Théo-rème de l’inceste Chapitre 19 : au lit

 

Je couchai donc ma chère mère dans son lit, à sa place, elle eut d’ailleurs du mal à faire le tour du lit. Je savais que, dans l’état où elle se trouvait, elle risquait de s’endormir d’un moment à l’autre, son cerveau disjonctant sous l’effet de l’alcool. Aussi, pour éviter qu’elle ne s’endorme trop vite, j’allumai la lampe de chevet.

Je retirai mes vêtements du plus vite que je pus, et vins m’allonger contre elle. Je la pris à nouveau dans mes bras, mais cette fois, peau contre peau et l’embrassai comme du bon pain. J’en profitai pour lui caresser les seins, sa poitrine était ferme pour une femme de quarante-cinq ans. Elle faisait un petit quatre-vingt-quinze C, mais ses seins me plaisaient tout de même bien.

Elle me rendait fougueusement mon baiser, sa langue, douce malgré l’arrière-goût de pastis, fouillait ma bouche. Elle se cambrait pour m’offrir encore mieux ses nichons.

Mets-toi à quatre pattes, bébé…

J’avais cru comprendre que de l’appeler "bébé", dans certaines circonstances, la mettait dans un état second, j’en profitai alors à mon tour.

Elle se mit sur le ventre, puis fit glisser ses longues jambes sous elle pour finir à genoux. Ensuite, elle se redressa un peu et se posa sur ses coudes.

Je me levai pendant ce temps-là et vins, à genoux, juste derrière les fesses plates de ma daronne. Son cul était bien ouvert, ses petites fesses molles écartées me laissaient voir son anus entrouvert.

Je me penchai et crachai sur l’anus, puis répandis la salive avec mon doigt et, enfin, j’enfonçai mon index dans le chaud trou maternel, puis mon majeur et j’écartai mes deux doigts pour ouvrir au maximum.

La vieille se tortillait, non pas de douleur, mais de plaisir. Elle adorait qu’on s’occupe de sa rondelle brune et commençait d’ailleurs à ronronner comme une chatte.

Tu sais ce que tu vas faire "bébé" ? Tu vas te caresser le clitoris comme quand tu étais petite fille… Fais ça pour moi...

C’était un peu un mot magique, ce "bébé" ! Je vis qu’elle avança sa main droite sur son sexe et qu’elle commença à se masser le clitoris comme je lui avais demandé. Je me souvenais que certains "amants", que j’avais pu observer quand il baisait ma salope, comme la pute qu’elle était, faisaient et, finalement, je comprenais mieux pourquoi ils donnaient cet ordre de branlette. Si je laissai faire, la vieille allait décoller toute seule !

Aussi, je retirai mes doigts tranquillement, crachai encore une fois sur la pastille fripée, et guidai ma queue pour placer le gland tout contre le sphincter. J’empoignai les hanches fines, puis appuyai doucement, mais sûrement, de tout mon poids sur ma bite qui servait alors de clou. Elle entra et je ne m’arrêtai de pousser que quand je ne pus plus rien rentrer de plus.

Tu l’as bien dans ton cul, "bébé" ?

Hummm… Oui ! Encore, elle est trop bonne...

Branle-toi bien, astique-toi bien le clito, "bébé" !

Je commençai alors un long ramonage en règle, tout d’abord lentement, mais profondément et de façon ample, mon sexe allait au plus loin et ressortait presque entièrement. Puis, quand je m’aperçus que ma mère allait très vite prendre son pied, je ressortis ma queue et attendis un instant.

Remets-la ! Viens encore, c’est trop bon, mon Théo...

Je replantai ma verge dans les entrailles de ma génitrice d’un coup sec, puis me mis à lui pilonner le cul. Je donnai de grands coups de rein, amples, mais rapides. Puis de plus en plus rapides, tout en lui ordonnant en permanence :

Branle-toi ma salope… Prends ton pied ma belle enculée… Jouis, maman chérie… Vas-y, bébé, laisse le plaisir monter...

Bientôt, elle commença à chanter. Elle exprimait son plaisir dans des cris aigus qui montaient en intensité au fur et à mesure que mon pilonnage s’intensifiait. Rapidement, on ne put plus dire autre chose que, elle gueulait son plaisir.

J’en profitai pour lui serrer encore plus fort les hanches et lui défoncer littéralement le cul à grands coups de bite. Sous mes violents coups de boutoirs, elle se cognait le crâne contre les barreaux de sa tête de lit en bronze.

Tu l’aimes la bite de ton fils, bébé ?

Elle ne pouvait plus parler, entre les inspirations rapides et profondes et les cris, elle n’avait plus la place pour des mots.

Tiens, prends ça, c’est ce que tu aimes te faire péter la boite à crottes… Je te défonce ton cul de salope…

Le lit bougeait dans tous les sens, le crâne de la vieille devait bien parfois passer à travers les barreaux jusqu’au mur. Une forte odeur de musc régnait dans la pièce, et la température semblait monter en flèche.

Tu es ma salope, maintenant, bébé...

Les cris de Béatrice semblaient former une sorte de chant. Elle s’époumonait à tue-tête et ne pouvait plus se retenir de rien.

Dis-le que tu es ma salope…

Et je m’arrêtai brutalement, mon sexe planté au fond du cul de ma daronne. Je demandai à nouveau, mais cette fois, d’une voix forte :

Dis-le que tu es ma salope !

Et comme la vieille paraissait ne pas vouloir me faire plaisir en m’annonçant qu’elle était bien ma salope, je poursuivis encore :

Dis-le, vieille traînée, dis-le que tu m’appartiens, que tu es MA salope !

Oui, je suis ta salope, mon chéri…

Content d’être arrivé à mes fins, je repris de plus belle ma chevauchée héroïque et endiablée.

Tout de suite, elle recommença à crier son plaisir, j’enfonçai le clou :

Allez, dis-le encore que tu es ma salope…

Bien que très peu intelligible, je compris toutefois qu’elle disait ce que je lui avais intimé l’ordre de dire. Maintenant, elle répétait à l’infini être ma salope, mais aussi, me sembla-t-il, tout du moins, qu’elle m’aimait, qu’elle aimait ma bite et d’autres petites choses que je n’arrivai pas à décoder.

Tu me fais bander, maman ! Qu’est-ce qu’il est bon ton cul, ma salope !

Je sentais aussi que je n’allai plus tenir ce rythme très longtemps. Le fait de faire crier de plaisir ma mère était un aphrodisiaque bien plus puissant que tous les produits vantés comme tels, Et là, bien que j’eusse déjà joui dans la bouche de ma putain de vieille, j’avais encore les couilles en ébullition et je sentais la sève monter, force dix.

Branle-toi bien fort, ma salope…

Obéissante, elle s’astiquait le bouton avec une frénésie que je pouvais percevoir puisque bien souvent sa main et mes couilles entraient en contact. Elle criait très fort maintenant, parfois en m’assurant de son amour, parfois en me disant qu’elle était ma salope, mais le plus souvent de façon totalement incompréhensible.

Je tâchai de me retenir le plus possible, mais tout à une limite, et quand je n’arrivai plus à contrôler mon plaisir, je serrai, comme un démon, les hanches fines, enfonçai ma queue le plus loin possible dans les entrailles maternelles et jouis dans un concert de jurons salaces à l’attention de ma vioque vicelarde.

Sous ce dernier assaut, elle s’enfila deux doigts dans la chatte et se mit à hurler, on aurait cru une louve qui hurlait à la mort !

Mon foutre brûlant s’échappait de ma queue par jets puissants. J’en étais même à me demander d’où tout ce sperme pouvait venir, ce n’était pas des couilles, vu le volume des uns et des autres ! Des frissons parcourraient mon corps tout entier, j’avais l’impression que ma tête allait exploser, non pas comme quelque chose de destructeur. Mais comme un bouquet final de feu d’artifice, comme le dernier mouvement d’une symphonie. C’était la première fois que j’avais un tel orgasme.

Béatrice jouissait aussi en dessous de moi. Ses jambes tremblaient et elle ne savait pas combien de temps, elle tiendrait à ce régime-là. Son esprit embrumé par les vapeurs d’alcool et par l’excitation sexuelle était au bord de la coupure pour surcharge !

J’avais l’impression que ma verge grossissait encore au fur et à mesure de mes éjaculats ou alors c’était l’anus de ma vioque qui se resserrait autour. Je n’avais jamais joui autant que cela, même dans mes meilleures masturbations.

Le calme revient toujours après la tempête, du moins tant qu’on n’aura pas trop déréglé climat. Ma queue ressortit toute seule, du cul maternel, au bout de quelques très longues secondes, qui me parurent une éternité. En fait, je tenais toujours fermement la vieille et, finalement, c’était moi qui l’empêchai de s’écrouler. Aussi, je lâchai les hanches, auxquelles je m’agrippai depuis le début, et, telle une poupée de chiffon, Béatrice s’écroula sur le lit, les jambes toujours tremblantes.

Là, tu ne pourras pas dire que tu n’as pas joui, ma maman chérie.

Ma voix était douce et conciliante. Je voulais que ma mère soit apaisée maintenant, et je voulais aussi qu’elle sache que j’appréciai au plus haut point de faire dans son rectum doux et chaud.

Oh mon Théo ! tu m’as donné tellement de bonheur... Tu me rends folle !

Tu vois, quand tu es une bonne putain, tu as droit à ta récompense après avoir épongé le micheton !

Ho non ! Ne recommence pas... C’est si beau ce qu’on vit en ce moment !

Oui, mais je suis ton fils, tu es une putain et je kiffe à mort te la mettre dans le cul ! Tout comme je suis raide dingue de jouir dans ta bouche ! Je ne vois pas ce qu’il y a de mal à dire les choses vraies, bébé…

Et là, je vis ma mère recommencer à être la connasse qu’elle était si souvent quand elle avait bu, et elle commença à s’énerver, à grogner :

Tu me fais chier avec tes conneries !

Pas MES conneries, TES conneries, ma "chère" mère ! C’est pas moi qui me saoule la gueule et fais n’importe quoi, me mets dans des situations pas possibles avec des mecs louches et bizarres ! Qui fait l’allumeuse ? Qui passe pour une pute dans les boîtes de nuit ? Qui ramène des mecs pas clairs pour se faire sauter dans le lit conjugal ? Qui prend son pied comme une bête quand elle se fait enculer par son fils ?

La dernière phrase avait dû taper juste. Elle se mit à pleurer en enfouissant son visage dans ses mains.

Ho ! Théo ! Qu’est-ce que j’ai fait de ma vie ? Pardon mon fils chéri… Pardon...

Bon, ça va pour cette fois, tu m’as bien fait jouir, tu as le droit de dormir dans mes bras… Mais avant, tu vas rechercher ton collier de prostituée, et tu le passes, je veux que tu dormes avec.

Avec bien du mal (Si « bien du mal » n’est pas une formule humoristique, je ne sais plus que penser du français moi !), ma mère se releva, puis sortit de la chambre en titubant quelque peu.

Moi, je m’allongeai de tout mon long, sur le dos, les mains derrière la tête, il était bien confortable ce lit. Et puis, j’avais une impression étrange, je tenais la place du chef de famille, du boss ! La place qu’avait occupée mon père… La place qu’occupait mon beau-père… J’avais bien du mal à me positionner dans cette drôle de famille.

Béatrice revint avec le collier autour du cou. Elle s’arrêta dans l’encadrement de la porte, me fixa d’un regard noir, et dit :

Bon ! Comme ça, ça va ?

Oui, viens te coucher, "bébé"...

J’allongeai le bras droit en guise d’oreiller pendant que Béatrice faisait le tour du lit pour venir s’installer à sa place. Elle s’assit, puis s’allongea, posa sa tête sur mon bras et se retourna vers moi, les yeux rouges. Puis, d’un coup, se jeta contre moi et me serra aussi fort qu’elle put.

Je sentais qu’elle cherchait ma bouche, je l’aidai et nous nous embrassâmes longuement, en fait, jusqu’à ce que je me remette à bander comme un âne. Je me mis alors sur le côté pour bien sentir ses mamelles lourdes et fermes.

Ma salope de vieille se frotta alors comme une chienne en chaleur, doucement au début, puis avec de plus en plus d’insistance, si bien que finalement, elle prit ma verge raide et chaude dans sa chatte.

Dès que le gland fut à l’entrée du vagin, je poussai un grand coup et enfournai toute ma queue dans la grotte intime et bouillante qui me happait. Tout au fond du vagin, je sentis quelque chose qui me picotait le bout de la bite. J’apprendrai, plus tard, que c’était le stérilet de la vioque, mais comme elle se faisait sauter n’importe comment par n’importe qui, l’objet avait fini par se placer de travers et devenir un petit peu gênant.

J’embrassai à nouveau ma daronne, fouillai sa bouche de ma langue qui prenait de l’assurance et devenait experte en baiser. Je me déhanchai aussi pour donner les plus gros coups de reins qu’il m’était permis de donner, vu la position.

Béatrice frémissait, tremblait de plaisir, elle avait même un peu de mal à respirer et elle faisait du bruit avec le nez à chaque inspiration. Elle grognait, ne pouvant pas réellement crier, la bouche pleine et elle salivait à outrance, prise d’une vraie folie lubrique.

Je me remis sur le dos, attirant à moi la vieille qui finit à genoux par-dessus moi, ma bite enfoncée dans sa chatte qui coulait de plaisir, son corps contre le mien. Je m’emparai de ses petites fesses, les écartai, puis plongeai directement trois doigts dans l’anus encore bien dilaté. Mais je n’arrêtai pas pour autant mon baiser.

Très vite ma daronne jouit en faisant des sauts de cabri comme pour se défaire du serpent vicieux qui visitait son vagin détrempé et se libérer de ces doigts inquisiteurs. Mais rien n’y fit.

Trop de choses dans la journée, trop de vice, d’excitation, et sûrement même d’amour et de haine mêlés. Je jouis à mon tour très fort. Cette fois, ma semence fut en quantité moindre, du moins, m’avait-il semblé. Et, une fois que j’eusse joui, ma bouche, libre de tout baiser, ma vieille sur mon ventre, totalement amorphe, je laissai ma queue bien au chaud dans le ventre maternel et m’endormis très vite.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Une heure avec Sonia (2019)

Mamie se prostitue : le mac (2024)

Au service de Monsieur (2015-2023)

Punition au sex-shop (2002)

La boite à blacks (2019)

Train de nuit 01 (2002)

Christine ou les malheurs de la maturité (2023)

La prof examinée 01 (2010)

Un bon job : Chapitre 8 : Séance de minitel rose Partie 2

La prof examinée 02 (2010 -2023)