Théo-rème de l’inceste Chapitre 9 : questions

 

En quelques courtes minutes, nous sommes rentrés à la maison, j’ouvris le garage et mon pote entra la voiture, petit détail, nous n’avions pas pensé à rentrer en marche arrière comme le fait toujours ma daronne.

Cette fois, c’est moi qui descendis notre pute et la conduisis dans sa chambre. Je la jetai pratiquement de dédain sur son grand lit, ne pris pas la peine de la couvrir et ressortis.

Quelle soirée ! On est frère de bite maintenant, mon vieux Théo. M’annonça Kader, en riant.

Ouais, j’ai bien l’impression, oui.

On va aller fêter ça avec un bon bedo bien tassé…

Oui, attends, je laisse un mot pour que ça ne fasse pas trop bizarre demain.

Je pris un petit bout de papier et un crayon dans le salon et inscrivis : « Je passe la nuit avec Laura, pas de souci ». Pas de « bisou » ou autre marque d’affection.

Pour éviter de faire bizarre, je sortis après Kader et refermai la porte derrière moi, mais sans la verrouiller, les clefs de la pute restant sur la serrure à l’intérieur.

Avec la berline de mon pote, bien sûr, on se fait arrêter, mais comme les papiers sont en règle, nous repartons sans souci. Il est malin le rebeu ! Sa voiture, payée avec son business, est au nom de son père, père qui est reparti au bled, mais ça, les keufs ne le savent pas.

Nous avons rejoint d’autres potes dans sa cité, et avons passé une petite soirée fumette. Les effets du « chichon-qui-rend-con » me vidèrent la tête et je finis par m’endormir dans un coin, à côté de l’enceinte qui vomissait un rap métissé de sonorités arabes aux paroles incompréhensibles.

J’émergeai le lendemain vers huit heures trente, les autres étaient encore égayés un peu partout dans l’appartement, une sorte de squat. Je décidai, alors, de rentrer chez moi pour finir ma nuit.

Pendant ce temps-là, mais bien entendu, moi, je n’en savais rien, Béatrice s’affolait ! Elle venait de se réveiller avec sa robe, ses bas, et elle était toute poisseuse de foutre. Elle se demanda ce qu’elle avait bien pu faire de sa soirée ?

Il était presque neuf heures, et donc, elle était très en retard pour son boulot, et le mal de crâne qui lui vrillait le cerveau, finit de la convaincre de téléphoner pour prendre un "congé maladie", que son entreprise octroyait généreusement sur simple demande.

Une fois ce coup de fil passé, elle finit par se faire un café dans la cuisine et tomba sur mon petit mot. Là, elle reprit le téléphone et m’appela :

Tu es où, Théo ?

Dans le bus, je rentre, tu veux quoi ?

Je t’attends mon chéri, tu en as encore pour longtemps ?

Non, j’arrive dans un petit quart d’heure.

En arrivant, je ne pus ouvrir la porte, car elle était verrouillée, la vieille s’était finalement rendu compte qu’elle avait dormi avec la maison totalement accessible par n’importe qui. Je sonnai.

Bonjour Théo, j’ai lu ton petit mot, mais pourquoi ne me l’as-tu pas demandé directement, hier soir ?

Ben ! Tu ne te rappelles pas ? Tu as pris quelques apéros et ensuite, tu es sortie pour aller boire un pot en ville, sûrement avec ta grande copine Pauline. Laura m’a téléphoné juste après.

Faut vraiment que j’arrête ! Je ne me souviens même pas d’être sortie hier soir.

Je ne savais pas si elle me disait ça pour que je l’engueule, car bien souvent, ces temps-ci, je trouvai qu’elle cherchait ce genre de rapport, dans lequel j’aurais été, moi, le père et elle, la sale gamine, qui faisait des conneries ! Ou, si elle se parlait à elle-même.

Ouais ! T’as encore picolé et tu es rentrée bourrée comme d’hab.

Ho ! Ne dis pas ça, Théo.

Et si Maxime était au courant de tes virées de pute ? Tu crois vraiment qu’il resterait avec une telle chienne en chaleur ? T’es vraiment une connasse, MAMAN !

Je tournai les talons et allai dans ma chambre, directement.

Allongé dans mon lit, les images de la vieille au soir revenaient sans cesse, ma bite dans la gueule de la vieille, qui suçait avec un tel sourire que, ce n’était pas possible qu’elle n’aimât pas ça !

Et que dire de cette sodomie. Un régal, que dis-je, un vrai bonheur et si j’avais pris un vrai pied, je savais, qu’elle aussi, avait joui. Comme disait Kader, c’était une sorte de sérum de vérité que je lui avais fait prendre, et donc, si elle avait joui, c’est bien qu’elle aimait ma bite dans son cul !

Mais tous ces souvenirs associés aux sensations eurent bientôt raison de moi et je tombai dans un profond sommeil.

Dans mes rêves, j’étais avec mon pote et nous faisions une partie à quatre avec ma reume et sa pote Pauline. C’est vrai que cette salope était encore bien foutue pour son âge, même mieux que ma vieille, avec ses gros nichons qu’elle laissait entrevoir aussi souvent que possible.

Je me réveillai vers onze heures et j'entendis une voix. Je descendis tout doucement, et là, j'entendis ma mère, sûrement au téléphone, qui devait être en conversation avec sa copine Pauline.

Mais tu es sûre ? Nous n'étions pas ensemble hier soir… Comment ça… Oui, je sais, je fais un peu n'importe quoi… Mais alors, avec qui je suis sortie hier soir ? Le pire, oui… Ouais, ce matin, j'étais pleine de sperme… Je me demande qui ça peut être ? Et non, il n’y avait personne avec moi… Du moins je m'en rappelle pas, ça devient grave quand même ! Bon, de toute façon, on se voit demain matin au bureau... On ira prendre un café ensemble et je te raconterai ce que je peux... Ce soir, ça m'embête un peu, je vais encore laisser Théo tout seul... Bon, écoute… Oui, je te dirai ça ce soir... Enfin vers seize, dix-sept heures… Oui, gros bisous, ma chérie.

Une fois que la vieille eut raccroché, je descendis totalement et allai vers elle.

Alors, comme ça, tu ne sais même plus ce que tu fais ! C'est vraiment n'importe quoi. Putain, mais quelle mère que j'ai ! Putain, mais ce n'est pas croyable !

Béatrice se mit à sangloter doucement. Puis, elle réussit à dire :

Je suis vraiment désolée. Il faut vraiment que j'arrête de boire… Je dois avoir un gros problème avec l'alcool !

Ben voyons ! Tu as surtout un gros problème avec ton cul, oui ! Salope... Tu es vraiment une merde !

Et je repartis dans ma chambre.

Ma mère pleurait à chaudes larmes, maintenant.

Vers douze heures trente, ma mère m’appela

Théo, s'il te plaît, viens manger avec moi… Je te demande pardon.

Je pris cinq minutes pour descendre. Je vins cette fois avec l'idée de l'exciter un maximum, aussi, n’avais-je mis qu’un t-shirt et un caleçon, caleçon qui était déformé par ma queue. Sans bander réellement, ma bite était déjà bien gonflée, et, de ce fait, déformait copieusement le calbar.

Quand j’arrivai dans la cuisine, ma mère porta directement son regard sur mon sexe.

Bon ben, qu'est-ce qu'on mange, alors ?

Je t'ai fait des galettes de sarrasin comme tu aimes tant.

Pour aller m’asseoir à table, je tournai autour de ma mère, la frôlant au passage.

Elle était toujours en peignoir. Peignoir un peu grand et mal fermé.

J’allai me mettre à la place de mon beau-père, c'est-à-dire face à la fenêtre. Et, de là, je regardai ma mère cuisiner ma galette.

Quand elle se retourna avec la poêle pour venir me servir. Je vis son peignoir assez entrouvert et j'aperçus ses seins. Je lui dis alors de venir à côté de moi.

Elle vint, fit glisser la galette dans mon assiette et posa la poêle chaude sur la table en marbre froid.

Je reculai ma chaise de manière à ce qu'elle puisse bien voir ma queue gonflée dans mon caleçon. Et, quand elle fut près de moi, je lui pris la main et lui dis :

Je t'aime maman ! Mais tu déconnes vraiment...

Et comme pour jouer, je tirai sur la ceinture de son peignoir qui s'ouvrit aussitôt.

Mais tu as la chatte rasée ! Tu es comme les femmes arabes… Tu t'es convertie à l'islam ?

Mais non ! Mais non, Théo. Qu'est-ce que tu crois ? Je ne me suis pas convertie à l'islam ! Qu'est-ce que tu me racontes !?

Ben alors, si tu as la chatte rasée, c’est que tu es une putain ! Ce sont les putains qui ont la chatte rasée... Mais vraiment, maman, tu fais n'importe quoi !

En même temps que je disais ça, je commençai à avoir une érection sérieuse. Sans que ça soit l'érection du grand soir, j'avais tout de même mon sexe bien gonflé.

Oh tais-toi, Théo… Tais-toi… Tais-toi, tu dis des méchancetés ! Ça me fait un mal, si tu savais…

Maman, je vais être franc, tu me dégoûtes et, en même temps, tu m'excites… Ta chatte rasée… Tiens. J'ai envie de te prendre comme une pute. Là, tout de suite !

Ma vieille recula, rouge de honte. Toutefois, elle avait, de nouveau, les yeux bloqués sur ma queue.

Alors quoi ! Tu n’arrêtes pas de regarder ma bite. Puisque tu veux la voir…

Et je baissai, d'un coup, mon caleçon pour exhiber ma queue raide.

Ma mère devint encore plus rouge. Elle voulait détourner le regard, mais il n'y arrivait pas.

Mais t’es ma mère ! Tu ne vas pas me regarder la teube comme ça... Tu ne veux tout de même pas que je te saute ? Ça alors… Salope !

Béatrice se mit à pleurer.

Et qu'est-ce qu'il va dire, hein, Maxime, si je lui dis que tu es en train de regarder ma queue et que tu as envie que je te baise ou que je t’encule ? Grosse pute… Tu crois que ça va aller super bien dans la maison ? Connasse, va !

Je remontai mon calbar, laissant la vioque choquée, interloquée et presque nue au milieu de la cuisine et pris mon assiette. Montai dans ma chambre dont je refermai la porte, vivement, en faisant le maximum de bruit.

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