Théo-rème de l’inceste Chapitre 21 : le pétard

 

Finalement, j’arrivai à la maison à onze heures trente, je pris le téléphone et appelai Kader.

Je racontai, succinctement, les dernières nouvelles et ce que je venais de faire en allant chercher les clefs. Mon pote eut alors une idée de génie :

Tu as réellement perdu tes clefs ?

Bien sûr que non ! Mais Béatrice croit tout ce que je lui raconte... Pourquoi cette question ?

Je te propose de me refiler le double, je te paye un autre double, mais imagine un client qui vienne à l’improviste voir la pute ! Avec les clefs ! Ensuite, elle aura tout le temps peur que quelqu’un vienne à tout moment.

Ouais, ça peut être marrant ton truc... Allez... On se fait ça !

J’ai envie de venir vérifier qu’elle porte bien son collier... Même si je sais qu’elle le porte puisque tu as encore vérifié tout à l’heure, mais comme mise en condition, ça peut être pas mal, qu’en penses-tu ?

OK, mais alors fais vite à venir et planque ta caisse pour que la vieille ne sache pas que tu es là.

Ça baigne, j’arrive.

Je n’eus pas longtemps à attendre, un gros quart d’heure plus tard, Kader frappait à la porte d’entrée et entrait, finalement, comme s’il était chez lui.

Hé ! T’es chez moi !

Ouais... Excuse man.

Ouais... N’déconne pas, là, pas de cinoche, la vieille n’est pas encore là !

OK, respect, je ferai gaffe… En attendant, je viens de toucher une beue de ouf ! Coupée avec de l’opium, ça déménage, on va faire fumer un peu ta reume !

T’es vraiment barré, brother... Mais ouais, on va se taper ce délire-là !

Nous allâmes dans le salon, et Kader commença à faire un pétard sur la petite table basse. Il avait à peine fini de rouler que la porte d’entrée s’ouvrit, et que ma vioque s’afficha dans l’embrasure de la porte du salon.

Oh non ! Pas lui !

Ta gueule pétasse, je viens voir si tu portes bien ton collier de prostituée, car sinon, je t’offre un voyage en Europe de l’Est...

Le ton était tellement dur, que Béatrice resta comme figée et se laissa faire. Sans aucun geste de défense, quand mon pote, après s’être levé du canapé et dirigé vers la porte du salon, se planta devant elle et lui souleva son sous-pull.

Bien, les nichons à l’air ! Très bien vieille chienne, tu es chaude ?

Comme Béatrice ne répondait pas, mon pote lui prit d’un coup les tétons entre ses doigts, serra fort et les secoua en répétant :

Tu es en chaleur que tu ne mets pas de soutif, vieille truie ?

Non, c’est Théo qui…

Ha... C’est ton fils qui te dit maintenant comment t’habiller, très bien...

Puis, il lâcha les tétons et revint s’asseoir sur le canapé.

Tu vois maman chérie, j’ai bien fait de vérifier que tu portais ton collier. On aurait été bien si tu avais fait ta mauvaise tête !

Ouais, vous êtes de mèche plutôt, c’est ça, oui !

Allez maman, prends-toi un pastis, la matinée a été assez dure comme ça.

Elle remit en place son sous-pull et posa son sac sur la table de la salle à manger qui était contiguë au salon, puis sortit pour la cuisine. J’entendis nettement le bruit de bouteille et vu ma mère revenir dans le salon, avec son grand verre rempli d’un liquide jaune clair.

Viens t’asseoir à côté de moi… Tu veux toujours savoir ce que je fume, alors regarde…

Et pendant que je disais cela, Kader allumait le joint qu’il venait de faire. Il tira une profonde bouffée, puis me le passa. Et, alors qu’à mon tour, je tirai sur le calumet de la paix, en rejetant la fumée, il annonça :

Ho putain... C’est de la bonne !

Pendant ce temps-là, ma daronne avait posé son verre de pastis sur la table basse et était venue se coller à moi, cherchant visiblement un réconfort et une protection.

Je recrachai, à mon tour, les restes de vapeurs refroidis, puis je pris ma mère par les épaules, tendrement, et lui dis doucement :

Autant que tu goûtes du bon shit, tiens… Tu tires une grosse taffe, doucement, et tu retiens la fumée aussi longtemps que tu peux dans tes poumons.

Bien que fumeuse, la vioque eut, comme tout le monde, un peu de mal quand elle expira la fumée après l’avoir gardée un bon moment. Une légère toux, mais rien de sérieux. Le pétard, lui, avait déjà fait le tour et je lui proposai à nouveau de tirer une bouffée aussitôt qu’elle venait d’expirer.

Un peu surprenant, mais rien de bien grave. Finalement, ce fameux shit faisait bien plus peur aux parents qu’il ne procurait de réelles sensations, se dit Béatrice. Aussi, elle n’hésita pas à tirer une nouvelle longue et profonde bouffée. Puis, elle me rendit le pétard, alors qu’elle gardait toujours la fumée dans ses poumons.

Je serrai donc ma mère contre moi en même temps que je me tournai vers mon pote, pour lui passer le joint, mais aussi pour lui faire un clin d’œil complice.

Kader me comprit tout de suite et fit mine de tirer une taffe et me rendit le pétard. Je fis de même, tirai à peine sur le bédo, puis le tendis à ma mère que je tenais toujours serrée contre moi.

Béatrice commença par expirer la fumée en prenant le joint tendu, puis tira une nouvelle fois une grosse taffe. Elle me redonna le bédo, mais je lui laissai en main en lui disant tendrement :

Non, garde-le, je suis si heureux que ça te plaise…

Sans se poser trop de questions, la vieille tira encore une grosse bouffée et, alors qu’elle retenait sa respiration, se pencha en avant pour attraper son verre de pastis. Une fois qu’elle eut expiré la fumée, elle prit une rasade d’alcool et dit :

Ouais… C’est bon à fumer, mais ça n’a pas de grands effets... Par contre, ça assèche terriblement la gorge.

Nous, on boit souvent un coup de flotte en fumant…

Et hop, Béatrice retira une nouvelle fois sur le pétard, longuement, comme fière de montrer qu’elle pouvait fumer comme les jeunes.

Je l’encourageai en la serrant contre moi doucement.

Elle tira encore une fois sur le bédo, toujours longuement, consumant une bonne partie du joint à chaque fois, puis le passa à Kader qui le prit et tira, à son tour, une taffe.

Quand mon pote me passa le reste de la "cigarette qui fait rire", je dis à ma mère, avant de tirer une longue taffe :

Je vais t’apprendre quelque chose de bien cool !

Et, cette fois, au lieu de lui passer le pétard, je la serrai encore plus fort en me tournant vers elle et lui roulai une bonne pelle. En même temps que ma langue fouillait sa bouche, j’expulsai le reste de fumée dans la bouche de ma mère qui l’inspira dans la foulée.

Que c’est beau une maman qui embrasse amoureusement son fils ! Tu te rends compte, chérie, Théo est sorti de ton vagin et maintenant, le voilà qui rentre dans ta bouche… Tu ne veux pas qu’il rentre autre chose dans ta bouche de vieille salope ? Dis, ma morue ? Tu n’as pas envie d’une bonne bite ?

La fin de la diatribe de Kader coupa, à ma vioque, toute envie de poursuivre ce doux et sensuel baiser, si particulier. Elle toussa un peu en se détachant de moi, commença à grommeler en reprenant son verre et en le portant à ses lèvres.

Quoi ? Tu n’es pas d’accord avec moi, ma pute ? Tu n’as pas envie de la pine de ton fiston dans la bouche ?

Ho, ça va, hein !

Ça, c’était l’expression de ma vieille quand elle commençait à ne plus contrôler ses nerfs, souvent sous le coup d’un excès d’alcool. Là, m’était d’avis que le shit coupé à l’opium y était aussi pour quelque chose. Je laissai Kader mener la danse, me doutant bien de ce qu’il avait envie d’infliger à sa pute !

Bon, la morue ! Cette fois, la voix de Kader était forte et dure. Viens devant moi tout de suite, n’oublie pas que tu es ma pute et que tu dois obéir, connasse.

Béatrice se leva, un peu comme un automate, sans entrain, mais elle obéit et vint de l’autre côté de la table basse, pratiquement devant Kader.

Ce dernier s’arque-bouta sur le canapé pour ouvrir sa braguette et faire glisser son jeans et son caleçon. Puis, les vêtements à mi-cuisses, il ordonna encore :

À genoux et suce-moi la bite, vieille pute...

Et comme ça n’allait pas assez vite à son goût, il se redressa rapidement, attrapa les deux mains de ma vieille et tira sans ménagement pour qu’elle se retrouve à genoux. Là, il lui retira le pull rapidement, sans aucun respect, ni pour le vêtement, ni pour la femme. Puis il attrapa la nuque et, alors qu’il se remettait bien en arrière dans le canapé, plaqua le visage de sa pute sur son sexe.

Bouffe-moi la queue, connasse.

Béatrice ouvrit la bouche et avala de force le membre déjà bien dressé, sans être dans son état complet d’érection.

Tiens, si tu veux pousser la table et baisser ton froc, on va se faire sucer en même temps, OK ?

Ouais ça marche mon ami...

Et, après avoir poussé la table basse du pied, doucement, sans renverser le verre de pastis, jusqu’à ce qu’elle soit au milieu de pièce. Je défis ma braguette, me mis debout et baissai pantalon et caleçon ensemble jusqu’à mi-mollets. Puis je m’installai à nouveau dans le canapé, toujours à côté de mon pote et attendis alors qu’il donne le feu vert à la vieille pour qu’elle me suce.

Bien, grognasse, suce Théo maintenant…

Elle ne fit aucune difficulté à me prendre dans sa bouche et à commencer à me branler en même temps qu’elle me suçait délicatement la queue. Très vite, et malgré la nuit de folie, je bandai comme un cerf.

C’est bien, vieille chienne, tu suces ton fils… Tu imagines si ta propre mère savait ça ?

Mais maintenant, Béatrice n’était plus tout à fait là et les paroles de son maquereau lui passaient largement au-dessus de la tête. Elle suçait avec un plaisir tout nouveau le membre viril de son fils qu’elle aimait tant, même si parfois, c’était un petit démon, elle se sentait remplie d’amour pour lui.

T’es une bonne suceuse, maman, suce un peu ton mac de nouveau.

Sans se presser, un peu comme dans un vieux film au ralenti, la vieille quitta mon sexe pour se déplacer un peu et engloutir le gros sexe de mon pote dans sa bouche. Le produit de Kader avait un effet terrible et, alors même, que je n’avais tiré que quelques petites taffes, je me sentais vraiment bien, comme dans un rêve.

Je regardai ma mère, ma génitrice, celle qui m’avait mis au monde, sucer une bonne grosse queue. Je me disais avec un léger rire intérieur, c’est normal, elle a une telle grande gueule, qu’elle peut sucer du gros calibre !

Mon ami semblait lui aussi un peu dans les vapes. Mais il bandait maintenant tout à fait. Les yeux mi-clos, il me regarda avec un sourire béat pendant de longues secondes, puis articula :

Ta reume est réellement une pipeuse de première ! Si je ne te connaissais pas, je me dirais qu’elle a fait la pute étant plus jeune, cette vieille chiennasse.

Remarque, moi, je ne sais pas ce qu’elle a pu faire plus jeune… Va savoir avec sa vie décousue de foldingue de la bite.

On va lui demander… Mais d’abord, je me finis dans sa bouche !

Et, joignant le geste à la parole, Kader emprisonna la tête de ma vioque entre ses mains et lui imprima une cadence bien plus rapide avec un mouvement bien plus ample. Son membre sortait presque entièrement de la bouche maternelle avant d’être à nouveau englouti et disparaître totalement.

Béatrice commençait à aimer cette façon de faire, elle sentait les mains jeunes et puissantes qui la forçaient dans sa manière de faire une pipe, mais finalement, elle aimait. Et, quoiqu’elle soit dans un état second, elle sentait que ce jeune type allait jouir, elle aimait faire jouir les hommes et faire jouir des hommes aussi jeunes, lui procurait un plaisir indicible. Elle sentait sa chatte brûlante fuir d’un liquide gluant, et elle avait maintenant envie de se faire prendre comme une chienne.

Se servir de la tête de cette pute fit que le jeune homme sentit bientôt la sève monter. La sensation, filtrée par les effets de son shit spécial, était divine, douce, mais terriblement excitante. Il avait l’impression qu’il sentait chaque centimètre carré de sa peau, surtout la peau de son sexe et de ses testicules et la bouche de cette sacrée bonne femme. À cet instant précis, il l’aurait même épousée pour pouvoir connaître encore et encore ces sensations si particulières.

La tête lui tournait de plus en plus, mais cette bonne queue dans sa bouche, l’aide qu’elle avait pour les mouvements, lui donnaient encore plus envie de recevoir de la semence de jeune homme en elle. Elle voulait du foutre, dans sa bouche, dans sa chatte ou dans son cul, peu importait, mais elle voulait du sperme chaud, elle voulait se faire remplir, cette envie lui était jusqu’à lors inconnue, mais là, elle devenait impérative.

Mais bientôt la nature reprit ses droits, et, ne pouvant plus se retenir, Kader se contracta, plaqua le visage de sa pute contre son pubis et ouvrit ses écluses en grand. Il déversa son jus de couilles bien chaud dans la douce bouche qui le pompait, tout au fond de la gorge. Il avait l’impression de pouvoir suivre chaque goutte de son sperme tout au long de sa verge toujours bien raide.

Je jubilai à regarder mon pote faire des grimaces en jouissant. Ma daronne, quant à elle, avait l’air d’être aux anges ! Elle qui faisait si souvent du cinoche pour tout et n’importe quoi, finalement, elle aurait peut-être dû fumer bien plus tôt, elle aurait été moins conne !

À mon tour…

Ouais, vas-y, trop bonne, cette enculée !

Allez, maman chérie, viens me finir moi aussi…

J’avais bien appuyé sur "maman chérie", tout en lui prenant la tête et la guidant vers mon sexe fièrement tendu. Son nouveau produit était réellement d’enfer, il me semble qu’il endormait moins que le shit classique, ou alors était-ce le fait que je n’avais pas tiré beaucoup sur le pétard ? Toujours est-il que j’avais alors une de ces gaules !

Béatrice se déplaça sur ses genoux pour venir entre mes cuisses, et prit tout de suite ma tige droite dans sa bouche chaude, bouillante serait d’ailleurs plus juste.

Ha, bébé ! Ta bouche me brûle la bite !

Elle ressortit, instantanément, mon sexe de ses lèvres et me demanda d’une voix pâteuse :

Je t’ai fait mal, mon chéri ?

Non, tu es bouillante, j’adore… Mais bois un coup de pastis frais avant de me sucer à nouveau.

Ma mère ne se fit pas prier, se tourna vers la table basse, allongea le bras, s’empara du verre qu’elle porta à ses lèvres et but une bonne moitié du verre d’un trait. Puis, elle reposa doucement le verre, et revint vers moi avant de reprendre sa fellation gourmande.

Cette fois, l’antre dans lequel plongeait ma queue était frais ! Mais ce n’était que plus excitant encore. Je pris à mon tour la tête blonde entre mes mains et me branlai avec cette ventouse chaude à l’intérieur frais. Les pipes de ma mère avaient un goût particulier que, bien plus tard, je regretterai et ne retrouverai jamais plus.

Une nouvelle fois, Béatrice se laissa conduire dans ses mouvements. Non seulement elle aimait de plus en plus cette façon de faire. Une méthode un peu de feignante, il est vrai. Mais en plus, là, elle avait à nouveau le sexe de son enfant chéri. Son corps réclamait la semence de ce fils, tant aimé et, parfois, si démoniaque.

Je ne mis pas beaucoup de temps à sentir la purée monter. J’accélérai alors le mouvement et très vite, ensuite, je lâchai mes jets. Mon sperme était un peu plus liquide, faut dire, avec ce que j’avais déjà donné la nuit précédente.

Cette fois, la vioque, déjà à moitié ivre et passablement défoncée, mis un peu partout du foutre chaud qu’elle recevait. Elle avait du mal à coordonner ses mouvements, toutefois, elle resta à genoux jusqu’à ce que mes spasmes, fruits de mon plaisir intense, se calment. Là, elle se redressa doucement, puis, une fois presque debout, elle s’écroula.

Littéralement, ma mère me tombait dans les bras !

Mais elle n’en resta pas là. D’un seul coup, elle plongea sa langue gluante de foutre dans ma bouche, et me donna mon premier baiser indien.

J’étais totalement surpris et, pour la première fois de ma vie, je goûtai cet étonnant mélange, pastis, sperme au goût de noisette et un arrière-goût de fumée. Finalement, excité par l’instant, je rendis le baiser à ma chère maman en fouillant sa bouche de ma langue, comme pour aller encore plus loin dans la luxure.

Béatrice embrassait son fils à pleine bouche, elle sentait aussi sa chatte s’ouvrir toute seule et un liquide chaud s’en échapper. Folle de stupre, ses nerfs la lâchaient, elle ne pouvait plus se retenir et était en train de se pisser dessus. Puis, d’un coup, un grand trou noir.

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