Théo-rème de l’inceste Chapitre 12 : deux premiers clients

 

La mère de famille vint alors à côté d’André qui s’était assis à nouveau au bord du lit, et, obéissant au geste de l’homme, se mit à genoux devant son sexe.

Pierre, lui, venait de finir de se déshabiller et se branlait doucement en regardant son pote attraper la tête de la femme et lui baiser littéralement la bouche.

Elle eut un haut-le-cœur quand la grosse bite vint taper au fond de sa gorge. Mais, elle se souvenait des paroles de la blackette et ne dit rien, ne se plaignit pas. Elle continua à sucer cette queue qui gonflait dans sa bouche. Bientôt, elle sentit les mains de Pierre tripoter ses nichons sans ménagement. Puis, prendre possession de sa chatte et chercher le clitoris.

André avait maintenant une belle gaule et il décida de passer aux choses sérieuses. Il attrapa la vieille femme sous les aisselles et l'allongea sans ménagement en travers du lit. Là, lui écarta les jambes et introduisit directement son sexe sans préservatif.

Si tu fermes ta gueule et tu dis rien à ton mac, tu auras un petit bonus pour te prendre sans préservatif… C'est OK ?

Dans l'état où était Béatrice, elle acquiesça, d’un signe de tête, un peu machinalement.

L'homme lui lima chatte avec force et vigueur. Et bientôt, il eut envie d'autre chose.

Pierre, quant à lui, continuait à tripoter les nichons mous de la vieille en regardant son pote avec un regard complice.

C'est vraiment une bonne vieille pute à l'ancienne, elle prend sans capote, ça, c'est top !

André retourna la blonde et la mit à quatre pattes. Puis, il appliqua son sexe contre le sphincter et poussa d'un grand coup. Enculant, de ce fait, la pauvre femme qui ne put faire autrement que de pousser un cri.

Allez mémé, tu as l'habitude de t'en prendre plein le cul, alors, fais pas chier avec tes jérémiades.

Et il lima pendant un sacré moment le cul de la pauvre Béatrice.

Pierre en profita pour amener sa bite devant la bouche de la blonde et se faire sucer. Son sexe était pratiquement aussi imposant que celui d'André.

La pauvre femme ne sentait plus son anus à force d'être limée par ces démons d’hommes qui ne prenaient aucune précaution pour elle.

Bientôt André grogna et lui planta, au plus profond de son anus, sa grosse bite. Il déchargea tout son foutre par longues et puissantes saccades. Puis, tranquillement, il ressortit sa queue, mais il n'avait pas débandé pour autant.

Bon, c'est à mon tour, maintenant ! Dit Pierre.

Alors, il saisit et retourna, sans ménagement, la pauvre femme. Très vite, il lui planta son gros sexe, bien dur, dans la chatte. Il la Lima pendant une bonne dizaine de minutes. Puis, alors que Béatrice était toujours sur le dos, poussa encore un peu plus les jambes de la femme vers sa poitrine et l'encula d'un coup.

Heureusement que la vieille blonde avait eu du gel. Et que, visiblement, ce produit avait aussi un effet anesthésiant.

Pierre, toujours en train de limer consciencieusement l’anus de la femme mûre, dit alors à son pote :

Elle est bonne du cul, cette radasse, mais ce qui serait sympa, c'est que tu lui prennes la chatte pendant que je lui fais le cul... Ça lui apprendra, à cette pute blanche !

André s'allongea alors en travers du grand lit, près de Béatrice. Pierre aida la pute à venir sur son pote, puis l’aida encore pour qu’elle puisse venir s’empaler sur la grosse bite toujours raide de l’homme. Et, une fois fait, il introduisit son sexe dans le trou du cul, déjà bien dilaté, de la vieille blondasse.

Pendant ce temps-là, Kader téléphonait à Théo pour lui dire où sa vieille prostituée de mère était garée et lui demanda de venir vers vingt-deux heures. Il lui expliqua rapidement ce qui se passait et lui dit qu’il la ramènerait sans sous-vêtements.

Quand elle eut les deux pines dans le corps, elle se mit à gueuler, difficile de dire si c’était de plaisir ou de douleur.

Les mecs, eux, n’en avaient cure, pour eux, la vieille jouissait, c’était tout.

Béatrice ne s’était pas aperçue que son souteneur, Kader, était dans l'embrasure de la porte et prenait des photos.

Les deux blacks limèrent, comme des fous, pendant un bon moment. Peut-être vingt minutes, peut-être trente.

Maintenant Béatrice n'était plus qu'un pantin disloqué entre leurs bras et sur leur corps. Ses trous envahis et élargis à outrance. Son souffle court, ses gémissements de douleur et de plaisir mêlés, ses cris parfois même, sans alcool ni drogue, elle avait l’impression de ne plus être elle-même, d’être comme détachée de son corps.

Mais au bout d'un certain temps, la nature reprit ses droits. Et André d'abord, Pierre ensuite, à peu de temps d'intervalle, les deux hommes jouirent dans les trous de la vieille.

Elle n'en pouvait plus ! Elle aurait voulu pouvoir dormir tout de suite, là, comme ça, peu importait où elle se trouvait.

Les deux hommes se retirèrent de ce corps épuisé, se remirent debout et tout en se rhabillant, en rigolant, André dit à Kader :

Elle est bonne ta pute ! Au début, on l’a pensé trop vieille pour être valable… Mais là, on s'est vraiment régalés !

Je suis sûr qu'elle a aimé ! Ajouta encore Pierre. On va lui donner un petit billet de cent aussi… Parce qu'elle a accepté de baiser sans capote.

Sur ces bonnes paroles, Kader pris la vieille blonde par la main et l'attira jusque dans l’autre chambre, là, où ses affaires étaient restées. Il lui ordonna alors de s'habiller prestement.

Béatrice, totalement vaincue, crevée, n’en pouvant presque plus, fit pourtant encore l’effort de s'habiller au plus vite.

Le macro subtilisa le soutien-gorge et la culotte, en disant avec un sourire malsain :

Pas besoin de ces morceaux de chiffons, faut que tu apprennes maintenant à vivre sans sous-vêtements pour être toujours disponible pour moi...

André Revint et glissa un billet de cent euros directement dans la main de Béatrice.

Ce n'est pas pour toi, Kader, c'est pour elle… Parce qu’elle a été une bonne fille qui a pris notre jus de couilles comme une bonne putain d'antan.

La pauvre femme glissa machinalement le billet dans la poche de son pantalon.

Une fois Béatrice habillée, Kader prit congé de ses potes blacks qui lui versèrent les quatre-cents euros convenus. Ensuite, il prit Béatrice par la main et la fit sortir de la maison et entrer dans sa voiture.

Le début du voyage de retour se passa dans un silence de mort. Puis, peu avant d’arriver, Kader précisa encore :

Si tu es une bonne pute comme ça, à chaque fois, je pense que tu vas pouvoir me rapporter assez de pognon pour que j'évite d'envoyer des photos à tout le monde... Mais tu as intérêt à continuer d'être sage !

Béatrice ne disait rien. Elle ne savait ni quoi penser, ni quoi dire, d'ailleurs.

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