Théo-rème de l’inceste Chapitre 13 : la pipe du retour
Arrivée, un peu avant vingt-deux heures, au parking, la voiture stoppa, Kader lui dit alors, d’un ton sec et dédaigneux :
– Casse-toi maintenant.
Puis, ayant baissé sa vitre, il s’adressa à moi. J’étais appuyé contre la voiture rouge de ma daronne.
– Ça y est, ta mère vient de faire ses deux premiers clients, c’est une vraie putain maintenant...
– Ouais, comme tu dis, maintenant. Je suis un vrai fils de pute !
Quand Béatrice referma la portière, elle croisa mon regard, noir, désapprobateur. J’avais les bras croisés, le pied droit par-dessus le pied gauche.
Le lampadaire juste au-dessus ne fonctionnait pas. En fait, j’avais donné un violent coup de pied dans le poteau, ce qui avait eu pour effet de mettre l’ampoule en sécurité, mais la lumière allait revenir quelques minutes plus tard.
Alors que ma mère avançait vers moi, avec l’air des mauvais jours, bien décidée à m’engueuler pour être venu, elle entendit Kader :
– La pute !
– Ça n’va pas de parler fort comme ça dans la rue !
– Ta gueule, vieille conne ! Baisse ton froc et montre que tu es pleine à ton fils…
– Jamais de la vie !
– Ha ! Et les photos ? C’est aussi "jamais de la vie" ? Baisse ton froc, connasse...
Cette fois, l’ordre avait été crié.
Vaincue, au moins autant par la fatigue, que par les arguments fallacieux de son macro, Béatrice obtempéra et défit son pantalon qui tomba sur ses chevilles.
– Tiens, regarde, elle est pleine de foutre de négros, cette salope ! Tu as envie de la baiser, ta vieille ?
– Non, je n'ai pas envie de tremper ma bite dans le foutre de gros vicelards dégueulasses.
– Moi, je te conseille de te faire sucer, à cette heure-là, c'est ce qu'il y a de mieux... Quand elle sera propre, tu pourras de nouveau la baiser.
– Ouais ! T’as raison… Viens ici, "Maman"…
Mon ton était totalement dédaigneux. Et tout en disant cela, j’avais ouvert ma braguette en grand, baissé mon caleçon, sans baisser réellement mon jeans et sorti mon sexe déjà en érection.
– Vas-y, suce, vieille morue !
La voix de Kader n’autorisait aucun commentaire, ni renoncement.
Bien que totalement cassée de fatigue, mais aussi détruite d’un point de vue psychologique, Béatrice s’accroupit devant moi et prit mon sexe raide dans sa main pour la porter à sa bouche.
La Scène était étrange, surréaliste ! Kader, en vrai macro, surveillait sa gagneuse depuis sa voiture. Théo se faisait sucer par sa mère. Mère qui avait le pantalon sur les chevilles. Mère qui, et malgré la fatigue et la lassitude, avait plaisir de sentir enfin un sexe d’homme, d’un homme aimé, en elle.
Elle pensa que c’était la faute de cette mauvaise fréquentation qui rendait son fils adoré agressif, comme ça, elle savait au fond d’elle-même, qu’elle aimait et qu’elle était aimée. Elle était sûre que son enfant chéri, redeviendrait le bon petit ange, qu’il était au fond de lui.
Bientôt, je pris la tête de ma vioque entre les mains. Je me branlai alors dans cette bouche chaude et douce.
La lumière du lampadaire se ralluma. Maintenant, on pouvait voir cette femme dépassant la quarantaine, en train de sucer un jeune homme, voire un adolescent.
Un couple sortit à ce moment-là du parc, Les gens détournèrent les yeux, mais ils purent tout de même voir d’assez près les protagonistes de cette affaire. Et en s’éloignant, l’homme du couple se retourna plusieurs fois pour nous regarder.
Ensuite, je jouis très vite dans la bouche chaude. Je gardai la tête de ma mère bien serrée contre mon bas-ventre, le temps de me vider totalement les burnes. Mais bon dieu, que c’était bon de jouir dans sa bouche ! Ma mère était une putain, une salope à blacks et à rebeux, une chienne en chaleur, une perverse assoiffée de sexe. Je la haïssais toujours plus, d’être tout cela, mais en même temps, c’était ma génitrice. La femme d’où j’étais sortie, qui m’avait donné le sein, qui m’avait choyé et je n’arrivai pas à arrêter de l’aimer !
Béatrice ne pouvait qu’avaler les jets de foutre de son fils au fur et à mesure qu’ils arrivaient dans sa gorge.
Kader, lui, toujours très attentif, profita de la lumière revenue pour continuer son reportage photo. Il prit quelques clichés, un peu au hasard, car la lumière n’était tout de même pas très forte pour faire des photos.
Une fois mon orgasme un peu calmé, je repoussai durement mon ancêtre qui tomba. Et elle se retrouva allongée par terre sur le bitume, entre sa voiture et celle de son macro. La chatte et le cul à l’air, sentant fort le foutre, la bouche maintenant emplie du goût de mon sperme.
– Bon, allez, à la maison, maintenant, connasse… Dis-je encore à ma mère.
– Théo ! Théo ! Théo, pitié, ne me parle pas comme ça…
– Ta gueule, tu n’es qu'une putain !
Une fois que j’eus remonté mon caleçon et refermé ma braguette, j’allai me placer à côté de la portière avant droite, attendant que ma mère déverrouilla la voiture.
Se relevant péniblement, malgré qu’elle ne se soit fait aucun mal, Béatrice remonta son pantalon en pleurant. Elle s’essuya le nez d’un revers de manche, puis récupéra ses clefs dans la poche de sa petite veste. Elle déverrouilla la voiture.
Je fis un petit geste de la main à mon pote Kader, puis montai dans l’auto.
Ma "mère" s’assit au poste de conduite, toujours en pleurant et mit le contact.
– Avant de mettre ta ceinture, ouvre en grand ton chemisier, ça m’amuse que tu puisses conduire à moitié à poil et puis, en bonne pute, des fois qu’on trouverait un client sur la route…
– C’est horrible ce que tu dis là, Théo ! Ne sois pas méchant avec moi, si tu savais comme je suis déjà trop punie.
– Ferme-la et sors tes nibards de vieille... "Maman".
La pauvre femme, si mal traitée, ouvrit toutefois son chemisier, attacha sa ceinture, et démarra.
Le retour se passa dans un silence glacé. À cette heure tardive, il n’y avait personne dans les rues et nous ne mîmes pas longtemps pour arriver à la maison. Là, la vioque recula sa voiture par le petit chemin pour la mettre devant le garage. Puis, elle descendit de la voiture et alla ouvrir le garage, le chemiser grand ouvert, ses seins qui ballottaient mollement au rythme de ses pas lourds.
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