Théo-rème de l’inceste Chapitre 18 : la fessée
Je regardai distraitement la télévision. J’aurais même pu dire que je subissais la télévision. Mais j’avais besoin de ce bruit de fond insipide et de ces images sans importance pour laisser reposer mon cerveau après cette journée bien pleine.
Mon esprit vagabondait, je revoyais les images des deux maquereaux, qui se tapaient la vieille, en se foutant d’elle, sans qu’elle ne comprenne rien, comme quoi, côté QI, ça laissait à désirer !
Puis ces images bizarres, Béatrice sur les toilettes, à poil, avec son collier de capotes. J’avais déjà hâte de faire développer les photos. Je pouvais bien prendre le problème dans tous les sens, ma vieille me faisait bander. Ça, c’était déjà quelque chose de sûr ! De même que l’humilier, la rabaisser, la malmener, m’excitait terriblement. Mais parallèlement, si parfois, bien souvent même, je haïssais farouchement la vioque, je ne pouvais pas dire que, pour autant, je n’aimai pas ma maman.
Contradiction, quand tu nous tiens. C’est dans ces réflexions hautement philosophiques que Béatrice apparut avec un plateau repas.
Elle déposa le plateau avec une quiche au saumon et une petite salade sur la table basse devant le canapé où j’étais maintenant vautré.
– Merci la pute, mets-toi devant la baie vitrée, les mains sur la tête.
– Oh non !
– Si. Et face à l’extérieur, encore...
La porte-fenêtre donnait sur le jardin qui n’était autre que l’ancien arboretum de l’ancien château tout proche. Il n’y avait donc pas vraiment de vis-à-vis, seuls les habitants de l’autre côté de la route, en contrebas, auraient pu, éventuellement, voir quelque chose et encore, avec des jumelles. Mais ça, Béatrice ne s’en rendait pas compte, elle avait donc très peur d’être vue à ce moment-là.
Finalement, je dînai tranquillement en regardant une bêtise insipide d’un coin de l’œil et en regardant ma daronne debout, les mains sur la tête, un léger tremblement qui parcourait ses jambes.
Alors que j’avais avalé la moitié de la quiche, une idée me vint tout à coup. Et si je me la jouai romain et me faisais sucer pendant le repas ? Je décidai de la jouer fine.
– Maman, ça va, viens près de moi…
Comme une chienne que l’on siffle et qui pense recevoir un os, la vieille se retourna tout en baissant les bras, afficha un sourire sur son visage et vint faire le tour de la table basse comme pour s’asseoir sur le canapé.
Alors qu’elle était presque assise, j’ordonnai à nouveau :
– Non, pas assise, viens te mettre devant moi, à genoux...
– Oh non, ça ne va pas recommencer !
– Mais ça n’a jamais fini, comme tes conneries, ma chère maman !
Je poussai du pied la table basse pour dégager de la place devant moi, me redressai pour mieux m’asseoir et désignai la place libre d’un geste auguste.
– Viens là, ma maman chérie…
Béatrice était vraiment une bonne femelle, bien obéissante, maintenant, mais je craignais que cela ne durât point. Elle s’agenouilla devant moi, la tête haute, fière, son collier de capote rappelait qui elle était, mais à ce moment-là, elle n’en avait plus souvenir. Une certaine tension montait à nouveau en elle.
J’ouvris ma braguette, sortis ma queue, me penchai encore en avant pour attraper mon assiette et me remis en arrière. L’assiette dans la main gauche, la fourchette dans la droite et je fixai alors intensément la vieille dans les yeux. Et ce, jusqu’à ce qu’elle finisse par baisser son regard. À ce moment-là, je pris une fourchetée en bouche et, la bouche pleine, comme c’est tout à fait mal poli, j’intimai à ma salope de mère :
– Ne reste pas comme ça. Suce-moi la bite, je vais te nourrir au foutre, ma chère maman…
– Théo, il faut stopper tout ça !
– Tais-toi et suce… Sinon…
Avec la moue que je ne lui connaissais que trop, elle se pencha en avant et commença à sucer mon sexe. Très vite, elle prit ma queue dans sa main droite, certainement pour faire que les choses aillent plus vite, mais je veillai au grain.
– Non ! Sans la main, tes mains sur la tête, je t’ai dit, tu me suces, et non pas, tu me branles...
J’étais de plus en plus étonné des réactions de la vioque. Au lieu de s’agacer, elle obtempéra docilement. Tout cela ne lui ressemblait pas. Toutefois, je continuai à déguster ma quiche, avec cette autre quiche qui me dégustait le poireau, si j’ose dire !
Je reposai mon assiette en poussant quelque peu la mère, puis pris la pomme et me remis dans la position précédente.
Béatrice avait grogné quand j’avais bougé. Mais une fois que tout fut à nouveau en place, elle recommença à sucer, ses mains toujours sur la tête.
Avant de croquer ma pomme, je m’emparai de mon petit appareil photo jetable et pris trois photos de la scène. Ça m’excitait énormément de prendre des photos de ma daronne et je commençai à comprendre mon beau-père qui semblait bien aussi s’amuser à faire des photos avec son petit appareil numérique. Une sorte de webcam à ce que j’avais vu. Je sentis mon plaisir monter, aussi j’ordonnai à la vieille d’un ton sec :
– Stop ! Mets-toi droite... Les coudes bien en arrière, que ça fasse remonter tes mamelles de mémé qui tombent !
Dès que Béatrice fut en position, je pris encore une photo, puis me penchai en avant, pour ne cadrer que le visage et le cou avec le collier en capotes.
– C’est bon, ma salope, fais-moi jouir, maintenant.
Encore un grognement, mais elle semblait être dans un état second, ou proche de celui-ci, car elle obéit assez facilement tout de même, sans chercher à négocier.
Bientôt, je sentis la sève monter, je posai le reste de ma pomme sur l’accoudoir, j’empoignai alors fermement la tête maternelle entre mes mains et lui impliquai un mouvement rapide qui me fit jouir, très vite, ensuite.
Je me vidai les couilles dans ma génitrice, à nouveau, mais aussi dans une pute de bas étage, qui portait un collier de capotes usagées. J’étais vautré dans le canapé, la bite sortie de mon froc, planté dans une vieille bouche qui avalait tout mon jus de couilles ! Quel plaisir. Dans cette position, je devenais un empereur romain, pire, un dictateur de la Rome antique !
Quand je lâchai la tête, j’entendis Béatrice dire :
– J’ai soif, je vais prendre un pastis…
– Vas-y, tu l’as mérité ton pastis ! Tu m’as bien fait jouir, bonne fille que tu es...
La vioque ne releva pas, se remit debout, non sans mal, car elle devait être ankylosée par la position à genoux. Puis se dirigea vers la porte et sortit en direction de la cuisine.
J’entendais les bruits caractéristiques de l’apéritif, mais je trouvai que ce soir-là, ils étaient plus forts que d’habitude. Puis je vis la vieille revenir, et me demander :
– Maintenant, je peux m’asseoir, s’il te plaît, Théo ?
– Oui, viens à côté de moi, va…
Et dès qu’elle fut assise, je la pris par l’épaule et la collai contre moi, elle nue, moi vêtu. Il me sembla alors qu’elle ne demandait que ça.
La soirée télé passa doucement, au bout d’un gros quart d’heure, Béatrice se leva pour aller chercher un autre pastis, puis revient se blottir dans mes bras. Elle sirota encore son pastis pendant une petite demi-heure, puis se releva pour aller chercher un troisième pastis, alors même qu’elle n’avait rien avalé de solide.
À peine revenue et assise à mes côtés et, alors que je la reprenais par l’épaule pour la coller à moi, elle commença à faire des réflexions :
– Bon, ça va, hein !
C’était bien ce dont j’avais eu l’impression, elle avait la langue qui collait au palais, elle commençait à être bourrée. Trois pastis, un lavement à la bière et rien mangé pour éponger un tant soit peu, le gros n’importe-quoi allait commencer, me sembla-t-il.
À peine eut-elle sifflé son troisième pastis, que ma mère se remit debout, et m’annonça de sa voix de pochtronne bien avinée :
– J’ai envie de danser, plutôt que de regarder cette connerie, je mets de la musique !
Je la laissai faire, elle éteignit la télévision, puis ouvrit le meuble dans lequel se trouvait la chaîne HI-FI et la mis en route. Elle choisit son disque préféré, celui des soirées de java, James Brown, le plaça dans le lecteur et lança la lecture.
Tout de suite la voix rauque et chaude du chanteur emplit la pièce, le son était trop fort, mais je laissai faire pour voir où ça mènerait.
Béatrice commençait déjà à se déhancher, puis elle se mit à danser, comme les vieilles, sous mes yeux, sans pudeur, nue, juste avec ses mules aux pieds et son collier de capotes.
Là, elle était bourrée, ça se confirmait ! Je savais, pour l’avoir à plusieurs reprises observé, qu’une parole pouvait allumer la mèche et que la vioque partirait alors dans des délires d’une agressivité sans borne. Aussi, une petite idée germant dans ma tête, je décidai d’allumer cette mèche mentale.
– C’est beau une vieille pute qui danse avec les capotes de ses clients autour du cou...
– Oh, Ça va, hein !
Et de rage, elle retira prestement son collier et le jeta en travers de la pièce.
– Remets ton collier de putain ! Où je téléphone à Kader pour qu’il vienne te coller une grosse raclée tout de suite.
– Rien à foutre de tes conneries ! Je fais ce que je veux, je suis chez moi.
– Ramasse, te dis-je !
Mais Béatrice n’en fit qu’à sa tête, me toisa du regard, avec un air méchant et les yeux injectés de sang. Puis, elle se mit à crier :
– Je fais ce que je veux, je suis CHEZ moi !
Je me levai d’un bond, l’attrapai à bras-le-corps et l’attirai à moi pour me laisser tomber sur le gros fauteuil avec elle sur mes genoux.
Elle se démenait et cherchait à me donner des coups de poing, mais ses gestes étaient gauches, désordonnés et donc, sans aucune efficacité.
Je me débrouillai, tant bien que mal, pour la retourner et qu’elle soit à plat ventre sur mes genoux. D’une main, je lui tins les poignets et de l’autre, je lui administrai une fessée ! Une fessée comme on en donne aux petites filles quand elles ont été vilaines et j’enfonçai le clou en lui beuglant dans les oreilles :
– T’es encore bourrée, connasse ! Tu ne te rends même pas compte que si j’appelle Kader, tu pars en stage dans les pays de l’Est avec les deux autres maquereaux qui n’auront aucune pitié pour toi... Pauvre conne que tu es !
Heureusement que la musique était forte. Nous étions, certes, en pavillon, mais les cris devaient finir pas s’entendre d’une maison à l’autre, surtout en pleine nuit. Et, même si les voisins devaient être plutôt habitués aux frasques de ma mère, autant que cette rixe reste en famille.
Elle était visiblement anesthésiée par l’alcool, je dus donc lui donner une sévère fessée, à en avoir le feu dans la main. Au début, elle se débattait, donnait des coups de pied dans tous les sens, mais toujours dans le vide. Puis, la douleur dut finir par atteindre son système nerveux central et elle commença alors à pousser des cris de douleur, plus que de rage.
Je poursuivis ma fessée en claquant toujours plus fort sur les fesses maigrelettes de ma pute de mère. Je cherchais, maintenant, à ce qu’elle éclate en sanglot.
Elle finit tout de même par se mettre à pleurer. Se rendait-elle compte de sa situation ? Captait-elle qu’elle prenait une fessée de la part de son propre fils ? Ou l’alcool lui embrumait tellement le cervelet qu’elle ne comprenait plus ce qui se passait ?
Je continuai encore à lui donner la fessée pendant quelques instants, que la douleur soit bien présente, puis la tirai fermement à moi pour qu’elle vînt se coller contre moi, sa tête à la gauche de la mienne.
– Tu vois ce que tu provoques ? On est obligé de te donner la fessée parce que tu ne veux en faire qu’à ta tête, c’est nul !
Cette fois, elle éclata en sanglots, puis, au bout de quelques minutes, tout en reniflant, elle sanglota :
– Pardon ! Je suis conne quand je suis comme ça, pourtant, je t’aime tant mon Théo... Si tu savais…
J’en profitai alors pour tourner la tête et lui rouler une pelle, grand format.
Béatrice répondit à mon baiser en me serrant contre elle, cela dura bien trois ou quatre minutes, puis je lui dis au creux de l’oreille :
– Viens maman chérie, j’ai envie de toi…
Et sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je l’aidai à se lever rapidement, me levai à mon tour et la conduisis dans sa chambre à coucher.
Elle avait du mal à marcher droit, elle était tout de même déjà bien bourrée.
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