Théo-rème de l’inceste Chapitre 5 : culotte au piment
Mon plan était que ma mère soit obligée de ne plus porter de culotte. Et de tâcher de la prendre en photo sans culotte. Ensuite, de les envoyer à ses collègues, en créant un émail sur internet. Voir de placarder des photos dans les lieux où elle était connue, mais pour cela, je ne savais pas encore comment faire.
Un de mes potes, Kader, pote et fournisseur, m’avait dit qu’il se taperait bien ma vieille. Il avait de la farine magique ou des cachets qui rendent les filles gentilles. Et, si je voulais, il pourrait alors lui donner une de ses friandises pour qu’elle soit bien salope et que je pourrais, alors, la prendre en photos tout à loisir. L’idée me trotta dans la tête.
Le mardi, alors que je n’avais pas cours entre dix heures et quatorze heures, ce sont les secrets de l’administration de l’éducation nationale, mais moi ça m’allait parfaitement, j’entendis ma mère rentrer précipitamment à la maison sur le coup de dix heures trente. Sans se déshabiller, elle courut dans la salle de bain et laissa la porte entrouverte. J’entendis l’eau couler et ma mère qui grognait comme une vieille chienne à qui on aurait piqué son os.
Je me pointai dans le couloir à pas de loup et je la regardai au travers du miroir du meuble qui est en face du lavabo. Elle s’astiquait la chatte avec un gant de toilette, frottait énergiquement, la jupe de son tailleur entre les dents pour la garder relevée. Il semble que le plan piment fonctionnait à merveille !
Plus elle frottait, plus elle grognait, je l’entendais répéter à l’infini, sans desserrer les dents : « Merde… Merde… Merde… Merde… Merde... ». Et elle enduisit le gant de savon et elle se frotta la chatte, et elle enduisit le gant, et elle se frotta le cul, et elle enduisit le gant…
Je me marrai intérieurement ! Il ne fallait pas être grand devin pour imaginer qu’elle devait être bien embêtée. Comment expliquer à son mec qu’elle avait chopé une saloperie, une MST ? Sans lui expliquer qu’elle était sortie et revenue avec un mec qui lui avait pété le cul dans le lit du couple…
Elle avait la danse de Saint-Guy, je la vis s’essuyer, donc je reculai et retournai au fond de la cuisine dans l’escalier qui donne accès à ma chambre.
Je l’entendis aller dans le salon et prendre le téléphone, je tendis l’oreille, encore heureux que j’ai une très bonne audition.
- Allô… Oui, un rendez-vous au plus tôt… C’est-à-dire, c’est délicat d’en parler… Je crois que j’ai attrapé une maladie vénérienne… Euh… Non, je viendrai seule… Oui, mon mari est absent… Oui. Ça me met très mal à l’aise vos questions, docteur… Oui… On peut dire ça, un amant de passage… Ce soir, vingt heures… Merci beaucoup, docteur, à ce soir. Et elle raccroche.
Elle sautillait sur place comme une gamine, grognait, rageait, grommelait et, certainement, loin de s’imaginer que je pouvais tout entendre, parlait tout haut.
- Mais quelle conne ! Quelle connasse j’ai été. Si Maxime se barre, je fais quoi, moi ? T’as raison, Pauline, je suis une conne, aller me taper un connard qui me refile une sale maladie, quelle conne… Mais quelle conne… Mais quelle conne je suis ! Ça me brûle…
Le téléphone sonna d’un coup, la vieille décrocha :
- Oui Pauline, oui, je suis rentrée vite fait, je reviens en début d’après-midi… Oui, j’ai la chatte et le cul en feu… L’autre connard a dû me refiler une saloperie ! Oui je sais, je suis conne… Comme tu dis, va expliquer ça, toi… Oui, Maxime ne mérite pas du tout ce que je lui fais vivre ! Faut vraiment que j’arrête mes conneries, ça me brûle, tu ne peux pas savoir ! Oui, je passe te voir en début d’après-midi… Oui, bisous, ma grande… Oui, j’espère aussi, à tout à l’heure.
Je crois qu’elle était déjà bien punie, j’apprendrai plus tard, qu’elle avait été obligée d’aller dans les chiottes au bureau pour retirer sa culotte, et ensuite son collant. Là, certains collègues s’en sont aperçus. Mais pour le moment, je remontai dans ma chambre le plus discrètement possible.
Vers treize heures, la mère s’en alla enfin. J’allai en cours de math l’après-midi, passai voir Laura, vite fait, mais je la surpris, tout à fait fortuitement, en train de rouler des galoches et de se faire peloter par son voisin. Un vieux d’au moins quarante ans. Vraiment, toutes des putes ces gonzesses ! Jeunes ou vieilles.
Je finis alors chez mon pote Kader, celui qui avait envie de sauter ma vieille. On fuma un pétard, puis je racontai mon plan piment et ses conséquences.
Mon pote de me dit que sa proposition de piner ma vieille comme une pute tenait toujours, et, qu’il avait là, des pilules "gentille fille", qui avaient un petit défaut, elles pétillaient un peu au début qu’elles étaient mises dans un liquide, mais par contre, elles étaient solubles dans l’eau et l’alcool.
L’effet du "tabac qui fait rire", les visions de Béatrice, qui se faisait enculer comme une pute, ou qui frottait sa vieille moule qui brûlait, sans compter la vision du voisin en train de rouler des pelles à ma grosse, une main sous le chandail à tripoter ses jolis nichons bien fermes, excité et en plein désarroi, j’acceptai la proposition de Kader.
Mon plan phase deux prenait forme, finalement ! Je pourrais, pendant qu’il baiserait la vioque, faire des photos avec le petit appareil jetable trente-six poses que je venais d’acheter.
J’acceptai le deal avec Kader et mis le cachet dans la poche monnaie de mon jeans. Je lui dis alors que je ferai ça ce soir, mais pas forcément très tôt dans la soirée puisque la vieille allait chez docteur Stéto, mais que je l’appellerais dès que j’aurais glissé la pilule dans le verre de Béatrice.
Je rentrai et attendis fébrilement le retour de ma pute de mère.
Pour pouvoir mettre le cachet effervescent dans le verre de pastis de ma mère, je mis au point un stratagème audacieux. J’allai utiliser le piment sur mes couilles et ma bite pour que ça devienne tout rouge et j’allais, ensuite, montrer à ma mère qui était avachie dans le canapé devant la télé, un verre de pastis sur la table basse devant elle.
- Maman ! Je ne sais pas ce qui se passe, mais je suis enflammé entre les cuisses !
Ça me brûlait presque plus la bouche d’appeler cette traînée « maman » que le feu du piment en lui-même.
- Ha ! Toi aussi. Je sors de chez docteur Stéto et j’ai aussi des soucis, il pense que ça vient de la lessive ou de l’adoucissant qu’on utilise.
– Oui, mais ça me brûle atrocement.
– Fais voir, un peu.
– Mais non ! C’est ma bite...
– Allez. Ne fais pas l’enfant. Je suis ta mère tout de même !
Je laissai ma mère déboutonner mon jeans et baisser mon pantalon, puis baisser mon caleçon. Je voulais voir comment cette pute s’y prenait pour sortir la bite des mecs qui la fourraient.
La vieille avait ma bite en main, moi une demi-érection qui faisait que ma queue restait souple, tout en étant bien dépliée. Elle avait le même regard hypnotique sur mes attributs d’homme que dans le couloir. Sa main tremblait quand elle prit mon sexe et le souleva pour regarder en dessous le rouge de mes couilles.
En moi-même, je pensai : « salope, si tu me tailles une pipe, ça va te brûler la gueule quelque chose de bien ! ».
Mais ma vioque ne bougeait plus, elle tenait délicatement ma queue et moi, j’étais entre dégoût et excitation. Je sentais qu’en restant ainsi, j’allai très vite bander, aussi je me reculai.
La vieille me lâcha et me dit :
- Attends, je vais te mettre un peu de crème apaisante, bouge pas, je reviens.
Elle se leva et alla dans la salle de bain.
J’en profitai pour sortir de ma poche la pilule de Kader et la glisser dans son verre. Effectivement, il y eut un petit effet effervescent pendant quelques secondes, puis tout se calma.
Béatrice revint de la salle de bain avec un tube de crème, l’ouvrit, et m’en enduisit doucement la bite et les couilles.
J’avoue que c’était vraiment bon. Le froid de la crème apaisa très vite le feu du piment, et m’empêcha, sûrement, d’avoir une grosse érection. Je me rhabillai en lâchant :
- Bon ! Ça va, là ! Tu ne vas pas me tailler une pipe tout de même.
La mère devint rouge instantanément et bredouilla un vague :
- T’es bête…
Mais il est sûr qu’elle était totalement désorientée et excitée par ce contact charnel.
Je montai dans ma chambre et passai un coup de fils à Kader, il devait arriver dans le quart d’heure suivant, le temps que le cachet fasse effet.
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