Théo-rème de l’inceste Chapitre 7 : on se prépare pour la promenade
Kader avait encore quelques bonnes idées bien salaces pour profiter de ma vieille et pour la punir comme je le souhaitai ardemment.
Le corps de Béatrice traînait sur la table, vautrée, les jambes qui pendaient dans le vide, les bras le long du corps, un filet de bave et de sperme coulait de sa grande gueule et son anus suintait le foutre tout doucement, mais ça on ne pouvait pas le voir.
– Alors, vieille pute, ça t’a plu ? Et le foutre de ton gamin, il est bon ?
– Oh…
– Ce que j’aime avec ce petit produit miracle, c’est que si ça efface la mémoire le lendemain, sur le coup, la personne est consciente et le truc, c’est un peu comme un sérum de vérité, elle ne pourra pas te raconter de conneries avec la pilule "femme gentille" ! M’expliqua alors Kader, en me regardant dans les yeux.
– Autrement dit, tu es en train de m’expliquer que ma vieille était heureuse de sucer son fils ! Et que finalement, je ne l’ai pas forcée tant que ça ?
– Ouais, c’est un peu ça, si elle n’avait vraiment pas voulu, elle t’aurait mordu, sûrement pas très fort, parce que le produit anesthésie tout de même la nana, mais il ne donne pas le pouvoir qu’elle fasse quelque chose contre sa volonté profonde… Après, tu l’attaches et le lendemain, elle ne se souvient plus de rien, mais sur le coup, ta reume par exemple, elle adore se faire enculer par des rebeux, ça, c’est clair, et elle a envie de ta pine, ça aussi, c’est assez clair, je pense !
– C’est vraiment une grosse PUTE ! Et tu l’entendrais quand elle pleurniche en disant à mon beau-père qu’elle l’aime et qu’elle ne le trompera plus…
– Ta vieille, c’est une vraie folle de bites, mais elle ne veut pas se l’avouer, c’est tout. Au fait, tu as fait des photos ?
– Ouais…
Je vérifiai le compteur sur l’appareil que j’avais remisé au fond de ma poche, avec son emballage désormais vide, et dis :
– Il reste vingt-trois photos à prendre, ça devrait aller, non ?
– Ouais, ça va l’faire ! Bon, allez, on réveille la vioque et on va la promener au lac.
Kader s’approcha du visage de ma mère, lui donna une bonne claque et elle ouvrit les yeux.
– Allez, mémé, on va se balader et je vais t’enculer dans les bois, t’aime ça te faire mettre dans les bois ?
– Hum, oui… Heuuu…
La pauvre femme avait visiblement du mal à se remettre les idées en place, possible qu’outre la drogue ingérée, les restes de sa cuite et l’apéritif du soir ne faisaient pas bon ménage avec le produit.
– On ne va pas la sortir à poil tout de même. On va se faire gauler !
J’étais, d’un coup, moins sûr de moi.
– Non, tu connais sa garde-robe, une grande robe, elle a ça ?
Je me rappelai alors la robe en jeans bleue que le mec lui avait retirée. J’allai dans la chambre, sur le fauteuil qui servait de valet de pied, rien. Puis, je passai dans la salle de bain et là, je trouvai la fameuse robe dans le panier à linge sale. Je regardai la robe sous toutes les coutures et je vis des traces blanchâtres, fines, sortes de rayures, devant et derrière la robe, à l’intérieur, au niveau du sexe et du cul, me sembla-t-il. Je rapportai le vêtement dans la salle à manger.
– Mate le fond de la robe ! À tous les coups, elle s’est fait mettre en boîte par des mecs et elle était pleine, cette vacherie-là...
– Ha, ha, ha… J’adore l’idée. Putain, si elle avait eu vingt ans, comment je te l’aurais dressée en bonne viande de trottoir.
Il porta son index à la bouche, le mouilla consciencieusement, puis frotta le doigt sur la tache qui semblait être celle du cul. Il mit le vêtement à son nez, renifla comme un chien de chasse, ensuite déclara :
– Ouais, j’ai bien l’impression que c’est du foutre qu’elle a pris dans le cul et qui est ressorti… Ben mémé ! V’là la chaudasse que t’es !
– Hum…
Une sorte de « oui », étouffé, sembla sortir de sa bouche. Béatrice eut encore un petit sourire, comme si elle était finalement fière d’être la reine des putains.
Kader lança la robe et dit :
– Tiens, habille-toi, mémé, tu ne vas pas sortir toute nue, tout de même ! Chaudasse que tu es !
Un petit rire sortit de la bouche de Béatrice, j’avais du mal à parler d’elle comme de ma mère, à ce moment-là, et elle s’habilla tranquillement.
– Tu ne m’as pas dit qu’elle avait des bas ? Elle ferait plus pute encore avec des bas et nue sous sa robe…
Puis se tournant vers la femme :
– Hein mémé, faire la pute dans le bois, ça t’excite comme idée, non ?
– Oui, vous êtes des petits cochons…
La voix était réellement bizarre, mais c’était bien la voix de ma daronne, dommage que je n’eusse pas de caméscope à l’époque.
– Tu vas lui chercher des bas, Théo, noirs de préférence… Aujourd’hui, c’est le deuil de sa réputation !
– Ha ha ha…
Et je retournai dans la chambre.
Dans la grande armoire où j’avais trouvé les culottes, j’avais aussi vu ses soutiens-gorge et ses porte-jarretelles, ainsi que ses bas. Aussi, je ne mis pas longtemps pour revenir avec des bas auto-fixants noirs.
– Allez mémé, mets tes bas aussi, que tu nous montres bien la bonne putain que tu es…
Béatrice tira une chaise et s’assit. Elle enfila précautionneusement ses bas, puis resta sur place comme une machine qui a fini son cycle et attend pour passer au cycle suivant.
– On va prendre sa caisse, moins de risques de se faire contrôler, avec ma tire, je ne peux pas faire cent mètres sans devoir montrer mes papiers.
– OK, elle est au sous-sol dans le garage.
– Et les clefs ?
– Ouais, attends, elle les laisse toujours traîner sur le bahut… Les voilà… On peut y aller, non ?
– Ouais ! Allons-y gaiement, tu viens, ma pute.
Kader prend la vieille par la main et la tire à lui pour qu’elle se lève.
Je passai devant, montrer le chemin, au fond de la cuisine, il y a, à gauche, l’escalier qui donne sur le sous-sol, à droite, le mien pour aller dans ma chambre.
Kader installe Béatrice à l’arrière. Cette petite voiture rouge, de marque coréenne, est assez "haute sur pattes", si bien que, malgré sa petite taille, on rentre facilement et presque droit. Elle est donc pratique pour installer quelqu’un, d’un peu nonchalant, sans trop d’efforts.
Mon pote s’installe au volant, met en route et sort la voiture dès que j’ai ouvert la porte coulissante, puis je la referme à clef et vais m’installer à la place avant.
Nous roulons quelques kilomètres jusqu’au lac de notre petite ville. C’est une pièce d’eau qui a été créée à l’époque du château. Elle est bordée par un bois, plutôt bien entretenu de nos jours, par la ville, qui est lui-même traversé de longues allées. Toutefois, au bout du bois et du lac, dans la partie la plus éloignée du château, le bois devient bien plus touffu, les chemins très étroits et seuls quelques joggeurs y passent de temps à autre. Cette partie du bois servait certainement, jadis, de réserve d’animaux sauvages pour la chasse des gens du château.
Nous arrivâmes sur un petit parking à l’abri des arbres, dans le sous-bois du bout du lac, sur le coup de vingt-et-une heures et quelque chose. Entre chien et loup, mais dans le sous-bois régnait une ambiance fantomatique.
– Allez la pute, on va visiter une place, pour tes futurs tapins, ma jolie…
Je laissai Kader diriger la manœuvre, moi, je faisais des photos, une chance encore que j’eusse pris un appareil avec flash.
Mon pote fit descendre Béatrice et referma la porte derrière elle, puis, la prenant par la main, la fit tourner sur elle-même pour admirer sa tenue.
– On va aller dans le bois, si on rencontre des mecs, je veux voir le feu de l’envie dans leurs yeux.
Et, joignant le geste à la parole, il dégrafa les boutons du haut de la robe de manière que les nichons de la vieille puissent être vus, voire tripotés. Ensuite, il s’attaqua aux boutons du bas, les défit de telle façon qu’on pouvait, non seulement voir les bas, mais aussi la chatte ! Finalement, ne restait que trois boutons fermés.
Ainsi fagotée, ma vioque faisait réellement vieille pute. J’avais envie de la tabasser et de la violer en même temps, après tout, je n’étais qu’un fils de pute !
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