Théo-rème de l’inceste Chapitre 17 : lavement

 

Nous roulions vers chez moi, en riant tous les quatre des malheurs de ma mère.

Momo me conseilla de ne pas m’attendrir ce soir sur le sort de ma génitrice, mais au contraire, d’en profiter pour enfoncer le clou. Par exemple, en lui fouillant les intestins jusqu’à en avoir les doigts salis et la punir pour cela ensuite. Ou quelque chose du genre.

Les deux maquereaux, d’un commun accord, dirent qu’elle avait du potentiel, mais que ce serait dur tout de même. Les clients voulant de la jeune et belle. Ce genre de vieille radasse n’intéressant que des « vieux », souvent sans le sou.

Ha ! Au fait Momo, je te rembourse ce que tu m’as donné. Dit d’un coup Kader.

Première leçon, gamin, on ne rembourse jamais les clients des filles !

Ha OK ! Dit Kader, puis, se tournant vers moi, il poursuivit :

Les deux cents balles sont pour toi, Théo. En fait, je te propose d’aller acheter une jolie montre à ta mère ou un bracelet, pour les deux cents balles. Tu lui offres, et ensuite, quand elle aura un peu frimé avec le beau cadeau de son fils, tu lui diras qu’elle peut y attacher un beau souvenir, le jour où elle a eu Mousse et Momo dans son cul de pute !

Tu es réellement totalement pervers, Kader.

Devant la maison, je les saluai et entrai, refermai soigneusement la porte et m’installai dans la cuisine, dos à l’évier et à la fenêtre. Face à la porte du sous-sol, mais avec la table entre moi et la porte. Une sorte de simulacre de tribunal !

J'attendais, les mains jointes, les coudes sur la table, j'attendais.

J'entendis la porte du garage s'ouvrir, puis, un instant plus tard, se refermer. Bientôt, j'entendis les pas de ma mère dans l'escalier qui menait à la cuisine et la porte s'ouvrit.

Je jouai la surprise quand je vis dans quel état ma vieille, habituellement si exigeante pour ses tenues.

Ha ben, t’es propre !

Ho, ne commence pas, Théo ! Si tu savais…

Ouais je sais ! J’ai eu un coup de fil, paraît que tu as mordu ton client !

Ne me parle pas comme ça, je suis ta mère après tout...

Ma mère ! Oui... Mais aussi et surtout une vieille putain qui tapine pour payer son maître chanteur. Connasse !

Pitié, Théo, ne me parle pas comme ça.

Viens ici. Mon ordre claqua comme un coup de fouet après un tout petit instant de silence qui aurait pu faire croire à ma daronne que j’allais la laisser en paix.

Ma pauvre putain humiliée se rapprocha de moi avec un air penaud, les yeux fixés au sol, encore dans son état d'esprit de femme bafouée.

Mais dans quel état tu es ! Tu as les fringues qui sont tout dégueulasses, plein de terre.

Mais, c’est à cause…

Je me levai d’un bond de ma chaise et lui donnai une grande claque sur la joue gauche. Puis, avant qu’elle n’ait eu le temps de réagir d’aucune manière, je lui ordonnai, d’une voix sombre, les dents serrées :

À poil ! Toutes tes fringues sur la table...

Ne sachant plus quelle attitude adopter, encore toute chamboulée par la séance avec les deux maquereaux, ma vioque fit sagement ce que je venais de lui intimer.

Elle posa son blouson, défit son chemisier et enleva les bretelles de son soutien-gorge. Puis, elle descendit un peu et le fit tourner autour de son ventre, elle le détacha enfin. Ensuite, elle retira ses mocassins sans se baisser, en s’aidant de ses pieds, puis fit glisser son pantalon après avoir ouvert le bouton et descendu la braguette de quelques centimètres.

Enfin, elle s’arrêta net, comme un automate qui tombe en panne.

Et ta culotte ?

Non Théo ! Sois mignon… Commença-t-elle à pleurnicher en penchant sa tête sur le côté avec son petit air de chienne apeurée.

Retire ton slip ! À nouveau, j’aboyai l’ordre.

Je regardai le fameux collier qu’elle avait gardé autour du cou.

Béatrice descendit doucement sa culotte de dentelle, avec sa main gauche. Le linge était plus gris que blanc, sale de la poussière du sous-bois. Elle souleva le pied droit, puis le gauche et se remit droite, les bras le long du corps, main tenant toujours le léger vêtement.

Sur la table...

Elle déposa la culotte sur le reste du linge, l’air honteuse, car je pense qu’elle avait remarqué les souillures brunâtres qui ornait la fine dentelle.

C’est quoi ces traces marron sur ton slip ? Tu n’es plus étanche ? Tu te fais dessus comme les petites vieilles incontinentes ?

Non, ce n’est pas ça…

Stop ! Tes excuses bidon et ton baratin, je connais déjà. Par contre, viens tout de suite à côté de moi.

Je restai assis et attendis que ma vieille soit à côté de moi pour lui ordonner encore :

Penche-toi en avant. Et, tout en lui intimant l’ordre, je la fis pivoter sur elle-même pour qu’elle finisse par me présenter son cul.

Béatrice était maintenant là, devant moi, penchée en avant, les mains sur ses genoux, le dos rond. Elle ne bougeait pas.

De deux doigts, j’écartai les fesses pour bien pouvoir observer l’anus. Celui-ci était encore bien entrouvert, elle avait dû déguster, la mère ! Et, bien entendu, la vallée culière était souillée de taches d’excréments, de coulures brunâtres malodorantes.

T’es vraiment une dégueulasse ! Tu ne pouvais pas te laver le cul avant d’aller faire la pute pour rattraper tes conneries ?

Et sans autre forme de procès, j’enfonçai mon index dans l’anus, le ressortis aussi vite et, me penchant sur le côté de la chaise, enfournai mon doigt dans la bouche de Béatrice.

Ha, t’es dégueulasse !

Non, non, c’est de ton cul que vient mon doigt, pas du mien qui est propre, lui...

Arrête ça ! Dit alors, tout à fait excédée, ma vioque en se remettant debout et se tournant vers moi avec un regard méchant.

À peine avait-elle fini son mouvement, que je lui décochai une gifle magistrale qui la déséquilibra et elle dut se rattraper à l’évier tout proche.

Tu me parles sur un autre ton ! Morue que tu es... En plus, c’est quoi ces conneries de mordre les clients ?

Mais…

Elle avait les yeux écarquillés et se mit à pleurer au bout de quelques secondes durant lesquelles nous nous étions regardés dans les yeux. Toute ma haine devait passer par ce regard.

Kader m’a téléphoné pour me dire que non seulement, tu as mordu un client à la bite... Tu pourrais faire un effort ! Tu as toujours ta grande gueule d’ouverte avec tes " copines "… Mais en plus, tu sais que les clients aiment t’enculer et tu y vas avec le cul plein de merde ! C’est quoi ces conneries, là ? Kader m’a dit de te faire un lavement la prochaine fois, il m’a expliqué comment faire…

Et, alors qu’elle pleurait de plus en plus, je me levai rapidement, la repoussai de façon à ce qu’elle soit le cul contre le bord de l’évier froid. Je fis le tour de la table en marbre et ouvris le frigo. Je pris une bouteille de bière.

En revenant vers l’évier, je passai devant le bahut de cuisine, j’en profitai alors pour prendre le décapsuleur et ouvrir la bouteille. Puis je posai la bouteille sur la table et vins me planter devant la vioque.

Elle était là, les fesses sur le rebord de l’évier en faïence blanche, froid. Les épaules abaissées, les bras ballants de chaque côté de son corps, comme une marionnette désarticulée. Le cou orné de cette horrible ficelle assortie avec, en guise de pendentif, deux capotes usagées. Les yeux fixés sur le carrelage, devant ses pieds. Elle devait se demander pourquoi toute cette haine à son encontre. Car, à tous les coups, elle avait déjà oublié, ou voulu oublier, les frasques qui l’avaient amenée à toutes ces turpitudes.

Allez, je vais te laver le cul puisque tu n’es pas capable de le faire toute seule…

Je trouvai que de laver ma propre mère, était quelque chose des plus pervers ! Enfin, quand je disais propre, c’était une façon de parler. Ma mère n’avait rien de propre, ni sa vie de poivrote, ni ses attitudes de connasse, vis-à-vis des autres, que ce soit les hommes, ses amies ou la famille, à qui elle donnait toujours tant de leçons.

Mais là, l’idée de lui laver les boyaux me ravissait totalement ! En plus, je riais intérieurement d’avance de l’idée que la bière allait provoquer des gaz, elle qui, soi-disant, ne ventait jamais ! Encore une idée de connasse.

Viens ici !

J’ordonnai plus pour me faire plaisir que vraiment pour être obéi, car j’avais attrapé ma mère par les bras et la guidai pour qu’elle s’allonge sur la froide table de marbre. Le froid avec le lavement, ça promettait un résultat, particulier pour le moins.

Arrête, Théo ! Par pitié ! Je ferai tout ce que tu veux... Dit-elle entre deux reniflements des plus harmonieux.

Je n’avais cure de ses jérémiades, moi je voulais tester le lavement sur une femme, que celle-ci soit ma connasse de mère n’était pas, n’était plus, un problème. Je lui répondis donc du tac au tac :

Hé bien, justement, puisque tu es prête à "tout ce que je veux", allonge-toi sur la table, je vais m’occuper, "comme je veux", de toi.

Et, dans la foulée, je m’emparai de la bouteille de bière et la posai sur ma chaise. Puis j’allongeai ma daronne, en la soulevant de manière à ce qu’elle soit allongée jusqu’aux genoux, le dos sur la table froide, ce qui eut pour effet de la faire pleurer encore plus.

Je vais te laver le cul comme à une petite fille ! Tu te rends compte ? À plus de quarante ans, il faut encore qu’on s’occupe de toi…

Sans lui laisser le temps de répondre, je me penchai sur le côté et pris de la main droite la bouteille de bière. De l’autre main, j’écartai les fesses sales, en laissant libre accès à cet anus encore bien ouvert. Puis j’enfonçai un peu le goulot de la bouteille de bière dans l’anus, mais le liquide ne semblait pas couler, ou si peu.

Je retirai la bouteille, mis mon pouce sur le goulot en guise de bouchon et secouai bien l’ensemble. Puis, le pouce toujours en place, j’appliquai l’ongle du pouce contre l’anus et le retirai prestement, en enfonçant le goulot dans le trou sale.

Cette fois la bouteille se vida bien vite pendant que ma vieille faisait des moulinets avec ses bras en hurlant des « Arrête, arrête ». Elle essayait bien de se soulever de la table, mais ses jambes étaient repliées au-dessus d’elle, empêchant tout redressement.

Voilà, tout est dans ton cul de prostituée… La prochaine fois, on fera ça avant que tu ailles au tapin !

J’avais à peine fini ma phrase, qu’un bruit de chiotte se fit entendre et qu’elle expulsa une partie des trente-trois centilitres que j’avais envoyés dans ses boyaux.

Ha t’es vraiment une dégueulasse ! Tu ne peux pas te retenir ?

Pardon ! Pardon. Aide-moi vite, que j’aille aux toilettes…

Mais c’était peine perdue, un deuxième gaz bien bruyant et malodorant venait de s’échapper de son trou du cul, toujours bien entrouvert. Et une deuxième giclée d’une sorte de sauce brunâtre et mousseuse se répandit sur le carrelage.

Mais, t’es en train de chier sur la table ! Saloperie ! Fous le camp aux chiottes, vieille enculée...

Et là, je l’empoignai par les poignets après avoir relâché les jambes et la tirai, sans ménagement, pour qu’elle se remette debout. Puis je lui flanquai une nouvelle grande claque sur la joue droite en ajoutant :

T’es plus étanche ! Barre-toi saloperie.

Elle sortit alors, en se dandinant honteusement, une main contre ses fesses maigrelettes, les fesses serrées autant que possible. Mais avant de franchir la porte de la cuisine, un nouveau pet se fit entendre, et une nouvelle giclée se répandit par terre, malgré sa main en protection.

Elle poussa une sorte de cri aigu, mais étouffé et se remit à pleurer de plus belle encore.

Je laissai la cuisine en plan et sortis vers les toilettes, en faisant bien attention de ne pas mettre les pieds dans les flaques au sol. Je m’aperçus que cette souillon n’avait pas fermé la porte des toilettes qui était à trois mètres devant moi. En un bond, j’étais dans l’embrasure, devant ma vieille assise sur le trône avec une vilaine grimace qui la dévisageait encore plus que ses larmes.

Béatrice se tenait la tête penchée en avant, les bras croisés sur son ventre comme si elle en souffrait, ses mains crispées sur ses flancs. Une étrange odeur flottait dans la toute petite pièce, sûrement dû à la bière.

Je me penchai par-dessus la vioque et ouvris la petite fenêtre, puis, me collant devant le visage en larmes, j’ouvris rapidement ma braguette, plongeai ma main dans mon pantalon et ressortis ma queue. J’empoignai alors les cheveux de ma génitrice, attirai sa tête contre mon sexe et lui dis :

Suce, c’est ta récompense… Suce la bonne bite de ton fils adoré…

Cette fois, il ne dit rien du tout et happa mon sexe d’un coup. Elle me suça sans mettre les mains, mais en passant savamment et régulièrement sa langue, autour de mon sexe, qui raidit très vite.

J’étais excité et dans un état d’esprit que je ne saurai expliquer. Ma mère, qui me faisait chier avec ses conneries, au figuré, et maintenant, je venais de la faire chier, au propre ! L’excitation était trop forte, je pris la tête entre mes mains et jouis d’un coup en ordonnant :

N’avale pas... Surtout n’avale pas !

La vieille était désormais obéissante, après cette folle soirée, mais elle ne pouvait faire autrement que d’avaler une partie de ce qui lui était envoyé. Toutefois, bonne fille, elle en garda en bouche autant que possible.

Une fois que j’eus joui et que je sentis avoir les couilles totalement vides, je lâchai la tête, prisonnière jusqu’à là. Puis, reculai d’un pas pour revenir dans l’encadrement de la porte. D’une voix plutôt conciliante, j’intimai l’ordre à ma mère :

Ouvre la bouche, montre que tu as mon foutre.

Une fois encore, ma vieille s’exécuta en ouvrant les lèvres, mais pas trop, de peur que le précieux nectar ne coule au-dehors.

Parfait, reste comme ça surtout, ne bouge pas d’un pouce et attends que je revienne, compris ?

Hum, hum… Grogna-t-elle en hochant la tête.

Je remballai mon sexe rapidement et courus dans ma chambre. Là, je pris un appareil photos jetable que j’avais acheté quelques jours auparavant, puis redescendis tout aussi vite. Je me jetai devant la porte des toilettes et l’ouvris en grand, la porte disparaissant contre le mur face à la cuvette.

Je déballai frénétiquement l’appareil alors que la vieille commençait à s’énerver.

Surtout n’ouvre pas la bouche et n’avale pas mon foutre, sinon…

Un peu calmée, mais surtout angoissée, Béatrice fit contre mauvaise fortune bon cœur.

Ouvre la bouche que je puisse voir mon foutre dans ta gueule de vieille chienne !

Bien dressée, elle ouvrit la bouche pour montrer que celle-ci était pleine de salive et de sperme épais mêlés.

Je pris deux photos, une où l’on voyait ma vioque la bouche ouverte, un collier avec deux capotes autour du cou, assise sur les toilettes. puis une autre, plus proche pour avoir le visage en gros plan et la bouche ouverte et son contenu.

Bon, maintenant essuie-toi le cul…

Tel un robot, les yeux dans le vague, Béatrice prit quelques feuilles de papier qu’elle enroula autour de sa main et commença à l’essuyer les fesses, en passant par-dessous sa chatte. Elle en profita pour déglutir et avaler tout ce qu’elle avait en bouche.

Je pris encore quatre photos de cet instant incroyable. Le fils en train de regarder sa mère s’essuyer le cul ! Le monde à l’envers. Plus jeune, c’était pourtant elle qui m’avait appris à m’essuyer.

Quand ce fut fini, je me mis devant ma vieille pour l’empêcher de sortir des toilettes, je la toisai et lui ordonnai encore :

Tu vas tout nettoyer, la cuisine est crado et ensuite, seulement, tu me prépares un bon petit plat, une quiche ou un truc du genre.

Et, avant de la laisser partir, alors qu’elle rebaissait les yeux, je poursuivis d’une voix terriblement dure :

Et, bien entendu, tu restes à poil pour ce soir...

Mais si quelqu'un…

Tu restes à poil ! Si quelqu'un vient, j’irai ouvrir moi-même, compris ?

Oui Théo.

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