Théo-rème de l’inceste 10 : ma mère me taille une pipe
Plus tard, vers quatorze heures, je descendis pour faire ma toilette, je ne jetai aucun regard à Béatrice qui, pourtant, cherchait le contact pour pouvoir parler.
Ma toilette faite, je remontai dans ma chambre, pris l’appareil photos que j’enfouis dans mon sac banane, pris un peu d’argent, et redescendis presque en courant et sortis. Cette fois, la vieille n’avait pas eu le temps de lever son cul du canapé pour venir essayer de me parler.
Je pris le bus pas loin de chez moi et me rendis au centre commercial. J’avais vu que le développement des appareils jetables sur CD-ROM ne prenait qu’une heure, aussi je choisis cette option.
Une bonne heure plus tard, après avoir déambulé dans les allées du centre commercial, passé quelques coups de fils aux potes, je revins prendre possession de ce fameux CD-ROM.
Retour en bus et arrivée à la maison vers dix-sept heures et quelque chose. La maison était vide, la mère était partie rejoindre sa "bonne copine" Pauline, sûrement. Comme je me savais tranquille une bonne partie de la soirée, je filai directement sur l’ordinateur de mon beau-père dans son bureau.
J’allumai la machine, me loguai sur mon compte, mis le CD-ROM dans le lecteur et contemplai les photos pendant un bon quart d’heure. J’avais une main sur mon sexe que je caressai à travers l’étoffe de mon pantalon. Ces photos m’excitaient hautement, j’avais, en les voyant, l’impression de ressentir le plaisir que j’avais eu lors des prises de vues.
Je choisis patiemment les meilleures photos quand il y en avait plusieurs sur le même sujet, puis les imprimai. Je copiai toutes les photos sur une disquette. Je refermai les applications, éjectai le CD-ROM, pris les tirages papier, la disquette, et éteignis l’ordinateur.
Une fois dans ma chambre, il devait maintenant être dix-huit heures, voir un peu plus, j’appelai mon pote Kader pour lui dire que j’avais tout, copie sur disquette et tirages papier.
– Ta tepu de reume n’est pas là, tu me dis ?
– Non, elle est partie chez sa copine… Sûrement picoler, pour se remettre de sa cuite d’hier soir ! Ha ha ha…
– Putain ! Elle est infernale ta reume ! Avec ce qu’elle a pris hier, elle cherche encore contact. Faut vraiment que je la prenne en main cette pute qui s’ignore ! Hé hé hé…
– On fait comment, tu passes ?
– Ouais, mais on va sur la colline, tu me rejoins là-bas dans vingt minutes, OK ?
– Ouais, ça marche, à toute...
Réglé comme un métronome, Kader arriva vingt minutes plus tard, j’en conclus donc qu’il ne s’était pas fait arrêter avec sa superbe berline noire aux vitres fumées à l’avant et totalement opaques à l’arrière. Il gara son auto et vint me rejoindre sous le gros chêne où tous les enfants du quartier aimaient se retrouver. Mais il y avait de moins en moins d’enfants dans le quartier, et le chêne semblait s’ennuyer de plus en plus.
– Salut mon ami, alors, ces photos, ça rend bien ?
– Mate un peu. Répondis-je en tendant une chemise cartonnée dans laquelle tous les tirages étaient réunis.
– Génial ! Tu pourras m’en sortir d’autres si besoin ? Demanda Kader après avoir pris le temps de regarder toutes les épreuves.
– Ouais, mais demande-les-moi à l’avance, quand Max est là, je ne veux pas qu’il comprenne que je sais me servir de l’ordi.
J’appelai mon beau-père Max devant les potes, je trouvai que ça sonnait bien.
– OK, bon, je file changer de caisse, j’ai un peu de taf ce soir dans la vieille ville… Tiens, voilà quelques pilules "gentilles-filles", tu les gardes chez toi, on pourra en avoir besoin, et demain, je passe en fin de matinée mettre une lettre dans la boîte aux lettres de ta vieille, arrange-toi pour être là quand elle l’ouvrira.
– OK, ça marche.
– Elle rentre le midi, tu m’as dit, non ?
– Ouais, elle doit penser que je ne suis pas capable de me faire un petit frichti sympa !
– Super, je pense qu’elle fera une sacrée gueule en voyant la photo, essaye de la lui piquer, de la lui arracher des mains, et de lire à haute voix le message que j’aurai mis au dos. Après, tu lui casses bien le moral, ça tu sais bien faire, non ?
– Oui, oui, t’inquiète…
– Et tu as ouvert un émail avec un nom bidon, c’est bien ça ?
– Ouais...
– Alors demain, dès que ta vieille repart au taf, tu lui envoies par émail les mêmes photos avec le même baratin et tu ajoutes encore, que si elle ne fait ce qui lui est demandé, les photos iront sur les mails de tous ses collègues !
– D’ac, ça marche. Ça va lui foutre les boules à donf !
– Une fois, Max lui avait envoyé une photo de vacances, les seins nus. Elle avait fait un foin, comme quoi tout le monde pouvait voir les photos et je ne sais plus quoi encore !
– Bon, on fait comme ça, faut que je file, business is business...
Sur ce, et après les simagrées d’usage chez les racailles, mon pote partit pour aller "bosser" en ville, ce soir-là.
Je rentrai à la maison, me fit un bon petit casse-croûte, et montai m’enfermer dans ma chambre. Je coupai la sonnerie de mon téléphone et me mis devant ma console de jeux, sans faire de bruit et en écoutant les bruits de la maison pour savoir quand la vieille pute rentrerait.
– Théo ! Tu vas être en retard à l’école, lève-toi.
Je m’étais totalement endormi la veille, bon, je sautai du lit, et descendis en courant pour aller dans la salle de bain. Une douche, les dents brossées, je courus à nouveau dans ma chambre en lâchant un « bonjour » à ma mère en passant.
Habillé, je descendis encore en trombe, bus le café que ma mère avait préparé pour moi (avec amour ? Ou avec envie ?), et sortis très vite de la maison.
Le cours entre onze heures et midi était un cours de math, je n’en avais cure, de toute façon je répondais avant tout le monde en math, et souvent , je corrigeai la prof lors de ses démonstrations. Je sortis donc par le trou du grillage, que les pions n’avaient pas encore repéré et rentrai à la maison.
Réglée comme un métronome, Béatrice rentra à douze heures quinze, gara la voiture sur le trottoir devant le portillon d’entrée et retira le courrier. Puis, elle rentra.
Je m’étais extrait de la chambre et j’attendais dans l’escalier qui descendait à la cuisine en tendant l’oreille. Ma mère poussa une sorte de cri étouffé, je pensai qu’elle venait d’ouvrir le petit courrier de Kader. Mais j’attendis encore quelques minutes avant de descendre.
– On mange quoi, ce midi ? Demandai-je d’un ton tranquille, en arrivant dans la cuisine et en venant tout près de ma vieille, malgré que je la voyais la tête dans les mains, une des photos posée devant elle.
Elle tira tout de suite la feuille de papier contre sa poitrine pour la soustraire à ma vue. Leva les yeux rougis vers moi et sembla me supplier de ne pas la déranger.
J’en profitai alors pour lui arracher la feuille des mains et lui demander d’une voix grave et solennelle :
– Qu’est-ce qui s’est encore passé ? T’as encore fait des conneries ?
Et je jetai un œil sur la photo dont le coin avait été déchiré, sur la première image, avec le texte, on voyait ma vioque avachie à poil, clope au bec, sur un banc dans un bois. Sur l’autre photo, sans inscription, on la voyait sucer une grosse queue. Je lus à haute voix :
– Béatrice, j’ai quelques jolies photos de toi en train de te faire partouzer dans les bois ! Celle-ci est tout juste un petit exemple. Crois-tu que ton mari ? Tes frères et sœurs ? Ta mère ou encore tes collègues aimeraient voir ces jolies photos ? Je les envoie gratos, vieille salope, sinon, tâche d’être ce soir à vingt heures au parc de la Rabière, devant l’entrée coté zoo. Tu te gares et tu attends devant ta voiture que je vienne, j’ai une grosse berline noire, vitres fumées. Super !
– Dis-moi ! Comme ça, maintenant, tu fais des partouzes dans les bois ?
– Mais non, ce sont des photos truquées, ce n’est pas possible...
– Truquées ! Ha bon ! Remarque, quand t’es bourrée, comme tu ne te rappelles jamais de ce que tu as fait, je crois que le truquage, c’est juste la cuite que tu as prise l’autre soir, oui !
– Ho, Théo !
– Maman…
– Oui mon chéri ?
– T’es une grosse pute !
– Oh ! Théo ! Ne dis pas ça, je t’en supplie...
– On va voir si c’est toi ou non ! Montre-moi tes nibards que je compare…
– Non ! Théo ! Non !
– Donc, c’est bien toi sur les photos. Et tu es une grosse pute !
– Non...
– Alors montre. Donne-moi une preuve que ce n’est pas toi...
Et, dans la foulée, je m’emparai des bords de son chemisier et tirai d’un coup sec qui fit voler les boutons.
– Montre tes nichons...
Et comme ça n’allait toujours pas assez vite, je pris encore le soutien-gorge et le soulevai vers son cou pour que ses seins jaillissent finalement.
– Mais, ça ne va pas, non ! Théo ! Je t’interdis…
– Ferme-la ! Tu partouzes dans les bois, tu ramènes des inconnus à la maison, au risque de se faire piquer les clefs, la bagnole et que sais-je d’autre encore. Et maintenant, tu joues les effarouchées ! Montre tes nibards, grosse pute !
Béatrice replongea son visage dans ses mains et se mit à pleurer à chaudes larmes.
J’en profitai alors pour lui écarter les bras et contempler ses lourdes mamelles flasques qui pendaient et les tétons qui semblaient partir chacun de leur côté. Cette vision me fit bander instantanément.
– C’est ta gueule de conne, tes mamelles de vieille pute, je ne vois pas où serait alors le truquage ! Connasse que tu es...
– Pitié, Théo ! Arrête...
– Mais ! C’est à toi d’arrêter de faire des conneries !
Et, alors que ses pleurs redoublaient, je défis mon jeans et fis glisser pantalon et caleçon ensemble, puis lui attrapa les cheveux :
– Comme t’es qu’une pute, tu vas me sucer, salope !
Et je plaquai sa bouche contre la queue raide.
Bien qu’en pleurs, elle ouvrit la bouche et me suça, j’avais un peu l’impression qu’elle suçait comme un enfant suce son pouce, pour se rassurer. La scène était surréaliste ! Ma mère, dépoitraillée, en pleurs, qui me taillait une pipe, et franchement, en plus, elle s’appliquait à me sucer !
Je n’en pouvais plus ! Trop excité, je jouis alors dans sa bouche, tenant fermement sa tête pour qu’elle ne se recule pas et qu’elle reçoive tout le nectar de couilles dans sa bouche de vieille putain.
Je la haïssais, je la maudissais, mais putain, qu’est-ce que j’aimais ses pipes !
Je remontai mon froc vite fait, mal fait, et, tout en me dirigeant vers l’escalier menant à ma chambre, je lâchai, sans me retourner :
– Merci la pute, tu suces bien, vieille chienne !
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