…
– Mais non ! J’ai Maxime !
– Avec tout ce que tu fais dans son dos, à mon avis, tu ne risques pas qu’il reste très longtemps, celui-là !
– Mais si. Je l’aime !
– Enfin, tu fais comme tu veux, on passera un de ces soirs se faire payer l’apéro alors…
– D’accord…
Aie ! Là, elle venait de commettre un impair. Mais comment dire à Pauline de ne pas passer la voir, alors qu’il y a peu encore, elles se voyaient régulièrement et passaient l’une chez l’autre sans avoir besoin de bristol !
Mais pour l’heure, sa vulve et son clitoris en feu lui faisait faire une sorte de danse de saint Guy sur sa chaise.
– Une cystite ou une vaginite ? Pense à ma proposition pour ce soir...
Et la grande et belle femme fit encore un clin d’œil à Béatrice avant de sortir du bureau avec un grand sourire aux lèvres.
Béatrice essaya bien d’aller passer un peu d’eau aux toilettes sur sa chatte en feu, mais l’eau fraîche, si elle apaisait ses brûlures pendant quelques secondes, semblait ensuite aviver encore plus l’incendie intime.
Elle passa une bonne heure devant son ordinateur, à reprendre notes et descriptifs pour faire avancer son boulot, essayant de ne pas penser à son entrejambe, quand un coup de fil extérieur la sortit de sa concentration.
– Allô, c’est Kader.
– Mais ! Mais comment as-tu eu mon numéro direct ?
– Ce n’est pas le sujet, chérie… Je veux te voir à midi au bar "l’obligatoire".
– Mais je ne sais pas où c’est.
– Mais si, tu sais, c’est au début de la rue de la Cathédrale, souviens-toi, tes parents habitaient dans le quartier.
– Je ne peux pas venir, j’ai trop mal au sexe…
– Ce n’est pas mon problème, ça, chérie ! Mais je serai bon prince, j’ai de la pommade pour ce genre de souci…
– Non, je ne viendrai pas !
– Et moi, je t’ordonne de venir, sinon…
Et crac, l’homme raccrocha.
D’un seul coup, voilà Béatrice toute paniquée. Pour éviter un autre souci d’absence, elle prit les devants et passa un coup de fil à son chef pour lui dire qu’elle risquait d’être en retard, voir de ne pas venir, parce que son ophtalmologue la prenait en urgence en début d’après midi.
À peine avait-elle raccroché, qu’à nouveau, un appel extérieur retentit.
– Ha, une précision, je ne veux pas d’une révolutionnaire du MLF en pantalon, si tu n’es pas habillée en jupe ou robe, tu seras mise à poil tout de suite en arrivant, c’est compris ?
– Mais…
– Démerde-toi pour être une bonne pute habillée comme telle !
Et le téléphone fut raccroché aussi sec.
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