Théo-rème de l’inceste Chapitre 3 : la punition

 

Je dormis au moins jusqu'à midi. Quand je me réveillai, j'entendis ma mère pleurnicher au téléphone, visiblement avec mon beau-père, en train de dire :

- Non, mais reviens... Je suis conne quand je suis comme ça... J’avais trop picolé ! Pardon, pardon, pardon... Je t'en prie… Pardonne-moi… C'est toi que j'aime… Je ne voulais pas te faire de mal !

Mais, visiblement, mon beau-père avait un peu de mal à vouloir revenir.

Puis, un peu plus tard, j'entendis ma mère dans la salle de bain. Ensuite dans sa chambre, certainement en train de s'habiller. Et enfin refermer la porte d’entrée.

Je regardai par mon vasistas, je vis ma mère habillée comme pour aller au boulot, avec une un petit tailleur, des collants et des petites chaussures, genre escarpins.

Ce n'est que le soir, bien plus tard, sur le coup de dix-neuf heures, que les deux voitures s'arrêtèrent devant la maison. Ma mère rentra la première et vint m'embrasser, alors que j'étais sur le canapé devant la télé.

Je ne lui rendis pas son bisou sur la joue, trop dégoûté de cette vieille morue de bas quartier !

Mon beau-père arriva ensuite et vint me dire bonjour également, tout en me disant :

- J'espère qu'on ne t'a pas réveillé cette nuit. On a fait un peu de bruit, je suis vraiment désolé.

Je mentis en déclarant :

- Oh non, non, j'ai rien entendu, tu sais quand je dors, je dors…

Ma mère avait le rouge aux joues. Mon beau-père partit alors, dans la cuisine, préparer le repas. Ma mère resta habillée, avec son tailleur, ses bas, dont je vis les attaches qui faisaient de petites bosses sur le haut de sa cuisse, à travers le tissu de sa jupe et ses escarpins, tout le long du repas.

Une fois le repas fini, je montai dans ma chambre, prétextant des devoirs à faire. Je refermai bruyamment la porte derrière moi, pour la rouvrir quelques secondes plus tard, tout doucement. Là, l’oreille tendue, j’écoutai dans mon couloir ce qu'ils avaient à se dire.

Ma mère pleurnichait et disait :

- Non ! ne t'en vas pas. J'ai vraiment été conne, mais ne t'en va pas… Je ne te mérite pas, c'est vrai, mais reste avec moi. J'ai trop besoin de toi.

Ouais, enfin, une fois que tu as picolé, une fois qu'on est en boîte, tu fais n'importe quoi ! Répondit mon beau-père. Tu vas draguer des mecs, tu te laisses peloter, et devant tout le monde encore ! Tu te laisses embrasser, tu es même partie aux toilettes avec un mec. Si ça se trouve, il t'a baisée dans les chiottes !

Et, après un moment de silence, pendant lequel je pouvais à peine percevoir les pleurnicheries de ma vieille :

- Qu'est-ce que tu veux, que moi, je fasse avec une femme comme toi ?

Oui, mais m'en veux pas, c'est à cause de l'alcool.

À chaque fois, c'est la même histoire, à cause de l'alcool, bien entendu !

Oui, mais je le ferai plus, je te promets.

De toute façon, tu as eu ta fessée dans les bois, tout à l'heure.

Oui, je me sens même comme une petite fille, j'ai honte que tu m'aies mis une fessée.

Tu es bien d'accord que tu l'as méritée ?

Oui, c'est vrai, je l'ai méritée...

Cette discussion me surprit au plus haut point ! Ma mère se prenait une fessée par son mec ! Tout ça parce qu'elle avait déconné en boîte comme une gamine. Non seulement, elle était complètement tarée, non seulement, elle picolait comme un trou, mais en plus, elle ne savait même pas se tenir comme une adulte. Quelle mère que j'avais ! Mais alors, quelle mère j'avais là !

Ensuite, ils levèrent le camp et allèrent dans la chambre.

Très curieux et avide de savoir le fin mot de cette histoire, j'allai, à pas de loup, dans le grand couloir, jusqu'à être à côté de la chambre de ma mère.

Je m’installai dans la petite chambre qui servait de bureau à mon beau-père et là, un verre collé contre le mur, l'autre partie à mon oreille, j'écoutai ce qu'ils se disaient.

Mon beau-père dit alors :

- Je te l'ai promis, tu auras dix coups de cravache ce soir…

Pitié, pardon, je… Vraiment, je ne les mérite pas.

Si, si, dix coups de cravache ! Tu as fait la conne, et il n’y a que ça que tu comprennes ! Ça fait quatre ou cinq fois que je te pardonne et tu recommences ensuite.

Bon d'accord, mais pas trop fort, s'il te plaît.

Ce n'est pas toi qui fais la loi ! Tu es punie, tu auras ta punition.

Et j'entendis ensuite ma mère compter jusqu'à dix, doucement, avec des « aïe », « ouille », entre deux claquements secs de la cravache sur sa peau. Ça lui tombait visiblement dru sur les fesses.

Je n'en revenais pas ! Ma mère se prenait des coups de cravache sur le cul. Mais elle était vraiment complètement tarée, cette salope en chaleur.

Après que ma vieille ait compté dix, j’entendis Maxime demander :

- Alors ? Cette fois, tu penses que tu recommenceras tes conneries en boîte ?

Oh non chéri, j’ai trop mal aux fesses ! Ça me brûle, ça me pique…

Et qu’est-ce que tu as à me dire, maintenant ?

Pardon, je t’aime chéri, je suis trop conne, parfois.

Bien, pour te faire pardonner, tu vas me sucer, ma salope.

Il se passa un bon moment durant lequel j’avais du mal à entendre, les paroles étaient peut-être chuchotées ou ils se taisaient, puis, à un moment, j’entendis à nouveau distinctement :

- Tu la veux dans le cul, hein, ma salope ?

J’entendis des gémissements de ma mère, puis à nouveau :

- Tu as envie de la prendre dans le cul, dis-le, mon enculée.

Oui… La réponse était donnée avec une toute petite voix.

Et le mec d’hier soir, lui aussi, t’a enculé dans les chiottes ?

Aie ! Tu me tires les cheveux !

Je sais, réponds-moi, il t’a enculé dans les chiottes, l’autre mec ?

Je ne sais plus…

J’entendis alors le lit qui grinçait un peu, mais de plus en plus rapidement. Ma vioque gémissait de plus en plus fort, j’étais excité et dégoûté, je n’aurais pas pu définir mon état d’esprit à ce moment-là, toujours est-il que je restai bien en place, ne pouvant pas décoller mon oreille de ce verre espion.

- J’espère que je ne vais pas choper le sida avec toi, vieille pute en chaleur !

Pardon chéri, faut que j’arrête de boire.

Tripote-toi le bouton comme une gamine, ça va te rappeler ta jeunesse, salope !

Le lit grinça de plus en plus fort et de plus en plus vite, me semblait-il. Puis, je pense que ce fut la fin des joutes, j’entendis ma mère crier qu’elle jouissait, et Maxime lui dire :

- Salope, tu me fais jouir, tiens… Prends tout mon foutre dans ton cul, ma chienne… Haaaaaaa...

Suivi d’un long grognement. Finalement, mon beau-père ne valait peut-être pas mieux que les autres salauds qui avaient défoncé ma vieille. Ou alors, c’est cette pute qui rendait les mecs fous ? J’écoutai toujours attentivement, car il fallait que ces deux-là dorment pour que je puisse repartir dans ma chambre. Il y eut un peu de bruit de draps froissés, puis la voix de Maxime :

- Bon, allez dors, t’es une connasse, mais tu as de la chance que je t’aime !

Oh oui, mon chéri, moi aussi, je t’aime…

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