Théo-rème de l’inceste Chapitre 22 : souvenirs de jeunesse
Ma vielle s’était endormie dans mes bras en m’embrassant, sa bouche pleine de mon foutre. Son visage tout barbouillé aussi. Et, finalement, s’était pissé dessus ! Je me dégageai et, une fois mis debout, j’allongeai ensuite le corps mou sur le canapé que venait aussi de libérer Kader. Puis, d’un commun accord avec mon pote, je retirai le sous-pull et la jupe. Elle restait nue à l’exception de ses bas et de son collier de ficelle à rôti avec deux capotes usagées et sales en guise de colifichets.
Ensuite, nous sortîmes pour aller faire notre petit business.
Ce n’est que vers dix-huit heures trente passées que nous rentrâmes, tous les deux, avec mon ami et complice. Nous nous rendîmes directement dans le salon voir si Béatrice dormait toujours. Et quand nous l’aperçûmes, j’allumai la lumière.
La vioque dormait toujours, nue ou presque, elle avait juste utilisé sa jupe pour se recouvrir un peu le ventre et la poitrine.
Je m’approchai très près de ma mère et la secouai doucement en lui susurrant à l’oreille :
– Hou, hou, maman, c’est ton fils chéri, réveille-toi… Il est presque sept heures…
Elle ouvrit les yeux doucement, avec une légère grimace due à la lumière du plafond.
– Ho ! J’ai dormi ! Et je n’ai pas été au bureau. Il ne fallait pas me laisser dormir.
– Mais c’est toi qui as insisté pour qu’on te laisse te reposer quelques minutes. J‘y peux rien, moi !
– Ce n’est pas vrai que tu as ramené l’autre tordu, encore !
– Ho, la vieille ! Tu veux que je t’apprenne la politesse à grands coups de ceinturon ?
Béatrice, qui avait eu quelques velléités premières, se calma rapidement car, elle savait que, malgré son jeune âge, ce fumier était assez pervers pour mettre à exécution ses menaces.
– Tu nous ferais ta tarte au thon, on a une petite faim. Et pendant que tu prépares le repas, je sers l’apéritif, d’accord maman ?
– Oui, mais, laisse-moi remettre quelque chose sur le dos.
– Tu peux mettre une nuisette, mais tu ne la fermeras pas et tu gardes tes bas. Je veux avoir un peu de spectacle pour dîner. Dit alors Kader d’une voix ferme et directive.
Et finalement, la température étant plutôt clémente, Béatrice resta nue, avec ses bas, les mules qu’elle avait enfilées pour ne pas salir ses pieds gainés et son collier de capotes, symbole de sa condition de putain.
Pendant que la vieille s’affairait à la cuisine devant ses fourneaux, nous, avec Kader, discutions à voix basse, en ayant pris bien soin de mettre la télévision de manière à couvrir notre conversation.
– D’accord alors, on la fait fumer à nouveau et ensuite, on lui fait raconter sa vie de salope, ça te va comme programme de la soirée ?
– Ouais ! Impec... On devrait bien se fendre la gueule…
– Je suis sûr que ç’a été une sacrée pétasse à faire chier les mecs, ça ! Dit encore Kader avec une petite moue de dégoût.
– Avec ce que j’ai déjà vu, je pense aussi que ma daronne a dû être une sacrée garce, voir une sacrée chienne du désert.
– C’est con que je n’aie pas de magnéto pour l’enregistrer.
– Attends ! J’ai un vieux truc à cassettes que mes parents m’ont filé quand j’étais gosse, fais-moi penser, tout à l’heure, d’aller le chercher.
– OK, bon, je vais aller voir l’autre salope et si elle est sage, elle aura droit de me faire une petite pipe.
– D’ac, moi, je reste là et prépare l’apéro...
Ensuite, comme je l’avais promis à ma mère, j’allai dans le bar du meuble de la salle à manger et ramenai la bouteille de whisky et celle de pastis. Puis, dans un deuxième voyage, des verres, un pour le pastis, deux pour le whisky.
Pendant ce temps, Kader était parti faire un petit tour à la cuisine voir sa pute. Il la trouva devant l’évier en train de faire un peu de vaisselle. Le son de la télé couvrait le bruit de sa venue, aussi alla-t-il directement se placer derrière elle et passa ses bras autour du corps frêle pour attraper les nichons lourds à pleines mains.
Béatrice sursauta et fit tomber le verre qu’elle avait en main dans le bac plein d’eau. Par chance, il ne se cassa pas. Une fois la surprise passée, elle se surprit à sentir son vagin s’humidifier rapidement sous les caresses, certes vigoureuses et inattendues, qu’elle recevait. Et ce fut presque une petite inondation quand des doigts lui pincèrent les tétons, alors qu’une langue tiède lui donnait des frissons en passant dans son cou. Elle se persuadait encore que c’était son propre fils qui venait ainsi flatter sa féminité offerte. Mais elle craignait tout de même que ce soit ce diable de jeune salaud qui la faisait chanter, qui voulait encore profiter de ses charmes.
Comme s’il avait entendu ses pensées, Kader, la rassura tout de suite sur sa présence en lui susurrant à l’oreille :
– C’est ton homme qui est là…
– Salaud ! Que tu m’humilies devant mon propre fils, ne te suffit pas ?
– Allez, calme-toi ma pute, je ne suis pas un gros méchant, faut juste que tu payes tes frasques à leur juste valeur.
– Tu es surtout un maître chanteur, oui !
– Oui... Et toi une vieille connasse qui s’imaginait qu’elle pouvait faire tout et n’importe quoi sans conséquence pour elle…
– Je crois que j’ai eu ma leçon, tu pourrais me laisser maintenant.
– Non, pas encore, mais pour le moment, une petite pipe, les mains dans le dos, ça m’irait bien.
Et dans un mouvement précis, il retourna Béatrice et la fit se mettre à genoux devant l’évier. Puis il ouvrit sa braguette et sortit son chibre qu’il donna tout de suite à la femme pour qu’elle le prenne en bouche.
Ma vieille commençait à être rodée à faire des pipes, n’importe quand et n’importe où, aussi, elle prit le membre déjà un peu dressé en bouche et le suça. Puis, dans un réflexe, elle mit sa main droite encore toute mouillée d’eau de vaisselle.
– Non ! Sans les mains, j’ai dit, les mains derrière le dos.
Sans rien dire, la vieille obéit tout de suite. De toute façon, l’odeur de sa main ne lui disait rien qui vaille Et elle n’aurait pas aimé avoir ce goût en bouche. Aussi, de ne pas toucher à cette bite ne lui posait aucun souci.
La fougue de la jeunesse et une bonne condition physique, malgré les excès qu’il faisait, donnèrent à mon pote une bonne gaule en très peu de temps et, finalement, il jouit assez vite. Ensuite, il déversa tout son foutre dans la bouche de sa pute qui n’en perdit pas une goutte.
Puis, sans dire merci, ni avoir aucun geste de tendresse envers celle qui venait tout de même de lui donner du plaisir, il dit :
– Ha oui, au fait, donne-moi un bol avec des glaçons.
Béatrice se remit debout, ouvrit le congélateur et sortit un bac à glace déjà à moitié vide. Elle prit un bol dans le meuble en revenant du frigo et versa les glaçons dans le bol qu’elle tendit pour finir au jeune homme.
Kader vint me rejoindre avec un grand sourire, en me fixant, il me dit :
– Finalement, ta vioque, elle est top ! Je lui demande une pipe, elle la fait gentiment tout de suite, je me demande combien de femmes mariées seraient aussi serviables ?
– Je n’en sais rien, et le mariage, ce n’est pas un truc d’actualité, ça...
Je repensai, instantanément, à Laura, cette salope qui devait se faire son voisin, elle aussi, une grosse pute, en fait, rien de plus qu’une grosse pute.
Bientôt ma mère vint nous rejoindre, polis comme nous étions, nous avions attendu qu’elle finisse pour servir l’apéritif, même si nous savions qui allait prendre quoi. Nous en avions toutefois profité pour rouler trois pétards du super-shit de mon pote pour plus tard dans la soirée.
Elle avait une sacrée touche, la vieille ! Les mains blanchies par la farine pour faire la pâte avaient laissé des traces blanches sur ses hanches. Ses mules la grandissaient un peu et son superbe collier aux deux capotes salies par son anus qui étaient là en décoration, ça valait tous les tableaux du monde !
– Prends le fauteuil et installe-le devant nous, qu’on puisse avoir une jolie vue pour l’apéritif, ma salope.
Sans relever l’insulte, Béatrice poussa le fauteuil bleu, style crapaud, devant la table basse, bien en face de moi, donc légèrement décalée par rapport à mon complice. Elle s’installa confortablement et croisa ses jambes machinalement, comme elle le faisait quand elle était en soirée.
Kader lança l’attaque dès ce moment :
– Je suis sûr qu’une nana comme toi a dû en avoir des mecs, tu devais être une sacrée pouliche quand tu étais encore jeune.
J’aimai bien la formulation avec le "encore" ! Ça appuyait bien, sur le fait, qu’aujourd’hui, ce n’était plus qu’une "vieille salope".
Au début, ma mère ne répondit pas, se doutant d’un piège si elle rentrait dans ce jeu-là.
– Allez, on est assez proche, tu peux bien me dire comment tu branchais les mecs, dans le temps ?
– Allez, on trinque ? Finit par répondre Béatrice.
Nous prîmes donc tous trois l’apéritif, mon pote ne reposa pas de questions gênantes et moi, je flattai ma mère qui, après trois pastis, commençait à être chaude et à avoir la langue qui collait au palais.
Quand Béatrice se leva pour aller chercher les assiettes et les dresser rapidement sur la table basse, elle eut un peu de mal à marcher droit. Pas totalement cassée, mais tout de même, bien fêlée.
La tarte au thon fut délicieuse, un peu de vin, et le repas se termina sur une petite glace, tout ce qu’il y a de plus aimable comme dînette. Nous nous mîmes même à trois pour desservir la table et apporter un petit café pour tout le monde.
Connaissant les petits penchants de ma vieille, j’allai encore chercher un verre à cognac et la bouteille du même produit. Je servis un fond de verre, puis j’allai faire un petit bisou, mais sur la bouche, à ma génitrice, sous le regard amusé de mon pote.
Un premier pétard fut allumé et, bien entendu, largement offert à Béatrice qui commençait, là aussi, à savoir tirer sur le calumet de la paix !
– Alors, maintenant, tu veux me raconter ta vie de jeune pétasse, ma chérie ? Demanda Kader d’une voix qui se voulait sympathique.
– Oh, tu m’agaces avec tes questions à la con. Commença à aboyer la vioque qui ne se contrôlait plus totalement.
– Attention aux photos, ma chérie... Une fois de plus la voix était douce.
– J’en ai marre de ce chantage pourri !
– Il ne fallait pas être une grosse pute qui fait n’importe quoi, connasse ! Cette fois, la voix était dure et sèche. Alors ? Raconte-moi ta première sortie en boite, tiens.
Le ton, l’alcool et la drogue avait raison de la raison de la pauvre femme. Aussi, elle commença à balbutier quelques syllabes inintelligibles.
– Non ! Comment ça s’est passé la première fois que tu es sortie en boite, Béatrice ?
– Ben, c’était avec une copine de lycée, quand je venais de passer mon BEP. Nous sommes allées à la Baronnière, rien de bien spécial.
– Raconte, tu as dû te faire draguer au moins ?
– Hi, hi, hi, oui… On a eu du succès ! On est rentrées toutes les deux avec un mec, en voiture.
– Et alors ?
– Ben, mon petit copain, un beau petit brun, m’a fait le coup de la panne ! Je m’y attendais, remarque...
– Et donc, il s’est arrêté ? Où ?
– Sur un parking au bord de la nationale…
– Et donc... Que s’est-il passé ?
– Hé bien, le mec m’a presque sauté dessus et m’a embrassé, mais je ne voulais plus, je voulais rentrer chez moi, enfin, chez mes parents.
Là, elle reprit une rasade de cognac avant de poursuivre :
– Alors ?
– Il a déboutonné mon chemisier, mais moi, je lui disais non...
– Tu t’es défendue ? Tu lui as donné des coups pour qu’il arrête ?
– Non, je lui ai dit que je n’étais pas d’accord. Mais il a continué et ensuite m’a retiré mon soutien-gorge.
– Et tu n’étais pas d’accord ! Mais tu t’es laissé faire alors ?
– Oui, on avait un peu trop picolé avec ma copine, j’étais un peu dans les vapes !
– Déjà à l’époque, donc…
– Mais moi, je ne voulais pas !
– Et alors ?
– Hé bien, il m’embrassait en me tripotant les seins, puis il a mis sa main dans mon pantalon... Et il a fini par ouvrir ma braguette et me mettre un doigt dans la chatte, mais je ne voulais toujours pas.
Moi, j’écoutai très attentivement, en fait, je commençai surtout à comprendre que la vieille avait toujours été une nana qui picole pour sortir, le genre : « je suis bourrée, ce n’est pas de ma faute ce qui m’arrive ».
Kader continua son interrogatoire :
– Et alors ? Que s’est-il passé ? Ça te plaisait d’avoir un doigt dans la chatte ?
– Oui, j’étais vierge et je ne comprenais pas comment un doigt pouvait rentrer dans mon minou. J’avais toujours entendu dire qu’une vierge était fermée et rien ne pouvais entrer, mais ce n’est pas comme ça que ça marche…
– OK, le cours d’anatomie pour plus tard, là, le mec, qu’est-ce qu’il a fait ?
– Ben, il a tout fait pour me retirer mon jeans et j’ai fini cul nu dans sa voiture, j’avais juste gardé mes petites socquettes et lui, il me tripotait sans cesse, même, et surtout, quand je lui disais d’arrêter.
– Il a fini par te sauter ?
– Ouais… Il a sorti sa bite de son pantalon, c’était la première fois que j’en voyais une d’aussi près et me l’a mise dans la bouche, j’ai fait ma première pipe ce jour-là.
– Et alors ? Comment s’est passé ton dépucelage ?
– En fait, j’avais si peur que je gardais trop les cuisses serrées, alors le type m’a retourné, je ne sais pas comment et il m’a enculée, j’ai gardé encore quelque temps mon pucelage !
– Comme les beurettes en somme... Enculée pour rester vierge !
– Ha bon !
– Mets-toi debout et raconte-nous en détail comment il t’a ouvert le cul pour la première fois, ma pute…
Avec une sorte de sourire un peu niais, qu’elle arborait parfois, quand elle était trop imbibée, la vieille se leva de son fauteuil, se mit debout comme demandé.
– Les mains sur la tête, que ça remonte un peu tes vieilles mamelles tombantes.
Une fois de plus, Béatrice exécuta l’ordre qui venait de lui être donné. Et elle se retrouva au milieu de la pièce avec les mains sur la tête.
Je me levai alors, m’approchai de ma chère maman, retournai le fauteuil de telle façon qu’elle puisse mettre un pied sur l’assise. Je la guidai donc dans cette position, c'est-à-dire, debout, une jambe repliée, le pied sur le fauteuil, les mains sur la tête, elle faisait face au canapé. L’opération terminée, je retournai dans le canapé m’asseoir pour écouter la suite des turpitudes de ma vieille salope de mère.
– Bien, alors, raconte-nous ta première sodomie ! Le ton de Kader était strict et sans possibilité de discussion.
– Hé bien, le type a ouvert ma portière, m’a poussé dehors, puis est sorti de son côté et est venu me rejoindre. Le temps que je percute un peu, il était sur moi, avait rouvert la portière et m’avait pliée en deux en avant, je ne pouvais faire autrement que de me tenir au siège passager pour éviter de tomber.
– Bien… Et donc ?
– Je serrais tellement les cuisses qu’il n’a pas pu me pénétrer le vagin, mais d’un coup, j’ai senti comme une grande brûlure, il m’avait pénétrée par l’anus !
– Ha... Ta première sodo a été douloureuse et pourtant, tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle, n’est pas ma pute ?
– Oui…
– Continue à raconter, salope, tu nous fais bander…
– Ensuite le mec qui devait bien avoir vingt-deux, vingt-trois ans, m’a baisée par le cul pendant un assez long moment et j’ai aimé finalement, j’ai joui trois fois au moins !
– Et ça s’est fini comment cette histoire ?
– Le mec, quand il a fini, il a profité que je sois partie pisser, pour jeter mes fringues et se barrer, ce salaud !
– Tu es rentrée comment alors ?
– Le copain qui ramenait ma copine s’est arrêté pour me prendre. Moi, je faisais du stop, mais c’est vrai qu’à six heures du matin, le dimanche, il n’y a pas beaucoup de monde.
– Et ta copine, elle était aussi passée à la casserole ?
– Oui, mais elle, elle n’était plus vierge depuis longtemps !
– Tu lui as raconté ?
– Oui, c’est surtout son copain qui posait des questions. Il voulait savoir si j’avais été violée, mais j’ai dit que non, même si j’avais eu un peu mal au début.
– C’est tout ce que tu as dit ?
– Non, j’ai raconté aussi comment ça s’était passé, ça faisait un peu rire ma copine, elle, ça faisait longtemps aussi qu’elle prenait dans les fesses, pour éviter de tomber enceinte... Disait-elle.
– Hé bien ! Allez, tu peux te rasseoir un peu, on va fumer maintenant.
J’allumai le deuxième joint de la soirée, et commençai, par ma daronne, à le faire tourner.
Bien entendu, nous prenions bien soin de ne pas trop tirer sur le calumet de la paix et de laisser Béatrice se défoncer toute seule.
Ma vieille profita encore de cette petite pause pour se servir, en plus, une bonne rasade de cognac. Le mélange aurait assommé un cheval, mais elle, à part quelques petites difficultés d’élocution, restait encore dans la soirée, pour le moment.
– Bon, allez, on reprend… Reprends ta place, ma pute. Ordonna Kader, quand la vieille eut fini son verre.
Je profitai de ce moment pour me lever et aller dans la chambre chercher mon magnétophone. Je redescendis tout de suite et mis l’appareil en route. Puis je le posai sur la table de la salle à manger, qui était ouverte sur le salon et je revins m’installer sur le canapé.
Ma mère, qui ne s’était aperçu de rien, reprit son récit :
– Le mec de ma copine nous a fait des avances pour qu’on se retrouve tous les trois chez lui. Mais là, vraiment, je n’en pouvais plus, et, quand on est arrivé en ville, comme il passait tout près de chez moi, je lui ai demandé de s’arrêter, prétextant une grosse envie de pisser et me faufilai dans les ruelles pour rentrer chez moi.
– T’es une sacrée futée toi ! Kader fit une sorte de grimace pour appuyer son propos.
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