Théo-rème de l’inceste Chapitre 24 : les crayons de couleurs
J’arrivai le premier dans la chambre et, très vite, du moins, aussi vite que je pus, je me mis nu. L’ambiance, l’alcool et le pétard m’avaient tout de même bien attaqué aussi. Mais j’avais maintenant une furieuse envie de sauter ma vieille et de la remplir de foutre. Le fait qu’elle soit remplie par ses deux jeunes amants, que nous étions devenus, Kader et moi, m’excitait au plus haut point.
Bientôt ma vieille entra dans la pièce, le pas mal assuré, sans aller jusqu’à tituber, elle avait tout de même du mal. Elle fit le tour du lit, s’assit sur le côté, et commença à vouloir retirer ses bas.
– Non, garde tes bas, je préfère, ça te donne un air encore plus… PUTE !
– Oh Théo...
– Allez, tu aimes ça, finalement, te faire traiter de pute ! Quand je t’ai dit d’aller embrasser ton mac, tu y es allée sans rechigner... Si tu as un mac, c’est que tu es bien une pute !
– Théo !
– Allez, avoue que ça t’excite d’entendre que tu es une pute… MA PUTE !
– Oui… Avoua-t-elle, vaincue peut-être plus par la fatigue que par mon argumentation.
Je l’attrapai alors par le bras gauche, lui fis faire un demi-tour sur elle-même et l’attirai vers moi. Dans la discussion, j’en avais profité pour m’allonger sur le lit.
Avec un peu de peine, elle réussit à me chevaucher. Elle passa sa jambe droite par-dessus mes cuisses et se retrouva assise dessus. Ses seins pendaient comme des figues mûres. Le tableau était très excitant.
Je bandai déjà et n’eus donc aucun problème pour la faire avancer sur ma queue et la prendre d’un coup. Ma queue glissait dans ce vagin bouillant et doux à la fois. J’empoignai les nichons et lui ordonnai sans ménagement :
– Vas-y, branle-toi, tripote-toi bien le clito…
Sans rien répondre, elle envoya sa main droite vers son bouton d’amour et ne mit pas longtemps à jouir de ses propres caresses.
Moi, je bougeai encore très peu dans sa chatte. Tout en l’observant se bricoler le démarreur à capuchon, je jouai fébrilement avec ses tétons, je remarquai qu’en les pinçant même assez fermement, certes, elle grimaçait, mais elle semblait aimer cela.
Alors que j’avais mon chibre, bien ancré profondément, dans la moule maternelle, je sentis quelque chose qui coulait doucement sur mes couilles. Je penchai alors ma tête sur le côté en la relevant un peu et pu entrevoir, dans la glace de la grande armoire en face du lit, un fin filet foutre qui coulait du cul de la vioque. Je vis également que son anus était encore copieusement ouvert.
– Branle-toi bien, "bébé" ! Tu sens bien que tu as encore ton trou du cul tout ouvert ?
– Ho oui ! Sa voix était étouffée, un peu rauque, signe de son excitation intense.
– J’adore te voir jouir, ma pute ! Dis-je encore, alors que je serrai, d’un coup, fortement, ses tétons.
Béatrice redoubla alors de fougue pour se tripoter le clitoris. Puis, elle commença d’elle-même à chevaucher cette grande queue bien raide qui lui remplissait le vagin. Elle poussa sur ses jambes pour monter, et se laissa retomber, sans aucune retenue, juste pour sentir ce pieu de chair taper contre son col de l’utérus. Là, à cette seconde, une vague électrique de plaisir parcourut son corps. Et elle reprit son manège, poussait sur ses jambes pour que ses lèvres glissent sur le sexe tendu et, tout relâcher pour qu’il aille le plus loin possible en elle.
Je pinçai les tétons, de plus en plus fort, je voulais voir jusqu’où le masochisme de ma mère allait. Mais pour l’heure, bien qu’elle grimaçât comme à chaque fois qu’elle prenait une bite dans le ventre, elle râlait uniquement de plaisir, avec un cri aigu quand elle se laissait retomber sur moi.
Ma vicieuse vioque s’excitait toute seule de plus en plus. Les muscles de ses cuisses se contractaient puis se relâchaient, elle montait et descendait le long de cette tige vivante.
Les effets du puissant shit lui ravageaient le cerveau. Elle ressentait le moindre de ses nerfs. Son esprit vagabondait entre ses frasques passées en Afrique et ses exploits récents avec Kader.
– Elle est bonne la pine de ton fils, hein maman ?
La voix de son enfant chéri l’emmena encore plus loin, elle avait maintenant l’impression que son fils qu’elle aimait tant, était en train de revenir dans son ventre, de rentrer à la maison en quelque sorte. Elle aurait voulu que son fils soit le fruit d’un amour fou, dévastateur, pas d’un vulgaire petit coup de son ex-époux un soir de cuite.
Et là, le rêve opiacé lui donnait la sensation que son enfant chéri allait revenir au chaud dans son ventre. Ce n’était plus la graine de maquereau, le petit voyou déluré et pervers, juste son bébé qui revenait en elle.
La douleur lointaine qu’elle ressentait au bout de ses seins, lui rappelait, dieu sait pourquoi, l’enfantement.
Étaient-ce les effets de la drogue ou de l’alcool, mais désormais la chatte de ma mère me brûlait la bite. Je sentis mon plaisir arriver au galop. Je lâchai donc les tétons, pris les hanches de ma cavalière fermement en main, et lui imprimai mon propre rythme.
– Oui ma salope, branle-toi à fond… Tu vas mourir de plaisir, ma pute… Je vais inonder ta chatte de mon foutre… Salope tu me fais jouir !
Sur ces bonnes paroles, je laissai mon plaisir m’envahir et jouis dans un grognement un peu aigu. Moi aussi, j’avais l’impression de gueuler, à la face du monde, tout mon plaisir.
Pratiquement, en même temps que son vagin se remplissait de foutre plus que tiède, Béatrice s’écroula en avant sur mon torse. Sa main coincée sous elle qui, comme mue par une force extérieure, était encore et toujours en train d’astiquer son clitoris.
La jouissance qu’elle eut, ce soir-là, pouvait être aussi ce que l’on nomme parfois, la petite mort. Toujours est-il qu’elle ne contrôlait absolument plus ni son corps, ni ses pensées et qu’elle pissa sur la verge de son fils qui était encore fichée dans son ventre.
J’avais aussi les yeux fermés, mon esprit enfumé par les plaisirs, je sentis toutefois mon ventre être inondé d’un liquide chaud qui coulait ensuite le long de mes flancs. il s’étalait sur le lit le long de mon buste et sous mes fesses. Ainsi qu’une autre partie qui coulait autour de ma verge, entre mes couilles et qui suivait ensuite la raie de mes fesses.
– Hé bien, "bébé"... Tu as pris un sacré pied !
La vieille ne pouvait pas répondre. Son visage était collé à ma poitrine qu’elle embrassait doucement, mais aucun son ne sortait plus de sa bouche. Cependant, sa main s’affairait encore et toujours sur son clitoris. Sa respiration était encore très forte.
Après de longues minutes passées à sentir les cheveux de ma mère, et de ressentir son corps encore parcouru des décharges électriques du plaisir. Je reprenais mon souffle, puis, d’un geste doux, je fis glisser ma génitrice sur le côté pour pouvoir me lever.
Elle se laissa tomber délicatement sur les draps, arrêtant maintenant de se masturber.
L’urine maternelle coulait à présent le long de mes jambes, je regardai la couche sur laquelle j’étais quelques instants auparavant et vis une grande tache d’humidité.
– Maman ?
– Oui… Théo...
La voix était étrange, la langue collait au palais, et les yeux étaient injectés de sang. Si elle avait dit qu’elle n’avait pas eu d’orgasme, je crois bien que je l’aurais giflée. Mais pour le moment, j’avais encore une autre idée en tête et cet orgasme dévastateur m’avait plus dégrisé que mis KO ! Aussi, je poursuivis d’une voix tranquille :
– Recommence à te masturber… Fais-le pour moi... Caresse bien ton joli bouton d’amour, je reviens avec une surprise... À tout de suite, "bébé" !
Je sortis alors prestement de la chambre, fis un arrêt à la salle de bain. Je me glissai dans la baignoire et fis couler l’eau par la douchette. Je passai le liquide tiède pour me laver le ventre, les hanches, les fesses et les jambes, tout ce qui avait été souillé par l’urine de ma folle mère.
Une fois séché, j’allai directement dans ma chambre, fouillai un peu dans mes affaires et pris la pochette de crayons de couleur que je cherchais. Ensuite, je pris aussi deux capotes que je savais être dans le tiroir de ma table de nuit.
Je redescendis les escaliers quatre à quatre et j’arrivai dans la chambre maternelle.
Béatrice était en train de se masturber consciencieusement, les yeux fermés, un souffle court donnait la puissance du plaisir qu’elle ressentait en cet instant.
En entrant, je fus surpris par l’odeur de la pièce ! Une odeur rance, de sueur et d’urine mêlée. La pièce sentait le cul !
– Oui, c’est bien ma chérie… Tripote bien ton clito, ma salope…
Béatrice continua de s’administrer son traitement du plaisir. Pour elle, plus rien ne comptait que son bonheur, que les orgasmes à répétitions qui parcourraient son corps, qui explosaient son cerveau. À ce moment-là, elle n’était plus qu’une bête, qu’une machine à jouir.
J’ouvris doucement l’emballage d’une capote, puis l’étui de mes crayons. Je pris sept ou huit crayons que je tenais joints et enfilai alors la capote par-dessus. Une fois le préservatif totalement déroulé, je m’approchai du bas-ventre de ma mère.
Maintenant, Béatrice avait les jambes repliées, seuls ses talons touchaient le drap, et son bassin était souvent en l’air, ses fesses ne touchant plus le lit. Puis, il retombait, pour remonter quelques secondes après.
Je passai mes mains sous les genoux et remontai bien haut les frêles cuisses. Ensuite, je basculai le bassin, de manière que l’anus soit à ma portée. Là, de ma main libre, avec mes doigts agiles, j’écartai les fines fesses maternelles pour accéder entièrement et librement à cet anus qui continuait à suinter du foutre, tout doucement.
Je plaçai mon godemichet improvisé, mines à l’extérieur, contre le sphincter qui, rien qu’à savoir qu’il allait être de la fête, s’ouvrit et laissa passer les crayons emballés dans le film en latex.
Durant toute l’opération, et bien qu’elle ne dura pas des heures, la vieille continuait de se travailler l’interrupteur du bonheur.
– Garde bien tes jambes en l’air ma chérie…
Sans un mot, elle garda ses jambes repliées au-dessus d’elle. Et elle reprit de plus belle sa masturbation. Elle n’y pensait pas, mais demain, elle aura sûrement le clitoris en feu et ne pourra pas mettre de culotte.
Je pris un autre crayon, je le mis au centre de ceux déjà bien en place, et le fit coulisser tout doucement. Un par un, j’introduisis les vingt-quatre crayons que contenait la pochette. Ma mère n’arrêta pas de s’astiquer le bouton durant toue l’opération.
Béatrice avait l’anus à nouveau dilaté, mais finalement, elle aimait ça de plus en plus. De toute façon, à ce moment précis, elle n’était plus de ce monde, mais dans son monde à elle. Un monde d’orgasmes à répétition, de joies de se faire prendre par des petits jeunes, de plaisirs de se faire baiser par son fils. Bref, la drogue jouait, à plein, de ses neurones surchauffés.
Maintenant qu’elle était totalement partie, je commençai à lui limer le cul avec les crayons que je tenais ferment. Et plus je lui ramonai le fondement, plus elle criait son plaisir et plus elle s’astiquait frénétiquement son clitoris rose.
C’est alors que je me souvins que mon beau-père avait un caméscope. Il devait être quelque part dans son bureau, juste à côté de la chambre.
– Continue et tiens aussi les crayons que tu as dans le cul, "maman".
Je me remis debout rapidement et sortis de la chambre, dans le bureau attenant, je trouvai très vite l’appareil et son bloc d’alimentation, ainsi que les batteries. Mais je laissai ces dernières en place, me doutant bien que je pourrais brancher directement l’alimentation sur l’instrument. J’examinai l’engin, les branchements possibles, comprenant très vite comment faire, faut dire que c’était simple. À la portée d’un gosse.
Donc, maintenant, équipé du caméscope, je revins et l’installai sur la table de chevet du côté que j’occupais. Je le branchai sur la prise de courant, réglai rapidement la vue, et revins m’occuper de ma vioque qui tenait fermement les crayons qui étaient plantés dans son cul de prostituée. Mais elle avait cessé de s’occuper de son clitoris.
– C’est bien, tu aimes te faire remplir le cul, hein, maman chérie ? Allez, recommence à te bricoler le clito, je vais m’occuper de ton cul, ma chérie…
Je repris en main la botte de crayons et recommençai à poignarder le trou du cul de ma vieille avec.
Très vite, Béatrice qui s’était remise tout de suite à s’astiquer le bouton, recommença à couiner comme une truie. La branlette lui donnait du plaisir, mais le ramonage en règle de son fondement l’amplifiait encore !
– Vas-y, laisse-toi aller au plaisir… Tu aimes ça, te faire ramoner tes trous, hein, ma salope ?
Pas de réponse, j’étais un peu déçu, aussi, je répétai ma demande, mais d’une voix plus affirmée :
– T’aime ça te faire ramoner les trous ? Dis-le, salope !
– Oui, c’est trop bon… Ne t’arrête pas, mon chéri...
Je redoublai de vitesse et d’amplitude dans mes mouvements.
Cette fois, Béatrice cria, de toutes ses forces, son plaisir.
– Oui ! C’est ça, c’est bien… Prends ton pied, maman la pute…
À ces mots, les cris augmentèrent encore. La vieille n’avait plus aucune retenue, je commençai à comprendre pourquoi mon pote aurait bien aimé l’emmener dans un bar à putes.
Je lâchai la botte de crayons, après l’avoir enfoncée aussi loin que possible dans les boyaux maternels. Je me retournai et commençai à fouiller dans le tiroir de la table de chevet de mon beau-père.
Bingo ! Je trouvai ce que je cherchais, du moins, ce que j’espérai trouver. Un plug anal, il ferait bien l’affaire même s’il n’était pas tout à fait un gode et qu’il était destiné à autre chose que ce que j’avais en tête. Et sous le tiroir, dans le logement prévu pour le pot de chambre jadis, je trouvai un petit gode blanc.
La mère était toujours en train de jouir, incroyable ! Bon, les effets de la drogue, habituellement, étaient assez violents, surtout la coke, mais le shit était plutôt quelque chose qui endormait, pas qui stimulait comme ce soir. À moins que l’opium ne donnât ce genre de résultat.
Je me repositionnai aux côtés de la vieille et lui introduisis le plug comme s’il s’agissait d’un gode, seulement la forme bombée de l’objet lui procura, visiblement, bien des sensations.
De l’autre main, je repris la botte de crayons et, maintenant, je poignardai le cul et la chatte de ma génitrice en cadence, les jouets entraient et sortaient en même temps des deux trous.
Une fois encore, Béatrice jouit très bruyamment. Les voisins finiraient un jour ou l’autre par venir voir ce qui se passait quand elle était seule et que son compagnon était en déplacement, mais de ça, elle n’en avait absolument pas conscience.
Cette fois, la pauvre femme, victime de ses orgasmes, commençait à se débattre et à bouger dans tous les sens en demandant grâce :
– C’est trop ! C’est trop ! Tu vas me tuer mon chéri… J’en peux plus de jouir… Ha oui ! Encore… C’est trop ! Arrête ! Continue, c’est trop bon !
Je retirai le plug, et mis, cette fois, le gode. J’actionnai les jouets pendant quelques instants, puis ordonnai à ma mère qu’elle se gode elle-même :
– Vas-y, prends les jouets et travaille-toi les trous, ma pute…
Une fois de plus, elle réagit au terme de "pute" par une grimace particulière et des grognements étranges.
Et, alors qu’elle se branlait maintenant avec ferveur à l’aide de la botte de crayons et du gode blanc, je me levai et pris le caméscope en main pour jouer au cameraman.
Le spectacle était tel que j’eus à nouveau une érection. Mon sexe durcissait de minute en minute. Et mon excitation montait de plus en plus. Très vite, j’eus encore envie de ce cul maternel pour me vider les couilles.
– Mets-toi à quatre pattes, que je voie bien ton cul, "maman"…
Je savais à présent que, quand ma vieille était excitée, le fait que je l’appelle "maman", l’excitait encore plus et l’amenait dans un état où elle acceptait pratiquement tout et n’importe quoi. Aussi, j’appuyai le plus possible sur cette corde sensible, histoire de la conditionner à bien me prendre dans les secondes qui allaient suivre.
Elle lâcha la botte de crayons qui retomba sur le drap et maintint le gode dans sa chatte. Puis, elle mit un temps, que je qualifiai alors d’infini, pour se mettre dans la position demandée.
Quand elle fut dans la position voulue, je grimpai sur le lit, m’agenouillai derrière son cul, entre ses mollets et plantai mon sexe dur dans son anus.
Un petit cri de surprise ! Puis la salope recommença à se ravager le vagin à grands coups de gode pendant qu’elle se faisait copieusement enculer. Elle gueulait de plus en plus fort le plaisir de se faire prendre par son enfant. Du moins c’est ce qu’on pouvait deviner, à l’écouter, car bien peu de mots étaient intelligibles.
Cette folle journée s’acheva par une explosion de sensations ! Je finis par jouir dans l’anus maternel en longs jets qui me brûlaient la queue de l’intérieur, mais c’était divin !
– Voilà, tu as nos foutres dans ton petit cul, ma pute ! Garde bien le bon jus de couilles de ton mac et de ton fils bien au chaud dans ton ventre de salope en chaleur, "maman" !
Je n’eus pas de réponse intelligible, mais elle s’écroula sur le lit, prise de tremblements qui secouaient tout son corps frêle. Elle resta allongée comme ça, les bras allongés, le gode enfiché dans sa chatte détrempée, son anus bien ouvert qui recommençait à suinter du foutre.
Moi, crevé, je n’eus pas le courage de faire quoi que ce soit ni même de remonter dans ma chambre. Aussi, je m’endormis très vite à la place de mon beau-père.
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