Théo-rème de l’inceste Chapitre 6 : pilule étrange
Kader arriva avec sa grosse berline. Il faisait plus vieux que son âge, mais on voyait bien que c’était une racaille de quartier.
Je l’accueillis à l’entrée, encore un peu effrayé de mon audace, et pas totalement sûr des effets de la pilule de Kader. Je lui chuchotai, dès que la porte fut refermée :
– Tu es sûr de ton produit, Kader ?
– Tu vas voir, on va y aller doucement, comme ça, si le truc n’a pas fait effet, on aura une solution de repli.
Je guidai mon pote dans le salon en disant tout haut en entrant :
– Maman, je te présente Kader… Kader, je te présente ma mère, Béatrice.
La salope était avachie dans le canapé, les yeux dans le vague, elle répondit vaguement : « bonjour », les yeux rivés sur l’écran. Elle avait été enfiler son peignoir, je pensai qu’elle devait être à poil en dessous.
– Oh ! La mère de mon pote, je vous fais la bise, Béatrice.
Et Kader se pencha et lui fit quatre bises, très près de la bouche, en lui pelotant outrageusement les nichons, accessibles en entrouvrant légèrement son peignoir.
– Voilà une bonne salope qui aime se laisser peloter les nichons, dis-moi !
Je ne savais pas s’il s’adressait à moi ou à ma pute de mère, mais visiblement, la vieille se laissait tripoter sans rien dire. J’étais subjugué par le spectacle, là, devant moi, à quelques dizaines de centimètres de mon nez, mon pote en train de peloter les nichons mous de ma putain de génitrice.
– Montre-nous un peu comment tu es foutue, mémé. Dit alors Kader avec son accent bizarre, moitié quartier, moitié rebeu. Hé, Théo, n’oublie pas de faire un petit reportage photo de cette soirée, mon ami.
Je remontai dans ma chambre en courant et revins, toujours en courant. Entre-temps, Kader avait soulevé Béatrice. J’avais vraiment du mal à admettre qu’elle était ma mère et la mettais debout, en laissant le peignoir sur le canapé.
Putain ! La vioque à oilpé ! J’avais la gerbe et la gaule !
Kader guida Béatrice dans la salle à manger attenante, seul un grand encadrement servait de délimitation entre les deux pièces, qui en fait, n’en formait réellement qu’une seule. Il allongea, sur la table en bois, cette vieille pute, sur le dos.
Je suivais les opérations de près, collant à mon pote, comme s’il était le dernier rempart contre ma perversité. J’ouvris l’emballage de l’appareil photo. Je gardai l’appareil en main, prêt à faire quelques bons clichés bien pornographiques et enfouis le plastique inutile dans ma poche.
– T’as envie d’un coup de bite, hein mémé ? Je vais te donner ce que tu veux, ma chérie.
Et Kader rit de bon cœur en faisant glisser sa braguette. Il défit sa ceinture, dégrafa le dernier bouton de son froc et fit descendre pantalon et slip en même temps jusqu’à ses genoux.
Putain ! Quelle excitation ! Je bandai comme un âne. Je voyais ma vieille jetée sur la table comme une poupée de chiffon, ses nibards flasques qui semblaient couler sur le côté du buste, sa moule rasée qui faisait un peu bec de canard, avec de grandes babines luisantes. Et mon pote, avec une queue encore plus balèze que la mienne. Bon, certes, il avait trois ou quatre ans de plus, mais j’espérai en même temps que d’ici là, moi aussi, j’aurai une belle grosse queue droite comme lui. Le seul truc bizarre, sa queue n’avait pas de prépuce.
Je pris quelques photos de la scène.
Kader prit les chevilles de la femme et remonta les jambes bien au-dessus du corps. Ensuite, il prit la cheville droite avec sa main gauche, son bras servant alors à bloquer l’autre jambe. Il s’empara de sa queue dans sa main droite et frotta son gland sur la vulve luisante. Visiblement ce n’était pas la première salope qu’il pinait avec ses petites pilules étranges.
Puis, sans crier gare, il entra d’un coup dans le vagin de ma vieille qui poussa un tout petit gémissement.
- T’aime ça, la bite de rebeu, hein morue ? Tu vas voir quand je vais te la mettre dans ta boite à crottes !
La vioque se laissait démonter la chatte avec un grand sourire béat. Elle couinait au rythme des coups de boutoirs que lui infligeait mon pote, il fallait vraiment le savoir, qu’elle était droguée.
Je fis le tour de la table pour me mettre au-dessus de la tête de la femelle en chaleur et pris encore quelques photos. Puis je revins aux côtés de mon pote.
- Allez, assez joué... Dans ton cul, morue.
Mon copain sortit sa bite toute gluante de la chatte qui dégoulinait de cyprine, la prit en main, de sa main droite, la guida vers l’anus, la posa contre le sphincter et, d’un coup de rein magistral, introduisit toute sa grosse queue dans le cul de ma mère.
Cette vieille salope de Béatrice jouit pratiquement dès l’introduction contre-nature. Elle s’arque-bouta sur la table en bois et creusa son dos le plus possible pour que le gros sexe aille le plus loin, que la nature permettait, en elle.
Je me mis cette fois sur le côté pour faire une ou deux photos qui montraient la pine dans le cul maternel, puis une encore avec un peu de recul pour qu’on puisse voir sur le cliché qu’il s’agissait bien de Béatrice, la fière secrétaire.
- Vas-y mon pote, tripote la moule de ta vieille, tu ne risques pas de te faire engueuler, maintenant.
– Tu… Tu crois ?
– Ouais, la mémé prend son pied, elle se rappellera tout juste d’avoir joui comme une grosse pute, qu’elle est et aura les trous bien élargis.
Kader ahana encore et assena quelques vigoureux coups de reins très rapides, puis, calmant le rythme, dit encore :
- Vas-y, mets-lui tes doigts, tu vas voir, c’est strange ! Dis-toi que c’est de là que tu viens…
J’étais tout tourneboulé. Oui, j’avançai ma main comme hypnotisé par ce vagin. En même temps, quelque chose ralentissait mon mouvement. J’étais comme dans une sorte de rêve. Mon index droit toucha la chatte de ma vieille pute de mère. Et moi, alors, ne suis-je pas aussi salaud que les autres mecs ? Mon doigt commença à s’enfoncer dans ce vagin bouillant. Ça m’excitait de rentrer dans ma génitrice. Mon deuxième doigt était aussi dedans. Je sentais le membre, qui envahissait le rectum de ma mère, s’affairait. Le vagin se contractait et se décontractait au rythme de la sodomie. Mon troisième doigt était dedans. J’avais mes doigts dans la moule, détrempée et brûlante de ma vioque. Mais n’étais-je pas aussi taré qu’elle, finalement ?
- Ouais ! Cool ! Rentre toute ta main, mec, fiste ta vieille… Défonce-lui la boîte à gosses, rentre dans ce sac à foutre.
- Si tu savais, elle est bonne du fion, ta pute de reume !
Je rentrai quatre doigts. Je sentais, à travers la peau, les va-et-vient du gros sexe de mon pote. J’avais envie de lui déchirer la moule, à cette sale pute. Oh maman ! Pourquoi es-tu une telle truie ? Et je repris encore une ou deux photos de ma main dans sa chatte distendue.
- J’suis sûr qu’elle suce bien cette vieille chienne en chaleur… T’as pas envie qu’elle te suce ?
– Ouais, d’accord. Acquiesçai-je, comme si c’était un autre moi qui répondais, comme si, moi aussi, j’étais shooté.
Kader fit glisser le corps de la femme pour qu’elle arrive au bord de la table, sans pour autant ressortir son pieu de chair du rectum, maintenant bien élargi. Il adorait sodomiser les filles, finalement, à bien y regarder, il ne cherchait qu’à élargir le cercle de ses amies !
Après avoir posé mon appareil photo jetable, j’aidai pour tirer ma mère vers moi au bord de la table, tout en gardant aussi mes doigts dans la matrice d’où je venais. J’étais excité et avais une sacrée gaule, mais j’étais aussi comme dégoûté de ce que je faisais, doigter sa propre mère, quel fils étais-je donc ?
En même temps, quelle grosse pute était ma vioque ? Béatrice, celle qui rentrait bourrée avec n’importe qui pour se faire sauter comme la reine de salopes sous le toit de la maison protectrice ? Dans le sanctuaire qui protège la famille ?
Mais aussi, j’avais envie de ce corps de vieille, je voulais savoir ce qu’elle savait sur les secrets du sexe et du plaisir. Je voulais prendre, conquérir, envahir, ce corps. Je voulais jouir de cette chienne qui montrait ses nichons mous à la plage. Je voulais palper, tripoter, triturer ces grosses mamelles.
Je voulais goûter et re-goûter, le lait maternel. Je voulais jouir dans cette putain qui m’avait fait !
Quand le tas de viande qu’était devenue ma daronne, fut au bord de la table, tout en gardant mes doigts dans le vagin, je déboutonnai mon jeans et le faisais glisser avec mon caleçon le long de mes cuisses.
- Vas-y, fourre-lui ta queue dans sa gueule de truie… Elle va être contente de te sucer puisqu’elle te regardait tellement !
– Ouais…, je vais lui défoncer la gueule à cette guenon en rut.
Attrapant la nuque maternelle, j’introduisis mon membre viril bien bandé dans la bouche chaude et accueillante.
Tout de suite, cette bouche de putain se mit à me sucer, un vrai régal, encore que, je n’étais, alors, pas un expert en pipe.
La sensation était étrange aussi, Béatrice râlait de plaisir à se faire limer le fion, ça donnait une sorte de vibration bizarre dans la bouche et dans ma queue, fallait que je goûte à ça !
- Alors mon copain. Elle n’est pas belle la vie ?
– Ouais, t’as raison, faut se servir et prendre ce qu’on veut, quand on veut.
– Putain, son fion est trop bon ! Ta reume c’est la reine des enculées ! Elle va me faire cracher cette vieille putain lubrique...
– Vas-y, fais-toi plaiz dans c’tas d’viande !
– Allez morue, tu vas avoir droit à ta came !
Je repris mon appareil photo, ma queue raide tenait toute seule dans la bouche de la vieille. Je pris quatre ou cinq clichés au jugé en espérant qu’on pourrait voir ma bite dans sa gueule, mes doigts, et la bite qu’elle avait dans le corps. Ensuite, je reposai l’appareil et je retirai alors mes doigts de la chatte, pour triturer les nichons mous, pendants, rien à voir avec les jolis seins de Laura, mais cette antique truie avait le sein-doux.
Bientôt Kader jouit avec force cris. En appartement, nous aurions réveillé tout l’immeuble ! Là, nous étions tranquilles pour notre forfait.
Béatrice toussa alors un peu, il ne fallait tout de même pas que je l’étouffe ! Mais non, elle toussait grâce à sa tabagie, visiblement, et non, à cause de mon sexe.
- Putain ! Trop bon quand elle tousse, ça lui ressert le pot et me comprime la bite, un régal… À refaire, ça.
L’ambiance, la chaleur, mes idées qui tournaient en boucle dans ma tête, tout concourait à faire monter mon excitation et, juste quand mon ami sortit sa pine du cul maternel, je jouis à mon tour en grognant. Machinalement, je portai ma main à ma queue et me branlai comme pour que tout le foutre sorte.
Lorsque la prochaine fois ma mère voudra m’engueuler, je repenserai à ce moment, et je me marrerai.
De longues saccades de foutre chaud emplissaient le gosier de ma vieille. J’avais l’impression que je ne pourrais plus m’arrêter de juter.
Mon pote posa sa grosse queue sur le ventre un peu rond de ma daronne et me dit alors :
« En tout cas, mate, elle est propre du fion, c’est rare d’enculer une salope et de ressortir sa bite aussi propre que là ! C’est une vraie pro du pot !
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