Théo-rème de l’inceste Chapitre 4 : Laura

 

La vie continua, je sortais de plus en plus avec des mecs plus âgés que moi et faisais, aussi, de plus en plus de business, ça me payait mon shit et mes clopes, sans que j’aie quoi que ce soit à devoir à ma vieille.

Je plaisais bien aux filles, aux mecs aussi, peut-être, mais moi, j’étais à cent lieues de ce genre de sexualité. La première avec qui je couchai était une Laura. Jolie, bien foutue, elle me faisait bander dès qu’elle posait ses mains sur moi et, visiblement, cette salope le savait !

Maxime était en déplacement la semaine, il était ingénieur et suivait la construction de quelques usines dont je ne comprenais rien. Et ma mère avait une vie professionnelle bien réglée, elle partait à sept heures quarante-cinq le matin, rentrait à douze heures quinze, repartait à treize heures quinze et rentrait le soir, à dix-sept heures trente, sauf, bien entendu, quand elle allait faire les courses après le boulot.

Aussi, en troisième, à seize ans, j’avais redoublé ma quatrième, je passai pas mal de temps chez moi, avec certains potes, je planquai mes savonnettes de shit dans le grenier et les préparai généralement en journée alors que je séchai les cours ou pendant les heures de perm, puisque j’étais externe.

Comme j’avais une grosse envie de Laura, mais que je ne savais pas trop comment m’y prendre, je lui proposai de venir un mercredi à la maison. Elle resta dans ma chambre qui était, d’ailleurs, de la taille d’un bon petit studio, avec une antichambre et une chambre, pendant que je déjeunai avec ma vieille dans la cuisine. La mère repartie, je passai une bonne heure au lit avec Laura et fis donc l’amour pour la première fois.

Je ne débandai pas et. après avoir pris ma copine deux fois, je descendis totalement à poil pour aller pisser. Les toilettes se trouvaient juste à côté de la porte d’entrée, derrière la cuisine, dans le grand couloir coudé qui desservait toutes les pièces de cette maison de six pièces, plus les commodités.

En arrivant dans le couloir, je tombai nez à nez avec ma mère ! Elle venait de rentrer et je n’avais rien entendu, préoccupé que j’étais de ma première baise et de devenir, enfin, un homme, un vrai. J’avais la bite à l’air, nu comme un ver, je bandai comme un âne.

Et ma pute de mère avait les yeux rivés sur ma queue ! Elle ne quitta pas ma virilité pendant les quelques dizaines de dixièmes de seconde que dura mon passage dans le couloir à faire les quelques mètres séparant la porte de la cuisine de la porte des WC. Et quand je ressortis, ma mère était toujours là, droite comme une statue, à regarder mon membre.

Je m’étais alors dit, pendant que je remontai dans ma chambre, que ma mère était une vraie obsédée. Peut-être même une nymphomane !

Durant le reste de l'après-midi, nous fîmes à nouveau l'amour trois fois avec Laura. Je lui racontai alors que j‘avais croisé ma vieille et qu’elle avait eu les yeux fixés sur mon sexe.

- Les vieux ! Ils sont quand même complètement tarés, me répondit-elle, alors, même les vieilles sont cinglées. Je vois ma mère, elle a toujours peur que l’on puisse voir mon cul ! Comme si c’était hyper-grave qu’on voie un bout de peau...

Ce jour-là, ma mère, rentra un petit peu plus tard. Elle avait dû aller faire quelques courses.

Ma mère ! Cette vicieuse qui regardait mon sexe en érection et ne pouvait détacher ses yeux lubriques de cet objet. Mais qu'attendait-elle ? Que je lui casse le cul ? Que je lui démonte le pot comme les autres salauds qu’elle amenait dans son lit ?

D'accord, je l'avais vue à poil. D'accord, j'avais vu sa chatte lisse... D'accord, j'avais vu ses mamelles toutes molles… Mais ce n'était pas une raison pour qu'elle regarde, avec une telle insistance, alors que moi, j'étais en face d'elle. Elle avait maté ma bite comme si c'était un objet d'art. Ou, plutôt, comme s'il en avait une folle envie. C'était vraiment une tarée, une dégénérée, ma vieille.

Je crois que c'est ce jour-là que l'idée d’un plan pour humilier ma mère m'est venu.

Le vendredi midi suivant, alors que nous étions en train de déjeuner, ma mère reçut un coup de fil de Maxime. Ce dernier devait passer le week-end sur le chantier qu'il gérait, suite à un accident d'un de ses collègues.

Ma mère commença à l’engueuler parce qu’il était coincé par son boulot ! En plus d’une conne, en plus d’une grosse pute, c’était aussi une grosse égoïste, finalement, cette bonne femme !

Le vendredi soir, ma mère appela sa bonne copine Pauline. Elles allèrent dîner en ville. Je ne les revis plus de toute la soirée. Mais j'entendis ma mère rentrer sur le coup de cinq heures du matin à peu près.

Je descendis à pas de loup et je m'aperçus qu'elle rentrait, une fois de plus, totalement bourrée, défoncée à ne plus marcher droit, avec un mec qui avait vraiment une sale tronche. Le type l’emmena directement dans la chambre.

Le type avait laissé la porte de la chambre entrouverte et je regardai donc ce qui se passait dans la pièce. Nous étions à la fin du printemps et la lumière qui filtrait à travers les volets me laissait largement voir ce qui se passait dans cette chambre.

Le mec prit la tête de ma daronne, la porta au niveau de son froc qu'il avait baissé. Visiblement, il se faisait sucer la queue, tout en la traitant de tous les noms :

- Vas-y ! Bouffe-la, ma queue, salope, va ! Tu n’es qu'une grosse pétasse.

Il avait un accent des quartiers glauques. Bientôt, il déshabilla ma vieille, lui arrachant presque les boutons de sa robe. Elle avait une espèce de grande robe en jeans bleu, mais visiblement, ni culotte, ni soutien-gorge en dessous.

Il jeta ma mère en travers du lit, lui écarta les cuisses comme si c'était un tas de viande et la baisa comme une vulgaire putain de bas étage.

- Je vais te la mettre dans ton cul, sale conne…

Et il sortit sa queue de la chatte de ma mère, bien que je ne visse pas en détail ce qui se passait, il dut l'introduire dans son rectum.

Ma mère couinait comme une truie et se faisait démonter le cul comme à son habitude.

Et après, elle irait encore dire qu'elle aimait mon beau-père ! Bah voyons…

J'en avais assez vu, je connaissais la fin du film. Je remontai, sans faire un bruit, dans ma chambre et fermai ma porte à clé.

Vers onze heures, quand je me levai, je trouvai ma mère attablée dans la cuisine, le nez au-dessus d'un grand bol de café noir fumant, la tête entre les mains, les yeux rouges.

- Alors ! Tu as encore fait la salope ? Tu as picolé et puis tu as amené un mec pour qu'il te baise à la maison.

Ho, tais-toi, Théo ! J’ai honte de moi ! J’ai honte de ma conduite.

Super ! Tu as honte ! C'est ça d'être adulte et responsable ? Se saouler la gueule en boîte ? Se faire défoncer par n'importe quel connard comme la dernière des putes ?

Ho, mon bébé. Quelle mauvaise image je donne du monde des adultes !

Tu es vraiment… Vraiment une… Tu me dégoûtes… Connasse…

Et j'ai laissé ma mère commencer à sangloter toute seule dans sa cuisine.

L'après-midi, j'ai retrouvé des potes et je leur ai raconté quelle putain était ma mère. Un de mes potes me dit que la sienne était comme la mienne, une grosse chienne en chaleur, toujours envie de se faire monter, par n'importe qui, par n’importe quelle bite qui traîne.

Je lui avouai alors avoir un plan pour foutre vraiment la honte à ma daronne, notamment à son boulot, mais aussi par rapport à ses copines.

Quand j'entendais ce banc de pétasses faire leurs simagrées sur le cinéma, ou sur la peinture, ou sur ceci, ou sur cela. Sur un tas de sujets très intéressants et très intellectuels, alors qu'elles se caramélisaient la tronche en boîte les vendredis et samedis soir. Ça pouvait bien jouer les snobs, ces connasses-là !

Mon pote me dit que j'aurais dû la prendre en photo quand elle rentrait défoncée, ou quand elle se faisait pointer le fion comme une truie. Mais à cette époque, les APN étaient tout juste sortis et les téléphones ne faisaient pas vraiment de bonnes photos, surtout la nuit et, encore moins sans flash.

Puis il me raconta un truc un peu bizarre. On pouvait frotter une culotte avec du piment et quand la nana mettait la culotte et qu’au fur à mesure de l'avancée de la journée, avec la transpiration, le piment se dissipait sur sa chatte et elle finissait par avoir la chatte en feu et danser la danse de Saint-Guy.

Comme mon beau-père m'avait ouvert un compte sur son ordinateur, j’allai sur internet pour essayer d'en savoir un peu plus. Effectivement, on pouvait acheter en grande surface des piments antillais, de toutes les couleurs, très forts. Et les Antillais, eux-mêmes, s'en servaient pour les frotter sur les aliments, sans vraiment manger les dits-piments.

Le lundi, en début d’après-midi, séchant un cours d’anglais, je me rendis donc dans une grande surface et achetai des piments antillais et un appareil photo jetable.

Je rentrai, allai dans la chambre de ma mère, ouvris son armoire et frottai toutes ses culottes avec le piment. Je frottai consciencieusement la partie qui était en contact avec le sexe, c'était facile, il y avait une sorte de petit tissu supplémentaire à cet endroit. Je fis très attention à bien replier les culottes et bien les remettre dans le même ordre. Elle avait surtout des strings comme les jeunes salopes, quelques tangas bien échancrés, et autant de culottes classiques, mais tout était en dentelle, de belle facture. Et après ça, ma vioque dira encore que ce n’est pas pour aguicher les mecs, des culottes aussi jolies !

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