Théo-rème de l’inceste Chapitre 23 : souvenirs du Congo

 

Tu n’as jamais été au club med ? C’était à la mode, à ton époque, non ?

Si, mais plus tard, quand je suis rentrée à la boîte, pour mes premières vacances, en Tunisie même...

Tiens… Finis-le pète…

Ma vieille s’empara du joint et tira encore plusieurs fois profondément dessus, tout en racontant son voyage. Première fois qu’elle prenait l’avion. Son arrivée en Tunisie, l’accueil chaleureux, puis l’accueil au camp où elle fut prise en main tout de suite par un G.O. Et, bien entendu, sa première nuit où le Gentil Organisateur l’accompagna dans sa chambre, et la baisa sous toutes les coutures.

Les jours suivants, finalement, si nous avions bien compris, tout le staff lui passa dessus, jusqu’au directeur qui, lui, devait bien avoir près de soixante ans. Et même, elle se fit monter par trois tunisiens qui travaillaient au camp. Elle en profita d’ailleurs pour dire qu’elle adorait les petits bruns.

Nous apprîmes ensuite, en rentrant de vacances et, bien que l’on dise toujours : "Ce qui se passe au club, reste au club", qu’elle refila une bonne "chaude-pisse" à son petit copain du moment.

Tu étais, finalement, une grosse salope dès ta majorité !

Hi hi hi.. Oui ! Finalement, oui, j’étais une grosse salope comme tu dis ! Hi hi hi…

Tu es retourné au club l’année suivante ?

Et là, ce fut grandiose ! Elle nous raconta que, l’année suivante, elle avait fait la connaissance, en boîte, d’un africain, fils de diplomate (comme tous les africains de l’époque qui allaient en fac), plutôt aisé, et qui lui avait proposé de l’emmener au Gabon.

Elle paya donc son billet d’avion et partit à l’aventure avec ce jeune étudiant qui avait son âge environ. Mais une fois à Libreville, une limousine les emmena à Omoi, une petite ville à l’est. Là, elle fut hébergée dans une très grande maison style coloniale. Il y avait un salon qui faisait presque toute la surface de la maison, avec une télévision énorme comme elle n’en avait jamais vu, et quatre gros canapés blancs en cuir qui se faisaient face, deux à deux.

À son arrivée, c’est le père du jeune homme qui la prit en charge et lui montra sa chambre qui se situait au premier étage.

Tu vois, les africains sont sympas... Comme moi ! Et donc, tu avais une chambre pour toi toute seule ? Tu ne dormais pas avec ton petit copain ?

Elle continua à raconter que, lors de son arrivée, le père avait préparé une robe aux couleurs du pays, le genre boubou et qu’il insista pour qu’elle l’essaye tout de suite, et sous ses yeux. Alors, elle s’était changée en gardant culotte et soutien-gorge devant l’homme qui avait bien une bonne cinquantaine d’années. Il l’aida, mais en profita tout de même pour la peloter.

Tu as couché avec le père, aussi ?

À la fin des vacances, oui.

OK, continue ton récit ma salope, tu vas nous faire bander et tu sais que, quand on a la gaule, toi, tu as beaucoup de plaisir !

Béatrice ne releva pas et reprit son monologue. Certes, sa voix était maintenant bizarre, car elle commençait sérieusement à être hors service, mais à la voir, on avait l’impression qu’elle revivait ces moments de façon intense. Le fameux et fumeux shit y aurait-il été pour quelque chose ?

Elle raconta que son petit ami lui fit visiter le village des femmes de son père, et il lui dit qu’elle pouvait, si elle voulait, essayer de vivre quelques jours dans ce village pour voir un peu. Mais elle refusa, trop peur de finir emprisonnée dans ce village.

Elle continua à raconter en parlant des sorties dans la réserve, en jeep, pour voir des animaux sauvages. Mais c’étaient surtout les soirées qu’elle avait gardées en mémoire. À partir de seize ou dix-sept heures, la nuit tombait et à vingt heures, il y avait l’apéritif dans le grand salon. Souvent avec le père et deux ou trois de ses femmes, jamais les mêmes. Quelques invités, parfois des blancs, le consul était venu, et quelques enfants du patriarche, des jeunes et des moins jeunes.

Elle raconta par le détail ce qu’elle avait ressenti à voir cette famille qui ne se tutoyait pas, seul le père, le chef de famille, dans toute sa splendeur, tutoyait qui bon lui semblait, enfants, femmes ou visiteurs.

Les repas arrivaient en général vers vingt-et-une heures, des serviteurs amenaient des petites tables qu’ils plaçaient devant les canapés, et ensuite amenaient des plats, et il fallait manger avec les doigts. Bien entendu, Béatrice trouvait cela dégoûtant que tout le monde pioche dans les plats avec ses doigts.

Chez nous, c’est pareil avec le couscous, tu sais…

Mais pourquoi vous ne mangez pas avec des assiettes et des couverts ? Vous en avez tout de même.

C’est la tradition, Béatrice, c’est la tradition ! Et tu n’as fait que manger, là-bas ?

Non, tous les jours, je visitais un autre village, mais au bout de trois ou quatre jours, j’en ai eu assez... Moi, je voulais aller à la plage !

Et Béatrice reprit son discourt en parlant des soirées, tard après le repas, quand les plats étaient retirés. Ça riait beaucoup dans le salon. Souvent le père s’était retiré, car il ne dormait pas dans la somptueuse villa, mais dans sa case traditionnelle. Quand le "chef", comme tout le monde l’appelait, était parti, la fête commençait réellement. Les femmes du chef partaient rejoindre leur village, ou parfois, la couche de leur mari et maître. Les enfants et invités avaient alors accès à la musique, et fréquemment des filles des villages alentour arrivaient. Ça dansait, ça riait, et ça copulait aussi dans les pièces du premier étage. Plusieurs fois, elle avait retrouvé des mecs avec une fille dans son propre lit.

Son petit ami attitré restait très proche d’elle pour lui éviter les turpitudes des soirées endiablées. Toutefois, elle avoua aux deux jeunes que, son petit ami étant parti à Libreville pour une inscription à la fac de médecine du lieu. Elle avait passé trois jours seule, et que là, elle s’était fait sauter en fin de soirée par les demi-frères. Bien entendu, une fois de plus, elle avait la bonne excuse d’avoir trop bu, mais là, on l’avait fait boire à ce qu’elle racontait.

Raconte-nous un peu comment se sont passées tes soirées ? Demanda à brûle-pourpoint Kader qui commençait à être de plus en plus excité par cette vieille salope qui avait, visiblement, bien vécu.

Et Béatrice continua. Sa première soirée seule avait presque mal commencer, les plats qui étaient présentés ne lui convenait pas et il n’y avait pas son ami pour demander une préparation spéciale pour elle. Aussi, elle ne mangea presque pas, mais but plusieurs whisky-coca. Quand la musique commença, un des frères la fit danser, puis elle dansa toute seule, d’elle-même, sur un rythme endiablé. Et son cavalier ne manquait pas de la ravitailler en boisson alcoolisée, bien entendu. Pour finir, elle voulut aller se coucher, car il se faisait tard et, surtout, elle commençait, tout comme ce soir d’ailleurs, à être bien allumée. Son cavalier l’emmena donc se coucher et, forcement, la déshabilla, se déshabilla, et la prit sur son lit, par-dessus la fine couette qui lui servait de couverture.

En fait, je m’aperçois que tu aimes ça, la grosse bite d’africain !

Bof… Les africains n’ont pas des bites plus grosses que les autres. Mais j’aime les bruns, les blacks…

Et là, le frère, comment t’a-t-il prise, ce soir-là ?

Je me souviens que ç’a commencé en douceur, mais après, il suivait le rythme de la musique qu’on entendait distinctement…

Raconte-moi ça en détail, ma pute.

Et Béatrice continua encore son récit. Elle racontait comment l’homme l’avait couchée sur le lit, délicatement, puis, sans autre préparatif, il l’avait prise et l’avait amenée à l’orgasme. Lui avait joui en longues saccades et, alors que la jeune femme de l’époque pensait que tout était fini, il recommença à la limer. D’abord doucement, puis plus vigoureusement, jusqu’à ressortir son sexe gluant de la grotte féminine pour le donner à sucer à la petite européenne. Béatrice avait été bonne fille comme toujours et avait sucé cette belle queue noire et droite – rien à voir avec les blacks et d’équerre – pendant un bon moment avant que l’homme ne lui jouisse dans la bouche. Puis, alors qu’elle pensait que cette fois, elle pourrait dormir, il la reprit, la fit s’installer à quatre pattes sur le lit, et la prit ainsi en levrette. Et quand elle eut son quatrième ou cinquième orgasme de la soirée, il lui prit l’anus, en douceur, ensuite, de plus en plus vite, jusqu’à lui donner encore deux ou trois orgasmes.

Tout cela lui sembla durer des heures, mais elle reconnut volontiers qu’elle n’avait alors plus la notion du temps.

Hé bien ! Et ton petit copain, lui, n’était pas au courant que tu le trompais avec ses propres frères ?

Demi-frères ! Rectifia la vieille avec la langue qui collait de plus en plus au palais.

Tu peux bien jouer sur les mots, en attendant, déjà toute jeune, tu étais une traînée qui se faisait sauter par n’importe qui, si je comprends bien !

Ho, ça va, hein ! Tu voulais savoir…

Oui, nous reprendrons ces histoires-là une autre fois, pour le moment, il se fait tard et tu m’as fait bander à me raconter ta vie de grosse salope dégénérée ! Alors viens me sucer la queue…

Et tout en disant cela, Kader s’était arque-bouté sur le canapé pour défaire sa braguette et faire glisser pantalon et caleçon, et arborait un sexe en parfaite érection.

Allez ma vieille pute, viens me pomper comme tu sais si bien le faire...

Et, en soufflant, comme à son habitude, quand il y avait à faire quelque chose qu’elle n’aimait pas ou n’avait pas envie de réaliser. Elle reposa au sol son pied, et se dirigea doucement, d’un pas peu sûr, vers le sexe de l’homme, dressé vers le plafond.

À genoux ma chérie. Lui ordonna encore Kader.

Et, encore en soufflant bruyamment, elle s’agenouilla et sans avoir besoin de nouvelles consignes, prit la queue en main et la porta à ses lèvres.

Kader se détendit instantanément et se laissa aller à goûter cette pipe faite avec la dextérité d’une connaisseuse.

La vioque pompa un bon quart d’heure, parfois encouragée par les mains de son mac qui lui imprimait le bon rythme. Parfois, se laissant aller à quelques fantaisies, comme passer sa langue sur la grosse veine bleue, ou gober un instant les grosses couilles bien pleines.

D’un coup, certainement conscient qu’il n’était pas loin de l’explosion finale, Kader repoussa un peu la mère, la retourna et la fit s’asseoir sur sa queue raide prête à exploser.

Béatrice prit directement le membre dur et chaud au fond de son colon. Le passage ne fut pas douloureux du tout, au contraire. Elle avait maintenant l’habitude de se faire dilater le sphincter et ça passait, à tout coup, comme une lettre à la poste.

Elle se sentit conduire par les mains puissantes du jeune homme. Bien que dans un état second, elle se mit très vite à jouir en poussant de grands cris aigus.

T’aimes ça ma vieille chiennasse ! Tu as de la chance qu’il soit si bon ton troufignon...

Et l’homme continua à limer encore quelques instants, avant d’exploser et de répandre sa semence en grosses saccades au fond des boyaux de la femme qui tremblait de tout son corps, sous la violence de l’orgasme.

Putain ! Qu’elle est bonne, tout de même, ta reume !

Ha ha ha… Je ne savais pas que j’avais une telle salope comme mère. Quelle chaudasse !

Tu sais quoi, comme elle me semble bien allumée et bien bouillante, je l’aurai bien emmenée faire quelques clients ce soir. Mais je suis trop crevé.

Mais tu voulais la faire tapiner où, au juste ?

Dans un bar à putes, c’est un de mes "oncles" qui en tient un… Pratique pour ce genre de putes !

On verra ça demain si tu veux bien, ce soir, elle m’a excitée la vioque, j’ai trop envie de la remplir de foutre…

OK mon pote, je vais te laisser, passe une bonne nuit avec notre pute.

Et, sur ces bonnes paroles, Kader se releva, remonta son pantalon et en ferma la braguette. Puis, il me serra la louche et se dirigea vers la porte d’entrée.

Va embrasser ton maquereau, maman ! Dis-je alors d’une voix se voulant tendre.

Comme dans un songe, Béatrice se releva et alla rejoindre le jeune homme qui venait de la sodomiser et de lui donner un tel orgasme qu’elle en avait encore les jambes qui tremblaient quelque peu. Elle se laissa embrasser et peloter une dernière fois avant que l’homme ne sorte. Elle referma la porte à clef tout de suite derrière lui.

Entre-temps, je m’étais levé, et j’ordonnai à ma mère :

Allez, maintenant au lit ma salope, avec tout ce que tu nous as raconté ce soir, j’ai une de ces gaules ! Je vais te remplir de foutre, ma chère "bébé".

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