Théo-rème de l’inceste Chapitre 16 : en foret de Chinon
Je rentrai de mon petit business vers vingt heures. Le repas était presque prêt, ma daronne était dans la salle de bain, sûrement en train de prendre son bain.
La soirée se passa très tranquillement, ma mère ne voulut visiblement pas reparler de la journée, mais j’avais pu voir dans l’escalier qui menait à ma chambre, sur la troisième marche, deux boîtes de préservatifs.
Je décidai de laisser la soirée se passer au mieux. Le repas, que j’appréciai, néanmoins, fut assez vite expédié, avec peu d’échanges. Ensuite, je sortis de la cuisine pour m’installer devant la télévision et choisis un film sur la chaîne à péage.
Quelques minutes plus tard, Béatrice vint s’asseoir à côté de moi, toute proche, comme si elle cherchait à ce que je la prenne dans mes bras, mais je me retins bien de donner ce signe de tendresse, voire d’amour. Je ne connaissais que trop la méthode, qui consistait à être douce et gentille, après avoir déconné à fond, pour amadouer les hommes. Car ensuite, crescendo, la tension et ses attitudes agressives remontaient toujours petit à petit.
Elle prit un verre et la bouteille de cognac, qu’elle sirota tranquillement tout au long du film.
À la fin de l’émission, je fis encore un bisou sur le front de ma mère qui somnolait déjà. La bouteille de cognac avait pris une claque, un peu moins de la moitié avait été bue. Je sortis de la pièce et remontai dans ma chambre, en emmenant les capotes, que je pris au passage.
Le lendemain matin, je me levai de bonne heure, fis rapidement ma toilette et pris, à la volée, un grand bol de café au lait, puis, partis très vite à l’école, en évitant le plus possible de contact avec la vieille.
Le midi, je déjeunai avec des potes dans un fast-food et j’attendis d’être sûr que la vioque fut repartie au boulot pour rentrer.
Je téléphonai alors à mon pote Kader. Je lui racontai que j’avais sodomisé Béatrice la veille et qu’elle devenait de plus en plus obéissante, mais je le mis aussi en garde sur la façon de faire, à savoir qu’elle serait douce et gentille jusqu’à ce que la laisse se desserre et, ensuite, elle reprenait son rôle de chienne folle.
Kader m’assura qu’il prenait en compte ce que je lui disais. Puis, il me donna quelques idées :
– Tiens, un truc, comme elle rentre bourrée, tu prépares des glaçons avec de la vodka. Dans un bac à glace que tu peux mettre au congélateur, sinon ça ne prend pas. Le lendemain, tu lui dis que tu n’as pas confiance en elle et qu’elle s’est, peut-être, encore fait sauter par n’importe qui, ou tu inventes un autre gros pipeau. Et là, tu lui dis que tu vas lui faire un lavement à l’eau froide et tu lui glisse le glaçon dans la chatte… Au début, c’est bien froid, ensuite ça brûle bien !
– Je vais lui mettre dans le cul, oui...
– Non, sinon ta mère va prendre une sacrée cuite sans picoler, l’alcool passera, beaucoup trop vite, directement dans le sang… Mais tu peux lui faire un lavement avec du pétillant ou de la bière...
– Ha ! Putain ! T’es un sacré Kader.
– Au fait, tu veux voir ta mère se faire tringler dans les bois par deux mecs ?
– Ouais… En plus, j’ai rien à faire ce soir.
– Hé bien, appelle-moi dès que la vieille part, je passe te chercher et toi, tu resteras à l’arrière, avec les vitres noires, tu ne seras pas vu.
– Ouais… D’ac… On va faire comme ça.
Je retournai dans ma chambre et mis en route ma console de jeux, avec le casque, la porte fermée à clef, je pourrais aisément faire croire être sorti.
Comme prévu, ma mère vint à ma porte tambouriner et appeler, mais je ne répondis pas, faisant mine de ne pas être là. Elle redescendit.
Un peu après dix-huit heures trente, j’entendis la voiture démarrer. Je me mis discrètement au Vasistas et regardai la petite voiture rouge partir en direction de la route de Chinon.
Je descendis de ma chambre et passai un coup de fils à Kader.
– Voilà, elle est partie à son rendez-vous.
– Oui, je l’ai vue sortir de la résidence, je passe te chercher.
Quelques instants plus tard, la grosse berline noire de Kader s’arrêta et je montai derrière, la place avant étant déjà occupée. Les deux types qui étaient présents, je ne les connaissais pas très bien, je savais surtout qu’ils étaient, plus ou moins, dans le business. Et en fait, Kader me dit rapidement qu’ils étaient ses oncles. Ils avaient dans les quarante, quarante-cinq ans, et avec leurs breloques et leurs bagouzes, ils faisaient plus maquereaux qu’autre chose.
Kader me présenta comme le pote qui lui avait confié la pute que ses oncles allaient essayer tout à l’heure.
– Tu nous connais, Kader, si ta morue vaut le coup, on t’en donnera un bon prix, de toute façon ça reste en famille. Si c’est la radasse qu’on imagine, on te dira où et comment faire pour en tirer un peu de caillasse.
Tout au long du voyage qui dura environs vingt-cinq minutes, les deux types discutèrent, en arabe, entre eux, avec, de temps à autre, une réponse de mon pote, à leurs interrogations.
Quand nous arrivâmes à l’endroit prévu, je restai bien au fond de la voiture. Ce ne fut en fait pas nécessaire, car la vieille, très sagement, avait suivi les instructions à la lettre et elle était assise à l’arrière de sa voiture avec un foulard en guise de bandeau sur les yeux.
Kader me dira plus tard qu’elle tremblait comme une feuille. Mais à ce moment, il sortit de sa voiture et alla directement ouvrir la portière arrière pour aider Béatrice à sortir et à se tenir debout, son bandeau toujours sur les yeux.
Les deux autres hommes sont aussi sortis de la voiture et attendaient tranquillement que Kader leur montre sa nouvelle tapineuse.
Mon pote prit le temps de faire tourner la vioque sur elle-même, toujours habillée, pour bien la montrer à ses oncles.
– Alors ? Ça vous va ?
– Ouais, pas de première fraîcheur, ta morue ! Mais bon, c’est d’accord.
– Donc, comme convenu, deux cents euros… Vous pouvez l’emmener un peu plus loin, si vous voulez.
– C’est bon ! Dit alors Momo, en lui tendant quatre billets de cinquante.
– Voilà la "française"… Si elle refuse quoi que ce soit, vous me le dites… Et il donna la main de la pauvre femme, qu’il tenait toujours, à Momo.
Béatrice ne disait rien, elle tremblait, mais se souvint aussi de ce que la pute des blacks lui avait dit quelques jours auparavant, ne pas faire la maline, surtout ne rien dire. Mieux, les flatter.
Les deux hommes commencèrent par lui retirer le bandeau, puis ils la déshabillèrent sans se presser, comme s’ils en avaient l’habitude. Ils lui retirèrent son blouson, puis son chemiser et enfin son soutien-gorge, le tout alla directement par terre à deux ou trois mètres de la scène.
On pouvait entendre, en fond sonore, les voitures qui passaient sur la nationale toute proche. Et, à bien y regarder, on pouvait même apercevoir la silhouette des véhicules, nul doute que les passagers devaient pouvoir voir aussi ce qui se passait dans cette clairière au bord de la petite communale.
Kader vint me rejoindre dans la voiture et prit son appareil photo numérique. Il fit, durant toute la soirée, plusieurs photos de ce qui se passait à cinq mètres de la voiture.
Pendant ce temps-là, Mousse se pencha pour défaire la braguette du jeans de Béatrice et fit glisser l’ensemble jeans-culotte le long des jambes minces. Quand il arriva en bas des chevilles, comme la femme ne faisait pas plus d’effort que ça, il tonna :
– Lève tes pieds, connasse ! On paye pour t’avoir à poil, ce n’est pas à moitié à poil.
Sans un mot, Béatrice souleva son pied, elle sentait confusément que ces deux hommes-là n’avaient pas la même bienveillance à son égard que les deux premiers clients noirs qu’elle avait faits. Aussi, devenant subitement bonne diplomate, elle s’abstint de toute rébellion, ne serait-ce que la plus infime.
L’homme ne s’embarrassa pas plus du pantalon, des socquettes qu’il venait de retirer en même temps, que des petites chaussures sans talon, que du reste des vêtements. Et envoya le tout rejoindre le reste à quelques mètres de là. Puis, il se redressa et ouvrit sa braguette. Toujours sur un ton dur et ne permettant aucun commentaire, il dit :
– Allez, tu vas me sucer pour commencer…
Béatrice sentit des mains puissantes la plier et elle se retrouva cassée en deux, les jambes raides, la bouche au niveau du sexe. Un engin déjà de belle taille, qu’elle prit en bouche et commença à le sucer doucement.
– Plus vite morue ! Bouffe et fais-moi bander, j’suis pas ton amoureux. J’suis ton client, connasse !
Elle prit la queue dans sa main droite et branla le sexe en même temps qu’elle suçait. Le membre était chaud, bizarre, un goût âcre en émanait. Le sexe gonflait et prenait de plus en plus de place dans sa bouche, en lui forçant presque la mâchoire.
D’un coup, Momo prit les cheveux mi-longs de la pauvre femme en main, la tira en arrière et, de sa main libre, lui colla une grosse gifle et lui dit :
– J’ai senti tes dents, connasse ! Je ne paie pas pour qu’une enculée de française me raye la bite... Alors fais gaffe.
Et il guida sèchement la tête de la pauvre femme sur son sexe.
De là où j’étais, je pouvais tout voir, sans que la vioque ne puisse, elle, me voir. Le fait que ma pute se fasse dresser par deux vrais maquereaux m’excitait terriblement. Je bandais, surtout depuis que j’avais vu et entendu ma vieille se prendre une grande claque bien sonore.
Béatrice se sentait sale, elle en avait pourtant fait des fellations, dans sa vie de salope. Et même avec des mecs louches, dans des soirées glauques où, fait rassurant et bonne excuse, elle était bourrée. Mais là, se faire mettre à poil devant ces mecs bizarres, par cette espèce d’ordure de copain de son fils chéri, c’était déjà totalement dégradant. Mais en plus, une grande claque, comme même son père ne lui en a jamais donné, là, c’était trop pour elle.
Comme elle aurait aimé que son fils soit là, à ce moment précis, pour la défendre et l’enlever des pattes de ces deux porcs puants.
– Putain ! Mais t’es vraiment conne ou tu aimes les tapes dans la gueule ?
Béatrice venait de recevoir, de la même façon, une nouvelle grande claque sonore dans la figure. Puis, elle se sentit guider à nouveau vers le sexe qu’elle aurait mordu, elle était étonnée que tout se passe si vite. Aussi, elle reprit sa fellation. Cette fois, faisant très attention à ce que ses dents ne rentrent pas en contact avec le membre viril, dressé si fièrement. Mais c’était peine perdue, le sexe étant vraiment gros maintenant, il frotta sur ses dents.
Et pan ! Une troisième claque, encore plus forte que les précédentes. Ce coup-ci, l’homme qui tenait la pauvre femme fermement par les cheveux, la secoua comme un prunier et lâcha, les dents serrées :
– Je te promets que tu feras attention avant que je n’aie mal aux mains ! Tu comprends le français, connasse de boîte à bites ?
Je ne pus m’empêcher de laisser échapper un petit rire, Kader se tourna vers moi et me demanda :
– Alors ? T’en penses quoi de mes chers "tontons" ?
– Que, visiblement, ils ne se laissent pas faire et s’y connaissent pour débourrer une vieille pute, qui fait sa mijaurée ! Ça m’éclate de voir la veille se prendre des torgnoles. Elle, qui avait la main si leste avec mon père et qui n’a jamais osé me mettre vraiment une claque.
– Moi, j’aime bien quand ils la baladent, rien qu’en la tenant par les cheveux…
À nouveau, elle fut mise en position pour sucer et fut obligée de gober le gros dard de chair qu’on lui présentait. Et à nouveau, au bout de quelques instants, elle se prit une claque magistrale.
Cette fois-ci, ce fut de trop ! Et Béatrice, à poil dans un sous-bois, au bord d’une petite route, à deux pas aussi d’une nationale, ne put s’empêcher de pleurer.
L’homme lui recolla sa grosse pine dans la bouche, pendant que Mousse, se voulant conciliant et aimable, vint s’accroupir aux côtés de la pauvre femme et lui susurra à l’oreille :
– Il n’a pas un mauvais fond, en fait, mais il n’aime pas les prostitués qui ne font pas bien leur boulot… Fais un effort, ouvre plus grand ta bouche, sois une bonne fille…
Bien sûr, de là où j’étais, même avec la vitre entrouverte, je ne pus entendre les propos du deuxième "oncle". Et, intrigué, je demandai à mon pote et complice ce qu’il en pensait.
– Ils jouent à bon flic – bad cop… Si les keufs jouent souvent ce petit jeu pour nous déstabiliser, il ne faut pas oublier qu’ils l’ont appris de nos méthodes pour "éduquer" les filles.
– Eh bien, je te dirai plus tard, si l’éducation de la vieille a été bonne !
Toujours penchée en avant, pliée en deux, même, Béatrice faisait des efforts titanesques pour ouvrir encore plus grande sa bouche, s’arrachant pratiquement la mâchoire. Mais le sexe était définitivement trop gros et ce pervers personnage le savait et en profitait pour l’enfoncer le plus possible dans la gorge de Béatrice qui eut un premier haut-le-cœur. Et elle mordilla le sexe !
Et vlan, encore une claque, mais alors cette fois donnée avec toute la force dont l’homme était en possession, le genre de claque qui n’est QUE donnée ! Pas question de la rendre.
– Vielle pute ! À ton âge, tu n’es toujours pas capable de faire bien, connasse ! Tu veux qu’on te mette en stage en Bosnie ?
Cette fois, et bien qu’elle soit toujours en pleurs, elle eut conscience que ces mecs-là étaient capables de mettre leurs menaces à exécution. Et elle repensa à ses frasques et aux conneries qui l’avaient amenée à cette situation terrible.
Elle se faisait, à nouveau, enfourner brutalement ce pieu de chair dans la bouche. Bien entendu, elle ne put pas ouvrir suffisamment la bouche pour éviter, à coup sûr, que ses dents ne touchèrent les chairs raides.
Retour devant Momo, et encore une grande claque très douloureuse.
– Je sais que t’es qu’une pauvre connasse, mais savoir qu’on ne met pas les dents, ça, tu devrais pouvoir le comprendre ! Et en plus, tu es secrétaire dans cette grosse boîte. Ils embauchent vraiment n’importe qui.
– Pardon monsieur, mais votre sexe est si gros, que je n’arrive pas à ouvrir la bouche assez pour le laisser passer. Dit-elle en pleurant.
– Bon d’accord, je vais être bon avec toi…
Et sur ces bonnes paroles, qui auraient pu être réconfortantes, il retourna vigoureusement la pauvre femme, la plia à nouveau en deux. Il sortit prestement une capote de sa poche de pantalon et ouvrit l’emballage avec les dents. Puis la plaça, très vite aussi, sur son gros sexe. Ensuite, il présenta son gros gland aux portes de l’anus, qui n’était ni préparé ni lubrifié, seul le peu de gel dont la capote était enduite pouvait faire office de lubrifiant.
Ma vieille ne comprit pas du tout ce changement de ton et se laissa conduire et guider pour atteindre la position que l’homme voulait. Et là, après une seconde ou deux d’attente, une douleur fulgurante lui traversa le ventre. Elle crut mourir et sentit que ses jambes ne la portaient plus.
À cet instant précis, Mousse, le "gentil", vint attraper la blondasse et la soutint pour que son complice de frère puisse enculer la femme tout à loisir.
– Aie ! Ouille… Ouille… Ouille… Gueula ma mère, si fort qu’on aurait sûrement pu l’entendre dans les voitures qui passaient au loin.
– Ha ! Tu n’as plus mal à la bouche, ma chérie ? Demanda goguenard Momo avec un grand clin d’œil complice à son frère.
Et quand Béatrice recommença à pouvoir se tenir sur ses jambes tremblantes, Mousse en profitait pour ouvrir sa braguette et enfouir son sexe encore mou, dans la bouche de ce visage déjà bien meurtri.
– Ils sont redoutables ces salauds de tontons ! Ricana Kader en se tournant vers moi.
– La vache ! Les pauvres filles doivent déguster avec eux ! Sont balèzes dans leur genre.
Je voyais ma vieille se faire déchirer le cul après s’être bien fait frapper, ça m’excitait. En mème temps, dans ma pauvre tête, des images de ma douce Laura me revinrent, cette fille que j’avais aimée, que j’aimais peut-être encore, qui faisait la pute avec son voisin. Et si un jour, elle tombait sur des mecs comme ça ?
Momo limait comme un démon, ce cul bouillant. Il savait parfaitement que, sans préparation et avec son calibre, la sodomie serait douloureuse. Que la femme aurait l’impression que son anus brûlait, voire, qu’elle ne pourrait plus se retenir et que ses boyaux se videraient d’eux-mêmes.
Mousse, quant à lui, jouant le rôle du bon client attentionné, poussait sa queue toujours plus loin dans le gosier de ma vioque.
À ce rythme-là, ma vioque eut son deuxième haut-le-cœur, et ne put s’empêcher d’avoir une remontée d’acide, de son estomac.
L’homme le sentit et ressortit de la bouche, son sexe dégoulinant de bave visqueuse, mélangée à de l’acide gastrique.
– Ha ! Tu es une bonne fille, je vois que tu aimes ça, faire des "gorges profondes", c’est très bien ma chérie, les clients adorent ce genre de choses.
Et sans laisser à la pauvre femme le temps, ni de répondre, ni même de reprendre son souffle, il introduisit à nouveau son sexe épais dans la bouche. Le fait de lui obstruer la bouche avec son sexe et de pousser celui-ci le plus loin possible, dans la gorge de la pauvre Béatrice, fit que celle-ci ne pleurait plus.
– Tu vois, notre pute devient bien sage maintenant, comme quoi, mes "tontons" sont bien efficaces, non ?
– Ouais… À voir à l’usage, parce que je la connais, elle sait faire semblant de demander pardon ou d’être sympa, mais jamais pendant très longtemps.
– Bon, on verra bien, sinon elle aura droit au traitement pour les rebelles…
De la bave et de l’acidité coulait de la bouche de Béatrice qui ne faisait plus attention si ses dents rayaient ou non le sexe qui la défonçait. Son anus la brûlait toujours autant, mais elle ne pouvait pas crier, la bouche totalement envahie.
Momo, sur le point de jouir, fit un signe à son complice de frère, puis retira sa queue de l’anus entièrement dilaté. Il vint alors devant la vieille, pendant que Mousse passait derrière et s’empressait d’enfiler une capote à son tour.
– Bouffe, morue ! Ordonna-t-il en enfonçant sa queue dans la bouche de Béatrice.
La pauvre femme commença à sucer cette grosse queue, faisant le plus d’effort possible pour ouvrir sa bouche. Le goût de la capote était détestable, mais elle ne s’en plaignit pas, de peur de prendre une autre tournée. Puis, elle ressentit une nouvelle brûlure terrible, le deuxième homme venait de la prendre par l’anus.
– J’ai déjà vu le truc, mais tout de même, ça me dégoûte toujours autant de ma vieille, elle suce ce qui sort de son cul !
Momo se recula d’un petit pas pour ressortir sa bite et retira sa capote d’un geste précis, puis enfourna à nouveau son sexe, cette fois nu, dans la bouche chaude.
Mousse limait à son tour, comme un beau diable, ce trou du cul, son frère n’avait pas réussi à ce qu’ils aimaient faire pour humilier les putes. Aussi, il mit toute son énergie, et redoubla de violence dans ses coups de reins.
D’un coup, Momo se raidit et empoigna la tête de ses puissantes mains, enfonça encore plus loin son sexe et jouit dans un concert de cris rauques et d’injures en arabe.
La vieille n’avait aucun moyen de se soustraire à ce traitement et le foutre, par saccades, alla directement dans l’estomac.
Mousse, de son côté, sentait que ma mère n’était pas loin de jouir, et ce, malgré son anus en feu et son ventre qui la brûlait qui la consumait.
Momo ressortit un peu sa queue, mais pas complètement, pour que les dernières giclées restent dans la bouche, de la vieille pute, de manière que son haleine sente la putain en fin de turbin, justement.
À ce moment-là, Mousse pilonnait littéralement le cul de la pauvre femme dont son frère tenait toujours la tête, sa bite en train de débander au chaud dans la bouche gluante.
Ma vieille commençait à donner des signes de plaisir, puis, au fur et à mesure que le temps passait, de jouissance. Elle se décontractait et se relâchait. Bientôt, je pus même entendre ses gémissements de plaisirs, que je connaissais si bien.
Mousse ne cessait pas, et au contraire, il accélérait de plus en plus ses coups de boutoirs et poussait même la plaisanterie jusqu’à s’occuper du clitoris avec un doigt malicieux.
Sa tête explosait presque. Béatrice se laissait aller au plaisir, maintenant que les claques dans la gueule et la brûlure de son ventre étaient loin. Elle prenait du plaisir, et le fait que les deux affreux bonhommes aient payé pour pouvoir la sauter, l’excitait même ! Elle se laissa totalement aller.
Ce qui devait arriver, arriva. Ma vioque, qui n’avait pas fait de lavement préalablement et qui se faisait visiter les entrailles avec une telle vigueur, ne put s’empêcher de laisser échapper de son sphincter déformé quelques coulures brunâtres. elles enduisirent aussi un peu le préservatif.
C’était le signal attendu par le "bon" Mousse ! Il attrapa les cheveux de l’enculée et la retourna de toutes ses forces, perdant en un instant son titre de "gentil garçon", puis introduisit la pine capotée, dans la bouche de la femme, absolument surprise.
Elle le fut plus encore quand elle sentit ce goût amer et nauséabond lui remplir la bouche. Elle aurait voulu s’enfuir, crier, cracher, elle ne savait plus, mais là, d’un coup, elle se sentit encore plus sale que jamais auparavant.
– Vieille dégueulasse ! tu m’as chié sur la bite ! Suce et nettoie-moi bien, vieille pute pourrie !
Elle se remit alors à pleurer, mais fit, tout de même, ce qu’on lui ordonnait, de peur de se prendre des coups.
Encore quelques instants plus tard, Mousse sentit monter en lui la jouissance libératrice. Après l’effort, le réconfort, il ressortit alors son sexe dur de cette chaude bouche, tout en tenant fermement de l’autre main la poignée de cheveux. Il retira sa capote et enfourna, encore une fois, son sexe raide et palpitant.
Pendant ce temps, Momo avait sorti de sa poche un bout de ficelle et y avait accroché sa capote odorante. Il récupéra celle de son frère, et l’accrocha aussi.
Mousse se vida les couilles dans la bouche de la mère. Il maintenait, de ses mains puissantes, la mâchoire bien fermée autour de son membre, de manière que son foutre reste entièrement dans la bouche de cette vieille pute maigrelette. Une fois qu’il eut fini de jouir, il lâcha la pauvre femme et lui refila une gifle tonitruante qui la renversa.
– Pour t’apprendre à chier sur les clients, connasse !
Ma vielle était par terre, sur son cul, une jambe repliée, l’autre à moitié allongée, et elle pleurait.
C’est alors que Momo s’approcha d’elle, et lui mit autour du cou la ficelle avec les deux capotes usagées, et lui dit :
– Tu porteras ce joli collier pendant toute la semaine. Si tu l’enlèves, je le saurai, et crois-moi, tu prendras une dérouillée, qui t’apprendra tout de suite à obéir, c’est compris ?
– Oui monsieur. Bredouilla encore Béatrice.
– Et dis-toi bien qu’à ton boulot, j’ai aussi des amis, et si tu ne veux pas qu’ils affichent des photos compromettantes dans tous les coins, tâche de bien obéir à ton patron, Kader ! Sinon, gare.
Et les deux maquereaux repartirent en direction de la voiture, alors que Kader sortait à demi de sa place de conducteur pour ordonner encore à ma vioque
– Tu attends un quart d’heure avant de repartir, c’est compris ?
– Oui... Répondit Béatrice entre deux sanglots.
Commentaires
Enregistrer un commentaire