Théo-rème de l’inceste Chapitre 15 : la bonne secrétaire

 

Je rentrai de l’école vers quinze heures quinze, environ. Avec deux potes, nous n’avions pas pu nous isoler pour rouler et fumer notre bédo, aussi j’étais énervé d’avoir été pisté par ce casse-pied de pion. Et c’est dans cet état d’esprit que j’arrivai à la maison.

J’essayai de téléphoner à deux autres potes, mais pas de chance, personne n’était disponible. J’avais deux ou trois heures à perdre avant d’aller faire mon petit business, mais pas vraiment envie de fumer.

Puis, je me souvins que la mère était repartie au bureau avec son cul plein de mon foutre. Une bonne idée me vint alors à l’esprit. Je pris le téléphone et composai le numéro de son bureau.

Oui, le secrétariat des études.

Maman, c’est Théo.

Oui mon chéri, qu’y a-t-il ?

Je voulais savoir si tu sentais encore bien tout mon amour en toi ?

Ho ! Théo ! Ne recommence pas, sois mignon mon Théo...

Moi, je suis sûr que tu as eu des fuites et que tu as des traces au fond de ta culotte…

Je n’ai pas le temps avec ces gamineries, Théo ! Cette fois, la voix de ma mère était devenue dure, très bien…

Bon, je pense que je vais laisser quelques copies des courriers que tu reçois pour Maxime…

Allez ! Arrête. J’ai du travail, Théo.

Ouais, mais pour le moment, tu vas faire une petite pause et aller aux toilettes…

NON Théo ! Je n’ai pas le temps !

Mais si, ma pute, et tout de suite encore, tu vas retirer ta culotte qui doit être pleine de MON foutre... Et ce soir, je vérifie que tu rentres bien cul nu sous ton froc !

Allez, sois sympa, arrête de m’embêter, s’il te plaît...

Quand tu obéiras... Donc là, tu files aux chiottes… Compris ?

Bon d’accord, mais ne m’appelle plus s’il te plaît, j’ai vraiment du travail !

Tu en rajoutes ! Bien, alors tu prends une gomme, que tu te mettras dans le cul pour la peine !

Mais…

Ça suffit, fais ce que je te dis et gare à tes fesses si, ce soir, je vérifie et que tu n’as pas suivi mes consignes. Mon ton ne laissait la place à aucun refus.

Je raccrochai, fier de mon idée de la gomme et excité de savoir que la vioque allait se balader sans culotte sous son pantalon au bureau.

J’allai à mes rendez-vous un peu plus tard, mais je tenais à être à la maison sur le coup de dix-sept heures quinze, heure à partir de laquelle ma daronne arrivait du boulot.

Elle arriva à peine plus tard, sur le coup de dix-sept heures vingt-cinq, pour s’être arrêtée acheter du pain.

Je m’installai à la table de la cuisine, dos à la fenêtre, juste devant l’évier, à l’opposé exact de la porte du sous-sol. J’entendis la porte du garage s’ouvrir, puis un peu plus tard se refermer et, enfin, je vis la porte du sous-sol s’ouvrir.

Ma mère apparut et parut étonnée de me voir ainsi attablé. Et tout de suite, elle voulut prendre les devants, sachant pertinemment ce que j’allai lui demander.

Tu ne commences pas avec tes imbécillités !

Autrement dit, tu ne m’as pas obéi… Bon, je sais ce qu’il me reste à faire...

Arrête, je t’en supplie, arrête de me tourmenter, je le suis déjà tellement !

Viens ici. Le ton de mon ordre fait sursauter Béatrice qui vient docilement vers moi, sans se presser, mais sans pour autant traîner des pieds. Baisse ton pantalon, vite ! L’ordre est cette fois aboyé.

Comme dans une sorte de rêve ou plutôt d’un état second, ma mère commença par poser son sac à main sur la table en marbre, puis, défit la braguette de son pantalon et le baissa à mi-cuisse. Elle était, maintenant, chatte à l’air, devant moi, à moins d’un mètre.

J’étais ravi ! Elle n’avait pas de culotte. Sa chatte lisse laissait apparaître ses petites lèvres qui dépassaient des grandes. Je la pris par la main et la fis tourner d’un demi-tour sur elle-même. Puis je me levai d’un bond et la forçai à bien se pencher en avant.

Une odeur âcre, très musquée, emplit aussitôt mes narines. J’écartai ses fesses à pleine main, sans ménagement, mais sans violence non plus. L’anus était comme entrouvert. Je gardai les fesses bien écartées avec deux doigts de ma main gauche. Je pris mon index et mon majeur joints en bouche, pour bien les enduire de salive, puis, sans autre forme de procès, je les introduisis, d’un coup, dans le trou marron entouré de traces blanchâtres et d’autres, d’un brun très clair.

Ouille ! Arrête… Commença à pleurnicher ma daronne, cela dit, elle ne fit pas, pour autant, un mouvement pour se soustraire à mon traitement honteux.

Tu permets ! Je vérifie que la gomme est en place.

Mais j’ai fait ce que tu m’as dit… PFFffeeeeuuu… Mais je n’étais pas à l’aise pour bosser ensuite ! Faut que tu arrêtes tes bêtises Théo. S’il te plaît, sois gentil...

Mais si, maman, ça t’excite de faire ce genre de truc pour ton fils, sois honnête, reconnais-le...

Non Théo ! Je t’assure, ça me gêne, j’ai l’impression que tous mes collègues savent…

Ben ça ! Forcément ! Quand tu fais n’importe quoi en boîte, vu la taille de la ville, c’est bien le diable s’il n’y a pas quelqu’un qui te connaisse et qui te voit délirer et faire la vieille chienne en chaleur !

Ho, tais-toi Théo…

Bon allez, montre-moi ta culotte maintenant. Dis-je alors, en retirant prestement mes doigts de ma vioque et en me reculant un peu.

Doucement, presque tendrement, Béatrice se remit droite, puis remonta son pantalon. Ensuite, elle prit son sac à main et l’ouvrit. Sa main plongea au fond un instant, puis refit surface en tenant le vêtement demandé.

Je pris la culotte qui m’était tendue et commençai alors une rapide inspection. Tout de suite, je vis que la culotte portait des traces blanchâtres et quelques traits d’un brun très clair. Je tendis un peu le tissu pour les mettre en évidence, puis les montrai à ma vioque en lui disant :

Ma maman chérie a des fuites, son petit cul n’est plus étanche ?

Arrête ! Arrête, arrête, arrête…

Son ton plaintif avait le don de m’exciter à chaque fois. Je portai la culotte à mon nez, humai un instant les odeurs, puis annonçai fièrement :

Ça sent bon l’enculée…

Et dans la foulée, je portai la culotte, dont je tendais toujours le tissu, sous le nez de Béatrice.

Sens… Sens l’odeur de l’amour de ton fils adoré…

Ho Arrête ! Elle avait la tête penchée, les yeux froncés de tristesse, un rictus au coin des lèvres reflétant son âme tourmentée.

D’un geste précis, je collai littéralement la partie souillée de la culotte contre les narines maternelles.

Goûte, c’est mon amour pour toi… Lèche maman chérie...

Je pense qu’à cet instant, elle se retrouva dans une phase mentale qui ne lui permettait plus de refuser ou de se rebeller, comme elle aimait pourtant tant faire. Docilement et doucement, elle sortit un petit bout de langue et vint la mettre au contact du tissu souillé par ce qui était ressorti de son corps.

Je retirai alors brusquement la culotte et l’enfouis dans la poche de mon jeans, puis je fis glisser ma braguette et sortit mon sexe sans autre forme de procès.

Allez, tu as été bien obéissante, voici ta récompense ma petite maman...

Elle se pencha bien en avant, prit mon sexe en main et le porta à sa bouche.

Il est vrai que de voir ma vieille prête à lécher sa culotte pour m’obéir m’avait mis le feu aux roubignoles ! Maintenant, ma salope m’obéissait. Elle allait au boulot le cul plein de foutre, se baladait sans culotte sous son pantalon, se glissait même une gomme à ma demande ! Et même prête à lécher sa culotte dégueulasse pour moi ! Ma mère me répugnait, mais en même temps, m’excitait et je me demandai jusqu’où je pourrai aller comme ça ?

Pour le moment, j’avais ce qu’on appelait avec les potes, une demi-molle, pas encore une totale érection, mais déjà le sexe bien gonflé. Et cette bouche un peu fraîche, me fit durcir en quelques secondes.

Béatrice était, certes, une vieille dégueulasse, une folle du cul qui ne voulait pas se l’avouer, mais il fallait reconnaître qu’elle savait sucer et faire jouir les hommes ! Elle pompait ma tige avec la ferveur d’une première communiante. La taille de mon engin ne semblait pas lui faire peur, pourtant, à regarder les sexes des mecs sur internet, je ne faisais pas partie du bas du tableau, au contraire.

Très vite, entre l’excitation de voir ce que je pouvais tirer de ma salope de mère, le stress de l’après-midi, je saurai plus tard que c’était une forme de manque, et les savantes caresses qui m’étaient prodiguées, je jouis très vite.

Hummm ! Hummm… ! Grogna alors Béatrice en avalant le foutre tiède qui lui était injecté dans la bouche, sans qu’elle n’en perde la moindre goutte.

Ho putain ! Que c’est bon...

Je ne mentais pas, de jouir me faisait un bien inouï, j’en aurais presque eu de la tendresse pour la salope de pompeuse qui était devant moi, penchée en avant, comme une pute qui rince son client vite fait, bien fait.

Je plaquai, de mes mains, la tête maternelle contre mon pubis, le temps de décharger les dernières gouttes. Puis, sans méchanceté, mais d’un geste précis, je la repoussai un peu plus loin et l’aidai à se remettre debout.

J’avais envie de lui faire un bisou sur les lèvres, mais elle venait d’avoir la bouche pleine de foutre, aussi je m’en abstins. Je la guidai vers la sortie de la cuisine, et, avec une petite tape sur le cul, comme on en donne aux juments pour les récompenser, je lui ordonnai tranquillement :

Va faire les courses, j’ai envie d’un bon bifteck ce soir au dîner.

Ho non. J’ai envie d’un bon bain !

Je te demande d’aller faire quelques courses, tu prendras un bain plus tard…

À nouveau, le visage de ma génitrice s’assombrit et le même rictus que précédemment, s’afficha au coin de ses lèvres. Elle fit demi-tour pour prendre la direction de la porte du sous-sol et prit, au passage, son sac à main sur la table.

Quand elle ouvrit la porte, j’en profitai pour lui imposer encore :

Ah oui ! Pense à acheter des capotes...

Je peux te donner des sous pour que tu ailles…

Non, c’est pour toi, tu te fais sauter par n’importe qui, je n’ai pas envie de me choper une saloperie !

Sans rien répondre, Béatrice commença à descendre les marches et referma la porte derrière elle, limite en la claquant pour marquer son mécontentement.

Moi j’en profitai pour aller dans la salle de bain me laver le sexe, puis, j’allai chercher quelques petites barrettes dans ma chambre et sortis pour aller me faire un peu d’argent de poche.

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