Théo-rème de l’inceste Chapitre 11 : en route vers l’abattoir

 

En fin de journée, quand elle rentra du boulot, je ne réapparus pas, ma vieille vint pourtant frapper plusieurs fois à ma porte de chambre, mais je restai sans bouger pour faire croire que j’étais sorti. Ma porte était verrouillée à clef, donc aucun risque d’être découvert.

Un peu avant vingt heures, j’entendis la voiture démarrer et partir. À ce moment-là, je ne savais pas ce qui se passait, j’en eus le commentaire par le menu avec mon pote Kader, quelques jours plus tard.

Béatrice arriva sur le petit parking indiqué, à côté d’une grande porte basse. Elle était devant le lycée professionnel, mais à cette heure tardive, il n’y avait personne dans le coin.

Elle était habillée d’un pantalon en toile assez fin, dans les tons ocre, d’un chemisier bleu pâle, de petites chaussures en daim, mais elle portait des chaussettes. Et d’une veste légère pour l’intersaison.

Elle se souvint que la lettre lui intimait l’ordre de descendre de sa voiture et d’attendre devant. Elle s’exécuta et alluma une cigarette pour tuer l’attente.

Bientôt, une grosse berline noire de marque allemande s’approcha. Elle s’arrêta à une petite dizaine de mètres. La porte arrière, de l’autre côté de la rue, s’ouvrit, et un coup de sifflet bref résonna dans le petit parking.

Béatrice se déplaça vers la voiture. Elle hésitait à faire le tour de l’auto, car elle ne voyait pas combien de personnes étaient dedans.

Un autre coup de sifflet bref.

La femme fit alors le tour de la voiture par l’arrière, assez doucement, et se présenta devant la portière ouverte.

Monte la pute...

Elle monta et se retrouva assise à côté d’un grand black, peu souriant. Un autre, sur le siège avant, se retourna et la dévisagea, lui non plus, sans sourire et finit par dire :

Mais, c’est une vieille radasse que tu nous proposes, là !

Ho, ça va, hein ! Commença à s’agacer Béatrice avec le ton agressif qu’elle avait, les mauvais jours.

Ta gueule, connasse, tu sais ce que tu risques, alors ferme ton clapoir !

Le ton sec est celui du conducteur. Bien qu’il ne se soit pas retourné, Béatrice pensa reconnaître Kader…

Ouais, elle n’est pas tout neuve, la mémé, mais je peux vous assurer que comme enculée, elle sait y faire !

Bon… Mais si elle ne va pas, tu nous refiles notre fric, compris Kader ?

Vous avez déjà été déçu avec mes produits, les mecs ?

Béatrice s’agaça à nouveau, sentant que rien de bon se préparait pour elle, mauvaise et d’une voix hargneuse, elle demanda :

Mais qu’est-ce que vous voulez, à la fin ?

Ton fric connasse… C’était le chauffeur qui avait répondu.

Mais je n’ai pas d’argent. Je suis fonctionnaire et touche tout juste deux-mille-deux-cent euros par mois !

La voiture démarra et prit la direction de la campagne. Seul le léger ronronnement du moteur était perceptible. Puis le chauffeur reprit :

Mes potes sont d’accord pour me donner quatre cents euros si tu acceptes qu’ils te baisent ensemble, tu vois ce que je veux dire ?

Non, mais ça ne va pas !

Ho, ta gueule, sinon les photos…

Mais où ça va se passer ? Demanda alors la femme d’une voix trahissant son angoisse profonde et réelle.

À la campagne !

Dès qu’elle fut sortie de l’agglomération, la voiture prit un peu de vitesse, mais le moteur prodiguait toujours un son doux et feutré.

Le grand black assis aux côtés de Béatrice et qui n’avait rien dit jusqu’à présent, commença par mettre son bras immense autour du cou de la pauvre femme et la rapprocha jusqu’à la coller tout contre lui. Là, de son autre main, il lui pelota les seins à travers le chemisier et le soutien-gorge, après avoir envahi la petite veste. Puis il l’embrassa fougueusement.

Béatrice aimait beaucoup les blacks et les rebeux en général, mais là, apeurée, elle se laissa faire, mais n’y mettait pas du sien. L’homme s’en rendit compte et demanda au chauffeur :

T’es sûr que c’est un bon plan coté cul ? Parce que là, c’est une planche froide à embrasser !

T’as intérêt à faire un effort, connasse ! Se mit à crier Kader en continuant à ne regarder que la route. Continue à faire la forte tête et je t’envoie en stage dans les bordels tchétchènes, tu vas voir !

Le grand black reprit alors son baiser et, cette fois, comme par enchantement, la femme lui rendait sa caresse buccale et venait même de lui caresser le torse à travers son chandail.

Après quelques longues minutes, le couple s’embrassant frénétiquement à l’arrière, Kader demanda encore :

Alors, ça va mieux, il me semble, non ?

Ouais, là, ça va...

Bientôt la voiture arriva dans la cour d’un pavillon. Et s’immobilisa devant la porte du garage.

Allez vieille morue, au boulot avec tes clients.

Les quatre personnes descendirent de la voiture.

Cette fois, Béatrice tremblait de peur. Elle se laissa pourtant guider par le grand mec qui l’avait embrassée pendant le voyage et qui la tenait maintenant par la main.

Tu vas bien m’offrir un petit rhum de chez toi, Pierre ? Demanda Kader d’un ton anodin.

Ouais, pas de souci. Répondit l’homme de la place avant.

Après avoir contourné la maison, ils montèrent quelques marches et la porte d’entrée s’ouvrit. Une grande femme noire, très bien faite, mais avec un visage disgracieux, apparut.

Tiens, Sandra, tu nous la prépares...

Viens avec moi, toi.

La femme prit la main de Béatrice que lui tendait le grand mec qui ne lâcha sa proie que quand il fut sûr qu’elle était aux mains de la blackette.

Béatrice fut conduite directement dans la chambre et déshabillée en moins de temps qu’il ne faut pour le dire par la grande femme. Une fois nue, la grande blackette lui introduisit directement son doigt dans la chatte sans autre forme de procès. Puis lui dit :

Attends, si tu ne mouilles pas assez, tu vas souffrir avec mes deux affreux… Je vais te mettre du gel et tu diras qu’ils t’excitent et que c’est pour ça que tu mouilles !

Sur ces bonnes paroles, elle s’empara d’un flacon de gel, s’en enduisit les doigts, et pénétra Béatrice, d’abord ses doigts visitèrent le vagin, puis l’anus en écartant bien le sphincter.

Surtout, ne fanfaronne pas avec eux, leur bite est magnifique, ils te font jouir, ils sont super beaux, etc... Si tu fais la maline, ils peuvent devenir vraiment méchants et là, ils te déchirent la chatte et le cul ! Et là, plus de client pendant un bon mois, moi, je ne t’ai rien dit.

La vieille était restée impassible durant tout ce temps. Elle avait comme une grosse boule au ventre qui la bloquait et l’empêchait de se rebeller comme elle le faisait si souvent. Puis, elle fut conduite, passant devant le salon où était installé Kader qui sirotait un verre.

Et tu fais tout ce que te demandent mes potes, c’est compris, ma pute ?

Sans répondre, Béatrice se laissa guider et arriva dans une grande chambre dans laquelle il y avait un lit immense, à l’ancienne. En fait, deux lits côte à côte, n’en formant qu’un seul, mais de deux-cent-quarante centimètres de large, tout de même !

Les deux blacks étaient torse nu pour le premier, en train de retirer son pantalon, totalement nu pour le deuxième, celui aux côtés duquel elle avait voyagé. André afficha un large sourire quand elle entra, fit un signe à la femme noire pour qu’elle ressorte, puis se déplia, arborant un sexe déjà bien développé, mais pas encore en érection totale, de belle taille.

Béatrice fit un léger mouvement de recul.

Pas de panique, mémé, t’en as vu d’autres dans ta vie de pute, alors pas de cinoche avec nous… Viens me sucer la carotte !

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