Théo-rème de l’inceste Chapitre 8 : promenade au lac
Nous empruntâmes un chemin qui donnait sur le petit pont qui traversait le bout du lac. Kader tenait Béatrice par la main et marchait devant, moi, je fermai le ban. De l’autre côté du pont, nous entrâmes dans le bois par une petite allée qui permettait encore à cet endroit d’être à deux de front. Nous étions seuls, puis, surgi de nulle part, un jeune homme en tenue de sport apparut se dirigeant vers nous.
– Salut, tu veux voir une vieille salope ?
L’homme stoppa à notre hauteur, totalement interloqué.
Kader en profita pour écarter les pans de la robe en jeans et montrer les cuisses gainées de nylon noir et la chatte lisse.
– Pour cent balles, tu peux la tirer autant que tu veux pendant une demi-heure, elle est à ta dispo, mec.
L’homme avait les yeux rivés sur la chatte et le haut des bas, me semble-t-il. Il était visiblement très surpris, puis finit par bredouiller :
– Heuuu, j’ai pas de tune sur moi…
Et, plus effrayé encore qu’excité, il reprit sa course, mais bien plus rapidement cette fois.
– Tu vois Théo, mémère peut très bien tapiner, là, le mec n’avait pas de fric, donc pas intéressant, mais quand ça se saura qu’elle tapine ici, on devrait pouvoir se partager de jolis petits bénéfs. Bon, allez, ce n’est pas le sujet du jour, on va faire des photos.
Nous marchâmes encore quelque temps, difficile à dire la distance parcourue dans le bois. Puis, arrivés dans une clairière qui permettait encore de nous voir un peu, juste à côté d’un tas d’équipements pour le parcours de santé, Kader installa notre pute sur le banc à côté. Il lui fit mettre un pied sur le banc, laissant ainsi voir sa chatte et ses bas, lui alluma même une cigarette qu’il lui glissa entre les lèvres.
– Merci ! Bredouilla ma reume.
– Vas-y, fais quelques photos, qu’on voie bien la pute qu’elle est… Et toi, tu nous fais un petit sourire, si tu veux que je te récompense après.
Je pris trois, quatre photos sous différents angles, d’assez près pour que le flash puisse éclairer la scène, puis me pote me dit :
– Attends, une pute ça montre ses nichons, on va lui ouvrir totalement sa robe !
Et il fit ce qu’il venait d’annoncer.
Encore trois photos de ma vieille, à poil, sur un banc, dans un bois, avec des bas noirs, sa moule lisse, ses vieilles mamelles qui tombaient, bref, une véritable œuvre d’art, pour chef-d’œuvre en péril !
– Allez, j’investis dans notre pute, je me mets en scène… Prends-la en train de me sucer la bite… Et qu’on puisse bien la reconnaître, surtout !
Il ouvrit sa braguette et sortit sa bite à nouveau en érection, retira la clope du bec de la pute et lui fourra son gros membre en bouche.
La vioque eut un mouvement de recul, une mimique de dégoût, mon pote lui dit tout de suite :
– Ouais, ma teube sent sûrement un peu le fion, mais fais pas la dégoûtée, c’est de ton trou à merde qu’elle a l’odeur ! Allez, suce-moi bien si tu veux que je te fasse encore crier avec ma bonne bite dans ton cul.
Je pris encore des photos de ma putain de mère en train de sucer une grosse quéquette, à poil dans un bois. Mais c’est vrai que cette vieille chienne savait sucer la queue, ça, moi maintenant, je le savais !
– Je vais la baiser... Si tu veux, tu sors ta bite et tu lui montres en gros plan…, j’suis sûr qu’elle va kiffer sa race !
Il sortit sa grosse queue de la gueule de ma vieille, l’aida à se mettre à quatre pattes sur le banc, et lui glissa son mandrin de chair raide et chaud tout au fond du vagin.
– Ho oui ! Gémissait Béatrice.
Elle bougeait son cul comme pour que la bite qui l’envahissait aille encore plus loin en elle.
Je fis comme Kader m’avait proposé, je me plaçai devant la pute, déboutonnai mon jeans, le fis glisser en même temps que mon caleçon, et exhibai ma queue déjà raide aux yeux de ma tepu de reume !
– Elle te plaît ma belle bite, hein, vieille salope en chaleur, t’aimes ça la voir, hein ? Réponds, morue !
– Oui… Finit-elle par dire, entre deux grognements de plaisir.
Encore quelques photos de prises. J’avais maintenant de quoi faire un sacré reportage.
– T’as envie de goûter son trou qui pète ?
– Heuuu… T’es sérieux ?
– Mais oui, mon ami, profite du moment présent ! Et franchement, elle est vraiment hyper bonne du cul cette salope !
Je voulais… Et ne voulais pas… Mais je ne voulais surtout pas passer pour un dégonflé, un sans-couille, devant mon pote, comme j’hésitai encore, il poursuivit :
– Viens à ma place, je vais te montrer…
Et il sortit sa bite pleine de cyprine du corps de ma vieille, vieille que j’allai désormais enculer !
Il fit rapidement le tour du banc et enfourna sa queue ruisselante dans la bouche de Béatrice.
– Tiens, toi, bouffe…
Puis, en se penchant en avant, il attrapa les fesses maigrelettes de ma vieille et les écarta du mieux qu’il put.
– Tu vois son trou de balle, tu guides ta teube et tu la pousses à fond d’un coup, n’aie crainte, ta pute de reume a l’habitude d’en prendre plein le cul !
Je bandai comme un étalon, mon cœur battait la chamade et cognait fort dans ma poitrine. Sauter ma propre mère, mieux, l’enculer, quel bâtard je faisais ! J’avais envie de lui faire mal avec ma bite. J’avais envie d’entendre cette pute jouir, faire jouir une pute, ça, c’est top ! Fallait que j’arrête de gamberger et que je passe à l’acte.
Je pris une grande bouffée d’air pur, serrai ma queue dans ma main droite, l’appliquai contre le sphincter et, d’un grand coup de rein, pris possession des boyaux de maman !
J’avais la bite plantée dans le cul de ma vioque ! Ce n’est pas fou, ça !?
Béatrice eut un petit cri, étouffé par la grosse queue qui lui emplissait la bouche, mais perceptible.
Je commençai à limer, d’abord doucement, en ressortant ma bite, les premiers va-et-vient, puis de plus en plus vite, tapant bien au fond. Je voyais mon pote se fendre la gueule.
Il venait de lâcher les vieilles miches, et avait attrapé la tète pour baiser la bouche.
– Voilà mémé ! T’as ton fils dans l’cul ! Dommage que demain, tu ne t’en souviendras plus… Alors, profite et prends ton pied, vieille chienne !
Plus rien ne comptait que de limer sauvagement ce troufignon qui me brûlait la bite.
Incroyable ! Ma mère prenait son pied ! Elle jouissait de ma queue ! Elle couinait, certes moins fort que ce que j’avais déjà entendu, mais tout de même, elle couinait de plaisir, ça, c’était sûr ! Elle couinait même alors qu’elle avait la bouche très occupée par mon pote.
– Alors mémé, elle est bonne la quéquette à ton fils chéri ?
– Humf… Oui…
– T’es une bonne pute, tu fais tous les clients, même ton gamin… C’est bien ma chérie, prends bien, ma pute, régale ton cul de la bite de ton fils… Passe-moi l’appareil photo, Théo… Merci.
Tout à mon plaisir, j’avais passé l’objet sans réfléchir que si c’était Kader qui prenait les photos, je risquai d’être dessus. Mais à l’instant, je ne m’occupai que de mon plaisir malsain, ou pas, je n’en savais plus rien, mais je prenais mon pied en tout cas !
Notre pute bougeait son fion, j’avais l’impression qu’elle savait serrer et desserrer son sphincter à la demande, et qu’elle me pressait encore plus la queue. Je n’allai pas tarder à jouir.
Après avoir pris les dernières photos, mon pote posa sur le banc l’appareil et se vida les couilles dans la gueule de ma vioque.
– Ha, quelle pute ! Aussi bonne de la gueule que du cul, salope. Bois tout mon bon jus de couilles, connasse...
Et Kader empêcha que ma mère recrache le foutre qu’il venait de lui déverser dans le gosier.
– Je jouis ! Je jouis dans le cul de ma mère ! Haaaaaaaa…
J’ai cru que j’allai mourir, tellement c’était bon de se vider les valseuses dans ce cul chaud bouillant, serré juste ce qu’il fallait, doux et soyeux. Incroyable ! Je venais d’enculer maman !
Le temps de reprendre notre souffle en silence, cette fois il faisait totalement nuit. Nous reprîmes le chemin du retour, par jeu, nous avions laissé la robe totalement ouverte et nous avons, alors, réussi à aller jusqu’à la voiture ainsi.
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