Théo-rème de l’inceste Chapitre 2 : le beau-père
Le temps passait, ma haine s’estompait. Quelques semaines après cet épisode, un mardi soir, ma mère me présenta Maxime, un ami… Sûrement un mec trouvé dans une boîte le week-end précédent, puisque je l’avais passé chez mon père.
Le fameux Maxime était un type plutôt sympa, il ne semblait pas vouloir s’imposer et ne jouait pas à l’adulte responsable, vis-à-vis de moi. De toute façon, je faisais ce que je voulais chez moi, j’étais le maître de cette maison, même si ma vieille ne s’en apercevait pas, ou du moins ne voulait pas s’en apercevoir et, tant que ce type me laisserait faire ce que je voulais, ça se passerait bien, sinon, gare !
Maxime vint de plus en plus souvent. Ma mère voulait qu'il m'aide à faire mes devoirs, ma mère voulait qu'il me prenne un peu en main quand elle ne savait pas comment me gérer. Mais l'homme était suffisamment malin pour ne pas rentrer dans ce jeu-là et rester bon copain avec moi.
Ce qui devait arriver arriva, il emménagea dans cette grande maison où nous avions suffisamment de place pour ne pas nous marcher sur les pieds. Il avait fort peu de meubles, quelques affaires qui furent vite remisées au sous-sol. Et il prit la petite chambre du fond, celle juste à côté de la grande chambre de ma mère, pour son bureau. Un grand bureau noir arriva dans la pièce, ainsi que son matériel informatique et tout ce qui va avec comme disquettes et autres revues techniques sur le sujet. Quelques livres et des attachées-cases pleins de papier.
Mon beau-père, puisque je le considérai désormais comme tel, bien que non marié avec ma mère, était un peu plus jeune qu'elle dans les trente-sept, trente-huit ans, alors qu'elle avait déjà quarante-quatre ans. Il faisait plus vieux que son âge, sûrement dû à sa calvitie et son air grave et souriant à la fois. Ma mère, quant à elle, avait une peau plutôt marquée par une grosse tabagie et par l’alcool qu’elle consommait tout de même régulièrement, sans parler de ses soirées de beuveries où elle ne tenait plus debout.
Quelques années plus tard, trois ou quatre, je ne sais plus exactement, un samedi soir, après le repas ces deux oiseaux-là devant la télé et moi qui restai dans mes appartements, j'entendis ma mère qui, visiblement, avait un peu forcé sur l'apéritif, demander avec véhémence que sa copine Pauline vienne les rejoindre pour boire un verre.
Maxime lui disait bien qu’elle avait déjà trop bu et qu’il vaudrait mieux qu’elle aille se coucher, mais rien n’y faisait, elle s’énervait de plus en plus et voulait continuer la soirée avec sa copine, qui était aussi une de ses collègues.
Je savais pertinemment ce que ça voulait dire, et je savais que ma vieille salope de mère avait envie de picoler et, qui sait, peut-être, de se faire tringler comme une pute par un inconnu, comme je l’avais vue, une fois, se faire enculer.
Je ne savais pas trop encore comment mon beau-père allait gérer ça. Il semblait qu'il aimait bien sortir aussi, qu'il était plutôt fêtard, mais je l'avais jamais vu bourré, pas même allumé.
Un peu plus tard, j'entendis une voiture s'arrêter devant la maison et la fameuse Pauline entrer, sans sonner, comme souvent, comme si elle était chez elle, ça me gavait cette attitude !
Je descendis pour dire bonjour. Je vis une Pauline très excitée, mais de toute façon, elle était toujours excitée, sûrement le même genre de salope que ma mère, d’ailleurs. Là, elle était certainement venue pour nous raconter qu'elle avait trouvé encore un nouveau mec. Elle trouvait de nouveaux mecs tous les week-ends. Et, une fois que je l’eusse embrassée, je remontai continuer ma petite soirée avec ma console de jeux.
De temps à autre, j'entendai des éclats de rires venant du salon du rez-de-chaussée. Ça riait fort, ça parlait fort, ça faisait beaucoup de bruit. Puis vers une heure et demie, deux heures du matin, j'entendis ces trois oiseaux sortir pour, très certainement, aller en boîte. Ma mère et sa copine semblaient passablement éméchées. Maxime, lui, semblait assurer tranquillement, il semblait être plus calme et plus sérieux dans les sorties que ma mère et sa folle copine. Un peu plus tard, je me couchai et m’endormis assez vite.
Des éclats de voix me réveillèrent sur le coup de cinq heures du matin.
Visiblement, les vieux s'engueulaient sévèrement, j’entendai les voix de mon beau-père, de Pauline et de ma mère. Je me levai sans bruit, ouvris la porte donnant dans l’escalier et descendis quelques marches, tout doucement, pour rester planqué dans mon petit couloir, à écouter précisément ce que ces trois-là avaient à se dire. J'entendis à peu près ceci :
- Mais, tu te rends compte, tu te fais peloter par n'importe qui en boîte, je dis encore trop rien et après, quand je te dis : Viens, il faut qu'on rentre, parce que tu commences à vraiment déconner, tu m'envoies chier, tu me traites de connard devant tout le monde ! Tu crois que je suis ton boy ? Que je suis ton chien ?
Ma mère, avec la voix qui déraillait et la langue qui collait au palais, traita mon beau-père de connard.
Alors même que Pauline essayait de calmer le jeu, en lui exprimant :
-
Mais attends Béatrice. C'est vrai que là, tu as déconné ! Tu
faisais quoi avec le petit brun ?
– De toute façon,
j'en ai marre de tes conneries. Ce n'est pas la première fois.
Maintenant, je me barre, démerde-toi. Dit alors, mon beau-père.
Puis, je ne l'entendis plus. J'entendis la porte s’ouvrir et se refermer et ensuite la voiture de mon beau-père démarrer.
Ma vieille continuait :
- Ouais, c'est un connard, je l'emmerde. Si je peux plus faire ce que je veux à mon âge, c'est bon, quoi !
– Non, mais tu te rends compte que tu es allée brancher un mec ! Lui répondit Pauline. Que tu lui aies roulé des pelles devant ton compagnon avec qui tu vis. Et tu voudrais qu’il le prenne bien ! là, tu as déconné, quand même, Bébé.
J’t’en foutrais du Bébé, c’est souvent que cette grosse chaudasse de Pauline , plutôt bien foutue, c’est vrai, appelait ma vioque : « Bébé », et elle, on l’appelait « paupau ». Elle avait des jumeaux que je connaissais, ils avaient quatre ans de plus que moi, mais sympas et quand on se voyait, si on parlait de nos mères, nous étions tous du même avis, de grosses chaudasses à moitié tarées, toujours en chaleur comme des chiennes ! Bref. Je continuai d’écouter les conneries de la vieille.
- M’en fous des mecs ! J’en trouve comme je veux. C’est un connard. Et puis, je vais me coucher, j'en ai marre de vos conneries !
– Faut vraiment que tu arrêtes tes conneries, avec Maxime…
– Ta gueule, casse-toi, je veux dormir maintenant.
Puis, j'entendis Pauline repartir, en claquant la porte, merci pour moi qui étais censé dormir ! Et enfin, le moteur de sa voiture qui s’éloignait.
Ensuite, j’entendis ma mère ronfler comme une vieille locomotive. Je descendis dans la cuisine, puis me rendis dans le salon. Quel spectacle ! Ma vieille, égayée sur le canapé, la jupe relevée qui me laissait voir qu’elle portait des bas, comme les prostituées ! Un pull fin à manches courtes très décolleté. Sa cigarette était tombée sur le parquet et se consumait en donnant une fumée bizarre à l’odeur indescriptible. J’éteignis alors la cigarette avec le pied pour éviter un incendie.
J’avais, tout près de ma salope de mère, une nouvelle vue ! Je soulevai doucement la jupe et je vis que, non seulement elle ne portait pas de culotte, mais qu’en plus, elle avait la chatte rasée comme les putes des films de boules ! Et c’est dans cette tenue qu’elle sortait en boîte…
Relâchant la jupe, je tirai alors un peu sur le petit pull au niveau du décolleté. Pas de soutif ! Ses vieilles mamelles tombaient sur le côté de son buste, un peu comme de vieux gants de toilette épais.
Je n’ai pas pu me retenir, et lui crachai dessus par dégoût avant de relâcher le pull. Ma mère était une putain. Et donc, merci pour moi, je n’étais qu’un fils de pute alors ! Elle me dégoûtait, cette vieille carne imbibée d’alcool gisant chez moi, dans le canapé.
Je remontai dans ma chambre et fermai la porte, à clefs. D’ailleurs, je commençai à me méfier de ma salope de mère qui, visiblement, une fois défoncée, faisait du gros n’importe quoi ! Les images de la scène des années précédentes, quand cette connasse se faisait enculer comme une grosse pute en chaleur, me revinrent en mémoire, encore plus précisément qu’auparavant. Je revoyai le mec lui péter son cul de vieille salope et l’insulter en même temps, puis lui faire bouffer sa queue merdeuse ! Pouah, quelle vieille dégueulasse était ma mère ! Et là, mon beau-père parti, est-ce que ça allait recommencer ?
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