Théo-rème de l’inceste Chapitre 14 : sodomie dans la cuisine

 

Le vendredi matin, comme j’avais un cours de science qui me plaisait bien, le prof était sympa et moins présomptueux que la majorité de ses collègues, je me retrouvai au petit déjeuner en compagnie de ma vieille.

Tu as bien dormi au moins ?

La question était pernicieuse, vu le visage ravagé de ma mère qui avait dû passer une bonne partie de la nuit à pleurer.

J’ai honte de ce que j’ai fait, Théo… Et en même temps, je me sens comme folle, attirée par toi, mon enfant, mon fils… Je ne sais plus où j’en suis !

Moi, je n’ai pas honte, voilà ! Ma reume est une putain, je suis un fils de pute, mes potes le savent, je vis avec…

Oh Théo ! Tu es si dur avec moi.

Et comment on va annoncer ton nouveau métier à Maxime ?

Ho tais-toi ! S’il partait, j’en mourrais ! Tu ne lui dis surtout rien...

D’accord, mais en attendant, quand on sera tous les deux, la semaine, tu seras à mon service, pour le cul comme pour le reste.

Et, sur ces bonnes paroles, je me levai sans lui laisser le temps de réfléchir, ni même de répondre. Je fis le tour de la table en marbre et vins déposer un chaste bisou sur son front. Puis je m’éclipsai prestement dans ma chambre, pour redescendre quelques minutes après et me sauver à l’école.

Le week-end fut tranquille. Maxime était là, fidèle à lui-même, essayant de s’intéresser à moi sans trop me gaver. Mais moi, le week-end, j’avais du business et de la maille. Il y eut bien un petit clash avec ma vieille, mais comme les vieux ne sortirent pas, cela resta très supportable. Il n’y avait pas les turpitudes dues à l’alcoolisation des deux, même si c’était surtout ma vioque qui picolait dur.

La semaine suivante, le lundi midi, un autre courrier arriva. Nous étions à table quand le facteur posa le courrier dans la boîte aux lettres. Béatrice se précipita presque dans le jardin pour chercher le courrier, puis revint avec le même empressement. Fébrilement, elle ouvrit l’enveloppe, puis se laissa tomber sur la chaise en pleurs.

De ses mains, je pouvais voir une des photos compromettantes, avec un texte au dos.

Ma chère Béatrice, arrêtant un instant de pleurer, la relut rapidement, en psalmodiant « ce n’est pas vrai ! Mais ce n’est pas vrai... » Et se remit à pleurer aussitôt la fin de sa lecture.

Je m’emparai de la lettre des mains crispées sans violence et lus à mon tour.

Cette fois, la missive demandait à ma mère de se rendre à un mystérieux rendez-vous en forêt de Chinon. Nous connaissions bien la route puisque c’était la route que nous prenions quand la vieille m’emmenait voir mon père.

Le courrier indiquait un endroit très précis : « Demain, mardi, aller jusqu’à la maison forestière de Xaintrailles. Après Azay-Le-Rideau, au début de la forêt, juste après la grande côte, à droite, prendre le chemin le plus à droite. Rouler deux-cents mètres, puis se garer sur le petit chemin à gauche, juste devant la barrière ».

Mais là où Kader avait été malin, c’était qu’il avait demandé clairement : « Munis-toi d’un foulard ou une écharpe qui devra te servir de bandeau. Arrivée sur place, tu passes à l’arrière et place le bandeau sur tes yeux. Et tu attends sagement sans bouger. N’oublie pas de laisser les portières déverrouillées ».

Je retournai la feuille et regardai longuement la photo comme si je ne l’avais jamais vue auparavant. On y voyait Béatrice, avec une grosse queue en bouche et une autre dans sa chatte ou son cul. De là où avait été prise la photo, ce n’était pas clair. Mais moi, me souvenant de l’anus de ma vieille, je savais que ce jour-là, je l’avais bel et bien sodomisée. Très perfidement et d’une petite voix qu’on aurait presque pu croire enfantine, je demandai :

Et là, tu te faisais baiser ou enculer ?

Oh non Théo ! N’en rajoute pas, par pitié…

Mais maman, maintenant que je suis clairement un fils de pute, je peux parler comme un fil de pute !

Comme un coup de canon, mes paroles lui firent redoubler de chagrin et ses pleurs devinrent encore plus forts.

De toute façon, ce n’est pas mon problème ! Tu as déconné à fond, maintenant, tu assumes tes conneries…

Pitié Théo ! Ne parle pas comme ça, si tu savais comme ça me fait mal de t’entendre dire de pareilles horreurs !

Ouais, mais ce sont tes horreurs à toi ! Moi, je ne fais que constater que tu es une vieille salope en chaleur.

Pitié Théo...

Finalement, qu’elle me demandait de la prendre en pitié m’excitait terriblement. Je fis le tour de la table, me plaçai derrière sa chaise, puis, sans un mot, je la pris sous les bras et la relevai de la chaise.

D’un coup de pied ample, je repoussai la chaise sur le côté et penchai ma mère sur la table.

Béatrice se laissa faire, quelque part, dans son cerveau, quelque chose avait disjoncté, le chagrin l’avait submergée, maintenant, elle était presque calmée.

De la pitié, je vais t’en donner, moi, de la pitié, vieille enculée !

Là, j’étais chaud bouillant, incroyable, ma mère avait le don de me faire bander en un clin d’œil. En quelques secondes, j’étais prêt à la prendre sauvagement, à prendre son anus, pourquoi son cul, je n’en savais fichtre rien, mais il m’attirait, comme un aimant un gros barreau de fer.

Ma salope de mère se laissa faire, pourtant je tirai sur son pantalon, avec force, pour le faire glisser le long de ses jambes minces. Elle se retrouva avec le pantalon au niveau des genoux, une jolie culotte en dentelle encore en place, bien que déjà un peu descendue.

Mais que fais-tu, Théo ?

Devine ! J’en ai marre de t’entendre chialer comme une Madeleine et puis ça m’excite, alors je vais te la mettre pour me calmer.

Mais… Je t’interdis !

Rappelle-toi surtout nos petits arrangements, notamment, concernant des informations qui pourraient intéresser Maxime.

Vaincue par la douleur des propos blessants de son tendre enfant qu’elle aimait pourtant si fort, par la peur de ce qui l’attendait et, encore, celle que son compagnon puisse un jour connaître l’ampleur de ses frasques. Ou aussi, de l’image que ses collègues ou frères et sœurs pourraient avoir d’elle, alors qu’elle faisait tout pour paraître une parfaite petite bourgeoise, cultivée, attentionnée, bonne mère de famille.

Car Béatrice était très attachée à son image sociale. Mais en même temps, elle avait toujours envie de s’amuser et cette envie était encore décuplée quand elle avait bu. Si certaines personnes faisaient des impasses sur une partie de leur vie pour en privilégier une autre, elle, elle voulait tout et quand elle en avait envie. Mais voilà, elle n’en avait ni les moyens financiers, ni mentaux et encore moins intellectuels. Elle manquait de volonté devant l’épreuve et comptait sur sa bonne étoile pour se sortir de ses problèmes.

Mais, malheureusement pour elle, avec son fils, qui était sûrement pervers, mais très intelligent, elle ne pouvait pas avoir le dessus. Parce qu’elle avait été odieuse avec son ex-mari, parce qu’elle avait laissé une place, qui ne pouvait pas être la sienne, à son enfant, parce qu’elle se cachait la réalité dès que quelque chose la choquait. Et bien sûr, aussi, ne pouvait-elle pas résoudre les problèmes puisqu’elle ne voulait pas les voir !

Moi, je ne m’occupai pas des états d’âmes de ma conne de mère, ce dont j’avais envie, pour le moment, lui prendre le cul, l’entendre d’abord gueuler que ça la brûlait, puis l’entendre jouir.

Je m’accroupis pour descendre la culotte et en profitai pour cracher sur l’anus que je mettais à jour en écartant les fesses, une fois la culotte descendue au niveau du pantalon. Je crachai à nouveau, une fois relevé, mais cette fois, sur ma queue que je tenais bien en main. J’enduisis mon membre de salive, en m’appliquant à ce que le gland, déjà décalotté, soit bien mouillé. Puis, d’un grand coup de rein, je pris possession des intestins de ma mère.

Aie ! S’écria Béatrice, comme sortant d’une profonde torpeur et surprise de ce qui se passait, comme si mes petits préparatifs, avant de la sodomiser, lui avaient été étrangers, puis elle commença à bouger pour se dégager et faire sortir mon sexe de son corps.

Je ne tins pas compte de ses soubresauts, pas plus que de ses jérémiades. Je serrai très fort les hanches que j’avais en mains, mes pouces sur le gras des fesses pour les écarter et voir ma bite aller et venir dans ce petit œillet marron. Toutefois, je ne voulais pas m’en laisser conter par cette salope, fut-elle ma mère. Aussi, je lui ordonnai encore :

Arrête de bouger, tu sais que tu es maintenant à ma disposition, alors arrête de couiner, espèce d’enculée !

Certainement cassée moralement, elle arrêta ses gesticulations et se laissa aller en avant, jusqu’à être vautrée, le ventre, sur la froide table en marbre. Ses nichons étaient toujours enfermés sous son petit bustier blanc à fines bretelles, dans un soutien-gorge blanc ou crème.

Je limai ce petit cul avec ardeur. Je savais pertinemment que ma vieille se faisait prendre pas les mecs de cette façon-là, mais j’étais encore étonné que son anus soit aussi serré.

Béatrice commença à gémir doucement sous mes assauts, puis elle grogna de plus en plus, mais c’était un grognement de plaisir. Elle jeta même son cul contre mon ventre, comme si elle voulait que j’aille encore plus loin en elle.

Tu l’aimes, ton fils, maman ?

Ho oui, mon chéri… Lâcha-t-elle, sans réfléchir.

Et tu aimes ma bite dans ton cul, maman ?

Je fis bien attention de lui donner son titre avec douceur, pour le moment, je voulais qu’elle m’avoue qu’elle était folle de ma bite.

Ho ! Théo ! Tu vas me rendre folle avec tes questions...

Oui, maman, mais je veux savoir si tu aimes ma bite, si elle te fait du bien ? Et là je redoublai de vigueur.

Ha… Oui mon chéri…

Cette fois, les prémices de l’orgasme semblaient bien s’annoncer.

J’eus soudain des images qui me revirent en tète, comme ce mec qui lui ordonnait de se branler le clitoris en l’enculant. Aussitôt, je décidai de voir l’effet que ça ferait sur son anus si elle se masturbait :

Vas-y, "maman", branle-toi le clito, donne-toi du plaisir, aussi.

Cette fois, ma Béatrice de mère ne se fit pas prier. Comme dans un autre monde, elle retira sa main gauche de la table et vint directement entre ses cuisses pour cajoler son clitoris, déjà bien excité.

Moi, pour me permettre de mieux apprécier le rendu de la chose, j’arrêtai de taper dans ce cul comme un démon et commençai à limer doucement, longuement, faisant presque ressortir ma queue de la gangue de chair, avant de repousser doucement mon membre pour qu’il aille jusqu’à ce que mon ventre soit en butée contre ses petites fesses maigrelettes que je tenais toujours fermement.

Ma vieille commença alors à se frotter vigoureusement son bouton d’amour et cette fois, elle lâcha de petits cris de plaisirs, que je reconnaissais bien, pour les avoir déjà plusieurs fois entendus.

La sensation était étrange, était-ce le fruit de mon imagination portée au rouge par mon excitation, ou une réalité que je découvrais, mais j’eus l’impression que le trou du cul de ma mère se serrait et se desserrait en cadence avec les mouvements de sa main.

Maintenant, Béatrice se frottait le clitoris avec vigueur. Ses cris de plus en plus aigus montraient l’intensité grandissante de son plaisir et annonçaient un orgasme puissant. Genre huit et demi sur l’échelle de Richter qui mesure, c’est bien connu, les orgasmes de notre mère la terre.

Ça y était, j’avais maintenant le pouvoir sur ma génitrice ! Non seulement, j’avais l’ascendant mental sur elle, mais en plus sexuel. Et là, elle m’obéissait en se masturbant comme une jeune salope, pendant que je la sodomisai de belle manière.

D’un coup, ma vioque se mit à crier, puis son cri tourna en une longue plainte. Tout son corps était devenu dur d’un seul coup et ses jambes tremblaient.

Je crus que mon cerveau allait éclater ! Incroyable, je faisais jouir ma mère, sans trucage, sans produit, juste avec mon sexe. J’apprenais vite et étais étonné de ce nouveau savoir-faire que je développais.

Vas-y, jouis, vieille putain, prends ton pied avec la grosse bite de ton fils dans ton cul !

Maintenant que je venais de la faire jouir, j’avais une folle envie de l’humilier. Et je repris ma sodomie à la hussarde, en criant presque :

Continue de te branler…

Le corps de ma mère, de dur, devint de plus en plus mou, et bientôt ses jambes semblèrent ne plus pouvoir la porter, alors même qu’elle était à moitié allongée sur la table en marbre de la cuisine. Il semblait qu’elle avait arrêté de se bricoler le clitoris.

Branle-toi, vieille enculée… Tripote-toi le bouton, salope… Les mots sortaient automatiquement de ma bouche.

Visiblement, Béatrice recommençait à se tripoter le clitoris comme elle savait si bien le faire, après plus de quarante ans de masturbation. Très vite, elle recommença à jouir, cette fois en poussant des cris aigus au rythme de mes mouvements. Ses jambes, encore molles quelques secondes auparavant, redevinrent tendues, puis dures. Il semblait bien qu’un nouvel orgasme arrivait au galop.

Mon propre contrôle m’échappait. J’avais une folle envie de me vider les testicules dans ce trou à plaisirs qui était devant moi. Il me semblait que mon sexe gonflait encore et encore. Je redoublai encore la violence de mes assauts.

Pas si fort ! Aie… Tu me déchires… Pitié, doucement...

J’adorai l’entendre demander grâce ! Elle, qui n’avait jamais eu de pitié pour mon père, ni pour personne d’ailleurs. Aussi, pris d’une frénésie destructrice, je fis le maximum pour aller encore plus fort et encore plus vite.

Des cris, des bribes de mots, des hurlements, puis, à nouveau, des cris de plaisir, tout était maintenant mélangé dans ce qui sortait de la bouche de ma mère. Elle s’activait aussi frénétiquement sur son clitoris, comme si le plaisir qu’elle se donnait combattait la douleur du sexe qui lui déchirait l’entrée de ses entrailles.

Branle-toi, encore… À cet instant, je criai mes ordres.

Haaaaa… Ouiiiii… Hooooo… Ouiiiii…

Tiens salope ! Prends tout…

À ce moment-là, je déversai tout mon sperme dans les boyaux de ma mère. Je serrai les dents comme si je souffrais de remplir le colon maternel. Et pourtant, je jouissais d’un plaisir indicible. J’avais l’impression que mon corps se vidait de sa substance, que mon sexe bouillant crachait un liquide épais et fort qui allait enflammer le ventre de ma vieille.

À nouveau, les jambes maternelles tremblèrent, cette fois, avec encore plus d’intensité que lors du premier orgasme. Elle poussa une longue plainte, puis, ses poumons vides, elle reprit de l’air dans une inspiration bruyante, avant de se laisser tomber tout doucement au sol. On aurait dit une poupée de chiffon qui glissait de la table et tombait lentement au sol.

Je restai debout, droit, mon sexe était naturellement ressorti de cet orifice. J’étais fier d’avoir fait tant jouir une femme bien plus âgée que moi. Et je laissai cette putain, qu’était devenue ma mère, en tas au sol, devant la table, tel un tas de chiffon informe.

Je filai alors dans la salle de bain et lavai ma queue, puis, la bite sortie tel un étendard, je revins dans la cuisine. Je passai derrière la table et regardai ma vioque qui était toujours au sol et qui venait de lever ses yeux rougis vers moi :

Allez, fais un bisou à ce sexe qui vient de te faire jouir !

Ho ! Théo ! Arrête de me tourmenter. Par pitié Théo !

Fais un bisou…

Cassée, sans énergie pour refuser, Béatrice me fit donc un bisou sur le gland. Puis, elle voulut me passer ses bras autour des jambes, comme pour me retenir.

Je la repoussai doucement, mais fermement, puis lui ordonnai encore :

Allez, hop, retourne au boulot.

Et je l’aidai à se remettre debout.

Une fois qu’elle fut relevée, elle remonta son pantalon avec sa culotte et, tenant l’ensemble d’une main, se dirigea vers la salle de bain.

Non ! Tu t’habilles et tu pars comme ça, bien pleine, au boulot...

Mais Théo ! Ce n’est pas possible…

Mais si, maman chérie et pense bien que tu auras tout mon amour en toi… Toute la journée ! Le ton de mon propos sonnait particulièrement faux en l’appelant « maman chérie », mais c’était à dessein.

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