Théo-rème de l’inceste Chapitre 20 : les ablutions matinales

 

Je fus réveillé par le bruit du camion de ramassage d’ordures.

Le temps de faire surface, cela prit quelques secondes, je me remémorai la soirée passée, et repoussai doucement Béatrice sur le côté. Il faisait plutôt chaud dans la pièce, je me découvris donc, puis découvris ma mère qui ne se réveilla pas. J’allumai ma lampe de chevet.

Elle dormait toujours d’un profond sommeil. Allongée maintenant sur le dos, sa poitrine se soulevait au rythme lent et profond de sa respiration. Ses seins s’écartaient et partaient chacun de leur côté.

Je pris son genou et pris soin de lui plier la jambe droite et de la maintenir écartée. J’observai alors la chatte dans laquelle j’avais joui si fort la veille, un filet d’un jus épais et blanchâtre commença à couler. Le collier de capotes usagées autour du cou donnait un air étrange à la scène. Je décidai de prendre quelques photos.

Je sortis de la chambre et allai dans le salon récupérer mon appareil que j’avais laissé. Je le mis en route et revins dans la chambre. Je me mis à côté du lit, à droite, allumai la lampe de chevet de la vieille et pris une première photo.

La chatte entrouverte avait bâillé un peu plus et l’espèce de sauce blanchâtre suintait de plus belle. Je fis deux autres photos, puis repliai, à son tour, la deuxième jambe. Je les écartai du mieux que je pus, sans forcer.

La vieille finit par se réveiller et commença, bien entendu, par ronchonner.

C’est quoi ce bordel ?

Je prends des photos, ma salope, j’adore voir ta chatte, pleine de foutre, qui fuit...

Mais ça ne va pas, non.

Et se disant, elle referma ses cuisses.

Retourne-toi que je puisse bien voir ton trou du cul ! Ordonnai-je, alors, l’appareil photo toujours en main.

Ho, ça va, hein ! Laisse-moi dormir…

Bon la pute, tu ne te souviens déjà plus d’hier, des deux macs qui sont prêts à t’envoyer en Europe de l’Est pour un petit stage ? Alors, tu fais ce que je te dis, point barre !

J’m’en fous, de toute façon je vais aller porter plainte…

Bonne idée, ensuite, rappelle-toi un peu des mots de Kader, Mamie, ton frère, ta sœur, tes collègues, Maxime, tout le monde sera au courant de tes frasques imbéciles de petite fille gâtée !

Oh ça va... Hein !

Bon, mets-toi sur le ventre, le cul bien relevé, que je voie ton trou de vieille pute… Et ferme ta grande gueule !

En soufflant, comme une baleine qui revient du fond de l’océan, ma vioque se mit pourtant sur le ventre.

Je lui imposai encore :

Tiens tes fesses à deux mains et écarte-les bien.

Là encore, bien que soufflant, elle obéit et finit par me montrer son anus encore ouvert du traitement que je lui avais infligé la veille au soir.

Je pris encore deux photos, puis, bon prince, je lui dis d’un ton calme et conciliant :

Lève-toi tranquillement, je vais prendre ma douche… Ha oui ! Tu seras gentille de rester toute nue pour me faire mon petit déjeuner, merci.

Puis je sortis de la chambre pour aller dans ma chambre, planquer l’appareil photo et prendre mes affaires pour après la douche. Je trouvai que d’être habillé alors que la vieille était nue avait quelque chose d’encore plus humiliant. Mais elle semblait avoir l’habitude de ce genre d’humiliation. Je pensai alors qu’elle devait être dans des situations similaires bien souvent et en avoir l’habitude. Après tout, je ne connaissais que peu la vie dissolue de ma mère. Ce n’était que, très récemment, que je m’étais aperçu de ses frasques, mais je me doutai bien qu’elle avait dû vivre bien d’autres turpitudes par le passé. Il faudra que je trouve le moyen de connaître ce passé, je me promis alors d’y réfléchir à tête reposée.

Entre-temps, Béatrice s’était levée et avait commencé à faire le café et sortir le beurre et la confiture. Du pain, précuit, finissait de cuir dans le four.

Je descendis de ma chambre, comme à mon habitude, les marches deux à deux. Et arrivai dans la pièce. Je stoppai en bas de l’escalier et vis Béatrice en train de faire un peu de vaisselle. Je lui intimai alors :

Tourne-toi vers moi, "bébé".

Béatrice fit un quart de tour à gauche et me regarda avec un air stupéfait.

Impec ! Tu es bien obéissante, tu gardes bien, surtout, ton collier de prostituée toute la journée, je crains que Kader ne vienne vérifier par lui-même…

Cette fois, sans un mot, ce qui était suffisamment rare pour le signaler, elle se remit à l’ouvrage dans son évier.

Je pris mon petit déjeuner tranquillement, attendant secrètement le moment où ma vioque irait dans la salle de bain pour se préparer à aller au travail.

Et effectivement, une fois qu’elle eut fini de laver la vaisselle, sans un mot, elle se dirigea dans la chambre. Puis, après un court instant, je l’entendis entrer dans la salle de bain et refermer à clef la porte derrière elle. Je me levai et allai devant la porte de la pièce d’eau. Je toquai trois petits coups secs.

Quoi ?

Ouvre...

J’attendis deux ou trois secondes et j’entendis alors la clef dans la serrure, puis la porte s’ouvrit.

Que veux-tu, Théo ?

Te regarder prendre ta douche, ne t’occupe pas de moi, lave-toi comme tu le fais après toutes tes nuits de folies, maman…

Je pense réellement que là, elle devait être un peu cassée, elle ne réagit donc pas plus que ça, et retourna à la baignoire pour faire couler de l’eau le temps que la douche soit chaude. Elle se retourna vers moi et me demanda alors :

Je peux retirer ce truc pour la douche ?

Oui, je vais le tenir… Ton collier… De prostituée !

Je m’approchai d’elle et lui tins alors son collier. Puis, l’empêchant de tirer le rideau de douche, je la regardai se laver.

Elle se frotta d’abord le visage avec ses mains enduites de crème lavande, faisant bien attention de ne pas mouiller ses cheveux, la pomme de douche coincée entre ses genoux. Ensuite, elle se rinça le visage, faisant très attention aussi de ne pas mettre de l’eau en dehors de la baignoire, un truc de fille.

Puis, elle repositionna la pomme entre ses cuisses, et, après s’être enduit les mains de crème, se lava les seins, sous les seins, sous les bras, précautionneusement, sans frotter trop fort. De la main gauche, elle reprit la douchette et commença alors à asperger son minou. Elle mit un pied sur le rebord de la baignoire coté mur, et guida le jet d’eau tiède pour que l’eau entre dans sa chatte. Ensuite, elle écarta, de sa main libre, une fesse, et cette fois, dirigea le jet sur son anus.

Oui ma petite pute, pense à bien nettoyer tes outils, tu en auras bien besoin, donc, il faut qu’ils soient propres et sentent bon !

Toujours aucun commentaire de la vieille. Là, c’était incroyable ! Elle qui avait si souvent le clapoir ouvert pour ne rien dire ! Là, et je l’astiquai pourtant de bon cœur, rien !

Je continuai à regarder dans le détail ma génitrice faire ses ablutions. J’avais l’impression qu’elle frottait un peu plus son anus et ses fesses que le reste du corps, mais cela pouvait n’être qu’une impression après tout. Puis je la vis frotter doucement ses jambes, l’une après l’autre, en mettant à chaque fois un pied sur le bord de la baignoire et les rincer dans la foulée.

Enfin, elle sortit de la baignoire qui servait de bac à douche et s’essuya minutieusement, là encore, sans frotter, tout son corps. Je regardai, particulièrement, quand elle s’essuya le minou, puis l’anus. Quand elle estima être sèche, elle reposa la serviette sur le radiateur prévu à cet effet et prit la brosse à dent.

J’attendis donc qu’elle eût fini de se brosser les dents avec l’appareil électrique. Enfin, je lui dis, alors qu’elle s’observait de près dans la glace :

Ne bouge pas, je te remets ton collier de putain.

Alors, je me reculai de quelques pas et posai une fesse sur la machine à laver, en croisant les bras, tout en continuant de scruter les moindres faits et gestes de ma vioque.

Elle commença à mettre son soutien-gorge, l’attacha sur son ventre, et fit ensuite tourner le vêtement autour de son torse, avant de glisser ses lourdes mamelles dans les bonnets et d’ajuster les bretelles. Après, elle commença à enfiler une culotte. Mais là je lui retins le bras en disant :

Ha non chérie ! Aujourd’hui, pas de culotte, des bas et une jupe...

Eh bien, aussi stupéfiant que ce soit, elle ne rechigna pas et, une fois la culotte reposée, alla directement dans sa chambre. Là, elle prit des bas, s’assit sur le bord du lit et les enfila, en prenant bien soin de ne pas les filer. Puis, elle se releva pour aller choisir une jupe.

Je ne perdais pas une miette de ce spectacle peu commun. Voir sa mère dans son intimité, prendre sa douche, se laver et la voir au réveil après une nuit de sexe. Sans parler de celui qui lui avait offert cette nuit d’amour, c’était moi. Son propre fils ! Je me disais que la vie était tout de même très surprenante.

Une fois qu’elle eut enfilé sa jupe, je la vis encore fouiller dans ses affaires et sortir un petit sous-pull à col roulé et une petite veste légère. Elle enfila le pull, et ainsi, le collier était masqué. Maline la vieille !

Je regardai encore quelques secondes Béatrice passer sa petite veste, puis je sortis, content du résultat, et je sortis de la maison, non sans un petit « bye-bye, à plus », adressé à la vioque.

Dehors, je courus me mettre derrière les arbres d’un petit espace verts où j’avais si souvent joué au foot bien des années auparavant. Puis j’attendis que la voiture rouge sorte par le portail et file vers l’entreprise de ma vieille.

Au lieu d’aller à l’école, je zonai un peu vers la ZUP, allant voir deux ou trois potes qui étaient, eux aussi, dans le business. Puis, vers dix heures trente, je pris le bus pour aller dans le grand parc qui servait de campus où étaient les bureaux de ma mère. Un petit quart d’heure plus tard, en descendant du bus, j’allai directement au poste de garde et demandai à pouvoir parler à ma mère.

Le gardien composa le numéro et me la passa aussitôt.

J’ai dû perdre les clefs de la maison au collège, tu peux me prêter les tiennes que je puisse rentrer à la maison, j’ai un devoir à finir pour cet après-midi ?

J’arrive, ne bouge pas.

D’accord, je t’attends sur le banc derrière le château d’eau un peu plus loin.

Et je raccrochai sans lui laisser le temps de répondre ou de me contredire. Je saluai alors le gardien et ressortis de la guérite pour aller derrière le château d’eau tout proche où je savais qu’il y avait un banc. L’avantage de l’endroit, il me masquait des bureaux de l’entreprise et, mais au loin, seuls quelques balcons donnaient une possibilité de voir ici, et encore, avec des jumelles, ou une bonne vue pour le moins.

À peine étais-je installé sur le banc, que je vis apparaître ma mère, éberluée, qui me demanda tout de suite :

Mais pourquoi ne m’as-tu pas attendu au poste de garde ? C’était plus simple...

Pour pouvoir vérifier que tu portes bien toujours ton collier de prostituée.

Je parlai suffisamment fort pour qu’un promeneur puisse nous entendre, mais il n’y avait personne à cette heure de la matinée dans les environs.

Ho non, mon Théo chéri ! Tu ne vas pas recommencer ?

Allez, lève ton sous-pull.

Mais, tu es fou... Pas ici !

STOP ! Lève ton pull et tais-toi.

Avec la moue des mauvais jours, Béatrice prit son sous-pull à deux mains et le remonta bien haut que je puisse voir son collier.

Voilà... Tu es content ? Je peux repartir au bureau ?

Non, attends une seconde, ne bouge pas.

Et je m’empressai de l’entourer de mes bras pour aller chercher la fermeture du soutien-gorge que j’ouvris tout de suite aisément (ce qui est presque un record, les filles se plaignant toujours que les mecs ne savent pas s’en sortir avec leurs attaches de soutif !). Je retirai prestement le sous-vêtement dans la foulée, et, avant que la mère n’ait eu le réflexe de quoi que ce soit, lui ordonnai :

Voilà, tu seras mieux ainsi… N’oublie pas les clefs avant de repartir à ton bureau.

Ho que j’en ai marre de toutes ces conneries !

Les clefs ?

Tiens, mais ne les perds pas cette fois-ci !

Pas de souci, retourne bosser maintenant, vieille pute…

T’es qu’un sale gosse !

Allez, morue, barre-toi maintenant…

Je vis encore ma vieille réajuster son sous-pull, puis repartir vers son entreprise, la tête baissée, les yeux fixant le sol juste devant elle. Moi j’enfournai le soutif dans une poche, les clefs dans l’autre et partis en direction de l’arrêt de bus.

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